Discussion:Gombo

Dernier commentaire : il y a 9 mois par Tehenu dans le sujet Nom en Libye
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La recette de "gombos de crevettes" donnée en lien à la fin... ne comporte pas de gombo dans ses ingrédients !! Je propose donc de supprimer ce lien externe.

--Danielt 14 mars 2007 à 01:06 (CET)Répondre

✔️ Bonne journée.--Valérie 21 mars 2007 à 09:27 (CET)Répondre

Non scientifique

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Le nom scientifique accepté de cette espèce est ou Abelmoschus esculentus L. Moench), tandis que Hibiscus esculentus est considéré comme synonyme (cf la fiche sur ITIS). Spedona Papoter 11 juin 2007 à 20:37 (CEST).Répondre


Sources

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Les sources sont le plus souvent absentes ou non liées ; quant aux chiffres donnés dans le tableau sur la production, certains sont faux, et je ne trouve sur le site de la FAO ni de quoi calculer la production mondiale, ni de quoi calculer (de fait) les % pour chaque pays cité. De plus, même si ces chiffres sont corrigés/sourcés, il resterait à les actualiser… Cdlt, VonTasha [discuter] 21 février 2012 à 11:43 (CET)Répondre

Histoire : de l'introduction du gombo aux Antilles.

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Ici sur ce article au chapitre "Histoire" on lit : " ... elle (c-à-d: la plante gombo) fut introduite au XVIIe siècle en Amérique par les esclaves."
Résident aux Antilles depuis 33 ans, je mets en doute cette assertion, tant bien même qu'elle affiche une référence à un livre édité au Québec.
En effet, au hasard des "on-dit" on entend assez souvent que telle ou telle plante a été introduite aux Antilles par les esclaves d'Afrique noire lors de la traite négrière. Concernant le Gombo il est souvent répété "... qu'une femme en avait caché dans ses cheveux.", sauf qu'en général ni la coupe rase des cheveux crépus féminins ni les conditions de voyage infligées n'aurait à l'évidence permis une telle cachette. Et il en va ainsi de même au sujet du manguier du tamarinier (en réalité importés tous deux d'inde par les colons), et aussi de l'arbre-à-pain alors que celui-ci est originaire de Tahiti et clairement importé aux Antilles par William Bligh. Même type de légende à propos des rares baobabs des jardins ornementaux qui formeraient "une chaîne secrète de sémaphores culturels d'île en île"(sic). Même affabulation pour l'arachide (ou "pistache" en créole) alors qu'elle provient botaniquement de la Mésoamérique. Ces "on-dit" sont donc loin des réalités historiques.

Je conteste aussi la phrase " ... Les esclaves et maîtres parlant le créole utilisaient ce mot (c-à-d: gombo) pour parler des plantes en général"(sic) car en créole les mots désignant les plantes en général sont : zèb (les herbes), pyé-bwa (arbre-arbuste-arbrisseau).

Je suggère donc, de ne pas effacer mais de placer cela dans un chapitre nommé "Néo-Mythe".
--Millot (discuter) 30 septembre 2013 à 15:29 (CEST)Répondre

Il est en effet douteux que les esclaves aient eu le temps et la possibilité d'emporter leurs graines avec eux. C'est pourtant ce que dit Michel Adanson en 1763 dans son Deuxième Mémoire sur le Baobab (p. 232).
Il n'en reste pas moins que le gombo fait incontestablement partie des "plantes des esclaves". En atteste la multiplicité des noms américains d'origine africaine. Il faut se rappeler que la traite a duré longtemps, et que les capitaines et marins étaient souvent des esclaves affranchis ou des métis. Et les planteurs ont dû vite se rendre compte qu'il vallait mieux laisser les esclaves cultiver leurs plantes alimentaires que de s'embêter à les nourrir. Ils ont donc dû "passer commande" pour importer des graines d'Afrique. Tout cela reste à documenter. Michel Chauvet (discuter) 15 mai 2021 à 22:02 (CEST).Répondre

Quels noms vernaculaires ?

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Bonjour, je comprends bien l'utilité de mettre des noms vernaculaires pour le gombo/okra, d'ailleurs je le vois déjà utilisé sous divers noms en France, je n'imagine même pas dans un pays avec plusieurs langues. Je comprends aussi qu'il ne faut que le paragraphe sur les noms vernaculaires devienne un lexique de « gombo / okra » dans toutes les langues d'où la dernière modification. En ce cas, quel est la juste limite selon vous ? Langues utilisées dans les pays francophones ? autre solution ? Assassas77 (discuter) 15 mai 2017 à 16:31 (CEST)Répondre

Prononciation anglophone et suppression des noms francophones

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Bonjour, Quelle est la pertinence dans une encyclopédie francophone de mentionner en entête la prononciation anglophone du mot gombo ? Pourquoi avoir supprimé les différents noms vernaculaires francophone de l'introduction ? cf diff pixeltoo (discuter) 11 février 2020 à 14:41 (CET)Répondre

Introduction en Amérique

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Il est dit sans l'article que l'espèce aurait été introduite en Amérique par les esclaves. Et pourquoi pas plutôt par les maîtres ? Quelles sont les preuves que les esclaves, et non les maîtres, seraient à l'origine de cette introduction ? De plus, les esclaves n'agissaient pas seuls et étaient supervisés, par les maîtres. Ajoutant à cela le fait que sans la traite négrière la plante n'aurait pu y être introduite à cette époque. Tehenu (discuter) 1 février 2024 à 04:21 (CET)Répondre

Origine de la plante

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Il y a non mas une mais plusieurs hypothèses sur l'origine de la plante. Certaines émettant une origine en Inde, d'autres dans la Corne de l'Afrique. Tehenu (discuter) 1 février 2024 à 04:26 (CET)Répondre

Nom en Libye

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Le nom vernaculaire utilisé dans le dialecte berbère de Ghadamès dans le Fezzan en Libye al-mlukhiya" a été ajouté (ghadamsi, source Kossmann, 2013). Citation de la source avec exemple de phrase (mot employé en anglais = okra pour àlmluxiyya) : t-ăllăn=ǝn ɛáf-ǝs àlmluxiyya =ye daksǝm=e3SF-pour.P=ITV on-3S okra-ANP:S and meat-ANP:S‘She poured the okra and the meat onto him.’[1] Tehenu (discuter) 1 février 2024 à 07:47 (CET)Répondre

  1. Ghadamsi (Kossmann, 2013) ‘(64) t-ăllăn=ǝn ɛáf-ǝs àlmluxiyya =ye daksǝm=e 3SF-pour.P=ITV on-3S okra-ANP:S and meat-ANP:S ‘She poured the okra and the meat onto him.’
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