Gigors-et-Lozeron

commune française du département de la Drôme

Gigors-et-Lozeron [ʒiɡɔʁ e lozʁɔ̃] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Gigors-et-Lozeron
Gigors-et-Lozeron
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
David Garayt
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26141
Démographie
Gentilé Gigorois, Gigoroises
Population
municipale
214 hab. (2021 en évolution de +31,29 % par rapport à 2015)
Densité 6,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 41″ nord, 5° 06′ 32″ est
Altitude Min. 352 m
Max. 1 148 m
Superficie 35,27 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Crest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gigors-et-Lozeron
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Gigors-et-Lozeron
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Gigors-et-Lozeron
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Gigors-et-Lozeron

Géographie

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Localisation

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Gigors-et-Lozeron est à 15 km au nord-est de Crest.

Relief et géologie

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Sites particuliers :

Géologie

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Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Alpes du sud »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 012 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaufort-S-Gervanne »sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 936,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

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Urbanisme

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Typologie

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Au , Gigors-et-Lozeron est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,4 %), prairies (14,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), terres arables (3,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Village perché[12].

Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[13] :

  • Baraque de Lévêque
  • Barine
  • Belon
  • Boussière
  • Bouvet
  • Charchauve
  • Chastel
  • Ferme Tillon
  • Gambetta
  • Gigors (mairie)
  • Gresse
  • Jean Fave
  • la Charousse
  • la Moutine
  • la Rivière
  • le Procureur
  • les Bérangers
  • les Blaches
  • les Bourbous
  • les Chaux
  • les Coutils
  • les Fonts
  • les Fouguets
  • les Frédières
  • les Gauthiers
  • les Michaux
  • les Peupliers
  • les Rolands
  • les Sorbières
  • les Vignes
  • Lozeron
  • Paruel
  • Perrache
  • Pétavin
  • Peyraud
  • Rabisson
  • Rama
  • Sagnol
  • Trois Prés

Logement

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Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Toponymie

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Attestations

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Gigors

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 1163 : castrum de Gigorz (cartulaire de Die, 85).
  • 1212 : Gigorns (cartulaire de Léoncel, 74).
  • 1244 : Guigorns (cartulaire de Léoncel, 134).
  • 1258 : Gigorium (cartulaire de Léoncel, 190).
  • 1262 : Gigort (cartulaire de Léoncel, 207).
  • 1302 : Guigorcium (cartulaire de Léoncel, 296).
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Gigorcio (pouillé de Die).
  • 1449 : mention du prieuré : prioratus de Gigorciaco (pouillé historique).
  • 1509 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia parrochialis Sancti Petri de Gigorio (visites épiscopales).
  • 1516 : mention de la paroisse : cura de Gigortio (rôle de décimes).
  • 1516 : mention du prieuré : prioratus de Gigortio (rôle de décimes).
  • 1576 : mention du prieuré : prioratus Gigorcii (rôle de décimes).
  • 1650 : Gigor (inventaire de Saint-Apollinaire, 800).
  • 1891 : Gigors, commune du canton de Crest-Nord.

En 1920, la commune prend le nom de Gigors-et-Lozeron[15].

Lozeron

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1295 : al Auseron (cartulaire de Léoncel, 289).
  • 1529 : Louzeron (archives hospitalières de Crest, B 11).
  • 1654 : locus Lauzeroni (registre paroissial de Saou).
  • 1773 : Lozeron (archives de la Drôme, E 1114).
  • 1891 : Lauzeron, hameau et quartier de la commune de Gigors.

En 1920, le nom du hameau est associé à celui de la commune : Lozeron[15].

Étymologie

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Gigors
Lozeron

Histoire

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Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, Gigors était une terre premièrement possédée par une famille de son nom.
  • 1288 : possession des comtes de Valentinois.
  • 1419 : terre domaniale.
  • 1521 : vendue (sous faculté de rachat) aux Clermont-Montoison et aux Eurre.
  • 1645 : vendue aux Arbalestier.
  • Passe (par héritage) aux (du) Truchet.
  • 1732 : fait partie de la dot d'une fille Truchet mariée chez les Vogüé.
  • 1739 : vendue aux Clerc de Ladevèze, derniers seigneurs.

XVIIIe siècle : deux péages sont mentionnés[12].

Avant 1790, Gigors était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation et sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré de l'ordre de Cluny - de la dépendance de celui de Lagrand (Hautes-Alpes) - connu dès 1169, et dont le titulaire était collateur et décimateur dans les paroisses de Gigors et de Cobonne[14] :

De la Révolution à nos jours

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En 1790, la commune de Gigors est comprise dans le canton du Plan-de-Baix. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Crest-Nord[14] :

Des traces d'impact de balles datant de la Deuxième Guerre Mondiale sont toujours visibles sur la route de Cobonne à environ 5 km du village, au lieu-dit Les Gauthiers, sur le petit pont au milieu du hameau[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 Suzanne Descroix    
1989 1995 Jean Descroix    
1995 2001 ?    
2001 2008 ?    
2008 2011 Noël Sauret    
2011 (janv.)
(élection ?)
2014 Carole Thourigny    
2014 2020 Béatrice Martin (sans étiquette) Cadre
2020 En cours
(au 29 mars 2021)
David Garayt[17][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 214 habitants[Note 2], en évolution de +31,29 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400460635687671650648606602
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
578569568552528478465423402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
380394364301260231210182181
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
138137128126135156164166165
2018 2021 - - - - - - -
208214-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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La commune relève de l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : le deuxième dimanche de juillet[12].

Loisirs

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Médias

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Économie

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Agriculture

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En 1992 : pâturages (ovins, caprins), volailles[12].

Tourisme

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Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Ruines du vieux village et du château de Gigors[12].
Au sommet du rocher, ruines de deux tours et d'un donjon rectangulaire du XIIe siècle. Chapelle castrale à l'extrémité du rocher[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Gigors-et-Lozeron possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Gigors-et-Lozeron et Beaufort-sur-Gervanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Crest », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Gigors-et-Lozeron.
  13. https://www.geoportail.gouv.fr/
  14. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 160 (Gigors).
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 191 (Lauzeron).
  17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Eglise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).