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Mort d'Herode modifier

Pourquoi Encarta et Le Petit Larousse me disent-il qu'Herode est mort à Jéricho en mars ou avril 4 av. J.-C.? C'est d'ailleurs ce que dit la page d'homonymie qui répertorie le nom Hérode : [[1]].

hypothèse de Gertoux sur la mort d'Hérode modifier

  • L'article présente ici l'hypothèse de Gérard Gertoux comme une thèse de doctorat. Mais la page internet où il expose ses idées précise qu'il est doctorant et une recherche sur les rapports d'activités de la maison de l'orient précise qu'il s'est inscrit en thèse en octobre 2005. La thèse n'est donc pas soutenue. En l'état actuel, en dehors de son site je n'ai pas trouvé de trace de publication de son idée : on se trouve ici à dans le cadre du travail inédit. On ne peut donc pas donner à ses hypothèses la même importance qu'à la datation traditionnelle. Les règles de WP impose pour le moment enlever cela de l'article. L'article de WP YHWH précise par ailleurs qu'un ouvrage précédent de Gertoux est controversé et n'a pas reçu de reconnaissance scientifique notable. Il faut sans doute être prudent, il conviendrait de trouver quelqu'un connaissant bien la question pour surveiller la NPOV ici. Je vais placer dans la page de discussion le passage sur Gertoux.Luscianusbeneditus 11 mai 2007 à 09:15 (CEST)Répondre

le passage enlevé : "Selon la thèse de Gérard Gertoux, Hérode Ier le Grand, fils d'Antipater, est né à Ascalon en mars-avril 72 av. J.-C. et mort à Jérusalem le 26 janvier 1 av. J.-C. Il règne en tant que roi de Judée de mars-avril 36 av. J.-C. à sa mort le 26 janvier 1 av. J.-C., soit 34 ans et 10 mois."

Sur [2] Gertoux met en ligne son "rapport final de thèse", terme pour le moins ambiguë, le rapport étant en fait l'appréciation du jury lors de la soutenance, alors qu'ici il s'agit de son mémoire (son travail). On a donc l'impression qu'il a achevé sa thèse, mais nul part il n'y a trace de soutenance, de même si il figure sur les rapports de la maison de l'orient comme doctorant inscrit en 2005, et avait une fiche dans l'annuaire des doctorants, son nom ne déclenche plus d'occurence dans l'annuaire actuel. La thèse en elle même consiste apparemment en la défense des dates traditionnelles bibliques de plusieurs événements, avec, dans les domaines que je connais (administration romaine) des argumentations parfois très confuses et peu convaincantes. En l'état actuel il est donc difficile de préciser si ce travail a reçu ou non une validation quelconque. Si quelqu'un a plus d'informations, elles sont les bienvenues.Luscianusbeneditus 11 mai 2007 à 10:32 (CEST)Répondre
Gérard Gertoux est un Témoin de Jéhovah qui applique les techniques de la Watchtower dans sa démonstration de la prononciation du tétragramme. Gertoux semble repasser au micro-ondes, les arguments que l'on trouve chez les Témoins de Jéhovah, dans leur encyclopédie biblique, Aide auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible,. Ils démontent la fiabilité de Flavius Josèphe afin de faire naitre Jésus en -2.. Gertoux a mis en ligne sa correspondance privée avec Daniel Bodi, qui parle d'un travail "d'autodidacte sans recul par rapport au texte biblique.[3]" --SabrinaDouce (d) 30 décembre 2009 à 20:48 (CET)Répondre

Ponce Pilate modifier

D'après l'article, Ponce Pilate est renvoyé à Rome en -37, or le lien renvoie sur le Ponce Pilate de l'évangile préfet de Judée de +26 à +36, ça fait quand même 72 ans entre les deux dates extrêmes, ce qui fait un peu long comme carrière ! Bepube 15 février 2006 à 23:53 (CET)Répondre

J'ai enlevé cet anachronisme Pippobuono 15 mai 2006 à 18:33 (CEST)Répondre

Succession modifier

« À la mort d’Hérode Ier le grand, son royaume est divisé en trois tétrarchies entre sa sœur et ses 3 fils Archélaos (Judée), Hérode Antipas (Galilée) et Philippe (Transjordanie).  » Je n'ai vu nulle part ailleurs le fait que sa sœur (quelle sœur ?) à hérité de quelque chose. D'après l'article en anglais en:Ethnarch, à sa mort son royaume est divisé en une ethnarchie (pour Hérode Archélaos) et deux tétrarchies (pour Hérode Antipas et Hérode Philippe). Dans Luc 3:1 il est fait allusion à une division en 4 des lieux bibliques vers l'an 29, (environ 30 ans après la mort d'Hérode) avec en plus la tétrarchie de Lysanias qui apparemment n'a pas de lien de parenté connu avec tous les autres. Y a-t-il un lien entre la tétrarchie de Lysanias avec ce qu'aurait hérité la sœur de Hérode ? Bepube 18 février 2006 à 09:00 (CET)Répondre


j'ai modifié la page d'après la description de la succession trouvée dans le livre "le régime des relations internationales dans le Haut-Empire romain" de Maxime Lemosse. Apparemment, Archélaos aurait reçu la moitié du royaume et les deux frères se seraient partagés le reste, tout ça après la décision d'Auguste.--Fibur (d) 9 janvier 2008 à 18:09 (CET)Répondre

En ce qui concerne Lysanias, une auteur, Daniel Massé, argumente en faveur de la thése selon laquelle Lysanias serait le "second" Pilippe, frère d'Antipas. cf "L'Enigme de Jésus" Tome II, Edition du Siècles- Paris 1926, en PDF sur Internet (non signé)

Sur Daniel Massé, voir Thèse_mythiste#Daniel_Massé. MLL (d) 6 février 2009 à 10:53 (CET)Répondre

Mort d'Antigonos modifier

incohérence entre la décollation par Sassios dans cet article et celle par Antoine dans l'article sur Antigone II Mattathiah Pippobuono 15 mai 2006 à 18:34 (CEST)Répondre

Ajouts sur l'article Hérode le Grand modifier

Je souhaiterais savoir les motivations du retour arrière du 18/05/06 concernant la dernière version de l'article sur Hérode le Grand

Pour rappel, les modifications/ajouts étaient : Hérode Ier le Grand, fils d'Antipater, est né à Ascalon en mars/avril 72 av. J.-C. et mort à Jérusalem en 1 av. J.-C. Il est roi de Judée de 37 av. J.-C. à 1 av. J.-C.

Autre note : Les différents rois Hérode ont eu des règnes légaux, datés selon l'usage romain, et des règnes effectifs, datés selon l'usage juif. Par exemple, pour Hérode, l'an -36 était sa 3e année de règne selon Rome (qui l'avait nommé légalement en -40), mais seulement sa 1ère année effective après sa prise de Jérusalem en -37. De même, ses enfants avaient été institués rois dans son testament devant Auguste en -4, mais n'avaient commencé effectivement à régner qu'en -1 après la mort de leur père.

Ce point expliquerait les désaccords qu'il y a eu entre les historiens.

Merci d'avance

GERTOUX Gérard gertoux.gerard@neuf.fr

Il ne faut pas le prendre mal, simplement il y a tellement de vandalisme sur WP incluant une faible variation sur les dates que les modifications d'adresses IP (personnes non enregistrées) sont le plus souvent prises comme du vandalisme, SURTOUT si la personne n'apporte pas de source tangible à cette info. En gros, si vous vous enregistrez sur wikipedia, que vous modifiez la date et que vous donnez une source fiable, cela passera sans problème. --Effco 20 mai 2006 à 15:23 (CEST)Répondre
Rappel WP ne peut pas accepter de travail inédit, c'est à dire n'ayant pas été publié dans une source institutionnellement reconnue (revue scientifique, ouvrage de référence…) ou parvenue à une grande notoriété. Luscianusbeneditus 11 mai 2007 à 09:24 (CEST)Répondre

Massacre des innocents modifier

Comment Herode Ier peut il etre responsable du massacre s'il est mort avant meme la naissance de Jesus ? Ne s'agit il pas plutot de Herode II ? --Pasconi 25 octobre 2006 à 20:16 (CEST)Répondre

C'est justement une des raisons qui font croire que Jésus serait né vers 5 "avant Jésus-Christ". L'erreur de chronologie remonterait à Denys le Petit (VIIe siècle). D'ailleurs, les deux Evangiles qui racontent la naissance de Jésus (Matthieu et Luc) donnent des versions assez contradictoires. Il faut les utiliser avec précautions comme sources historiques. Verkhana, 16 décembre 2006, 12.55

Le Massacre des Innocents n'est pas un événement historique. MLL 21 juin 2007 à 18:30 (CEST)Répondre

à propos d'Antipater, père d'Hérode modifier

Permettez une précision, cet homme n'était pas un "conseiller" d'Hyrcan II, mais son majordome (Cf tob, note 2,1 page 2098)

voila vos contributions sont remise en place. Cdlt.--EoWinn (Causerie) 18 janvier 2012 à 18:08 (CET)Répondre
Aucune source académique ne le qualifie de majordome. Mireille Hadas-Lebel dans Rome, la Judée et les Juifs utilise le terme conseiller, ce qui est déjà un euphémisme --Chamberi (d) 18 janvier 2012 à 21:57 (CET)Répondre

A propos de la mort d'Hérode modifier

Quoi qu'on ait pu dire des thèses de Gérard Gertoux, il donne un argument péremptoire pour prouver qu'Hérode le Grand n'est pas mort en 750 U.C. (- 4 selon le comput julien) comme communément admis, y compris dans l'article principal de Wikipédia.

En effet nous savons par l'historien Josèphe que dès l'annonce de la mort d'Hérode l'empereur Auguste dépêcha en Palestine un procurateur financier, nommé Sabinus, chargé de liquider la succession de ce prince.

Or il est prouvé que cette mission de Sabinus n'a pas pu se produire en 750 U.C. (- 4) puisqu'à cette date-là il se trouvait en Cyrénaïque (Lybie) où il avait été envoyé par Auguste pour réorganiser la justice, suite à de graves plaintes de citoyens hellènes contre les juges romains.

Cf. Les édits d'Auguste découverts à Cyrène. F. de Visscher. Louvain, Paris 1940. Ed. Les Belles Lettres, pp. 23-30.

Dans ces conditions il est bien plus obvie d'admettre que la mort d'Hérode, et la mission de Sabinus qui lui fut consécutive, doivent se placer en début 753 U.C. (-1). On sait que Sabinus au cours de sa mission en Palestine se comporta avec tant d'arrogance qu'il provoqua une révolte des juifs qui dut être sévèrement réprimée par Varus, gouverneur de Syrie, et par Caius César successeur présomptif d'Auguste. Cette guerre de Varus, qui fut impitoyable, se place tout naturellement dans les années - 1 et + 1 de l'ère chrétienne.

La célèbre éclipse de lune qui, selon Josèphe, précéda de peu la mort d'Hérode serait non pas l'éclipse partielle et très peu observable du 13 mars - 4, mais bien celle plénière et très visible du 9 janvier - 1, qui dura de 23 H 50 à 3 H 24 du matin.

Si quelqu'un peut réfuter les arguments ici produits, je le lirais avec plaisir.

Pourrait-on faire état de ces faits dans l'article principal consacré à Hérode ? Merci.83.155.53.235 (d) 11 juin 2013 à 16:18 (CEST)Répondre

Commencez par ouvrir une page consacrée à ce Sabinus, en le distinguant de ses homonymes ... MLL (d) 12 juin 2013 à 09:28 (CEST)Répondre

J'ai créé une page dédiée à Caius Calvisius Sabinus, consul de Rome en l'an - 4, en compagnie de L. Passienus Rufus, en supposant que c'était bien ce même Sabinus qui avait été chargé par Auguste de règler la succession d'Hérode le Grand en qualité de procurateur. 83.155.53.235 (d) 21 juin 2013 à 09:56 (CEST)Répondre

Pour le Sabinus consul en -4 vous pouvez vous inspirer de l'article en anglais en:Gaius Calvisius Sabinus (consul 4 BC) qui comporte quelques sources. Pour le reste, vous ne devez rien supposer du tout, mais simplement reprendre ce qu'écrivent les historiens spécialistes de la période et du domaine. Je vous signale, que pour la période il existe des dizaines de Sabinus différents. Michel Abada (d) 21 juin 2013 à 10:39 (CEST)Répondre

Certes. Mais Josèphe, ainsi que les historiens qui parlent de ce Sabinus, ne donne pas son nom ni son prénom. Il n'y a aucun moyen de l'identifier avec certitude. On ne peut faire que des suppositions. Il y a de grandes chances que ce soit lui. Arthur Loth parle abondamment de ce Sabinus, à propos de la mort d'Hérode. Mais lui non plus ne l'identifie pas clairement. Il est seulement probable que ce soit le consul de l'an - 4.83.155.53.235 (d) 21 juin 2013 à 14:24 (CEST)Répondre

Vous dites vous même qu'il s'agit d'une supposition de votre part. Essayez de comprendre qu'une encyclopédie ne peut s'écrire ainsi. Imaginez ce que serait les articles de wikipedia si nous laissions mettre les suppositions de n'importe quel contributeur lambda. Nous serions très très loin d'une encyclopédie et la lecture de wikipedia n'aurait aucun intérêt car irrémédiablement non-fiable. La seule façon d'écrire une encyclopédie pour des contributeurs anonymes et a priori non spécialiste de niveau universitaire) du sujet, c'est de ne rapporter que ce qui est sourcé par des spécialistes du domaine. C'est pourquoi, je vous renvoi vers l'article en anglais qui contient au moins 3 références. En l'état, votre article n'est pas acceptable. Je vous engage à le modifier, même s'il ne doit contenir qu'une phrase, c'est toujours mieux que d'écrire quelque chose qui a toutes les chances d'être faux. Michel Abada (d) 21 juin 2013 à 15:59 (CEST)ntRépondre
Au moment où j'allais modifier votre article, je me suis aperçu qu'il venait d'être supprimé. Comme je vous l'avais dit, il n'était pas acceptable en l'état. J'ai donc re-créé Caius Calvisius Sabinus (consul en -4) sur la base des sources trouvées dans l'article en anglais. Si vous voulez contribuer sur ces sujets sur wikipedia, il vous faut lire des livres d'historiens référents sur cette période et cette région et rapporter fidèlement ce qu'ils écrivent. Michel Abada (d) 22 juin 2013 à 01:48 (CEST)Répondre

Dont acte. Il n'en reste pas moins vrai, même si aucun historien actuel ne le reconnaît, que l'identification du procurateur Sabinus, chargé de la liquidation de la succession d'Hérode, selon Flavius Josèphe, avec le consul de l'an - 4, Caius Calvisius Sabinus, reste hautement probable.

Tout correspond :

  • même époque : juste avant le début de l'ère chrétienne,
  • même compétence à la fois juridique et financière exigée dans les deux missions,
  • même confiance de l'empereur Auguste que cela suppose,
  • et j'ajouterai même : même autorité politique.

Dans ces conditions, le décès d'Hérode en - 4 devient hautement improbable, car les deux missions ne peuvent avoir eu lieu la même année. Il faut placer la mort d'Hérode en - 1, selon l'hypothèse argumentée de Gérard Gertoux.83.155.53.235 (d) 30 juin 2013 à 09:12 ((CEST)

Même réponse qu'ici. Michel Abada (d) 30 juin 2013 à 11:04 (CEST)Répondre

Une remarquable étude sur la mort d'Hérode modifier

Mort d'Hérode


Posted by Emmanuel , Jan 14,2001,11:03 Index Forum



Un problème se pose au sujet de la date de la mort d'Hérode. Certains chronologistes soutiennent qu'il mourut en l'an 5 ou 4 av. n. è. Leur chronologie est en bonne partie fondée sur l'histoire de Josèphe. Lorsque Josèphe donne la date à laquelle Hérode fut établi roi par Rome, il emploie une " datation consulaire ", c'est-à-dire qu'il situe l'événement par rapport à l'exercice de certains consuls romains. Datée de la sorte, l'intronisation d'Hérode aurait eu lieu en 40 av. n. è. Toutefois, Appien, un autre historien, situe l'événement en 39 av. n. è. Par le même système de datation, Josèphe place la prise de Jérusalem par Hérode en 37 av. n. è., mais il dit également que cet événement eut lieu 27 ans après que Pompée se fut emparé de la ville (en 63 av. n. è.) (Antiquités judaïques, XIV, 487, 488 [XVI, 4]). Sa mention de ce dernier événement signifierait qu'Hérode aurait pris Jérusalem en 36 av. n. è. Or, Josèphe déclare qu'Hérode mourut 37 ans après avoir été intronisé par les Romains et 34 ans après avoir pris Jérusalem (Antiquités judaïques, XVII, 190, 191 [VIII, 1]). Cela indiquerait que la date de sa mort fut 2 ou peut-être 1 av. n. è. Il se peut que l'historien juif Josèphe ait compté les règnes des rois de Judée selon la méthode des années d'accession, comme cela s'était fait pour les rois de la lignée de David. Si Hérode fut intronisé par Rome en 40 av. n. è., sa première année de règne dura de Nisan 39 à Nisan 38 av. n. è. ; de même, si on calcule à partir de la prise de Jérusalem en 37 (ou 36) av. n. è., il commença à régner en Nisan 36 (ou 35) av. n. è. C'est pourquoi, si Hérode mourut 37 ans après son intronisation par Rome, comme le dit Josèphe, et 34 ans après la prise de Jérusalem, et si ces années sont dans chaque cas calculées en fonction de l'année du règne, sa mort a pu survenir en 1 av. n. è. Appuyant cette thèse dans The Journal of Theological Studies, W. Filmer écrit que les éléments fournis par la tradition juive font situer la mort d'Hérode le 2 Shebat (le mois de Shebat correspond, dans notre calendrier, à janvier-février). - Par H. Chadwick et H. Sparks, Oxford, 1966, vol. XVII, p. 284. D'après Josèphe, Hérode mourut peu après une éclipse de lune et avant une Pâque (Antiquités judaïques, XVII, 167 [VI, 4] ; 213 [IX, 3]). Puisqu'il y eut une éclipse le 11 mars 4 av. n. è. (13 mars, calendrier julien), certains en ont conclu que ce fut l'éclipse dont parlait Josèphe. Par ailleurs, il y eut une éclipse de lune totale en 1 av. n. è., 3 mois environ avant la Pâque, tandis que celle qui eut lieu en 4 av. n. è. ne fut que partielle. L'éclipse totale de 1 av. n. è. eut lieu le 8 janvier (10 janvier, calendrier julien), soit 18 jours avant le 2 Shebat, date traditionnelle de la mort d'Hérode. Une autre éclipse (partielle) se produisit le 27 décembre 1 av. n. è. (29 décembre, calendrier julien). Une autre méthode de calcul se fonde sur l'âge d'Hérode à sa mort. Josèphe déclare qu'il avait environ 70 ans. D'après lui, Hérode avait 15 ans lorsqu'il fut établi gouverneur de Galilée (événement qu'on situe généralement en 47 av. n. è.) ; toutefois, les biblistes pensent qu'il s'agit d'une erreur et qu'il était sans doute question de 25 ans (Antiquités judaïques, XVII, 148 [VI, 1] ; XIV, 158 [IX, 2]). Partant, Hérode mourut en 2 ou en 1 av. n. è. Il faut toutefois savoir que la chronologie de Josèphe recèle de nombreuses incohérences et qu'elle n'est donc pas la source la plus sûre. C'est la Bible qui donne les renseignements les plus fiables. Les faits disponibles indiquent qu'Hérode mourut probablement en 1 av. n. è. Luc, historien de la Bible, dit que Jean vint baptiser en la 15e année de Tibère César (Lc 3:1-3). Auguste mourut le 17 août 14 de n. è. Le sénat romain nomma Tibère empereur le 15 septembre. Les Romains n'utilisaient pas le système des années d'accession ; par conséquent, la 15e année de Tibère se compterait de la fin de l'an 28 de n. è. à la fin de l'an 29. Jean avait six mois de plus que Jésus et il commença son ministère (sans doute au printemps) avant Jésus, lui servant de précurseur qui prépara le chemin (Lc 1:35, 36). Jésus, qui d'après la Bible naquit en automne, avait environ 30 ans lorsqu'il vint vers Jean pour être baptisé (Lc 3:21-23). Dès lors, Jésus se fit très vraisemblablement baptiser en automne, vers octobre 29 de n. è. En remontant de 30 ans, on situe sa naissance en automne de l'an 2 av. n. è.

Source : http://www.sceptiques.qc.ca/forum/archives/11539.html 83.155.53.235 (d) 11 juin 2013 à 18:10 (CEST)Répondre

Voir aussi Date de naissance de Jésus
MLL (d) 12 juin 2013 à 09:18 (CEST)Répondre

L'abbé Mémain et Arthur Loth modifier

L’abbé Mémain au XIXe siècle et Arthur Loth au début du XXe sont parmi les auteurs catholiques, qui se sont occupés de la chronologie de la vie de Jésus, ceux qui ont affirmé avec le plus d’autorité une mort d’Hérode en – 4.

Mais l’étude très fouillée et très documentée d’Arthur Loth comporte cependant des failles évidentes que je voudrais signaler. Ces failles remettent en cause, à mon avis, la pertinence de son jugement.

1°) Sa chronologie de la vie d’Hérode, tirée de l’historien Josèphe, est tendancieuse.

Comme il l’avoue lui-même, page 59, les chiffres bruts donnés par Josèphe tendraient plutôt à prouver qu’Hérode est mort en 751 U.C. (et non pas 750). Arthur Loth se voit contraint, selon son expression (page 69), de rectifier Josèphe par lui-même. Mais cette rectification n’est pas forcément pertinente. Elle donne plutôt l’impression qu’on force l’auteur à dire ce que l’on veut.

Dans sa note 40 de la page 69, Arthur Loth avoue même qu’il commet une erreur de près de 2 ans dans son interprétation des chiffres de Josèphe. « De l’Olympiade 185 à l’Olympiade 193, il n’y a, en réalité, à partir du couronnement d’Hérode, dans l’automne de la 1ère année de la 185e Olympiade, jusqu’en avril de la 4e année de la 193e Olympiade, date de sa mort, que 35 ans et 6 mois juliens ; comme, de l’Olympiade 185 à l’Olympiade 193, à compter de la prise de Jérusalem, en juillet de la 4e année de la 185e Olympiade, jusqu’à la mort d’Hérode, en avril, il n’y a que 32 ans et 9 mois environ. » Au lieu des 37 ans pour le règne long, et de 34 pour le règne court, annoncés par Josèphe.

Les chiffres de la note ci-dessus sont exacts [après rectification d’un lapsus évident]. Mais Josèphe donnait effectivement au règne long d’Hérode (depuis sa nomination par le Sénat romain) une durée de 37 ans, et non pas 35, et au règne court d’Hérode (depuis sa prise effective de Jérusalem) une durée de 34 ans et non pas 32.

D’où une erreur avouée, dans les deux cas, de près de deux ans. Ce qui nous éloigne encore plus de l’année 750 U.C. pour la date probable de la mort d’Hérode.

En réalité si l’on admet, ce qui paraît probable, que le règne long d’Hérode part de l’an 39 avant notre ère, ou même de Nisan 39, selon la pratique juive, et que son règne court part de l’an 36 (décès du roi Antigone), on aboutit d’après les indications de Josèphe suivies à la lettre à une mort d’Hérode en l’an – 3, ou peut-être début – 2.

Enfin si l’on soutient, avec Gérard Gertoux, qu’il faut commencer le compte des deux règnes par une année d’accession, autrement dit une année zéro, on fait alors mourir Hérode en fin – 2, et plus sûrement encore en début – 1. La naissance de Jésus se placerait alors tout naturellement juste avant la mort d’Hérode en – 2 (752 U.C.), c’est-à-dire qu’on retrouverait le comput traditionnel des Pères de l’Eglise, lesquels faisaient naître Jésus dans la 42e année d’Auguste, correspondant à la 752e année de Rome.

2°). L’éclipse de lune qui a précédé la mort d’Hérode est plus vraisemblablement celle du 9 au 10 janvier – 1 que celle du 13 mars – 4.

Depuis Kepler, il est admis couramment que l’éclipse de lune qui a précédé de peu de jours la mort d’Hérode, d’après Josèphe (AJ XVII 167), fut l’éclipse partielle de lune du 13 mars – 4. Mais on doit remarquer que cette éclipse fut de peu d’ampleur, d’une magnitude seulement de 33, 9 %, à son maximum. A l’heure avancée de la nuit où elle s’est produite, entre 2 H 04 et 4 H 18, elle a dû être remarquée par peu de monde. Il semble peu probable dans ces conditions que Josèphe l’ait notée comme une circonstance caractéristique de la mort d’Hérode.

Par contre, l’éclipse totale de lune, dans la nuit du 9 au 10 janvier – 1, fut beaucoup plus remarquable. Elle atteignit une magnitude de 152, 3 % et put être observée de 23 H 50 à 3 H 24 du matin. On comprend que Josèphe l’ait consignée comme une circonstance exceptionnelle, telle une sorte de mauvais présage. Dans toute son œuvre, immense, elle est la seule éclipse qu’il ait pris soin de mentionner. « Et la lune, en cette même nuit, s’éclipsa » écrit-il (AJ XVII, 8, 4). L’expression convient bien mieux à une éclipse totale qu’à une simple éclipse partielle de lune, qui est une chose somme toute assez banale. Cette nuit mémorable vit l’exécution par le feu, sur l’ordre d’Hérode, des deux maîtres en Israël Judas, fils de Sariphée, et Mathias, fils de Margalothe. Tout Jérusalem devait être éveillée. La mort d’Hérode suivit dans moins d’un mois.

3°) Un jeûne a précédé de peu de jours l’éclipse de lune et la mort d’Hérode.

Josèphe signale (AJ XVII, 165) qu’un jeûne sacré fut observé le jour de la déposition du grand-prêtre, juste avant l’éclipse de lune et peu de temps avant la mort d’Hérode. Ce jeûne n’a pu être que le jeûne commémoratif du 10 Tébeth, le 5 janvier en – 1, qui précéda de 4 jours l’éclipse. Par contre, en – 4, le jeûne du 13 Adar (12 mars) qui, d’après certains, aurait précédé l’éclipse partielle de lune du 13 mars, n’existait pas encore au 1er siècle de notre ère. Il ne fut pratiqué qu’à partir du XIIe siècle, sur la recommandation de Maimonide. Arthur Loth lui-même ne fait mention d’aucun jeûne. Mais c’est une lacune dans sa discussion sur la date de la mort d’Hérode.

4°) Le tempo des événements entre l’éclipse de lune et la Pâque, en incluant le décès d’Hérode se justifie en l’année – 1 mais pas en – 4.

Le tempo des événements décrits par l’historien Josèphe, entre l’éclipse de lune d’une part, et d’autre part la Pâque qui suivit la mort d’Hérode, s’accorde fort bien avec le scénario qui place la mort d’Hérode en – 1. Il est incompatible avec le scénario qui place la mort d’Hérode en – 4.

D’après le récit de Josèphe, très circonstancié, 42 jours, au minimum, sont exigés pour placer tous les événements successifs, entre l’éclipse de lune signalée et la fête de Pâque qui suivit de peu la mort d’Hérode. Voyage aller et retour d’Hérode aux bains de Callirhoé. Convocation des magistrats juifs dans l’amphithéâtre de Jéricho. Suicide manqué d’Hérode. Rébellion de son fils Antipater. Nouveau testament d’Hérode. Exécution d’Antipater par Hérode, 5 jours avant sa propre mort. Décès d’Hérode. Renvoi des prisonniers de l’amphithéâtre. Organisation des funérailles grandioses jusqu’à l’Hérodion, suivies de 7 jours de deuil. Menaces de révolte. Nombreux pourparlers avec les généraux d’Archélaüs. Enfin la Pâque juive.

En – 1, entre l’éclipse du 10 janvier et la Pâque du 7 avril qui suivit, on compte un délai de 87 jours, ce qui laisse largement la place à tous les événements décrits.

Tandis qu’en – 4, le délai entre l’éclipse partielle du 13 mars et la Pâque du 10 avril, cette année-là, fut seulement de 28 jours, ce qui est nettement insuffisant pour contenir toutes les péripéties racontées par l’historien. Le scénario qui situe la mort d’Hérode en - 1 est donc préférable.

5°) Arthur Loth place en début 750 U.C. (- 4) le premier gouvernorat de Quirinius, en Syrie. Mais c’est peu vraisemblable.

A la suite des travaux de Mommsen, au XIXe siècle, il est reconnu par les épigraphistes que Quirinius fut une première fois gouverneur de Syrie dans les années 751 et 752 de Rome (soit - 3 et – 2). L’inscription mutilée de Tibur (Tivoli) ne peut en effet convenir qu’à ce personnage, et elle nous apprend qu’il fut à deux reprises gouverneur de Syrie, du vivant d’Auguste. Or la liste connue par l’histoire des gouverneurs de Syrie, sous Auguste, contient justement une lacune pour les années 751 et 752 de Rome. On en conclut que Quirinius fut précisément le gouverneur de Syrie de ces années-là. Ce qui d’ailleurs dans son cursus honorum ne saurait étonner, car il se trouve que sa carrière fut étroitement enchevêtrée avec celle de son collègue Varus qui l’a immédiatement précédé aussi bien dans le consulat que, dans cette hypothèse, dans le gouvernement de Syrie.

Mais Arthur Loth, non content de cette certitude, voudrait que Quirinius eût été nommé au gouvernement de Syrie dès le 1er janvier 750 U.C. (- 4). Et que le recensement de la Palestine, signalé par saint Luc, eût pris place en son nom, au début de janvier.

Mais cette hypothèse paraît peu vraisemblable. Car en début 750 U.C., c’est Varus qui est le seul gouverneur attesté à la fois par les historiens et par la numismatique. Et si un recensement de la Palestine avait eu lieu en début 750 U.C., comme le suppose Arthur Loth, il n’aurait pu être effectué que sous la responsabilité et le contrôle de ce même Varus, gouverneur encore en place, et non sous celles de Quirinius.

Il est bien plus vraisemblable d’admettre que ledit recensement intervint sous le gouvernement de Quirinius, mais dans les années 751 et 752 de Rome (- 3 et – 2), et ceci juste avant la mort d’Hérode.

Encore une fois, le décès d’Hérode est à placer en début – 1 plutôt qu’en début – 4.

6°). Quirinius n’est pas intervenu en Palestine l’année de la mort d’Hérode.

D’après l’historien Josèphe, on ne voit pas que Quirinius soit intervenu en Palestine l’année de la mort d’Hérode, comme il le faudrait dans l’interprétation suggérée par Arthur Loth. D’après Arthur Loth, en effet, Quirinius, gouverneur nominal de Syrie depuis le 1er janvier 750 U.C. (ceci admis par pure hypothèse), alors que Varus était encore le gouverneur effectif, aurait pris possession de son gouvernement dans la seconde moitié de l’an 750 U.C., l’année de la mort d’Hérode. Or ce n’est pas du tout ce que l’on constate dans le récit de Josèphe.

La mort d’Hérode fut suivie d’une révolte générale de la population juive, suite aux provocations du procurateur Sabinus. Avec la légion que Varus lui avait laissée Sabinus fut assiégé dans Jérusalem le jour de la Pentecôte, soit le 28 mai en – 1 (le 31 mai si c’était en – 4), et dut faire appel à Varus qui accourut d’Antioche avec deux légions supplémentaires. Alors éclatèrent les révoltes fomentées par Simon et par Athronge. Varus dut d’abord réprimer les troubles en Samarie et en Galilée, avant de pacifier la Judée proprement dite. Les révoltés de Judée, se voyant en état d’infériorité, firent leur soumission à Varus. Mais l’apaisement de tous ces troubles dut bien prendre toute la fin de l’année de la mort d’Hérode, et même le début de l’année suivante, sans qu’on voie intervenir Quirinius. C’est Varus et lui seul qui a réglé le problème laissé par la succession d’Hérode. Par conséquent, Quirinius n’a pas pu être gouverneur de la Syrie l’année de la mort d’Hérode, comme le voudrait Arthur Loth. C’est qu’Hérode est mort peu après son gouvernement de Syrie, en 753 U.C. (- 1). Et c’est Varus seul, revenu de Rome pour une seconde légation, qui est intervenu cette année-là. Il agissait cette fois en qualité de commandant en chef des armées de Caius César, qui partait lui-même pour l’Orient muni d’un imperium proconsulaire en juillet - 1.

7°) La guerre de Varus est donc à identifier avec l’unique guerre non définie conduite par Caius César, et mentionnée sur son cénotaphe, l’année même de son consulat, soit l’an 1 de notre ère.

Conduite en l’an 1, cette guerre, consécutive à la mort d’Hérode, aurait été conduite par Varus sous les auspices de Caius César. Elle aurait été mise au crédit de ce dernier, sur son cénotaphe, parce qu’il détenait alors l’imperium proconsulaire sur tout l’Orient, par délégation d’Auguste.

8°) Le procurateur Sabinus est très probablement à identifier avec Caius Calvisius Sabinus, le consul de l’an – 4.

Le procurateur Sabinus, qu’on voit intervenir dans le récit de Josèphe pour régler la succession d’Hérode, est très probablement à identifier avec Caius Calvisius Sabinus, consul en l’an – 4.

Selon les Edits d’Auguste découverts à Cyrène (F. de Visscher, 1940, Louvain et Paris, Les Belles Lettres) les consuls Calvisius Sabinus et Passienus Rufus ont obtenu du Sénat, l’année de leur consulat, un sénatus-consulte pour défendre les droits des alliés opprimés par des juges romains.

Ce sénatus-consulte fut rédigé en présence d’Auguste par une commission de sénateurs tirés au sort. Il fut plaidé devant le Sénat par les deux consuls en charge. Il fut promulgué par un édit d’Auguste daté de sa XIXe puissance tribunitienne (soit du 1er juillet – 5 au 1er juillet – 4) sous le consulat de Calvisius Sabinus et Passienus Rufus, consuls de l’an – 4. L’édit et le sénatus-consulte sont donc à dater du premier semestre de l’an – 4.

Tout correspond :

  • même époque : juste avant le début de l’ère chrétienne,
  • même compétence, à la fois juridique et financière, exigée pour les deux missions,
  • même confiance de la part d’Auguste que cela suppose,
  • on peut ajouter : même autorité politique dans les deux cas, même si la seconde mission s’est soldée par un échec retentissant.

Il devient donc difficile, ici encore, de dater la mort d’Hérode de – 4, car Sabinus ne pouvait pas se trouver en même temps à Rome, devant le Sénat, et en Palestine.

Conclusion. En vertu des huit considérations qui précèdent, il devient pour le moins douteux, ou arbitraire, de continuer à placer la mort d’Hérode en – 4, comme le voudrait le quasi consensus universitaire. Sans doute, il reste à expliquer pourquoi les règnes des trois fils d’Hérode, Archélaüs, Antipas et Philippe, semblent tous les trois commencer en l’an 4 avant notre ère, aussi bien d’après les sources historiques que d’après la numismatique, obligeant ainsi à situer à cette date la mort d’Hérode. Mais Gérard Gertoux explique cette anomalie en faisant valoir que les règnes des fils d’Hérode auraient été antidatés fictivement à partir du premier testament d’Hérode, validé en l’an 750 U.C. par Auguste, quelque deux ans et demi avant la mort effective du roi des Juifs. C’est un fait patent qu’on ne trouve aucune monnaie des trois fils d’Hérode datée des deux premières années de leur règne. Les plus anciennes qui ont subsisté pour les trois princes portent la marque de la troisième année de leur règne, qui correspond à l’an – 1.

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 83.155.53.235 (discuter)

Mort d'Hérode (suite). modifier

Il convient d'ajouter au sujet de la mort d'Hérode que l'auteur britannique B. Mahieu dans son livre intitulé Between Rome and Jerusalem. Herod the Great and his Sons in their Struggle for Recognition remet en cause la date traditionnellement admise pour la mort d'Hérode. Il propose aussi de reconsidérer les dates de la naissance et de la mort du Christ, couramment acceptées de nos jours. Pour lui Hérode serait mort en - 1 ou + 1. http://www.peeters-leuven.be/boekoverz_print.asp?nr=8981

erreur dans la parentèle modifier

dans le texte: "Hyrcan II est emmené prisonnier par les Parthes en Parthiène. Avant sa déportation, son frère Antigone II Mattathiah obtient qu'une de ses oreilles soit tranchée," Antigone n'est pas le frère d'Hyrcan mais le fils de son frère AristobuleII donc son neveu. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:CB15:8252:CC00:9049:CEE:DEF6:7936 (discuter), le 21 septembre 2019 à 22:43 (CEST)Répondre

c'est corrigé. --Chamberí (discuter) 22 septembre 2019 à 11:08 (CEST)Répondre

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil modifier

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La citation célèbre : il vaut mieux être le cochon d'Hérode plutôt que son fils modifier

(ou le chien d'Hérode ?...) pourrait bien être de Flavius Joseph (ou d'un historien romain contemporain ?...), pour signifier qu'il n'a pas hésité à assassiner ses propres fils. Quelles en sont les références ? Ne serait-il pas judicieux de la mentionner dans cet aricle ? --Plijno (discuter) 28 décembre 2021 à 18:22 (CET)Répondre

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