Discussion:Thermoélectricité

Dernier commentaire : il y a 3 ans par Saguameau dans le sujet Intention de contester le label AdQ
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Schémas

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Pour les schémas, c'est déjà mieux comme ça que quand ils étaient en taille maximale, mais je pense qu'il serait préférable de refaire les 2 premiers avec un texte plus gros pour pouvoir les réduire encore. R 23 jun 2005 à 16:29 (CEST)

Voilà c'est fait ! Par contre, je crains de ne pas être assez familiarisé avec la syntaxe wikipédia pour améliorer la mise en page du texte (notamment là où il y a des équations). Toute aide sera donc la bienvenue ! David Berardan 23 jun 2005 à 17:00 (CEST)
je vais jeter un œil dans les jours qui viennent. Romary 23 jun 2005 à 18:43 (CEST)

T.I.P.E éffet peltier

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Etudiant en math Spé, je réalise un t.i.p.e dans ce domaine et je recherche des contacts avec spécialistes en thermoélectricité et en particulier sur l'effet peltier afin de mieux connaître les possibilités industrielles de celui-ci, son espoir pour les nouvelles technologies. J'aimerais bien savoir les entreprises qui mènent une recherche sur ce front et dans quel but. J'ai appris que AMD travaillait dessus, mais je n'ai pas pu les contacter et je ne sais pas s'il sont preès a livrer quelques informations. J'aimerais aussi savoir s'il y a des expériences facilement rélisable sur des mesures de variations de température avec un module TEC. Merci

moctey@gmail.com

coefficient Seebeck

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Quel l'ordre de grandeur du coefficient Seeebeck (pouvoir thermoélectrique) des semi-conducteurs p et n d'un module thermoélectrique ? (39mV ou 0,39mV)

ça dépend. Pour les éléments les plus performants, le pouvoir thermoélectrique est compris généralement entre 200 et 500 µV/K (soit 0.2 à 0.5 mV/K), mais ces valeurs dépendent des matériaux utilisés. David Berardan 22 mai 2006 à 16:50 (CEST)Répondre

Question

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Bonjour, je réalise une étude sur les modules thermoélectriques et je voulais savoir s'il est possible d'obtenir des explications sur les relations qui existent entre le flux d'entropie et le flux thermique : "Ce faisant, ils contribuent à un transfert d’entropie de la source froide à la source chaude, et donc à un flux thermique qui va s’opposer à celui de la conduction thermique." (article sur la thermoélectricité) En gros je voudrais des explications sur le "et donc". Merci et félicitation pour ce site internet. Olivier ( [olivierf75@hotmail.com] )

Améliorations ?

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Il me semble qu'on pourrait améliorer l'article en plusieurs points :

  • l'historique est bref et ne parle que de la découverte. Ne faudrait-il pas parler aussi de R&D et tentatives d'applications ?
  • l'article indique des niches commerciales, sans pour autant mentionner (sauf erreur d'attention de ma part) des applications concrètes autres que pointues (sonde spatiale). Or il me semble avoir utilisé des modules pelletier pour refroidir un processeur overclocké (dans ma jeunesse).
  • si les aspects pointus (de recherche) sont vérifiables (citations à l'appui), le côté basique manque cruellement de références. Si un contributeur ayant un manuel de cours (ou les ouvrages cités en bibliographie) passe par là... (ou
  • le résumé introductif me paraît trop succinct en comparaison de l'article, relativement long.

Ω (d, c) 19 janvier 2008 à 01:18 (CET)Répondre

  • point 1 : je m'en ocupe dans la journée
  • point 2 : bof, pour l'instant il n'y a effectivement que des applications de niche, mais je peux développer un peu (encore que je pense que ça ferait plus l'obget d'un autre article, parce que celui-ci est destiné à traiter d'un phénomène physique)
  • point 3 : il y a trois livres cités en bibliographie, je ne vois donc pas où se situe le problème : tout est vérifiable, il suffit de consulter les livres en question.
  • point 4 : je m'en occupe dans la journée.
  • point n+1 : j'ai prévu faire une "mise à jour" extensive de l'article dans les jours qui arrivent, notamment de l'aspect recherche, puisqu'il date déjà maintenant de 2 ans et demi. David Berardan 19 janvier 2008 à 09:24 (CET)Répondre
bon, tant qu'à faire, je ne vais pas me contenter de retouches cosmétiques mais faire une "mise à jour" conséquente, donc ça devrait prendre quelques jours ou au pire semaines. David Berardan 20 janvier 2008 à 14:56 (CET)Répondre

A noter : https://www.nature.com/articles/s41586-019-1751-9 — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 89.157.211.86 (discuter), le 21 novembre 2019 à 00:37 (CET)Répondre

Contenu et formule à expliciter

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Bonjour je suis en sup PC, et je permet quelques remarques/questions :

A propos de "Calcul du rendement de conversion d'un système thermoélectrique "

  • l'origine de la formule du flux n'est pas expliquée : => vient de la définition de le puissance thermique mais est assimilable à UxI certes, mais d'où vient T/dT ?
  • de même d'où vient le dans . On a émit l'hypothèse que celà vienne de l'intégration de , mais toutefois nous avons pas parvenu à le faire apparaître en faisant simplement

Ainsi l'ajout d'étape calculatoire serait profitable à une compréhension en profondeur d'un article qui, sur un sujet compliqué, devrait expliciter d'avantage pour au moins des initiés-moyens comme nous. Qui plus est pour un article dit de qualité

Concernant l'ajout récent de la dernière partie concernant les nano-objets, vous auriez pu le faire avant mon ADS ^_^ qui parlait de ça.

Je regarde ça dans les jours qui arrivent, pour les explications. Pour la partie sur les structures de basse dimentionnalité, elle est présente depuis la première version de l'article en 2006. David Berardan 29 mars 2008 à 18:30 (CET)Répondre
Bien. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'ajouter de nouvelles explications dans le corps de l'article qui le surchargerait inutilement. L'origine de la formule du flux est une simple application de la loi de Fourier et de l'effet Peltier, le terme en I² est un simple terme d'effet Joule (avec l'hypothèse simplificatrice que le flux créé par effet Joule se divise en deux moitiés égales dans chaque sens (ce qui est faux mais pas déraisonnable en première approximation). Pour la partie sur les structures de basse dimensionnalité elle est en fait présente depuis juillet 2005 ^^. Par curiosité, qu'est-ce qu'un ADS ? David Berardan 31 mars 2008 à 20:15 (CEST)Répondre

=> Désolé de répondre aussi tardivement :

-"L'origine de la formule du flux est une simple application de la loi de Fourier et de l'effet Peltier"-> Ok on a vu après coup.
-"le terme en I² est un simple terme d'effet Joule (avec l'hypothèse simplificatrice que le flux créé par effet Joule se divise en deux moitiés égales dans chaque sens (ce qui est faux mais pas déraisonnable en première approximation)" -> ok ça ce voyait que c'était de l'effet Joule. Le probleme du 1/2 c'est ok maintenant (un peu tordu). Mais, on a repris les calculs et pour moi il tombe du ciel ! Car avec la formule du flux Qf tel que défini par la somme de Qn et Qp, ce terme n'apparaît pas !?! Et un ADS est une Analyse de Document Scientifique, une partie de l'épreuve de Tipe aux concours

Le 1/2RI² n'est pas si mystérieux: les calculs qui ont été faits font l'hypothèse de coefficients constants pour la conductivité thermique, la résistivité électrique et le coefficient de Seebeck. De plus, le gradient de température dans le module est supposé constant. Au moment de résoudre l'équation de la chaleur il y a un problème car on trouve qu'il ne peut pas y avoir d'effet Joule. Donc pour continuer de satisfaire cette équation on rajoute à postériori la chaleur RI². Le problème principal dans les hypothèse est qu'on suppose que le gradient de température est constant: comme il existe une source de chaleur interne, la température interne va augmenter et il va y avoir un déséquilibre entre le flux de chaleur du côté chaud et du côté froid. Les calculs (il faut les faire car ils me semblent introuvables bien que relativement simples) montrent que l'ajout de ces termes +- 1/2. RI² de chaque coté au flux thermique permet de bien retranscrire ce déséquilibre. Il n'y a pas d'approximation faite: avec ces hypothèses on a exactement la moitié de la chaleur produite par effet Joule de chaque côté.--Robert12 (d) 20 septembre 2011 à 11:38 (CEST)Répondre

Signe du coefficient de Seebeck

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Bonjour,

je me suis permis de modifier la définition du coefficient de Seebeck pour y inclure un signe -. D'une part cela donne une certaine cohérence avec la version anglophone, d'autre part cela n'a pas beaucoup de sens sans un schéma puisqu'on ne connait pas la convention utilisée pour définir le sens de dT et dV. L'expression avec un - me semble néanmoins plus pertinente puisque dans ce cas dT et dV sont tous deux pris comme dX = Xchaud - Xfroid. Une définition plus correcte consisterait à utiliser le gradient de température et le champs électrique interne mais cela nécessiterait d'introduire trop de notion. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 129.175.85.144 (discuter), le 19 septembre 2011 à 11:55

retiré car ça entre en contradiction avec la formule dans l'article Effet Seebeck --The Titou (d) 19 septembre 2011 à 13:11 (CEST)Répondre
Bonjour. Il est vrai que sans schéma et sans convention, ces histoires de signes sont pour le moins floues. D'ailleurs, la définition dans effet Seebeck n'est pas plus sourcée qu'ici. Mais pourquoi ne pas l'écrire explicitement à ce stade de l'article ? Il me semble que ce serait plus clair pour tout le monde. Quant à une définition plus correcte, il me semble qu'il faudrait qu'elle apparaisse tout de même quelque part dans l'article. (Je n'ai pas la possibilité de m'en occuper moi-même en ce moment malheureusement.) Tizeff (d) 19 septembre 2011 à 13:27 (CEST)Répondre
La définition classique du coefficient Seebeck est S=deltaS/deltaT (sans signe -) et on peut la trouver dans à peu près n'importe quel bouquin de physique de second cycle ou de thermoélectricité. Voir au hasard la référence 2 de l'article, dans le premier chapitre. David Berardan 19 septembre 2011 à 21:46 (CEST)Répondre
accessoirement, écrire S=(Va-Vb)/(Ta-Tb) ou S = (Vb-Va)/(Tb-Ta), c'est rigoureusement la même chose, il n'y a donc aucune convention de sens où que ce soit. David Berardan 19 septembre 2011 à 21:57 (CEST)Répondre
hum, et juste histoire de rire, l'expression fausse dans l'article anglophone est apparue en janvier de cette année [1] et c'est la seule et unique édition (sans aucune justification) qu'ait jamais fait son auteur... David Berardan 19 septembre 2011 à 22:02 (CEST)Répondre
Ca ne veut rien dire Ta et Tb, puisque a et b désignent les matériaux et que ce sont des jonctions a-b qui sont portées à des températures différentes. Va et Vb ça ne veut rien dire non plus car dans l'expérience classique, la différence de potentiel est mesurée entre deux brins composés du même matériau... D'ailleurs, je lis dans le bouquin de thermo de Callen une relation qui contredit celle qui est donnée ici. En l'état, je maintiens que la présentation du coefficient Seebeck est complètement floue. Tizeff (d) 20 septembre 2011 à 00:08 (CEST)Répondre
Stop, incompréhension entre nous : a et b désigne dans ma phrase deux points distincts d'un seul et même matériaux. La définition classique du coefficient Seebeck pour un matériau est S = (Va-Vb)/(Ta-Tb) avec a et b deux points du même matériau à deux températures différentes. David Berardan 20 septembre 2011 à 07:46 (CEST)Répondre
Et pour regarder de plus près la référence 2 que tu cites en exemple : tu noteras que l'auteur se garde bien de préciser si dV = V_Y - V_Z ou l'opposé, et si dT = T_W - T_X ou l'opposé. En revanche, il écrit « If W is hotter than X, a thermocouple ab that would drive a clockwise current is said to have a positive alpha. », indiquant clairement qu'il s'agit d'une convention, au moins à ce stade. Tizeff (d) 20 septembre 2011 à 00:22 (CEST)Répondre
hum, ça c'était ce qu'on écrivait il y a une centaine d'années, en fait... et donc de nouveau incompréhension entre nous. Tu noteras que je n'ai pas écrit ici Sab mais S tout court, et dans ma phrase a et b ne sont pas deux matériaux différents. S>0 = matériau de type p, S<0 = matériau de type n en prenant la définition "S = (Va-Vb)/(Ta-Tb) avec a et b deux points du même matériau à deux températures différentes". A quelque chose près, plus personne n'utilise une définition de S avec deux matériaux différents, à l'heure actuelle, à part en métrologie parce qu'on ne sait pas mesurer S pour un seul matériau, uniquement pour un couple de matériaux. Au moins depuis que l'on sait écrire S = "une grosse relation que je suis incapable d'écrire avec cet éditeur de texte", relation liée uniquement à la structure électronique du matériau, à la position du niveau de Fermi et au processus de diffusion des porteurs de charges. Mais effectivement si l'ont considère deux matériaux différents a et b, Sab = - Sba et il faut bien évidemment une convention de signe. Mais ne n'est pas comme ça qu'est défini le coefficient Seebeck d'un matériau unique. Je vais compléter un peu l'article pour que tout ça soit plus clair (désolé, je venais de finir ma thèse quand je l'ai écrit ^^. J'ai un poil plus d'expérience depuis ;-)), en particulier la différence qu'il y a entre Sab pour un couple de matériaux (qui nécessite effectivement une convention de signe, mais est à peu près sans intérêt scientifique) et S d'un seul matériau pour lequel la seule convention est + = type p, - = type n. David Berardan 20 septembre 2011 à 07:46 (CEST)Répondre
Tout à fait d'accord sur le fond bien sûr Émoticône sourire, et nous sommes donc d'accord aussi pour dire que la présentation actuelle est bancale. D'ailleurs, je suggèrerais peut-être également de séparer cette partie "définition des coefficients" du reste et d'en faire une section à part, ça me paraît un point suffisamment important pour cela. Mais bref, à voir. Merci d'avance en tout cas. Tizeff (d) 20 septembre 2011 à 08:19 (CES
Pour avoir une définition plus communément admise on peut citer on peut citer la page 198 du Kittel("Physique de l'état solide", 8ème édition) qui définit le coefficient Seebeck comme le rapport du champ électrique interne divisé par le gradient de température. Comme le champ électrique c'est moins gradient de V on a bien un moins qui apparait quand on projette les gradients (vecteurs) sur un même axe. J'espère vous avoir convaincu mais je vais faire des schéma pour les 2 cas (dopage p et dopage n).--Robert12 (d) 20 septembre 2011 à 10:20 (CEST) (c'est moi qui ai lancé le sujet, désolé de ne pas avoir signé)Répondre
hum... sauf que n'importe qui travaillant dans le domaine vous dira que dans une mesure S est donné par la pente de (V2-V1)=f(T2-T1) avec V2 et T2 pris au même point, V1 et T1 pris au même point. Au hasard dans des papiers d'instrumentation que j'ai lu récemment : REVIEW OF SCIENTIFIC INSTRUMENTS 82, 063905 (2011) (demandez-moi si vous n'avez pas accès à ce journal. David Berardan 20 septembre 2011 à 13:08 (CEST)Répondre
en réalité pas n'importe qui car il existe les deux versions dans la littérature (après tout ça doit être parce que le domaine est encore un peu jeune^^). En guise d'exemple la thèse d'Alexandre Jacquot qui me semble être du domaine : [2]. Le retour aux bases me semblait un bon moyen d'éviter le petit jeu des citations.--Robert12 (d) 20 septembre 2011 à 13:47 (CEST)Répondre
L'article que vous citez est encore une fois très ambigu sur la convention adoptée. En revanche la référence 5 de cet article, une "review" de J. Martin et al. [3] semble dissiper les doutes: d'ailleurs je pense que le souci provient de la formule d'association des Seebeck qui est plutôt Sab=Sb-Sa. Dans le cas de la mesure d'un seul matériau cela revient à prendre Sb nul et ainsi le - apparait et la formule Sab=(Tchaud-Tfroid)/(Vchaud-Vfroid) reste correcte. Mais pour un matériau seul il y a un - Émoticône sourire. --Robert12 (d) 20 septembre 2011 à 14:17 (CEST)Répondre
Si le signe de S peut à « la limite » dépendre de la définition qu’on lui donne, le thermovoltage non. En effet lorsqu’un matériau de type-n est connecté entre deux températures différentes, alors le nombre d’électrons excités en bande de conduction augmente du côté chaud par rapport au côté froid. Il y a donc diffusion des électrons vers le côté froid. Pour s’opposer à cette force de diffusion et afin de conserver un courant nul (principe de la mesure), il se crée un champ électrique E qui tend à ramener les électrons vers le chaud donc E dirigé vers le froid (F=-qE). Puisque le champ descend les potentiels (E=-grad V), le potentiel le plus haut est celui du chaud. Nous sommes d’accord que S<0 pour le semiconducteur dopé n donc S= - (Vchaud-Vfroid)/(Tchaud –Tfroid) <0 dans le cas du dopé n. GJ
Mais pour un matériau seul il y a un - : j'effectue des mesures de coefficient Seebeck très régulièrement dans mon travail, et le coefficient Seebeck est bien donné directement par la pente de (V2-V1)=f(T2-T1) sans signer moins. Matériau type p, pente positive, matériau de type n, pente négative. Je pense que si depuis une dizaine d'année je me trompais de signe, j'aurais fini par m'en rendre compte... Ou alors on ne parle pas de la même chose... En tout cas le signe de S est défini d'une manière absolument non ambigüe, à savoir + pour type p, - pour type n, il n'y a pas d'autre définition. David Berardan 20 septembre 2011 à 17:09 (CEST)Répondre
Y a-t-il un argument autre que "c'est comme ça et pas autrement"? Je ne cherche pas à être désagréable, c'est juste qu'il y a un réel problème sur la définition et j'aimerais savoir laquelle est correcte. Le fait de refaire les calculs conduit à un résultat qui semble être en contradiction avec ce qui est utilisé. J'aimerais simplement comprendre pourquoi.--Robert12 (d) 20 septembre 2011 à 17:35 (CEST)Répondre

(je me permets de reprendre l'indentation à 0, ça devient difficilement lisible sur mon écran). Je ne cherche pas moi non plus à être désagréable, désolé si mon ton a pu paraître un peu sec. Ce n'est pas "c'est comme ça et pas autrement", c'est juste que j'essaie de comprendre pourquoi nous divergeons. Entre les différentes équipes par lesquelles je suis passé, j'ai mesuré des dizaines de matériaux de type p ou n, et j'ai toujours obtenu S en prenant la pente de (V2-V1)=f(T2-T1), sans contradiction de signe avec le type de porteurs mesuré indépendamment par effet Hall (ie : pente positive, type p, pente négative, type n). Pourtant je ne vois pas de prime abord de faille dans votre raisonnement. Peut-être devrions-nous chacun faire un petit schéma et poser clairement les termes. Voilà par exemple un schéma de principe de l'un des dispositifs expérimentaux que j'ai eu l'occasion d'utiliser : effet Seebeck#Dispositif expérimental (je peux vous donner une référence avec la tête de mesure complète, mais ça revient au même). Je pense que nous disons probablement la même chose sans nous comprendre (typiquement pour reprendre ce que vous avez écrit plus haut, pour moi la définition de la force de Lorentz est F = qE (et effectivement dans le cas des électrons q = -e), mais à la première lecture j'ai eu envie de vous reprendre, simplement parce que je n'avais pas compris ce que vous vouliez dire du fait de votre manière de l'écrire...). David Berardan 20 septembre 2011 à 20:51 (CEST)Répondre

J'ai enfin réussi à mettre la main sur un article qui flèche les tensions Émoticône sourire[4]. Sur la figure 2 de cette article la convention apparait clairement et on voit qu'il existe un signe moins. Ceci étant dit, cela ne remet pas du tout en cause le fait que le coefficient de Seebeck est négatif pour un transport d'électrons et positif pour un transport de trous. C'est juste un problème de savoir dans quel sens sera le champ électrique interne. A mon sens la meilleur définition du coefficient de Seebeck c'est qu'il s'agit du coefficient de proportionnalité entre le gradient de température et le champ électrique interne qu'il génère(défintion donnée dans le "Physique de l'état solide" de Kittel). Dans le cas d'un dopage n, ils ont en sens opposés tandis qu'ils sont dans le même sens pour un dopage p.--Robert12 (d) 21 septembre 2011 à 14:28 (CEST)Répondre

Bonjour,

Dans un exposé scientifique on met "Applications potentielles" à la fin de l'expoxé, juste avant les bibliograpfies et non au début, OK ?

Cordialement

demandes de brevets

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Bonjour,

Je cherche a introduire un diagramme concernant l'évolution des demandes de brevets en matière de thermoélectricité en france et aux USA de 1960 à ce jour. Quelqu'un a-t-il une belle image de ces diagrammes ?

Cordialement Armand

Rendement ou efficacité ?

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Bonjour,

Les formules mise en oeuvre dans le paragraphe 3.3 ne me semblent pas correspondre à la définition thermodynamique d'un rendement. Ce sont effectivement les grandeurs couramment utilisées pour définir le COP (coefficient of performance en anglais), soit l'efficacité. Les valeurs dépassent d'ailleurs communément la valeur de 1 pour un point de fonctionnement optimum, ce qui montre que ce n'est pas un rendement au sens propre.

A l'inverse, le rendement thermodynamique est lui très faible : l'efficacité maximum de Carnot pour une machine ditherme frigorifique vaut . Le rendement d'un module Peltier est donc le rapport de son efficacité telle que définie dans l'article à l'efficacité de Carnot, et est en général de l'ordre de 10%.

Aussi, êtes-vous d'accord pour remplacer le terme rendement par efficacité dans le paragraphe 3.3, et pour ajouter la définition du rendement tel que je le précise ci-dessus ?

Merci d'avance
Grozila (d) 22 avril 2013 à 14:48 (CEST)Répondre

OK pour efficacité mais concernant le rendement de 10% , je n'ai jamais constater plus de 7%.
--83.196.118.249 (d) 29 mai 2013 à 21:29 (CEST)Répondre


Chapelet conducteur

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Bonjour Monsieur David Berardan

Il y a peu de temps J'avais ajouter les chapelets conducteurs, mais ma contribution a été supprimée sans discussion... Je l'ai remise, mais idem, encore supprimée... Méthode peu courtoise vous en conviendrez.

Je la remet une Xème fois et si celle-ci était à nouveau supprimée je me verrai dans l'obligation d'en avertir Wikipédia --83.196.244.244 (discuter) 8 septembre 2013 à 18:48 (CEST)Répondre

Bonsoir 83.196.244.244,
J'ai pris la liberté de supprimer la référence au chapelet conducteur car ce dispositif semble avoir peu de lien avec les effets thermoélectriques aux vues du brevet associé. De plus l'allégation concernant la ruée vers les nanofils est totalement infondée : on ne retrouve aucune référence au chapelet conducteur dans d'autres brevets ou dans des articles scientifiques. Puisque vous semblez connaitre le travail de Monsieur Juillet auriez-vous des références concernant la réalisation du pacemaker citée dans l'article (je n'en ai pas trouvées sur le net) ? Si aucune source ne peut étayer cette affirmation je supprimerai également ce passage.
Cordialement,--Robert12 (discussion) 8 septembre 2013 à 19:14 (CEST)Répondre


Bonjour David,

Supprimer une contribution manu militari ne me semble pas être le meilleur moyen de progresser ... Je pense qu'il est toujours utile de prendre l'avis de ses pairs, qui ont l'avantage du vécu, pour mieux appréhender un historique et cela dans n'importe quel domaine. En thermoélectricité je citerai donc: - John STOCKHOLM, - Hubert SCHERRER, - Andrei G. ZABRODSKII Concernant le pacemaker, c'est une histoire ancienne , le Dr jacques MUGICA n'est plus de ce monde mais que peut-être son beau père, le célèbre Professeur Christian CABROL pourrait vous en dire plus.

La thermoélectricité est un domaine "sensible" ou l'information ne circule que très peu... espérons que WIKI permettra d'y remédier. Cordialement, --109.217.230.6 (discuter) 23 octobre 2013 à 23:13 (CEST)Répondre

Bonjour, Voici ce que je propose d'ajouter au le chapitre "RENAISSANCE" : par contre on sait que cette renaissance à bien démarrer en France si l'on se base sur le nombre de brevets déposés et sur le nombre de thèses universitaires réalisées. Vos avis ? Cordialement --109.217.227.162 (discuter) 4 mars 2014 à 13:20 (CET)Répondre

basses dimensionnalités

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Je propose d'ajouter dans basses dimensionnalités: (modif) La notion de basses dimensionnalités à été introduite en thermoélectricité, pour la première fois, en février 1995, par la publication des jonctions thermoélectriques bi-thermes" , puis une deuxième fois de manière plus élaborée, en octobre 2004 par la publication des " chapelets conducteurs d'électricité".[1] Vos avis ?Très cordialement--109.217.229.35 (discuter) 5 décembre 2014 à 13:00 (CET)Répondre

Bonjour. Je ne pense pas que cet ajout soit pertinent, et je l'ai annulé. La raison en est qu'il n'existe pas de lien direct entre la phrase et la source donnée en référence. Celle-ci ne montre absolument pas que l'importance des basses dimensionnalités ait été mentionnée *pour la première fois* par untel et untel. De manière générale, il convient d'être prudent sur ces questions de paternité, et citer un brevet n'est certainement pas une source acceptable pour cela. Tizeff (discuter) 6 décembre 2014 à 13:34 (CET)Bonjour,Répondre

OK, mais nous aurions pu en discuter avant de supprimer ... Personnellement je n'ai rien trouvé de plus ancien, ni dans les brevets, ni dans les publications scientifiques classiques ni dans les veilles technologiques et je suis tout cela de près depuis 28 ans!On peut éventuellement remplacer introduite par mentionnée.

Le problème n'est pas le mot introduite. Le problème, c'est que vous tentez de faire ce qui s'appelle en jargon wikipédien un "travail inédit", c'est à dire que vous tentez de mettre dans l'article le résultat de vos recherches personnelles. Or, ce n'est pas comme cela que Wikipédia fonctionne, on doit se contenter d'y rapporter les connaissances établies et déjà publiées dans des sources reconnues. Autrement dit, si vous voulez affirmer que telle idée a été donnée pour la première fois par untel, il faut trouver une source qui affirme que telle idée a été donnée pour la première fois par untel, et non pas faire un travail de recherche vous même. Sinon c'est invérifiable pour le lecteur. Je vous invite à consulter cette page pour plus d'explications là-dessus. Tizeff (discuter) 6 décembre 2014 à 20:55 (CET)Re. Bien compris!J'ai fait un tour dans "travaux inédits", mais je pensais queRépondre

les "discussions" étaient justement là pour gérer ce genre de problème. Me voilà donc fixé. Je ne suis pas familiarisé avec Wikipédia. Merci pour le conseil. --109.217.229.35 (discuter) 6 décembre 2014 à 21:36 (CET)Répondre

Pas de soucis, content d'avoir pu clarifier ce point. Bonne continuation. Tizeff (discuter) 7 décembre 2014 à 12:17 (CET)Bonjour Tizeff, Je reviens à ce propos:Répondre

- personne ne peut nier que Hicks et Dresselhaus sont les premiers à avoir publié à ce sujet et il figurent d'ailleurs dans l'intro, donc pourquoi ne pas en dire plus ici ? Cordialement--109.217.220.251 (discuter) 25 janvier 2015 à 20:18 (CET)Répondre

Bonjour. En dire plus... C'est-à-dire, quoi précisément ? Tizeff (discuter) 26 janvier 2015 à 09:55 (CET)Répondre

Intention de contester le label AdQ

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Bonjour,

Je vois plusieurs passages sans source (au moins une vingtaine) et des sections avec une ou deux sources. Des demandes de références n'ont pas été honorées. L'AdQ est probablement à l'abandon, ce qui s'explique par son âge (plus de 15 ans) et sa nature (sujet pointu). Saguameau (discuter) 18 mars 2021 à 15:39 (CET)Répondre
Bonjour Saguameau (d · c · b), est ce que tu pourrais lister exhaustivement les passages qui manquent de sources avec {{refnec}}. Peux-tu également lister aussi exhaustivement que possible tous les problèmes de l’article d'après toi ? Pamputt 18 mars 2021 à 15:48 (CET)Répondre
Bonjour Pamputt (d · c · b), J'ai parcouru deux sections, où j'ai inscrit des demandes et des observations. Saguameau (discuter) 19 mars 2021 à 17:42 (CET)Répondre
  1. ESPACENET - US PATENT, (en) [5]
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