Le Trait
Le Trait est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Le Trait | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Patrick Callais 2020-2026 |
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Code postal | 76580 | ||||
Code commune | 76709 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Traitons | ||||
Population municipale |
4 780 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 273 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 29′ 19″ nord, 0° 48′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 117 m |
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Superficie | 17,52 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Le Trait (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Barentin | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune se trouve sur la rive droite de la Seine, en bordure de la forêt domaniale du Trait-Maulévrier. Elle fait partie de la Métropole Rouen Normandie.
Géologie et relief
modifierHydrographie
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jumièges à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Paysages
modifierMilieux naturels et biodiversité
modifierLe Trait fait partie du Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Le Trait est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Le Trait[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,9 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), terres arables (2,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierLe Trait est reliée à Rouen et au Havre par la route départementale 982.
Le pont le plus proche permettant de traverser la Seine est le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux. Le bac le plus proche est celui de Yainville mais il existe aussi celui de Duclair.
Une ligne de bus fait la liaison sur la ligne Caudebec en caux (Rives en Seine)-Rouen ou Le trait-Rouen.
Il existe une solution de transport à la demande afin de pouvoir se déplacer dans les communes alentour.
Risques naturels et technologiques
modifierQualité de l'environnement
modifierToponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia parrochialis de Tractu et Yenvilla ou Ecclesia de Yeinvilla et Tractu en 1462[14]; Le Trait Yainville en 1648, 1704, et 1715; Le Trait en 1757[15].
La paroisse était ordinairement appelée Le Trait Yainville. Au point de vue civil cependant, le Trait dépendait de Caudebec et Yainville de Rouen. En 1790, elles forment deux communes du district de Caudebec-Yvetot[15].
François de Beaurepaire suggère d'expliquer ce toponyme par le latin trajectum « passage d'eau »[16], comprendre gallo-roman *TRAECTU. La forme moderne trajet (traject XVIe siècle, le trajet [« la traversée »] d'une riviere) est un emprunt à l'italien tragetto, influencé par le latin classique trajectus de même étymologie[17]. Le terme gallo-roman a aussi été emprunté par le germanique et on le retrouve comme appellatif toponymique sous les formes -tricht ou -trecht (Pays-Bas, Allemagne), par exemple dans Maastricht (P-B, [Ad] Treiectinsem [urbem] vers 575, Treiectensis en 634, Triecto, Triectu au VIIe siècle), Maas- désignant la Meuse, d'où le sens global de « passage d'eau sur la Meuse » ou Utrecht (Rheno Traiectum, puis Ultraiectum)[18].
Histoire
modifier- Présence préhistorique attestée dans la forêt.
- Place forte au Moyen Âge, son château fort surplombant la Seine a été délaissé par ses propriétaires, les comtes de Maulévrier (titre alors appartenant à la famille du Fay), au profit d'une nouvelle demeure, le château du Taillis, à la Renaissance. Le château est toujours visible mais désormais situé sur la commune voisine de Duclair.
- Bombardement du chantier naval par des Boeing B-17 Flying Fortress le ; le 4 août et le [19], le 25 juin, et fin août 1944[20], le chantier est à nouveau bombardé.
- En lisant le texte ci-dessous, largement inspiré du livre de Maurice Quemin, Le Trait berceau de 200 navires. Que sont-ils devenus ?, vous saurez pourquoi.
Ancien relais de poste du XVIe siècle, Le Trait, jadis village rural, a été pendant un peu plus d'un demi-siècle une cité industrielle et prospère. Au début du XXe siècle, le modeste village d'environ 400 âmes somnole en bordure de forêt avec la Seine comme décor et seulement traversé par un passage important reliant les abbayes de Saint-Wandrille et de Jumièges. Dès 1917, Le Trait, dont la population se compose exclusivement de laboureurs, pêcheurs ou bûcherons, va subir une transformation importante et devenir une ruche industrielle dont le nom va pendant plus de 50 ans rayonner dans le monde entier grâce à ses navires-ambassadeurs. En effet, au cours de la Première Guerre mondiale, le ministre de la Marine marchande, redoutant la pénurie de navires, s'intéresse à la construction navale et Le Trait, compte tenu de sa position géographique, retiendra l'attention des bâtisseurs qui dès 1916 transformeront la petite commune rurale en une ville champignon. C'est alors que commencera le recrutement de la main-d'œuvre. De Dunkerque à Nantes en passant par Brest, arriveront des professionnels, et de nombreux étrangers polonais, tchécoslovaques, yougoslaves, italiens, etc. s'installeront au Trait y faisant souche pour la plupart. De 1 800 habitants en 1926, la population s'accroît à 3 200 en 1936 pour atteindre plus de 6 000 habitants en 1972, date de la fermeture des chantiers navals. Ainsi, pendant plus d'un demi-siècle les chantiers construisent 200 unités d'une très haute technicité pour la Marine marchande et la Marine nationale.
Une cité-jardin y est construite en 1917, avec des maisons de style néo-normand à colombages de ciment[21].
Il existait deux bacs permettant de franchir la Seine[22] :
- un passage piéton entre le Vieux-Trait et le lieu dit le passage du Trait à Heurteauville,
- un passage ouvert à la circulation des véhicules (y compris poids lourds[23]) entre le centre de La Mailleraye-sur-Seine et la zone industrielle au nord de la commune.
Ce dernier bac ferme en 1977 après l'ouverture du pont de Brotonne.
Politique et administration
modifierIntercommunalité
modifierLa commune fait partie de la Métropole Rouen Normandie
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEau et déchets
modifierEspaces publics
modifierLa commune est classée « trois fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[Quand ?].
Enseignement
modifierLa commune relève de l'académie de Normandie.
L'enseignement des élèves de la commune se fait dans les écoles primaires Pierre-et-Marie-Curie et Guy-de-Maupassant et au collège Commandant-Charcot.
Postes et télécommunications
modifierSanté
modifierJustice, sécurité, secours et défense
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 4 780 habitants[Note 4], en évolution de −6,62 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
modifierSports et loisirs
modifierVie associative
modifierCultes
modifierLe Trait appartient à la paroisse catholique Saint-Philibert de Duclair – Boucles de Seine qui fait partie du doyenné Rouen-Ouest de l'archidiocèse de Rouen.
Médias
modifierÉconomie
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierEntreprises et commerces
modifier- Les Ateliers et chantiers de la Seine-Maritime ont été actifs de 1916 à 1972, spécialisés en construction navale. Le site a été reconverti et produit de nos jours des équipements pour la construction sous-marine pétrolière offshore sous l'égide de TechnipFMC.
- Industrie pharmaceutique (Sanofi Winthrop).
- Zone industrielle du Malaquis.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Nicolas[32].
- Vestiges d'un château fort[33].
- Bibliothèque.
- Conservatoire de musique et de danse à rayonnement intercommunal Georges-Couvez.
- Centre de loisirs Robert-Doisneau.
- Centre social La Zertelle.
- Urbanisation caractéristique : à l'instar des constructions du type « corons » (bassins miniers du Nord de la France), un type d'architecture cité-jardin[34] est notable sur la commune du Trait : les "maisons du chantier", qui ont progressivement remplacé les « baraquements » alors en place à la suite d'un accroissement massif de la population. Dans le quartier de la Neuville, ainsi que de part et d'autre de la voie principale, trois types d'habitations très homogènes ont été construits à l'initiative de la Société des Chantiers du Trait, essentiellement durant la première moitié du XXe siècle, à destination de ses employés. Bâties essentiellement à base de mâchefer et de style "anglo-normand", on dénombre ainsi, par zones urbaines séparées : les maisons dites « des ouvriers » (jumelées, 2 logements peu spacieux, toiture à 2 pans), "des contremaîtres" (jumelées, 4 logements plus spacieux, toiture à 4 pans), « des ingénieurs » (individuelles), des plus simples aux plus confortables. Ces ensembles forment aujourd'hui autant de quartiers pavillonnaires distincts. Architecte initial : Gustave Majou[35]
- Maison métallique " Fillod " bénéficiant du label « Patrimoine du XXe siècle »[36].
- Monument aux morts dû à Maurice Ringot. Inscrit aux monuments historiques par arrêté du [37].
Patrimoine culturel
modifierLe Trait est un lieu important dans la série audio Le Signe de l’ogre tirée du roman de Julien Lefebvre qui y a grandi[38].
Personnalités liées à la commune
modifier- Maurice Ringot (1880-1951), sculpteur, y a habité.
- François Duprat (1940-1978) y habitait.
Héraldique
modifierLes armes de la commune du Trait se blasonnent ainsi : Le léopard rappelle les armes de la Normandie. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Jacques Derouard, Simples notes sur l'histoire du Trait, Le Trait, Groupe archéologique du Val de Seine, 1979
- B. Maheut, « Histoire des chantiers navals du Trait », Musée maritime Rouen, no 7, 1985
- Maurice Quemin (préf. Henri Nitot), Le Trait, berceau de 200 navires, que sont-ils devenus ?, Le Trait, M. Quemin, , 400 p. (ISBN 2-9502241-0-5, OCLC 462156668)
- Paul Bonmartel, Le Trait, cité nouvelle, 1917-1944, 1995
- Paul Bonmartel, Histoire du chantier naval du Trait 1917-1972, 1997
- Paul Bonmartel, Histoire du patrimoine industriel de Duclair - Yainville - Le Trait 1891-1992, 1998
- Gilbert Fromager (préf. Charles Carré), Le Canton de Duclair à l'aube du XXe siècle, Duclair, G. Fromager, , 163 p. (ISBN 2-9501653-0-3)
- Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1)
- Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263 p. (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p. 84-93Sur le chantier naval.
- Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263 p. (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p. 232-233Sur la cité du Nouveau Trait.
- « Le Trait », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) vol. 1, p. 448-449
- Mathieu Bidaux et Christian Lebailly, 50 ans de construction navale en bord de Seine : les ACSM et leur cité-jardin (1917-1966), wormsetcie.com, 2017, 374 p.
Articles connexes
modifier- Liste des communes de la Seine-Maritime
- Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande
- Ligne de Barentin à Caudebec-en-Caux
- Affaire Jacques Gaimard
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le Trait sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Le Trait et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Trait », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1354, G. 4.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 988.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éd. Picard, 1979, p. 157.
- Site du CNRTL : étymologie de trajet (lire en ligne)
- Gysseling 1960, p. 646-647.
- Gontran Pailhès (préf. Pierre Varenne), Rouen et sa région pendant la guerre 1939-1945, Rouen, Henri Defontaine, , 309 p., p. 168, 172.
- Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1), p. 171.
- Luc Le Chatelier, « La cité-jardin a le droit de cité à Elbeuf », telerama.fr, 30 août 2018.
- Jean-Pierre Derouard, « Rive gauche, rive droite. Passages d'eau et relations entre les rives de la Seine », Études normandes, nos 43-4, , p. 17-30 (lire en ligne)
- « Le bac du Hode, sur l'estuaire de la Seine », Le génie civil, (lire en ligne)
- « Raymond Brétéché », Célébrités, sur seine76.fr (consulté le ).
- « Jean-Marie Aline », Célébrités, sur seine76.fr (consulté le ).
- « Municipales 2020 : le maire du Trait Patrick Callais se présente pour un deuxième mandat : Le maire sortant souhaite poursuivre son action engagée depuis 2014. Il vise un second mandat avec une liste apolitique », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Saint-Nicolas », notice no IA00021724.
- « Château fort », notice no IA00021723.
- Notice no ACR0000919.
- Gustave Majou (1862-1941) sur CTHS.fr.
- « Maison métallique " Fillod " », notice no PA76000096.
- Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2022.
- « Un thriller normand à écouter », Paris-Normandie, (lire en ligne).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.