Discussion:Le Radeau de La Méduse

Dernier commentaire : il y a 7 ans par 81.244.235.115 dans le sujet Calcul
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Sans titre modifier

La version anglaise commence par parler de l'incident reel, avant d'aborder l'art qu'il a inspire. devrait on en faire autant? -- Tarquin 23 aoû 2003 à 19:43 (CEST)

Effectivement, c'est judicieux.62.39.210.15 23 aoû 2003 à 20:04 (CEST)
Le musée du Louvre n'est pas en fr, help!62.39.210.15 23 aoû 2003 à 20:12 (CEST)

Différence notable avec la version anglaise modifier

Une différence énorme avec la version anglaise :

  • Those in lifeboats soon noticed that the idea of towing the raft was impractical. De Chaumereys decided to cut the rope and leave the rest of the crew to its fate
  • Lorsque l'amarre avec les autres canots se casse, le commandant laisse les passagers du radeau livrés à leur sort

Dans la version anglaise, on apprend que le commandant décide de couper l'amarre avec le radeau (car ce n'était plus possible de le tracter), dans la version française l'amarre cède d'elle-même... Ou est le vrai ?

Denis 6 décembre 2005 à 12:46 (CET)Répondre

La version anglaise est la vraie version ; le radeau est tracté par les barques, le courrant est très fort, les passagers des barques coupent les liens avec le radeaux, ce dernier dérive...gibald 5 mars 2007 à 08:47 (CET)Répondre

Voici les différentes versions trouvées à ce sujet :

  • "les câbles sont coupés" (Palettes, Arte)
  • "le radeau est rapidement abandonné aux flots" (n° spécial de Voiles et Voiliers)
  • "deux heures plus tard, les cordes sont coupées" (Rose-Marie et Rainer Hagen, Les dessous des chefs-d'oeuvre)

Au final, peut-être une 3ème version : les amarres seraient coupées par malveillance. Dans le doute, est-ce qu'on n'a pas intérêt à citer les différentes versions sans prendre position ?

Marmotte 11 décembre 2005 à 17:20 (CET)Répondre


Autre différence avec la version anglaise:

  • (...)les états de service napoléoniens du commandant(...)
  • He (...) had worked against Napoleon.

Soit je ne comprends rien, soit dans la vf ils disent que le commandant etait pro-Napoleon, et dans la vuk ils disent l'inverse...

Le commandent du bateau n'était pas pro Napoléon ! Napoléon était en prison ; ce sont les commandants de l'ancienne monarchie qui sont de retour ! C'est pour cela que le bateau s'est échoué ; le commandant avait perdu son métier avec le temps... gibald 5 mars 2007 à 08:47 (CET)Répondre

Oeuvres éponymes modifier

Quel groupe ?

Holycharly | discuter -- 30 décembre 2005 à 12:50 (CET)Répondre

déplacement du texte copié dans l'article modifier

déplacement d'un texte copié dans l'artcile sans précisions d'auteur, date et statut : --Pontauxchats 14 janvier 2006 à 15:01 (CET)Répondre

Extrait de l'analyse du tableau réalisée par un étudiant suisse :


La lecture du tableau se fait inconsciemment du bas, à gauche du tableau, vers l’homme debout. Géricault a créé un axe qui part du désespoir et aboutit à l’espoir. Le radeau occupe la moitié de la toile. L’Argus est le petit point minuscule représenté sur la ligne d’horizon. Les corps composent une large pyramide (composition pyramidale).

Les couleurs sont froides, terreuses, funèbres. Les chairs ont la teinte verdâtre et blafarde de la mort. Il y a juste quelques rehauts de rouge pour le sang et les tissus. Le ciel est crépusculaire et nuageux. C’est une harmonie sévère de tons sourds et un jeu de lumière subtil qui crée une atmosphère orageuse.

Le traitement des corps est noueux et réaliste, c’est cela qui lui permet de jouer sur les volumes et la lumière. Cette dernière est empreinte de luminisme.

Il faut savoir que l’emploi de plomb pour la composition de la peinture obscurcit la toile de façon irréversible. C’est pourquoi l’œuvre va bientôt disparaître !


Technique employée par l‘artiste

Il a fallu une année entière à Géricault pour réaliser l’œuvre qui est une huile sur toile.

Comme son atelier de la rue des Martyrs était trop petit, il en loua un plus vaste dans le haut du faubourg du Roule.

Pour la réalisation du tableau Géricault interrogea Corréard et Savigny, il commanda même au charpentier de la Méduse un radeau semblable à celui des naufragés qu’il installa dans son atelier. Il demanda à des mourants de poser et il alla étudier des mourants et des cadavres à l’hôpital Beaujon. Il fit amener des cadavres et même des membres coupés de la morgue de médecine dans son atelier au grand dam de ses voisins et de ses amis. La légende veut que Géricault ne quitta qu’une seule fois son atelier pour se rendre au Havre pour étudier le ciel.

Durant la réalisation il n’accepta qu’un nombre restreint de ses élèves qui durent même porter des pantoufles pour ne pas troubler le maître en action.

Géricault travaillait tôt le matin et finissait souvent tard le soir puisque sa peinture était grasse ; c’est pourquoi il devait finir ce qu’il avait commencé le matin.


Style et Symbole

Style

L’œuvre est romantique de par son inspiration, un sujet d’épouvante puisé dans l’histoire contemporaine ; néanmoins l’œuvre est aussi réaliste et classique de par la composition pyramidale et l’opposition clair-obscur.

L’art romantique est un mouvement artistique de la première moitié du XIXème siècle qui donna la priorité à l'émotion et à l'imagination au détriment du rationalisme et de la logique. En France le Romantisme s'amorce avec Gros, suivi de Géricault. Delacroix apparaît comme le chef de file du mouvement. Les thèmes du Romantisme sont assez souvent la nuit/la mort/une fascination pour la souffrance et la douleur/un certain goût pour la mature/le mouvement/le flou dans les contours. Pour le radeau de la méduse nous n’allons retenir que le deuxième et le troisième thème. A Londres l’œuvre fut accueillie comme le manifeste de l’école romantique.

La peinture de genre est traitée comme la peinture d’histoire et le « réalisme » submerge l’idéal. Les souffrances de l’être humain accèdent au rang de la peinture d’histoire (genre réservé aux épisodes bibliques, aux exploits des héros grecs et romains et aux hauts faits des monarques). Géricault aurait pu faire figurer un exemple de courage spartiate ou de résignation stoïcienne. Il n’en est rien. Hommes et femmes souffrent, mus par le seul instinct de conservation. Ils sont dominés par une souffrance toute animale.


Symbole

L’œuvre est une allégorie politique. En effet Géricault aurait voulu exprimer la faiblesse de la restauration. Le tableau a également choqué à l’époque en raison du réalisme morbide des corps des naufragés et de la présence du naufragé noir qui fut considéré comme un manifeste contre l’esclavage.

Géricault quant à lui n’a voulu retenir que l’allégorie de l’horreur et l’acte courageux et humanitaire d’un citoyen, devant les souffrances humaines.

L’œuvre fut bien accueillie par le grand public mais elle n’a pas été achetée par le gouvernement. Elle le sera à la vente après le décès de Géricault, lorsque l’évolution politique aura gommé ce qu’elle pouvait receler d’allusions trop critiques vis-à-vis du gouvernement de la Restauration. La toile manifeste l’émergence de la jeune école de peinture romantique. Géricault va l’exposer en Grande-Bretagne, notamment à Londres, en 1820, où elle rencontre un peu plus d’intérêt qu’en France, car la plupart des officiers royalistes étaient réfugiés en Grande-Bretagne et condamnés par la justice républicaine française.

Qui veut gagner des millions ? modifier

Un utilisateur de Wikipédia, apparemment fort fier d'avoir regardé Qui veut gagner des millions il y a de cela quelques minutes, a trouvé judicieux de rajouter une information concernant Eugène Delacroix dans le premier paragraphe de l'article alors qu'elle était déjà présente un peu plus bas ! J'ai donc purement et simplement supprimé cette information dont la typographie était, de plus, fort incorrecte. Cordialement. Skylie (d) 5 mai 2008 à 21:49 (CEST)Répondre

Le radeau mesure 20cm sur 7mm et contient 149 rescapés ????????? Est-ce que les autres informations de cette page sont aussi fiables ??

Les informations sont fiables lorsqu'elles ne sont pas vandalisées. En l'occurrence, ces chiffres ont été vandalisés le 30 janvier, soit la veille, et cela est vérifiable à travers ce lien http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Le_Radeau_de_la_M%C3%A9duse&diff=37536522&oldid=37512901 Moez m'écrire 1 février 2009 à 09:27 (CET)Répondre

Le radeau était amputé de plusieurs morceaux au fur et à mesure que son équipage se réduisait à cause des décès. Finalement il n'en restait qu'une toute petite portion de quelques mètres carrés. --Cambon (d) 16 juillet 2012 à 23:31 (CEST)Répondre

Bonjour


J'aimerai une aide par rapport a ceci le texte est très compliqué pour moi je n'ai que 11 ans merci

Incohérence entre les articles "Radeau de la Méduse" et "La Méduse". modifier

Dans l'article "Radeau de la Méduse", le commandant a été condamné à 18 ans de prison.

Dans l'article "La Méduse", il a été condamné à mort, peine commuée en 3 ans de prison.

Quel est le bon article sur ce point ?

--Lescour (d) 22 août 2010 à 21:49 (CEST)Répondre

Le Radeau de la Méduse ou de La Méduse ? modifier

Au même titre que la modification apportée aux titres et aux textes des contributions concernant Le Secret de La Licorne et par cohérence, je propose de renommer la contribution en Le Radeau de La Méduse ("La" en majuscule).

--Jacques 31 octobre 2011 à 13:21 (CET)

Intension de proposer au label AdQ modifier

Bonjour

Très réservé sur cette proposition. Beaucoup d'approximations et d'affirmations a vérifier, par exemple sur le Marat de David le tableau n'a pas eu de "conséquences politiques énormes" et sachant que ce tableau n'était plus en France à l'époque ou Géricault a peint son Radeau, il faut une source précise pour savoir à quel occasion il a pu voir le Marat de David et si il en fut réellement influencé (connaissant assez bien David, j'ai plutôt lu que c'était le pestiféré de son tableau Saint Roch intercédant la Vierge qui aurait pu inspirer Géricault). Je constate que l'article est en partie traduit de la version anglaise, et que certaines sources devrait renvoyer aux ouvrages en francais et non à leur traduction anglaise. C'est par exemple le cas du Journal de Delacroix, ce qui fait que je tombe sur cette formulation maladroite Selon l'historien de l'art Hubert Wellington, Delacroix – qui devint la figure de proue de la peinture romantique après la mort de Géricault – écrivit ceci : « Géricault m'avait permis de contempler le Radeau de la Méduse alors qu'il était encore en train d'y travailler. Cela eut un tel effet sur moi qu'à peine sorti de l'atelier, je commençai à courir tel un forcené jusqu'à chez moi, sans que rien ne puisse m'arrêter. ». Si c'est écrit par Delacroix ce n'est pas "selon" Hubert Wellington, c'est une citation factuelle il suffit de vérifier dans une édition du Journal (si je ne m'abuse il est dans le domaine public, il doit bien exister une édition libre en ligne) il faudrait vérifier si il s'agit d'une traduction à oartir du francais ou la phrase telle qu'elle est publiée dans le Journal. Pareil pour l'ouvrage de Lorenz Eitner 19th Century European Painting: David to Cézanne qui existe en français chez Hazan sous le titre la Peinture du XIXeme siècle. Et par ailleurs la qualité des source laisse à désirer, beaucoup de sources du web assez moyenne, alors qu'il faudrait s'appuyer sur des monographies de référence comme celle de Germain Bazin, ou l'ouvrage d'Eitner. Gericault's Raft of the Medusa seule monographie sur le tableau citée en bibliographie et qui n'est pas utilisé. Des sections qui doublonne, par exemple on a droit par deux fois à la mention des couleurs de la palette dans le paragraphe L'exécution du tableau je cite : Il conservait chaque couleur séparément, à l'écart des autres : sa palette comporte du..., et dans Description de l’œuvre je cite aussi : La palette de Géricault est composée de couleurs aux tons pâles, afin de.... Le plan est désordonné, entre autres il manque l'historique du tableau (sa provenance, élément qui figure dans toute les notice de catalogue raisonné). Bref pour moi c'est pas encore bon pour l'AdQ Kirtapmémé sage 14 février 2014 à 15:40 (CET)Répondre

Bonjour à vous, pour cette histoire au sujet de l'influence ou non du Marat de David, je vais chercher davantage de sources et si je ne trouve rien de probant, je supprimerai l'information, qui est plus que secondaire. Au sujet de la traduction, il s'agit ni plus ni moins d'une traduction intégrale de l'article de qualité anglais, qui certes utilise parfois un peu trop de liens web (de bonne qualité cela dit : grands journaux américains ou anglais), mais a le mérite de convoquer les principaux spécialistes anglophones. Concernant Le Journal de Delacroix, j'ai fait une erreur en croyant qu'il s'agissait d'un ouvrage fictionnel écrit par Wellington, alors que celui-ci n'est que l'éditeur et le préfaceur de l'édition anglaise de son journal. En revanche, l'ouvrage de Lorenz Eitner a écrit en version originale en anglais : il semble illogique de faire référence à l'édition française chez Hazan, qui est une traduction... Je vais utiliser davantage Bazin et Eitner malgré tout, et régler ce doublon. Enfin, j'ai besoin de plus d'indications au sujet de "l'historique du tableau": j'ignore tout simplement ce que c'est... Merci de vos remarques, cordialement Cinerama14 (discuter) 20 février 2014 à 20:00 (CET)Répondre
Bonjour Cinerama14 (d · c · b), l'Historique du tableau (ou la Provenance, le terme diffère selon les sources) , indique la tracabilité de l'œuvre de la date de son achèvement, des différents propriétaires, jusqu'au dernier acquéreur (en général le musée). Dans ce cas précis, il devrait y avoir un historique dans la fiche de l'œuvre sur le site du Louvre je pense, sinon pour te faire une idée en voici un exemple dans l'article Portrait de monsieur Bertin#Provenance. Cordialement Kirtapmémé sage 20 février 2014 à 20:53 (CET)Répondre
Ok d'accord. Mais à vrai dire, je crois que les informations sont contenues dans la partie Histoire du tableau : le tableau n'a jamais été vendu, il était entreposé chez Dedreux-Dorcy, un ami de Géricault, et le Louvre l'a acheté immédiatement après sa mort. Je crois qu'il n'y a rien de plus à ajouter... Je m'attelle aux autres modifications. Cordialement, Cinerama14 (discuter) 21 février 2014 à 14:49 (CET)Répondre

Calcul modifier

Des 149 occupants plus de 150 sont morts et 15 ont survécu ?--81.244.235.115 (discuter) 1 mai 2017 à 18:43 (CEST)Répondre

Mes excuses. J'ai mal lu. 150 est le nombre total, bateau + barques + radeau.--81.244.235.115 (discuter) 1 mai 2017 à 18:48 (CEST)Répondre

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil modifier

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 13 octobre 2019 à 18:15, sans bot flag)

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