Discussion:Existentialisme
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modifierBon, j'ai fait de grosses retouches par rapport à la version précédente, et j'ai essayé de structurer et enrichir l'article, c'est pas gagné, c'est assez gros comme sujet....
Je suis juste amateur de philo, donc il peut subsister des erreurs de fond, des concepts que j'aurais mal compris, etc. S'il y a quelqu'un de plus compétent qui passe par là qu'il n'hésite pas, en attendant, je vais tenter d'étoffer le tout avec mes connaissances, ça sera toujours mieux que rien...
Accessoirement, ma connaissance de l'existentialisme est purement sartrienne, donc je ne pourrais pas me charger de l'existentialisme chrétien... Et pour l'existentialisme athée, ce sera une vision purement sartrienne....
S'il y a des explications peu claires (et ce n'est pas toujours facile), pourrissez-moi la tête de remarques sur la page de discussions, (de préférence des remarques constructives ;)) Sur-ce, je passerai régulièrement enrichir le tout d'une ou plusieurs parties...
--SegFault 26 fev 2005 à 04:48 (CET)
Tentative d'étoffage
modifierJ'ai rédigé les deux paragraphes "liberté" et "responsabilité". Comme SegFault, ma vision est très influencée par Sartre : c'est le seul philosophe à avoir rédigé un essai de défense de l'existentialisme à but explicatif. Je ne peux pas considérer par exemple Camus comme un existentialiste, mais peut-être ai-je été influencé par la biographie de Sartre et ses relations avec cet auteur.
En plus, je suis peu au fait de l'existentialisme chrétien : étant moi-même chrétien, je n'ai pas vu ce que l'existentialisme chrétien a apporté de constructif à la Bible. Cependant, dans le contexte historique (l'interprétation qu'on faisait de la Bible à l'époque), je reconnais l'intérêt de cette théorie, mais je reste incapable de l'expliquer, tant le sujet est vaste et nécessite de solides connaissances bibliques de la part du lecteur potentiel.
Si vous trouvez que mon point de vue est biaisé par mon admiration pour Sartre, n'hésitez pas à me le faire savoir.
Kingmike 22 mai 2005 à 19:34 (CEST)
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modifier____________________________ question ? Au début de l'article il est dit que Niestsche était un précurseur de l'existentialisme, cependant il nie que l'homme est libre et donc le principe de responsabilité, donc soi il y a différentes versions de ce mouvement qui ne sont pas présentées soi il y a une contradiction avec Sartre qui dit que l'homme est condamné à être libre! ... ?
Place de la morale dans l'existentialisme
modifierJe lis : "Sans Dieu, pas de morale ou de valeurs transcendantes à l'homme". Je pense qu'il s'agit d'une interprétation erronée de l'existentialisme et de Dieu. En réalité, la distinction entre le christianisme originel et l'existentialisme est un peu plus subtile.
La Bible n'impose rien à l'homme, le concept de Dieu est au contraire libérateur pour l'homme. La morale chrétienne n'est d'ailleurs pas toujours fidèle à la théorie biblique. Jésus n'a jamais demandé à ses successeurs d'instituer l'inquisition, de brûler des "sorcières", ou de censurer certains écrits.
Affirmer qu'il n'existe pas de valeurs morales universelles, c'est affirmer en même temps que l'homme n'est pas capable de distinguer le bien du mal. La conséquence la plus grave de cette affirmation, c'est qu'il est impossible de construire une société humaine athée. Or, on constate que les sociétés humaines athées existent. On constate de plus (par exemple) que peu de criminels ont réussi à convaincre leurs juges que le meurtre est un acte moralement bon. Même les nazis, dans les grands procès d'après-guerre, n'y sont pas parvenus.
La morale, et notamment l'éthique, peut malgré tout faire débat, comme par exemple à l'occasion de l'abolition de la peine de mort en France. Cependant, il est possible de convaincre un partisan de la peine de mort, s'il est de bonne foi, de l'absurdité de cet acte. On constate que certains principes moraux sont universels, ce que Sartre appelle le principe de responsabilité, ou que les chrétiens appellent amour du prochain.
Attention : de nombreux philosophes et théologiens ont réfléchi longtemps sur ces questions, les confrontant sans cesse à l'expérience, et cela depuis de nombreux siècles. Il est toujours intéressant de voir comment les philosophes résolvent les questions qu'on se pose, ou parfois comment ils les laissent insolubles (je pense à Descartes démontrant l'existence de Dieu). Mais il est toujours dangereux d'affirmer sans argumentation qu'une théorie philosophique introduit une absurdité contraire à l'expérience. Pour réfléchir de manière approfondie sur ce que je viens d'exposer, il peut être utile de lire l'oeuvre de Condillac, notamment le traité des animaux, où Condillac définit la démarche du philosophe et la prudence qui le caractérise.
Remarque : Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec moi, je vous prie de me le faire savoir pour commencer une discussion sur le sujet. Loin d'être insultant, le désaccord en philosophie est toujours à l'origine d'un enrichissement personnel, à condition d'être de bonne foi et d'accepter de se remettre en cause. Ne prenez donc pas mon commentaire comme une insulte, et ne pensez pas que je puisse prendre vos remarques comme des insultes.
Kingmike 22 mai 2005 à 20:02 (CEST)
- "Affirmer qu'il n'existe pas de valeurs morales universelles, c'est affirmer en même temps que l'homme n'est pas capable de distinguer le bien du mal." <= Pas exactement, ou sinon c'est que je n'ai pas été clair. Déja j'ai pas dit qu'il n'y en avait pas d'universelles, mais qu'il n'y en avait pas de transcendantes. Pour moi transcendant n'est pas synonymes d'universel, dans une "morale transcendante", il y a une notion d'extériorité et de supériorité à l'humain.... définition proche de l'atilf d'ailleurs : ( http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=combi.htm;java=no; )
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- B. PHILOSOPHIE
- 1. Qui se situe au-delà du domaine pris comme référence; en partic., qui est au-dessus et d'une nature radicalement supérieure.
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- Cela pour dire que pour Sartre, toute morale existe dans le domaine de l'intersubjectivité, en gros c'est parce que les hommes sont (plus ou moins) d'accord pour dire "tel est la morale", que la morale existe. La morale serait donc fruit de la structure sociale de l'époque qui l'a créée, en ce sens, elle n'est pas éternelle, et pas identiquement partagée par l'ensemble des sociétés humaines, en fait, elle n'a donc rien d'universel. Même pour des valeurs qui peuvent sembler universelles telle que le meurtre, il s'avère qu'à l'époque des duels, tuer pour laver son honneur était un acte moral, donc toute morale est relative à la société qui l'a définie. Il n'y a pas, à ma connaissance, de principe moral intemporel et universel.
- Trois modifications à la suite de la page de discussion de ma part, ça fait pas sérieux, mais bon, en relisant et relisant l'intro, je me rends compte par contre que ça mériterait une reformulation.... je vais y réfléchir, si quelqu'un a une idée, qu'il n'hésite pas... SegFault 22 septembre 2005 à 15:24 (CEST)
Obscénités
modifierbonjour! Je ne suis pas là pour vous aider mais juste vous dire qu'au début de la définition d'existentialisme il y a écrit des obscénités donc je voulais juste prévenir merci bye!
- C'est réglé. Merci. Cham
"contre l'existentialisme" ???
modifierD'un point de vue philosophique, Albert Camus était contre l'existentialisme : Qu'est-ce que cela peut bien vouloir dire "être contre l'existentialisme" (sic) ? Je n'arrive même pas à donner de sens à une telle expression. "En désaccord avec sa constatation fondatrice" ? "Dubitatif sur son intérêt social" ? L'auteur peut-il expliquer ce qu'il a voulu dire ???
Formulation étrange
modifier"Comment, en effet, dire que nous voyons un arbre dans la cour si qu'elle n'est pas une chose."
Doit-on comprendre "si elle n'est" ou encore "s'il n'y a" ? Kitai 16 mai 2006 à 16:07 (CEST)
Juste une petite suggestion
modifierIl pourrait être intéressant d'apposer à cet article un parallèle à l'existentialisme par l'humaniste qui est la dimension américaine de ce courant.
Une imprécision ?
modifierBonjour,
Je doute de la justesse de cette phrase : "Mais ce n'est pas le seul philosophe existentialiste, « l'existentialisme » est une étiquette qu'on avait même attribuée à Camus (voir son roman L'Etranger).". Je ne suis pas un spécialiste, mais je viens de lire dans l'article concernant Camus (http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Camus) qu'il était plutôt fortement opposé à ce concept ("il s'est opposé simultanément au christianisme, au marxisme et à l'existentialisme"). Je viens d'ailleurs de finir de lire L'Etranger et après avoir lu la définition de l'existentialisme, je constate que ce livre démontre l'opposition de son auteur envers cette idée... Qu'en pensez-vous ? Serait-il utile de modifier le premier paragraphe de l'article ? Ou fait-il référence ou courant existentialiste littéraire qui est évoqué un peu plus loin dans le même paragraphe ? Si c'est le cas, il pourrait être bon de préciser cette affirmation.
Romain L.
repère historique
modifierIl faudrait peut être dire quand le mouvement est apparut!!!
"cacodiens"
modifierDans "La Responsabilité" on peut lire le mot "cacodiens" qui ne veut strictement rien dire: absent du dictionnaire et sur google je trouve 2 pages : Cet article et une copie de cet article.... Merci de changer ce mot =) on pourrait remplacer ça par certains existentialistes non ? Bonne chance les philosophes!
Cyr.
- J'ai retiré la phrase car je ne comprends pas en quoi la notion de responsabilité serait un substitut à l'amour chrétien. --Epsilon0 ε0 2 juin 2010 à 16:33 (CEST)
Auteurs existentialistes :
modifieril faudrait peut être rajouter à la fin de l'article une liste des auteurs existentialistes et de leurs oeuvres. Cela pourrait être utile à toute personne faisant des recherches précises sur ce sujet. merci
Mauvais argument pour la critique de l'inconscient
modifierBonjour. Je ne connais rien au sujet, mais je voulais vous faire part de quelque chose qui m'apparait fallacieux. Dans la section où l'existentialisme critique la théorie de l'inconscient de Freud, il est dit : "Il est évident que si la censure était un phénomène réellement inconscient, elle ne pourrait pas discerner les désirs inavouables qu’elle se doit masquer à la conscience." Pour moi ça n'est pas une bonne déduction du tout : la censure pourrait très bien être inconsciente, avoir ses propres règles de fonctionnement cachées. Je ne vois vraiment pas pourquoi il faudrait a fortiori que ce soit conscient. Donc, je subodore que la critique qu'a pu faire Sartre sur l'inconscient a dû se faire selon un autre axe. Ou alors c'est que vous devriez étoffer son argument et vraiment expliquer pourquoi la censure se doit d'être consciente. --OuechTonton (d) 16 août 2009 à 13:22 (CEST)
Si la censure est un phénomène réellement inconscient, comment distingue-t-elle l'avouable et l'inavouable ? S'il y a une intention de masquer à la conscience certains désirs, il faut bien que la censure puisse reconnaitre sur quels désirs agir. Lesquels méritent d'être censurés. Quelque part, il semble que nous soyons conscients de ce que nous devons censurer. Car si la censure existe bel et bien, ne faut-il pas qu'elle "prenne conscience" de ce qui doit être censurée ? C'est pourquoi Sartre qualifie la censure de "mauvaise foi", car nous avons conscience de ce que nous censurons, dans le sens où nous reconnaissons l'inavouable, mais nous ne l'acceptons pas. Admettre l'hypothèse d'une censure, entité à part entière du mécanisme psychique, qui agirait selon des règles de fonctionnement cachées, c'est s'avouer irresponsable de ses actes.
Pur sophisme, que ce que vous dites. OuechTonton à effectivement raison, l'inconscient a ses règles propres. Parler d'un inconscient conscient est une absurdité ou alors cela revient à dire qu'il n'y a pas d'inconscient. D'autres part, nous ne sommes pas irresponsables de nos actes, puisque nous avons une conscience, l'inconscient laissant parfaitement émerger certaines choses à la conscience. Ah, décidément, cette "inquiétante étrangeté", l'autre en nous met bien mal à l'aise les philosophes.
La censure est consciente dès lors que l'on rêve. Ce n'est pas un hasard si toute la psychanalyse est issue de l'étude des rêves, car c'est là que l'inconscient se manifeste à la conscience, encore faut-il s'en souvenir au réveil. Dès lors que l'on ne rêve pas, le mécanisme de censure inconscient apparaît également par les émotions, qui en sont le fruit : si on ne vole pas dans les magasins, ce n'est pas seulement parce que je me dis consciemment que ce n'est pas bien de voler, c'est parce que j'ai une peur inconsciente des terribles représailles qui s'abattraient sur moi en cas de vol. La censure du désir de voler est avant toute chose inconsciente, elle repose sur l'acquis, le vécu, la conscience, mais une conscience oubliée qui finit par agir toute seule, sans l'aide de la conscience réfléchie. La conscience devient inconscience, c'est en quelque sorte le pilote automatique de l'humain. Je ne vois pas comment on pourrait associer inconscient à mauvaise foi, ça n'a rien à voir. Sartre devait sans doute faire allusion à sa propre mauvaise foi à reconnaître l'inconscient : l'inconscient de Sartre, c'est la négation de la censure inconsciente, c'est donc le refus de l'évidence, et finalement c'est sa propre mauvaise foi devant la vérité scientifique. On notera ici que l'inconscient repose sur une idée toute-puissante de soi. L'idée de Sartre est que sa puissance est fondée sur la philosophie classique, que la notion d'inconscient nie complètement. Dès lors, l'inconscient de Sartre voit en Freud un ennemi de son ego magnifié, et tout sera bon dès lors pour le détruire. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 93.19.125.114 (discuter)
- Bonjour, ce que vous dites est intéressant mais concerne une discussion du genre Sartre et 'l'existence ou non de l'inconscient", soit une discussion qui est exclue de wikipédia pour raison de WP:TI et Wp:NPOV. Sinon sur le fond, mon opinion perso (à ne pas mettre dans l'article), est que les notions de mauvaise foi et d' esprit de sérieux (<-- notion sartrienne moins connue) recouvrent bcp les notions psychanalytiques d'inconscient (ça, surmoi, tout ça ;-) ) et concernent en gros la même chose sous une terminologie différente (qui est chez Sartre qu'on en a qq part conscience de ces machins dont, pour forcer son trait, on se fait volontairement inconscient). Sinon pour aller plus loin, il existe des ouvrages (pas en tête sauf celui de Cannon / Sartre et Lacan), mentionnables sur wp, en étant dûment cités, sur le sujet mauvaise foi/inconscient. Via si vous pouvez dvper ce sujet de manière sourcé ce peut être pertinent. L'"urgence" étant néanmoins que l'article L'Être et le Néant est un ébauche insigne à dvper. Cordialement --Epsilon0 ε0 29 octobre 2011 à 10:44 (CEST)
- En effet, la question n'est pas ici de savoir si Sartre avait raison de critiquer le concept de censure inconsciente mais de rendre compte de cette critique (quoique sa place dans un article général sur l'existentialisme me laisse dubitatif). Toutefois la critique de la critique sartrienne proposée au départ peut éventuellement servir à chercher dans le texte sartrien s'il s'y trouve des précisions permettant d'y répondre. En revanche, ce qui pose problème dans ce paragraphe, c'est qu'il affirmé que Sartre ne nierait pas l'inconscient psychique, ce que je n'ai jamais vu nulle part (mais je suis loin de connaître tout Sartre) d'autant que si la censure du sur-moi est consciente, ce qui est refoulé dans le ça est aussi conscient et donc c'est toute la théorie de l'inconscient psychique qui s'effondre. --Henrique ✍ 17 octobre 2016 à 06:07 (CEST)
Bandeau recyclage
modifierLorsque quelqu'un appose un bandeau de recyclage, pourrait-il en argumenter les raisons, sinon le bandeau reste des années sans que l'article soit recyclé. Lorsqu'on fait une modification de cette sorte, il faut se soucier de sa productivité, de ses conséquences. Il faudrait fixer aussi une limite de temps au-delà de laquelle on retire un bandeau inutil (1 an ?).89.88.187.61 (d) 2 mai 2010 à 10:09 (CEST)
Ben, oui mais non. L'article est à modifier. Point.
à propos de la psychanalyse existentielle
modifierSalut.
AU delà du conflit sur l'inconscient entre Sartre et les Freudiens, il serait interessant de signaler et renvoyer vers les articles traitant de Yalom et de la psychothérapie existentielle, qui se réclament directement de l'existentialisme.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychoth%C3%A9rapie_existentielle
http://fr.wikipedia.org/wiki/Irvin_D._Yalom
Merci.
--86.71.120.179 (d) 17 septembre 2011 à 16:34 (CEST) steu
- Bonjour, j'ai mis un lien vers Psychothérapie existentielle et si vous connaissez le sujet vous pouvez dvper vous même la section qui parle quasi exclusivement de Sartre. Cordialement. --Epsilon0 ε0 17 septembre 2011 à 18:34 (CEST)
Le Mythe de Sisyphe?!
modifierUn article sur l'existentialisme sans mentionner "Le Mythe de Sisyphe"?? Qu'est-ce que c'est que ça?? Evidemment il y a là un penchant idéologique très fort (voir le passage précédent: "Je ne peux pas considérer par exemple Camus comme un existentialiste, mais peut-être ai-je été influencé par la biographie de Sartre et ses relations avec cet auteur."). De mon point de vue allemand: s.v.p. corrigez cela! Merci! --HilmarHansWerner (d) 15 novembre 2011 à 12:49 (CET)
Article sur Sartre ou sur l existentialisme?
modifierBonjour, L'article est très intéressant mais n est pas à mon sens un article très wikipidesque. Il est un exposé très sartrien d'une vision assez aigue et franco-centrée (pour tout ce qui est post1940) d'une notion beaucoup plus large. Certains passages sont plus de l'ordre de l'envolée lyrique (aucune référence!) que de la proposition de repères clairs dans le champs intellectuel. Les sartriens devraient faire honneur à leur intelligence et mettre Sartre en dialogue sinon en opposition avec les autres auteurs.
Encore une fois l article est intéressant mais en ce sens dangereusement séduisant et déductif pour quiqoncque souhaitant saisir l'éventail des enjeux de l'existencialisme.
A améliorer
modifieril existe ici autant d'existentialismes qu'il y a d'âmes. Seulement, en philosophie et en littérature des années 1940 fut en vogue un courant, une idéologie de pensée, qui sans être unique, comportait au contraire plein de nuance selon l'individu. En philosophie, Sartre fut prolifique. On parle même d'existencialisme sartrienne. Plusieurs commentaires discutent le bien-fondé de l'une ou l'autre de ses ¨dogmes¨, alors qu'ici n'est pas le propos. Je propose que demeurent cnetré l'article sur ce qu'est l'existencialisme.
Je pense que citer quelques ouvrages existentialistes seraient quelque peu utiles non ?
Je propose certains de Sartre ( pr ne pas dire ts ) , Merleau Ponty , ptetre un ou 2 de Camus , Simone de Beauvoir?
A bon entendeur , salut !
Bonjour, je ne suis qu'un simple visiteur sur Wikipédia, mais je trouve que cet article est trop ethnocentré sur le modèle français. On y parle essentiellement de Sartre, qui a défini son propre existentialisme (comme cela est montré dans l'article), mais je trouve que les auteurs allemands ou scandinaves comme Heidegger et Kierkegaard sont trop absents. Sans vouloir créer une copie ou trop reprendre le contenu sur la phénoménologie, présenter l'existentialisme de ces derniers serait plus "scientifique" si je peux m'exprimer ainsi. Surtout que leurs ouvrages sont libres de droit et accessibles facilement sur Internet. Qu'en pensez-vous ?
Sur la pertinence de la section "Critique du béhaviorisme"
modifierBonjour,
La section "Critique du béhaviorisme" ne m'apparaît pas pertinente en l'état : elle n'est pas assez détaillée, n'est pas du tout sourcée, et son lien avec l'existentialisme n'est pas explicité.
Qu'en pensez-vous ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par SimoneWeil'sGlasses (discuter), le 24 octobre 2019 à 11:56 (CEST)
De quel texte de Alain s'agit-il dans la mention "texte d’Alain, le physique échappe à la conscience" ?
modifierTout est dans le titre, merci. Lboukoko (discuter) 28 novembre 2019 à 02:25 (CET)