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Liste des commanderies templières en Rhône-Alpes

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Cette liste recense les commanderies et maisons de l'Ordre du Temple qui ont existé dans l'ancienne région Rhône-Alpes.

Faits marquants et histoire

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Blason de Rhônes-Alpes
Le soi-disant « Château des Templiers » d'Échirolles.
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Aux XIIe et XIIIe siècles, cette région était partagée entre différents comtés, notamment celui d'Albon (Dauphiné) et celui de Savoie (à l'Est).

Commanderies

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Commanderie Ville actuelle (ou à proximité) Observations
Acoyeu Brens [1]
Domus Templi d'Acoyeu (1261)[2]
Albon Albon [3]
Avallon Saint-Maximin Maison[4]
Maison du Temple d'Avallon (1218)[5]
Beaulieu[N 1] Mirabel-aux-Baronnies [6]
Chambéry Chambéry Devient la commanderie hospitalière dite de Saint-Jean-du-Temple à partir de 1371. Auparavant les Hospitaliers étaient au sud de la cathédrale, rue Croix-d'Or[7]
Curtaringe Viriat Maison dépendante de Laumusse[8]
Échirolles Échirolles Maison ou commanderie [9] ?
Les Ecopets Vernoux Maison ou commanderie [10]?
Ecorcheloup Montluel À proximité du hameau de Jailleux[11],[12]
Gland Saint-Maurice-en-Gourgois [13]
Jalès Berrias-et-Casteljau Logo monument historique Inscrit MH (1981)[14],[15]
Lachau Lachau [3]
L'Aumusse Crottet [16]
Fratres de Mucia (1186)
Fratres Militie Templi Jerosolomitani de Mucia (1240)
Preceptor domus de Lamucy et de Corchylou (1283)
Domus milicie Templi de Mucia et de Bella Villa (1287)
Domus Templi de Lammens Eduensis diocesis ; preceptor de la Muce (procès)
Le Col-de-Menée Treschenu-Creyers [17]
Lus-la-Croix-Haute Lus-la-Croix-Haute Logo monument historique Inscrit MH (2005)[18]
Lyon Lyon, 2e arrondissement [19]
Maconnex Ornex Maison [20]
Molissole Druillat / Pont d'Ain [21],[22]
Montélimar Montélimar [23]
Domus Templi de Montilio
Montiracle Villemoirieu [24]
Moussy Cornier A vérifier
Saint-Émilien[N 2] Valence [25],[26]
Domus Templi de Valencia (1201)[27], Domus milicie Templi Valencie et de Garausone (1294)
Saint-Paul-Trois-Châteaux Saint-Paul-Trois-Châteaux [28]
(1136)
Quartier Saint-Jean[29],[N 3]
Vaulx Vaulx-Milieu [30],[31]
Domus Templi de Valt[32]
Verneuil Saint-Cyprien Domus Templi (1264)[33]
Villars Villars-les-Dombes [22],[34]
Templum de Vilariis (c.1250)
fratri Poncio Lugdunensi, preceptori domus milicie templi de Vilars (1274)[35]
Pons de Lyon, commandeur de Villars (1274, 1280)
localisation en Rhône-Alpes
(Liens vers les articles correspondants)

Autres lieux

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  • Dans l'Ain:
    • Des granges à Domenas[N 4], Miribel, Montluel et la maison dite de « Tanay » (Tramoyes)[N 5] qui dépendaient d'Ecorcheloup[12]. Rien ne permet d'affirmer qu'il s'agissait de commanderies contrairement à ce qui est mentionné dans certains ouvrages de vulgarisation.
  • En Ardèche:
    • Domaine / grange de Grozon[36] (Garausone, 1294) qui dépendait de la commanderie Saint-Etienne de Valence[37]
  • Dans la Drôme:
    • Maison du Temple de Boynesac, Bois Naiza, commune de La Touche
    • Maison du Temple de Chamier[38], commune de Saint-Paul-Trois-Châteaux[N 6]
    • Maison du Temple et église Saint-Vincent (disparues), quartier Saint-Vincent, commune de Saint-Paul-Trois-Châteaux[39].
    • Maison du Temple de Saint-Laurent-en-Royans (domum Sancti Laurencii in Roanis, que fuit condam Militie Templi, 1314)[40]
  • En Isère[41]:
    • Maison du Temple des Abrets
    • Allevard (Temple de)
    • Maison du Temple d'Avallon
    • Maison du Temple de Bressieux (preceptor de Bresiaco, c.1250)[42]
    • Maison du Temple de Beaurepaire / La Valloire
    • Bennet (Temple de), commune de Merlas
    • Bessay / Recoing (Temple de)
    • Cluze-et-Paquier (Temple de)
    • Maison du Temple d'Echirolles
    • Jons / Pommier (Temple de)
    • Mens, (Temple de)
    • Maison du Temple de Montiracle
    • Maison du Temple d'Ornacieux
    • Le Perier (Temple de)
    • Maison du Temple de Planaise / Réaumont
    • Commanderie de Richerenches (Dauphiné) de 1136 à 1320
    • Saint-Blaise-de-Buis
    • Saint-étienne-de-Grossey
    • Tirieu
    • Touvet (le)[43]
    • Vienne
    • Villard-Benoît
    • Maison du Temple de Vourey (1236)[44]

Possessions douteuses ou à vérifier

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  • Un prieuré des Templiers aux tours Saint-Jacques avec une chapelle sous le vocable de Saint Philippe et de saint Jacques, commune d'Allèves en Haute-Savoie[55].
  • La maison du Temple de Clansayes dans le département de la Drôme: Assertion de l'abbé Boyer mais aucune mention avérée de cette maison. Elle n'apparait pas dans le cartulaire de Richerenches ni ailleurs contrairement à celle toute proche de Saint-Paul-Trois-Châteaux. D'autre part, la commanderie hospitalière Sainte-Marie de Toronne n'est mentionnée que bien après la dévolution[56] et les templiers n'ont reçu qu'un modeste don en 1164 du « bois de Pansier » près de Clansayes[57].
  • La commanderie de Lachal dans le département de la Drôme: Origine templière douteuse dans la mesure où une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem est attestée à partir de 1263[58] et que le moulin du Temple dépendant de Lachal était celui d'Albon.
  • Une maison du Temple à Vizille en Isère: Emile-Guillaume Léonard mentionne un document de 1314 citant la maison du Temple de Vizille[N 9]. Pour d'autres publications plus récentes, Vizille est d'origine hospitalière[59].

Voir aussi

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Liste des commanderies templières

Bibliographie

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Notes

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  1. ↑ Ne pas confondre avec les différentes commanderies portant ce nom cf. Commanderie de Beaulieu.
  2. ↑ Les Hospitaliers étaient déjà présents à Valence à l'époque des Templiers, leur commanderie était sous le vocable de Saint-Vincent (Fillet 1895, p. 9-10).
  3. ↑ Actuellement place, rue et impasse Saint-Jean.
  4. ↑ Toponyme non identifié.
  5. ↑ Tanay, aujourd'hui disparue se trouvait dans le canton de Reyrieux, vraisemblablement sur la commune de Tramoyes.
  6. ↑ Chamier est un toponyme disparu qui se trouvait à l'ouest de Saint-Paul-Trois-Châteaux à l'emplacement du canal de Donzère-Montdragon (cf. Carte de Cassini: 44° 20′ 33″ N, 4° 44′ 13″ E). Après la dévolution des biens du Temple, Chamier fut cédé par les Hospitaliers en 1329 au seigneur Agout de Baux mais l'évêque de Saint-Paul fit valoir ses droits dessus (Malbois 1929, p. 134-135).
  7. ↑ Exemple typique d'un lieu qui ne correspond pas aux divisions régionales d'aujourd'hui. Il s'agissait du comté épiscopal du Velay et cette possession dépendait de la province d'Auvergne.
  8. ↑ Le nom exact de cette maison du Temple pendant la période templière n'est pas connu puisqu'elle n'est mentionnée que bien après sa dévolution (1370, domus Templi) mais elle se situait dans la paroisse de Mably (in parrochia Mabliaci) donc il est peu probable qu'elle se soit appelée maison du Temple de Saint-Romain.
  9. ↑ « Secundum actum a. 1314 conscriptum, in Gratianopolitano pago Templarii habebant domus « Visilie » » (Léonard 1930). Un Hospice de Vizille est bien cité en 1228 dans le testament de Béatrice d'Albon mais sans mention de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, un commandeur de Vizille apparait en 1290 mais là encore sans mention de son ordre [à vérifier].

Références

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  1. ↑ Guigue 1873, p. 2, 54, 121, 286, lire en ligne sur Gallica
  2. ↑ Marie-Claude Guigue, Petit cartulaire de l'abbaye de Saint-Sulpice en Bugey, (lire en ligne), p. 118 (n°37)
  3. ↑ a et b Brun-Durand 1891, p. 385, lire en ligne sur Gallica
  4. ↑ Delachenal 1897, p. 21
  5. ↑ a et b Félix Bernard, « Le Décanat de Val-Penouse : Le prieuré de Sainte-Hélène du Lac (chapitre VI) », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie,‎ , p. 291, lire en ligne sur Gallica
  6. ↑ Durbec 2001, p. 125, 319
  7. ↑ Perrin 1885
  8. ↑ Guigue 1873, p. 130, lire en ligne sur Gallica
  9. ↑ René Guillemier, Notre-Dame des autels et la « Roche Courbière », , 120 p. (ISBN 978-2-8106-0283-4, lire en ligne), p. 59-60
  10. ↑ Guigue 1873, p. 142, lire en ligne sur Gallica
  11. ↑ Sylvie Dechavanne et Frédérique Favier, Carte archéologique des cantons de Miribel et Montluel, (présentation en ligne)
  12. ↑ a et b Guigue 1873, p. 139-140, lire en ligne sur Gallica
    Localisée sans plus de précision comme étant proche de Dagneux, mais il s'agit en fait de Jailleux, cf. Carte archéologique des cantons de Miribel et Montluel, 1986.
  13. ↑ Notice no IA42000290, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  14. ↑ Carraz 2005, p. 94
  15. ↑ Notice no PA00116646, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  16. ↑ Trudon des Ormes 1899, p. 230-231, lire en ligne sur Gallica
  17. ↑ Brun-Durand 1891, p. 97, lire en ligne sur Gallica
  18. ↑ Notice no PA26000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. ↑ C. Arlaud (dir.), Lyon, les dessous de la presque-île..., Lyon, Documents d'archéologie en Rhône-Alpes, , 280 p. (ISBN 9782906190245), p. 201-213
  20. ↑ Guigue 1873, p. 214, lire en ligne sur Gallica
  21. ↑ Guigue 1873, p. 238, lire en ligne sur Gallica
  22. ↑ a et b Edouard Philipon, Dictionnaire topographique du département de l'Ain : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale (Paris), (lire en ligne), p. 424
    Également lire en ligne sur Gallica.
  23. ↑ Brun-Durand 1891, p. 229, lire en ligne sur Gallica
  24. ↑ Notice no IA38000109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. ↑ Société d'archéologie de la Drôme et Ulysse chevalier (éditeur), Cartulaire du prieuré de Saint-Pierre-du-Bourg-lès-Valence : (la) Chartularium ecclesiae Sancti Petri de Burgo Valentiae ordinis Sancti Augustini, , p. 16,41, lire en ligne sur Gallica
    1183:Ténement des frères du Temple près du ténement de Jean Glaudus (tenemento fratrum Templi juxta tenementum Joanis Glaudus)
    1210: Ténements des frères du Temple proche du Rhône (tenementi Fratrum Templi apud Rodanum)
  26. ↑ Abbé L. Fillet, Histoire religieuse de Saint-Laurent-en-Royans : Drôme, , p. 8, lire en ligne sur Gallica
  27. ↑ Paul Guillaume, Chartes de Durbon, quatrième monastère de l'ordre des Chartreux, diocèse de Gap, , p. 173-174 (n°245), lire en ligne sur Gallica
  28. ↑ E. Malbois, « Les Templiers à Saint-Paul-Trois-Chateaux », Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme,‎ , p. 130-135, lire en ligne sur Gallica
  29. ↑ François de Ripert-Monclar, Le Cartulaire de la commanderie de Richerenches de l’Ordre du Temple, Avignon / Paris, Fr. Seguin / H. Champion, , p. 224 (n°255), lire en ligne sur Gallica
    1183: « domus Bonaisaci preceptoris » ⇒ Le commandeur de la maison de Boynesac.
  30. ↑ Niepce 1883, p. 248
  31. ↑ Delachenal 1897
  32. ↑ Delachanal 1897, p. 52.
  33. ↑ Jean-Étienne Dufour, Dictionnaire topographique du département de la Loire, Publications de l'université de Saint-Etienne, (1re éd. 1946) (ISBN 978-2-8627-2412-6, présentation en ligne), p. 1041 ; Georges Guichard, Guy de Courtin, Edouard Perroy et Jean-Étienne Dufour, Chartes du Forez antérieures au XIVe siècle : N°301 à 450, t. III, Protat Frères, , N°334
  34. ↑ Henri Robin, « Villars-lès-Dombes et ses templiers : une importante commanderie rurale », Revue de l'Académie de la Dombes, no 19,‎ 1999-2000, p. 18-19
  35. ↑ Louis Aubret et Marie Claude Guigue, Mémoires pour servir à l'histoire de Dombes, vol. 4, (lire en ligne), p. 189 (doc. 148)
  36. ↑ Marie Thérèse Mirabel-Chambaud, « La grange du Temple de Grozon », dans Si Vernoux m'était conté, (présentation en ligne), p. 135
  37. ↑ Léonard 1930.
  38. ↑ Malbois 1929, p. 132, 134-135.
  39. ↑ Malbois 1929, p. 133.
  40. ↑ Abbé L. Fillet, Histoire religieuse de Saint-Laurent-en-Royans : Drôme, , p. 12, lire en ligne sur Gallica
    Archives du département de l'Isère, B 2704.
  41. ↑ Delachenal 1897, p. 21-23.
  42. ↑ Delachanal 1897, p. 19.
  43. ↑ Confusion avec Le Touvet, commune de Sainte-Hélène-du-Lac en Savoie (Bernard 1931, p. 290-291).
  44. ↑ Les compagnons de Volvredo, « Charte de Vourey (1236) »
    Cette charte qui émane de Geoffroy, seigneur de Moirans concédant le village de Vourey aux Templiers permet d'identifier une autre maison du Temple (Planaise) et les templiers suivants: Ancelme de Chatonay, commandeur de la baillie du Viennois ; un frère du Temple, prêtre du Temple de Valloire (Beaurepaire) ; frère Martin, commandeur de la maison du Temple de Planaise (Réaumont) ; les frères du Temple, P. de Cordon, Etienne et Louis (de la maison de Vourey ?).
  45. ↑ Chartes du Forez antérieures au XIVe siècle : Pièces 1 à 300, t. I, Protat Frères, (présentation en ligne), p. 25, n°26
  46. ↑ Maurice Valla, « Chemins du Puy et de Saint-Jacques (suite) », Bulletin de la Diana,‎ , p. 230, note73, lire en ligne sur Gallica
    On ne trouve pas de toponyme « Le Temple » entre Sainte-Agathe-la-Bouteresse et Saint-Étienne-le-Molard, en revanche il y a « Chartre ».
  47. ↑ Dufour 2006, p. 970-971.
  48. ↑ Demurger 2008, p. 113 & 311
  49. ↑ Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC 422251418, présentation en ligne), p. 303
    L'auteur mentionne un commandeur templier en 1250: Frère André, commandeur de Marlhes. Information qu'il a puisé dans les archives départementales du Rhône sans plus de précision sur la cote.
  50. ↑ Charpin-Feugerolles (Comte de) et M.-C. Guigue, Cartulaire du prieuré de Saint-Sauveur-en-Rue, Lyon, (lire en ligne), p. 138-139
    Doc. CLXXI, 1 septembre 1281 : « Domus Templi de Marlhetas ». Voir aussi Marletis, Marlhetes, Marliatis, Marlietis et Grangia Templi, Templum, preceptor de Marlhes. Entre autres 1277, « Jordanum de Sereys, præceptorem militiæ Templi Anicii & de Marletis ».
  51. ↑ Dufour 2006, p. 971.
  52. ↑ Charmasse 1878, p. 27.
  53. ↑ Gabrielle Michaux, Le chapitre cathédrale de Saint-Jean-de-Maurienne du XIe au XIVe siècle, t. XXXVII, coll. « Bulletins de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne depuis l’origine (1856) à nos jours », , 343 p. (présentation en ligne), p. 76,81
  54. ↑ Camille-Gabriel Foray, « Monographie historique de la Basse-Maurienne en Savoie (3e partie) : seigneurie et vallée des Urtières », Travaux de la société d'histoire et d'archéologie de la Maurienne (Savoie),‎ , p. 286-289 (lire en ligne)
    Le lieu-dit « Le Temple » mentionné par l'auteur n'existe plus, aujourd'hui appelé « La route des Templiers » entre La Corbière et Épierre. L'auteur précise que les templiers possédaient « Le Val des Corbeaux »
  55. ↑ Tradition populaire: « Allèves », sur patrimoine.amis-st-jacques.org/.
  56. ↑ Brun-Durand 1891, p. 343, lire en ligne sur Gallica
  57. ↑ E. Malbois, « L'ancien Clansayes », Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme,‎ , p. 80, 82, lire en ligne sur Gallica
  58. ↑ Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux : des premières positions défensives aux châteaux de plaisance, dans la Drôme, Créaphis, , 191 p. (présentation en ligne), p. 19
    Puis en 1317, ce qui a laissé penser à une origine templière: Frater Artaudus Helye, preceptor domus Hospitalis de Calma, de Chalma (1317)
  59. ↑ Paul Hamon, « La chapelle Saint-Firmin-de-Mésage et son histoire », Bulletin de l'Académie delphinale,‎ , p. 68-75 (présentation en ligne)
    Pour l'auteur le testament de Béatrice d'Albon en décembre 1228 et des documents datant de 1266 et 1290 attestent formellement de l'appartenance de la chapelle Saint-Firmin aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem au XIIIe siècle, cf. p. 71.
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