Discussion:L'Homme aux quarante écus/LSV 14910
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Archivage de la discussion
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Taxe sur l'intelligence
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- Au XVIIIe siècle, un conseiller de Voltaire suggéra une taxe sur l'intelligence mais le ministre considéra qu'il devrait en être exempté !
Proposant : Alicesarfati (discuter) 4 février 2018 à 00:55 (CET)
Discussion :
Euh... Présenté comme cela, ce n'est pas très clair. Il s'agit d'une œuvre de fiction dudit Voltaire qui présente un contrôleur général des finances (s'agirait-il de Monsieur de Laverdy ?), l'équivalent de notre actuel ministre des finances qui reçoit en audience des gens venus apporter leurs conseils, voire exposer leurs griefs. L'un d'entre eux propose un impôt nouveau, une taxe sur « l'esprit », pensant que personne n'oserait refuser de la payer de peur de passer pour un imbécile et le dit ministre trouve cette idée complètement stupide. Il faut savoir qu'on est dans la période dans laquelle s'inscrit l'histoire du film Ridicule, et Voltaire croit faire de l'esprit en évoquant ce genre de fait qui, à mon humble avis, n'a jamais eu lieu.--JPC (discuter) 4 février 2018 à 12:08 (CET)
- Je ne comprends absolument rien à la phrase. Ou plutôt si : Voltaire avait ainsi des conseillers, comme les monarques de l'époque. Puis un ministre (des finances, je suppose, mais comme c'est LE ministre, j'en déduis que c'est le conseiller du monarque Voltaire Ier) estime qu'il en est exempté. L'exempté peut être Voltaire Ier, car il est noble et donc privilégié, ou le ministre-conseiller, car c'est un courtisan qui flatte le roi Voltaire Ier. Borvan53 (discuter) 4 février 2018 à 22:24 (CET)
- J'ai compris ! C'est en fait que celui qui a compris cette anecdote paie la taxe sur l’intelligence ! Donc il faut comprendre qu'on est pas assez intelligent pour comprendre cette anecdote, et comme ça on ne paie pas la taxe. OK, donc c'est . Borvan53 (discuter) 4 février 2018 à 22:30 (CET)
- Je ne vois absolument pas cette histoire de cette façon. Voltaire se base sur un fait historique. A cette époque, le contrôleur des finances recevait bien en audience des gens de toutes qualités qui venaient exposer leurs visions, leurs griefs et tenter de donner des conseils. Cependant Voltaire n'aimait pas Laverdy, le contrôleur des finances de l'époque durant laquelle fut écrit ce livre. Cet homme était d'une religiosité qui confinait à la bêtise. Le fait que ce "ministre" puisse voir la taxe sur l'intelligence comme l'idée d'un "sot" peut donc interprété de façon différente et je pense que le sieur Arouet a joué là-dessus.--JPC (discuter) 5 février 2018 à 09:02 (CET)
- Heu… Cher Jean-Paul Corlin, mon message de 22h30 est à prendre au second degré… Borvan53 (discuter) 5 février 2018 à 09:26 (CET)
- Ah ! Mon problème d'asperger m'empêche des fois d'être très "subtil" ! --JPC (discuter) 5 février 2018 à 17:57 (CET)
- Bon, voici une autre formulation j'espère plus claire, Au XVIIIe siècle, selon Voltaire, une personne proposa au ministre des finances d'instaurer une taxe sur l'intelligence au motif que les contribuables n'éluderaient pas le paiement de cet impôt afin de ne pas passer pour un sot mais le ministre rétorqua au proposant qu'il en serait exempté !, si vous avez d'autres suggestions de formulation, n'hésitez pas !Alicesarfati (discuter) 5 février 2018 à 21:56 (CET)
- Plutôt : Dans un conte de Voltaire, un conseiller suggère à un ministre une taxe sur l'intelligence pour inciter les contribuables à le payer mais le ministre répond au conseiller que celui-ci devrait en être exempté !--JPC (discuter) 5 février 2018 à 22:16 (CET)
- pour cette nouvelle formulationAlicesarfati (discuter) 6 février 2018 à 14:45 (CET)
- Si c'est juste un bon mot, je ne vois pas bien l'intérêt... --EB (discuter) 6 février 2018 à 14:49 (CET)
- Trop subtil pour moi, et probablement pour faire un LSV. --Fanfwah (discuter) 18 février 2018 à 06:01 (CET)
- La reformulation est un mieux. Mais finalement, ce n'est effectivement qu'un bon mot. Or les LSV doivent idéalement attirer vers des articles « instructifs » (c'est-à-dire traitent le sujet de manière complète). Borvan53 (discuter) 3 mars 2018 à 11:55 (CET)
- Trop subtil pour moi, et probablement pour faire un LSV. --Fanfwah (discuter) 18 février 2018 à 06:01 (CET)
- Si c'est juste un bon mot, je ne vois pas bien l'intérêt... --EB (discuter) 6 février 2018 à 14:49 (CET)
- pour cette nouvelle formulationAlicesarfati (discuter) 6 février 2018 à 14:45 (CET)
- Ah ! Mon problème d'asperger m'empêche des fois d'être très "subtil" ! --JPC (discuter) 5 février 2018 à 17:57 (CET)
- Heu… Cher Jean-Paul Corlin, mon message de 22h30 est à prendre au second degré… Borvan53 (discuter) 5 février 2018 à 09:26 (CET)
- Je ne vois absolument pas cette histoire de cette façon. Voltaire se base sur un fait historique. A cette époque, le contrôleur des finances recevait bien en audience des gens de toutes qualités qui venaient exposer leurs visions, leurs griefs et tenter de donner des conseils. Cependant Voltaire n'aimait pas Laverdy, le contrôleur des finances de l'époque durant laquelle fut écrit ce livre. Cet homme était d'une religiosité qui confinait à la bêtise. Le fait que ce "ministre" puisse voir la taxe sur l'intelligence comme l'idée d'un "sot" peut donc interprété de façon différente et je pense que le sieur Arouet a joué là-dessus.--JPC (discuter) 5 février 2018 à 09:02 (CET)
- J'ai compris ! C'est en fait que celui qui a compris cette anecdote paie la taxe sur l’intelligence ! Donc il faut comprendre qu'on est pas assez intelligent pour comprendre cette anecdote, et comme ça on ne paie pas la taxe. OK, donc c'est . Borvan53 (discuter) 4 février 2018 à 22:30 (CET)
Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001)
5 mars 2018 à 01:06 (CET)
Alicesarfati : ton anecdote proposée le 2018-02-04 00:55:00 a été refusée. GhosterBot (10100111001)
5 mars 2018 à 01:06 (CET)