Durtal

commune française du département de Maine-et-Loire
(Redirigé depuis Gouis)

Durtal est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Durtal
Durtal
Le centre-bourg de Durtal avec en arrière-plan, le château.
Blason de Durtal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe
Maire
Mandat
Pascal Farion
2020-2026
Code postal 49430
Code commune 49127
Démographie
Population
municipale
3 351 hab. (2021 en évolution de −0,59 % par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 22″ nord, 0° 14′ 24″ ouest
Altitude 34 m
Min. 21 m
Max. 94 m
Superficie 60,58 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Durtal
(ville isolée)
Aire d'attraction Durtal
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Durtal
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Durtal
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Durtal
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Durtal
Liens
Site web Ville de Durtal

Géographie

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Localisation

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Commune angevine du Baugeois, Durtal se situe à l'ouest de La Fléche, sur les routes D 59, D859 et D 323 (N 23)[1]. Le Loir traverse la partie sud de son territoire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 662 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marcé à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Durtal est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Durtal[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Durtal, dont elle est la commune-centre[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,5 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), terres arables (15,4 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), cultures permanentes (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie et héraldique

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Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées (Castrum) Duristalli en 1030[15], Duristallum (sans date)[16].

Il s'agit d'un des rares composés germaniques dans cette partie de la France, témoignage d'un établissement des Francs ou des Saxons. Il est issu du germanique stall « écurie » ou « auberge »[15] ou encore « établissement »[16], précédé d'un élément indéterminé[15].

Homonymie avec Durstel (Bas-Rhin)[15],[16] et même élément dans Herstal (Belgique, Haristallio VIIIe siècle)[16].

Héraldique

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Armes de Durtal

Les armes de Durtal se blasonnent ainsi :

Écartelé, au premier et au quatrième de gueules au pal d'or, au deuxième et au troisième d'azur à la barre d'argent.

Histoire

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Préhistoire et Antiquité

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Plusieurs découvertes font état d'une occupation préhistorique et celtique du territoire de la commune : plusieurs haches en pierre polie, des haches en bronze à douilles, à talons et à ailerons, des fragments de haches, d'épées et d'une pointe de lance, un bracelet et un cerf en bronze de la période de La Tène III. Le lieu-dit la Grande Pierre pourrait désigner un ancien site mégalithique. L'occupation ancienne du lieu aurait pu être en lien avec un point de passage sur le Loir[17].

Moyen Âge

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Vers 1050, sous le comte d'Anjou Geoffroy Martel, un premier château est créé à Durtal. Le site, avec son promontoire sur la rive droite du Loir, est favorable à une installation défensive et la construction d'un pont, peu de temps après le château, y concentre les circulations. Le premier château est probablement une construction en bois sur motte, mais munie d'une large enceinte. Le premier seigneur, Hubert Le Rasoir, y fait construire une chapelle et Geoffroi Martel en fait une paroisse indépendante[18].

Le développement des échanges, grâce à la construction du pont, a pour conséquence la création d'un premier bourg, peut-être à l'intérieur de la première enceinte, puis d'un second près de l'ancienne église paroissiale de Gouis à partir de 1056/1060, donné à l'abbaye Saint-Aubin d'Angers et enfin d'un troisième, à partir de 1096, confié à l'abbaye Saint-Serge d'Angers[18].

Au Moyen Âge, Durtal dépend de la sénéchaussée de Baugé. La seigneurie (baronnie) est longtemps associée à celle de Matheflon.

Ancien régime

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Sous l'Ancien Régime et jusqu'à la Révolution française, Durtal dépend du Pays d'élection de La Flèche[19].

Époque contemporaine

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Entre 1790 et 1794, Durtal fusionne avec les communes voisines de Gouis et de Saint-Léonard-de-Durtal[20].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[21],[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Michel Brouard    
Michel Le Brecq    
Urbain Briand    
Henri Pion    
René Hardiau de la Patrière    
Jules Charlery    
Henri Pion    
Jean Pion    
Alexandre Choisnet    
Alfred Marchand    
Raoul Charlery    
Alexandre Choisnet    
Émile Cornilleau    
Jean d’Andigné Conservateur Propriétaire
Conseiller général de Durtal (1906 → 1937)
Amédée Meynier    
Émile Poirier DVD Médecin
Conseiller d'arrondissement (1937 → 1940)
mars 1965 Victor Soulard
(1921-2005)
  Pharmacien
Premier adjoint au maire (1959 → 1965)
Président du SIVOM de la région de Durtal
mars 1977 Raphaël Devaux
(1921-2003)
  Retraité de la Gendarmerie, maire honoraire
Adjoint au maire (1971 → 1977)
mars 1989
(démission)
René Schaeffer Centriste Ancien responsable d'entreprise arboricole
[23] Jean Tardif MRG Retraité, maire honoraire
mars 2001 André Logeais DVG Professeur d'allemand retraité, maire honoraire
Premier adjoint au maire (1995 → 2001)
Président (2002 → 2008) puis 1er vice-président
(2008 → 2014) de la CC Portes de l'Anjou
mars 2014 mai 2020 Corinne Bobet[24],[25] DVG Responsable d'association d'insertion
Vice-présidente de la CC Anjou Loir et Sarthe
mai 2020 En cours
(au 26 mai 2020)
Pascal Farion[26]   Commerçant
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats

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Jumelages

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La ville de Durtal est jumelée[27] avec :

La commune d'Obernkirchen en Allemagne

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-même membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou.

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, Durtal fait partie du canton de Durtal, dont elle est le chef-lieu, et de l'arrondissement d'Angers[28]. C'est l'un des quarante et un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Tiercé, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[29].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 3 351 habitants[Note 3], en évolution de −0,59 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 7623 1073 5413 2853 4653 4073 4523 5403 553
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 5273 5283 5123 2843 1703 2923 2203 1773 065
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1553 1743 2182 8542 9592 6322 7952 9552 886
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 1023 1613 2513 2403 1953 2243 3193 3103 349
2015 2020 2021 - - - - - -
3 3713 3433 351------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 670 hommes pour 1 702 femmes, soit un taux de 50,47 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,9 
8,9 
75-89 ans
10,8 
16,1 
60-74 ans
16,8 
20,4 
45-59 ans
18,6 
17,9 
30-44 ans
18,2 
15,5 
15-29 ans
13,0 
20,5 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Vie locale

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On y trouve plusieurs clubs sportifs : handball, volley-ball, cyclisme, football, tennis, tennis de table, tir, moto, badminton, pétanque, etc[35].

La société des courses de Durtal est représentée sur l'hippodrome de la Carrière, situé sur la commune des Rairies, distante de quelques kilomètres.

Économie

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Sur 295 établissements présents sur la commune à fin 2010, 18 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[36].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Durtal a été récompensée de trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2011)[37].

Monuments :

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 88-93.
  • Dr. Émile Poirier, Histoire de Durtal de l'an 1000 à nos jours, Le livre d'histoire/Lorisse (Paris), 1999.
  • Abbé J. Grosbois, Durtal et ses environs, Rassorts Lorisse (Paris), 2006.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. IGN et BRGM, Géoportail Durtal (49), consulté le 2 septembre 2012.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Durtal et Marcé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Marcé », sur la commune de Marcé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Marcé », sur la commune de Marcé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Durtal », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Durtal »..
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Durtal », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c et d Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 256b.
  16. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
  17. Célestin Port 1978, p. 90.
  18. a et b Noêl-Yves Tonnerre, « Les bourgs angevins. Quelques exemples », dans André Chédeville et Daniel Pichot (dir.), Des villes à l'ombre des châteaux. Naissance et essor des agglomérations castrales en France au Moyen Âge, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Archéologie & Culture », , 239 p. (ISBN 978-2-7535-1144-6), p. 79-87.
  19. Célestin Port 1978, p. 92.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Célestin Port 1978, p. 93, liste des maires jusqu'en 1978.
  22. [PDF] 19 hommes et 1 femme comme premier magistrat, L'info n° 90, été 2014, p. 4.
  23. « Un nouveau maire à Durtal : Jean Tardif, radical de gauche », Ouest-France,‎ .
  24. Mairie de Durtal, Corinne Bobet, nouveau maire de Durtal, consulté le 7 avril 2014.
  25. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive).
  26. « Durtal. Élections municipales. Pour Corinne Bobet : « Aucun élu ici présent est légitime » », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  27. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères et européennes (consulté le ).
  28. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Durtal, consultée le 28 février 2015.
  29. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Durtal (49127) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  35. « Associations durtaloises (annuaire) », sur Mairie de Durtal (ville-durtal.fr), 2021-2022 (consulté le ).
  36. Insee, Statistiques locales du territoire de Durtal (49), consultées le 31 mars 2013.
  37. « Journal municipal L'infos n°80 », sur le site de la ville de Durtal (consulté le ).
  38. « Château-Bosset ou château Bocé », notice no PA00109091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Château (Durtal) », notice no PA00109090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Château de la Motte-Grollier », notice no PA00109433, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Manoir d'Auvers », notice no PA00109092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Manoir de Serrain », notice no PA00109093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105), p. 215.
  44. Hommage à Claude Bernard Aubert, sur Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD).
  45. Hommage. Durtal se souvient avec émotion de Michel Rocard, 7 juillet 2016, sur Le Courrier de l'Ouest.