Discussion:Laurent Gbagbo/Archives 2006-2011
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retrait pour discussion
modifierjustement, le reportage montre les balles traçantes qui vont à coté de la foule ;
- de plus, il n'y a pas de bilan officiel (ONU, ou ONG, ou même gouvernement), donc parler d'une cinquantaine de morts paraît osé sans sources. Le seul bilan que j'ai eu ne parle (volontairement) que des blessés, et il y a peu de blessures par balles. Archeos ¿∞? 9 août 2006 à 18:11 (CEST)
Attaque de Bouaké
modifierBjr. Je pense qu'il faudrait être plus nuancé ou plus détaillé sur ce qu'il semble s'être passé. L'article http://www.liberation.fr/actualite/monde/191066.FR.php est assez intéressant de ce point de vue, d'autant que ce journal a généralement un parti pris anti Gbagbo. Asram 13 mars 2007 à 18:04 (CET)
- Bizarre que le 3 la France soutienne l’offensive, le 4 les Casques bleus tirent sur les FANCI, le 5 la France dépose une requête à l’ONU... Archeos ¿∞? 13 mars 2007 à 22:29 (CET)
- On n'aura sur ce thème que des sources journalistiques, et donc cette source en vaut une autre, il suffit de faire un article qui propose ou oppose les arguments des uns et des autres, en toute neutralité; côté français, il doit toujours y avoir une enquête en cours, mais il est avéré, je pense, que la France a retenu les pilotes, et les a sciemment laissé repartir. Ce que je crois savoir, c'est que la France a effectivement laissé l'armée ivoirienne attaquer les positions rebelles plus au nord; et que les loyalistes étaient sans doute en mesure de l'emporter; c'est pour cette raison qu'il est invraisemblable que Gbagbo ait décidé l'attaque de Bouaké, alors qu'il était sur le point d'en terminer avec cette crise, avec l'appui implicite français. Le donneur d'ordres doit provenir néanmoins de son entourage. Asram 14 mars 2007 à 13:19 (CET)
- Tu as raison, il faut signaler ces éléments sur guerre civile de Côte d'Ivoire, et ici que rien ne permet de dire qu’il a donné l’ordre ou non du bombardement. Archeos ¿∞? 14 mars 2007 à 13:29 (CET)
- Bonjour, je relis par hasard ce que j'avais écrit ; j'ai lu depuis plusieurs articles, comme celui-ci, dans lesquels la mise en cause de la France se fait plus précise. Asram (d) 22 décembre 2010 à 13:25 (CET)
- Tu as raison, il faut signaler ces éléments sur guerre civile de Côte d'Ivoire, et ici que rien ne permet de dire qu’il a donné l’ordre ou non du bombardement. Archeos ¿∞? 14 mars 2007 à 13:29 (CET)
- On n'aura sur ce thème que des sources journalistiques, et donc cette source en vaut une autre, il suffit de faire un article qui propose ou oppose les arguments des uns et des autres, en toute neutralité; côté français, il doit toujours y avoir une enquête en cours, mais il est avéré, je pense, que la France a retenu les pilotes, et les a sciemment laissé repartir. Ce que je crois savoir, c'est que la France a effectivement laissé l'armée ivoirienne attaquer les positions rebelles plus au nord; et que les loyalistes étaient sans doute en mesure de l'emporter; c'est pour cette raison qu'il est invraisemblable que Gbagbo ait décidé l'attaque de Bouaké, alors qu'il était sur le point d'en terminer avec cette crise, avec l'appui implicite français. Le donneur d'ordres doit provenir néanmoins de son entourage. Asram 14 mars 2007 à 13:19 (CET)
Cette phrase est à prouver
modifier"Les bilans des différents hôpitaux ivoiriens d'Abidjan montrent que ces blessés l'ont été principalement par des tirs d'armes à feu."
Il me semble que la plupart des blessés s'était fait piétinner dans la panique, etc.?
Semi-protection
modifierBonjour,
Vu le ratio vandalisme/modification constructive de la part des IP j'ai semi-protégé la page une semaine.
Reparlons des élection en Côte d'Ivoire pour nous éclairer.
modifierDepuis que la Côte-d’Ivoire a rebasculé dans la crise au sortir du scrutin décevant du 28 novembre 2010, l’ONU et les Maîtres du Monde brandissent les ‘’résultats’’ de la CEI qu’ils trouvent infaillible, pour justifier leur soutien hâtif à Alassane Ouattara. L’opposition civile et armée, pillonne le Conseil Constitutionnel pour dénier la légalité de la ‘’réélection’’ du président sortant. Attaquée de toutes parts, la Majorité Présidentielle se réfugie derrière la souveraineté de la Côte-d’Ivoire pour résister au choix de l’ONU et des Maîtres du Monde. Je constate que personne ne parle véritablement de la pomme de discorde que constitue l’élection dans les régions du Nord, sous contrôle de la rébellion armée. Je voudrais poser ici, la question que tout le monde évite et qui me paraît pourtant essentielle : Que s’est-il réellement passé au Nord le 28 novembre 2010 ? Tout ce que nous savons de l’élection du 28 novembre au Nord c’est ce que les chiffres de la CEI nous disent. Après avoir épluché ces chiffres, j’observe que : 1- La CEI publie un taux de participation de 80,19%, alors qu’au sortir du scrutin, elle avait annoncé une participation de 70%, en net recul par rapport au premier tour (83,73%). La différence entre le taux annoncé et le taux publié est tout de même de 10 points, soit un peu plus de 500 000 voix. C’est énorme 2- Laurent Gbagbo remporte 11 régions électorales sur les 20 que compte la Côte-d’ivoire et Alassane Ouattara 9 régions sur 20. Au premier tour, Gbagbo était arrivé en tête dans 12 régions, Ouattara dans 5 régions et Bédié dans 3 régions. 3- Dans les régions remportées par Gbagbo, le taux de participation correspond très souvent à la moyenne nationale, autour de 70%. Et, les scores enregistrés sont très souvent serrés et paraissent raisonnablement crédibles : 51,18% - 48,82% dans les Dix-Huit Montagnes ; 67,16%-32,84% dans le Fromager ; 56,58%-43,42% dans le Haut Sassandra ; 51,90% - 48,10% dans les Lagune ; etc. 4- Dans les régions remportées par Ouattara, les taux de participation sont au-dessus de la moyenne nationale et souvent supérieurs aux taux réalisés dans les mêmes régions au premier tour où tous les records avaient pourtant été battus. 5- Dans les régions remportées par Ouattara, les scores de l’ancien Premier Ministre sont ahurissants et dignes du parti unique dans 5 des 9 régions. 82,87%-17,13% dans le Bafing ; 85,40%-14,60% dans la Vallée du Bandama ; 93,55%-6,45% dans les Savanes ; 94,70%-5,30% dans le Worodougou et…97,48%-2,16% dans le Denguélé ! 6- Toujours dans les zones sous contrôle de la rébellion, Ouattara réussit l’exploit d’arracher 100% des suffrages exprimés dans près de 400 bureaux de vote ; même pas un bulletin nul ! Voilà ce que nous disent les chiffres de la CEI. Comment faut-il comprendre ces chiffres ? Je voudrais poser deux questions ici : 1- Pourquoi n’y a-t-il que dans les zones sous contrôle de la rébellion où la participation a augmenté entre les deux tours, au point d’être plus élevée qu’au premier tour où elle était déjà exceptionnelle ? 2- Qu’est-ce-qui peut bien justifier les scores staliniens réalisés par Ouattara dans les zones sous contrôle de la rébellion : mobilisation identitaire exceptionnelle du Nord pour plébisciter le ‘’frère Alassane’’ ou fraudes massives en faveur du candidat soutenu par la rébellion ? Juste pour ouvrir le débat. --Joberwa 21 mai 2011 à 17:55 (CEST)
- Bonjour, je ne doute pas que tu saches que cette page de discussion n'est pas un blog ou un forum où l'on échange des points de vue. Tes propos seront d'autant plus intéressants que tu pourras donner des sources vérifiables et very fiables pour que ces informations puissent être incorporées à cet article (ou un autre plus approprié). Cordialement, Asram (d) 22 mai 2011 à 02:17 (CEST)