Pléboulle

commune française du département des Côtes-d'Armor

Pléboulle [plebul] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Pléboulle
Pléboulle
L'église Saint-Paul.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Communauté d'agglomération Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Myriam Cherdel
2020-2026
Code postal 22550
Code commune 22174
Démographie
Gentilé Pléboullais, Pléboullaise
Population
municipale
768 hab. (2021 en évolution de −5,54 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 34″ nord, 2° 20′ 14″ ouest
Altitude 30 m
Min. 0 m
Max. 67 m
Superficie 14,10 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pléneuf-Val-André
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Pléboulle
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Pléboulle
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Pléboulle
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Pléboulle

Les habitants de Pléboulle s'appellent les Pléboullais.

Géographie

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Localisation

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Commune littorale située au fond de la baie de la Fresnaye, Le bourg de Pléboulle se situe à environ 4 kilomètres au nord-ouest de Matignon et à 30 kilomètres au nord-ouest de Dinan.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Hénanbihen, Matignon, Fréhel, Plurien, Ruca et Saint-Pôtan.

Communes limitrophes de Pléboulle
Fréhel Baie de la Fresnaye
Plurien Pléboulle Matignon
Hénanbihen Ruca
Carte de la commune de Pléboulle

Lieux-dits et écarts

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  • Nombreux lieux-dits dont Montbran (tour), Merdrel, le temple, le Clos Dams, la Couarde, Launay-Mottais (manoir), Crissouët, Port à la Duc...

Hydrographie

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La commune est bordée à l'ouest par le Frémur Ouest.

Le ruisseau le Rat qui se jette dans la baie de la Fresnaye traverse la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 662 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Quintenic à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 769,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Pléboulle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (99,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), prairies (9,9 %), zones humides côtières (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Parrochia de Plubole en 1241, 1254 et en 1260, Ploebole en 1261, Plobole en 1269 et en 1274, Ploboule et Plouboulle en 1278, Plobole et Plouboule en 1280, Plobole en 1283 et en 1284, Plebole en 1295, Pluboule vers 1330, Pleuboulle et Pleboulle en 1443, Pleboulle en 1480, Pleuboulle en 1510 et en 1563, Pleboulle en 1569[15].

Attestée sous la forme Plubole en 1241[16]. Le nom signifie la paroisse dédiée à Saint-Paul[16].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne Pleboull[16].

Histoire

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L'Antiquité

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Le village était traversé par une voie gallo-romaine, voire plus ancienne.

Le Moyen Âge

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Au hameau de Montbran ils élevèrent au XIIe siècle une tour, pour surveiller l'entrée de la presqu'île du cap Fréhel, et le passage d'un gué permettant de traverser le Frémur, ainsi que la Foire de Sainte-Croix, plus connue sous le nom de « Foire de Montbran » qui se tenait dès cette époque vers la mi-septembre et durait une dizaine de jours[17]. C'est aujourd'hui encore une foire, mais tirant plus sur la fête foraine, et qui a lieu le premier week-end de septembre.

Les Templiers et les Hospitaliers

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Au Moyen-Âge, les Templiers s'y installèrent, construisant au XIIe siècle la chapelle de la Sainte-Croix du Temple[18] (plus connue à partir du XVIIe siècle sous le nom de chapelle de Notre-Dame du Temple).

À la suite des persécutions contre l'ordre du Temple, Pierre du Guesclin[Note 1], seigneur de Montbran et Plancoët, en devint propriétaire en 1312 avant de le rendre aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

D'autres souvenirs ont disparu comme la chapelle de Saint-Jean-Baptiste, l'aumônerie des Templiers ou encore le monastère de la Sainte-Croix de Montbran, dont ne subsiste que la tour de Montbran[19].

Le XXe siècle

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Les guerres du XXe siècle

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Le monument aux Morts porte les noms de 53 soldats morts pour la France[20] :

  • 45 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 8 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
maire en 1945 1947 René Legoff   Cultivateur
mars 2001 2008 Robert Guelfucci DVG Retraité
mars 2008 2014 Adeline Guelfucci[21] DVG Retraitée
2014 En cours Myriam Cherdel DVG Agent administratif

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 768 habitants[Note 2], en évolution de −5,54 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8857929441 0101 0491 0221 0651 1251 125
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1481 1761 2451 1441 1611 1691 0971 0811 085
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0831 0841 017908909866902836794
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
818780711686711662708733859
2021 - - - - - - - -
768--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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  • Exploitations agricoles.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Élevée au XIIe siècle, c'est un vestige précieux de l'architecture médiévale. Aucun indice, aucun document, aucune charte étudiée, n'évoque la date approximative de son édification. Propriété privée en 1780, la tour est à l'abandon total depuis plusieurs siècles. La Tour de Montbran est bâtie sur un éperon rocheux. Sa situation privilégiée assure une vue imprenable sur l'ancienne voie romaine et son passage franchissant la rivière du Frémur. Édifiée sur plan octogonal irrégulier, son exceptionnelle rareté lui confère une valeur inestimable[réf. nécessaire]. Le plan octogonal de l'édifice, malgré les côtés irréguliers retenus pour la construction, s'inscrit parfaitement dans un carré que les archéologues désignent plan rectangulaire. Chaque angle de l'octogone s'appuie sur les proéminences rocheuses.
  • Chapelle Notre-Dame-du-Temple, à Montbran[27].
La tradition en attribue la fondation au XIIe siècle par les Templiers, elle s'appelait le Temple de Sainte-Croix, et la foire de la Sainte-Croix se tenait à ses abords en septembre[28]. Au XIVe siècle[18] elle est reconstruite (en 1312) par Pierre Du Guesclin seigneur de Montbran et Plancoët, qui fit poser ses armoiries au-dessus de la porte[29] et modifée au XVIIe siècle. Le pignon ouest est surmonté d'un clocher-peigne. Elle est formée d'une nef unique séparé du chœur par un arc diaphragme brisé[30]. À l'intérieur se trouvent des statues : une de la Vierge à l'Enfant en bois polychrome du XVIe siècle et un Christ en bois du XVIIe siècle. On y trouve également un petit vitrail, avec des fragments anciens, représentant les symboles des trois évangélistes
  • Calvaire du cimetière de la chapelle N-D du Temple, la croix sans date, repose sur un fût écoté datant du XVIIe siècle orné de têtes de morts aux angles et sur les côtés des tibias.
  • L'église Saint-Paul[31].
Construite au XVIIe siècle, elle est remaniée au XIXe siècle. Elle est composée d’une tour-porche , d’une nef couverte de lambris donnant sur les bas-côtés par trois arcades basses, d’un chœur et d’une sacristie à étage . Dans le bas-côté sud s’ouvre une chapelle à trois pans couverte d’un lambris en croupe polygonale[32]. (sur le clocher on peut lire la date "1852" et sur la sacristie "1829")[18]
À l'intérieur on y trouve :
Une cuve-bénitier en granit portée par quatre personnages.
Un retable en bois sculpté datant du XVIIe siècle la représentation de saint Paul et saint Jean-Baptiste est due aux ciseaux du sculpteur Yves Corlay (1700-1776), sculptures réalisées entre 1730 et 1740.
Un Christ en bois (non daté).
Un tableau Sainte Anne enfant .
  • Croix de l'église , à l'ombre des Ifs près de l'église, bloc monolithe en pierre d'Erquy, elle mesure trois mètres de haut sur une section de 22 cm sur 15 cm. Elle ne possède pas de socle et ne comporte pas de date.

Galerie

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Notes et références

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  1. Pierre du Guesclin, un ancêtre de Bertrand du Guesclin.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Pléboulle et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Pleboulle ».
  16. a b et c Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 90, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 » (consulté le ).
  17. Henri Frotier de La Messelière, Au pays de Lamballe, "Bulletins et mémoires / Société d'émulation des Côtes-du-Nord", 1921, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k414722r/f52.image.r=Pl%C3%A9boulle?rk=171674;4
  18. a b et c « Patrimoine de Pléboulle », sur infobretagne.com.
  19. Jean Bazouge, "Guide du voyageur dans la ville de Dinan et ses environs", 4e édition, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6526215z/f230.image.r=Pl%C3%A9boulle?rk=493564;4
  20. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  21. Il s'agit de la femme du maire précédent. Source : Ouest-France, 3 avril 2008
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Tour de Montbran », notice no PA00132548, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Les objets classés de la chapelle Notre-Dame-du-Temple », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. Henri Delcroix, La chapelle Notre-Dame du Temple à Montbran, dans Le Pays de Dinan, 1996, p. 357-363.
  29. Didier Veillon, La Montbran n'existe plus. dans Le Pays de Dinan, 1993, p. 9-14. (Souvenirs de cette foire)
  30. « Chapelle de la Sainte-Croix, puis chapelle Notre-Dame-du-Temple, le Temple (Pléboulle) », sur patrimoine.bzh.
  31. « Les objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. « Église paroissiale Saint-Paul (Pléboulle) », sur patrimoine.bzh - inventaire du patrimoine culturel en Bretagne..


Voir aussi

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Bibliographie

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  • Henri Delcroix, La Tour de Montbran, Éditions Orphie, 2005.
  • Mairie de Pléboulle.

Articles connexes

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Liens externes

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