Discussion:Vol à voile

Dernier commentaire : il y a 8 ans par Malosse dans le sujet Sources
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Méthodes de lancement

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Les planeurs sont mis en l'air de différentes façons : la plus commune est le remorquage aérien par un avion remorqueur à l'aide d'un câble largable ou enroulable. L'autre est le treuil à partir d'une base terrestre souvent monté sur un véhicule lourd ou une remorque. Enfin, de façon autonome à l'aide d'un moteur embarqué et d'une hélice rétractable afin de garantir une parfaite aérodynamique.

Les planeurs sont le plus souvent remorqués par des avions de tourisme monomoteurs. Plus récemment par de puissants motoplaneurs ou ULM. Une méthode de lancement très économique est le treuillage par un câble monté sur un enrouleur actionné par un gros moteur Diesel. (environ 3 EUR le lancé contre 20 EUR pour un remorquage par avion). Le treuil enroule un fin câble en acier d'à peut près 1 000 m de long, le planeur est "catapulté" jusqu'à une altitude d'environ 500m. La nouvelle génération de treuil est électrique et les câbles sont en fibre synthétique.

Cette phrase (voir ici) n'est pas correcte:
Ce type de décollage ne peut s'effectuer qu'au bord d'une falaise, la voiture tracte le planeur droit vers la falaise, le planeur stabilise son vol à 2 ou 3 m du sol, puis la voiture ralentit et s'arrête, le planeur la survole.
Pas besoin de falaise, ni de quoi que ce soit! Jusqu'en 2000 on utilisait également le remorquage inverse, pour ainsi dire, par exemple au Cotswold Gliding Club dans le Gloucestershire. Il s'agissait en effet de faire passer le câble autour d'une poulie et l'attacher à la voiture qui démarrait par la suite en visant le planeur. Ce dernier décollait et survolait la voiture en sens inverse. D'ailleurs le planeur ne "stabilisait" pas son vol à 2-3 m -- loin s'en faut: on atteignait des altitudes allant jusqu'à 900 m. --Ndsg (d) 4 janvier 2008 à 19:36 (CET)Répondre

Faire une vache

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"Se vacher" est courant en vol à voile. Quand le pilote ne peut plus poursuivre son vol sur la campagne et se trouve hors du local d'un terrain, il se pose dans un champ. Cet atterrissage en campagne est souvent pris à tort pour une manoeuvre d'urgence. Le pilote attend que des dépanneurs viennent le chercher. Il s'agit alors de démonter le planeur, de le charger dans une remorque conçue à cet effet, et de retourner par la route au terrain de départ. L'une des valeurs du vol à voile est le travail d'équipe.La vache en est une institution. Les nouvelles générations de planeurs comportent un ensemble moteur deux-temps/hélice rétractable, pouvant leur éviter la vache. Il peut s'agir d'un simple turbo ou d'un dispositif permettant l'envol autonome du planeur.


Sports voisins

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Two minimalistic variations of the sport are Deltaplanes, where instead of a fully-fledged plane with full control surfaces and an enclosed cockpit the craft used is basically a fabric flying wing, and parapente, where a sophisticated kind of parachute is flown.

See also: glider

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Histoire, les fr. WRIGHT

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Cette phrase n'a vraiment pas sa place ici : "Ils sont mondialement reconnus pour avoir été les premiers aviateurs à avoir réalisé le premier vol d'une machine plus lourde que l'air, possédant un dispositif d'envol et contrôlable." Aux oubliettes, SVP. Jaypee Servus! 4 avril 2007 à 12:54 (CEST)Répondre

Résumé introductif

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Le RI actuel ne correspond pas aux exigences. Comme son nom l'indique, il doit essentiellement résumé ce qui suit et être assez court pour rester une introduction rapidement lue.

On ne peut caricaturalement trouver des propos comme "certains vélivoles apprécient la liberté, le plaisir esthétique et la joie de maîtriser leurs machines, " si aucune section de l'article ne fait état de ces émotions ou motivations. Il y a bien des choses substantielles qui demandent à les remplacer.

TIGHervé, opérateur 16 mars 2013 à 11:46 (CET)Répondre

Sources

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Cet article manque cruellement de sources. Avant mon passage, il n'y avait qu'une seule référence et un seul ouvrage dans la bibliographie. Cela est quand même difficile à croire. Je reconnais que j'ai décroché il y a fort longtemps du milieu du vol à voile français mais il y a pléthore d'ouvrages anglo-saxons et toutes les publications de la FAA sont en accès libre. Je sais que je vais me faire pourrir, mais j'ai une très mauvaise impression de la littérature officielle française (je n'ai pas dit francophone) où par exemple l'on se permet d'orthographier cumulo-nimbus (au lieu de cumulonimbus) contrairement à tous les usages internationaux (y compris Météo France) où il n'y a pas de trait d'union. Je crois que ce manque criant de sources est lié à un certain isolement par rapport à la scène internationale. Désolé, les sources à apporter seront anglo-saxonnes que cela ne plaise ou non. Malosse [Un problème de météo ou de planeur?] 22 mai 2016 à 06:58 (CEST)Répondre

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