Union des intellectuels indépendants

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Union des intellectuels indépendants
Histoire
Fondation
Dissolution
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Sigle
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Type
Forme juridique
Pays
Organisation
Fondateurs
Claude Adam (d), Charles de Jonquières (d), Jean Montigny, Jacques Isorni, François Cathala (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Président
Identifiants
RNA

L'Union des intellectuels indépendants (UII) est une association politique et culturelle française, qui en défendant la liberté d'expression, sert de tribune et de lieu de sociabilité aux milieux de la droite « nationale » anticommuniste, de 1950 aux années 2000.

Histoire modifier

Fondée vers 1950 à l'instigation de l'éditeur Charles de Jonquières désireux d'apporter un soutien aux épurés condamnés par les tribunaux après la Libération[1], l'Union des intellectuels indépendants entend « grouper tous ceux et toutes celles qui exercent professionnellement ou non une activité intellectuelle et n'acceptent aucune limitation dans leur liberté de pensée ou d'expression »[2]. Elle vise à l'origine un triple objectif : « selon les statuts, lutter pour la liberté d'expression des intellectuels (écrivains, journalistes, artistes, hommes politiques), et promouvoir l'idée d'une amnistie des victimes de l'épuration condamnés hâtivement et libérer ceux qui n'étaient pas encore jugés ».

C'est pourquoi l'UII s'engagea en faveur de l'amnistie des épurés, avec la formation à la veille des élections législatives de 1951 du Comité d'action pour la grande amnistie[3], animé par deux secrétaires généraux, l'avocat parisien Pierre Leroy, futur président de l'UII, et Georges Rivollet, membre du bureau de l'UII, et formé par l'UII avec d'autres associations[Note 1]. Elle donne en 1953 une réception pour remercier les personnalités et les parlementaires qui ont aidé au vote de la dernière loi d'amnistie, avec comme orateurs, outre Jean Montigny, son président, Pierre Taittinger et l'ancien ministre Georges Bonnet[4]. Des dirigeants et des adhérents de l'UII sont membres ou proches de l'Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain. Mais d'autres sont d'authentiques résistants comme Hélène de Suzannet, Jean Epstein-Langevin, Edmond Michelet.

L'UII se fait connaître et se manifeste par des réunions d'information, auxquelles participent d'anciennes personnalités politiques de Vichy et de la IIIe République (telles René Belin, Georges Bonnet ou Pierre-Étienne Flandin) et des parlementaires comme Jean-Louis Tixier-Vignancour, Jean Legendre ou Roger de Saivre[5], à la salle des Sociétés savantes, puis à la salle Wagram. Ses réunions ont parfois été interdites du fait des protestations de mouvements de gauche. Ainsi en 1951 une conférence de François Piétri[6].

L'UII commémore également des événements. Par exemple en 1954 l'anniversaire de la libération de Paris et celui de l'élection de Léon Bérard à l'Académie française, célébrés dans les salons de l'hôtel Lutetia[7]. Ou en 1957 le 90e anniversaire du général Maxime Weygand et l'entrée à l'Académie française de Jacques Chastenet[8]. Elle organise enfin des dîners-débats[9]. Elle diffuse aussi des communiqués aux journaux et organise des cocktails littéraires, des ventes de livres et des signatures d'auteurs, marqués souvent à l'extrême droite, tels en , outre Jacques Isorni, Xavier Vallat, Maurice Bardèche, Emmanuel Beau de Loménie, Alain de Sérigny, Henry Coston, Bernard Faÿ, Henri Massis, Saint-Paulien, Philippe Héduy. Manifestation décommandée au dernier moment devant les protestations du MRAP, de la LICA et d'autres organisations de gauche[10].

L'UII combat le retour du général de Gaulle au pouvoir et appelle à voter non au Référendum du 28 septembre 1958[11]. En 1960, elle se déclare « solidaire de l'action entreprise en Algérie, avec le consentement de l'armée, pour le maintien de l'Algérie française » et élève une « énergique protestation contre la saisie abusive de journaux nationaux, défenseurs de l'intégrité du territoire et du patrimoine national, saisie qui constitue une atteinte grave à la liberté de la presse et aux principes les plus sacrés de la liberté d'opinion »[12]. En , elle appelle à voter non au prochain Référendum sur les accords d'Évian et à « refuser de voter comme le parti communiste pour la reconduction de la dictature et l'abandon déshonorant de citoyens français »[13]. Par hostilité à de Gaulle et par amitié pour des amis communs, elle appelle à voter pour François Mitterrand au second tour de l'élection présidentielle de 1965[14]. Cet engagement antigaulliste provoqua le départ d'adhérents gaullistes. Claude Adam affirme en 2002 : « Notre 'non' nous coûta cher puisque nous perdîmes plus de la moitié de nos adhérents. »[15].

Ses dirigeants, ses membres et ses conférenciers fréquentent alors d'autres associations comme l'ADMP, l'association des amis de Robert Brasillach (Adam, Cathala) - Claude Adam affirme en 1965 que l'une des toutes premières réunions de l'UII, en 1949, fut consacrée à l'écrivain Robert Brasillach, condamné à mort et exécuté à la Libération malgré une pétition signée par la plupart des écrivains français conduite par François Mauriac et que l'UII a contribué à ce que sa mémoire ne soit pas « étouffée »[16] - , le Centre d'études politiques et civiques, le Centre des hautes études américaines, dont le délégué général, Pierre Girard, est aussi le trésorier de l'UII[17].

Au lendemain du IIe concile œcuménique du Vatican, François Cathala et Claude Adam apportent leur soutien aux catholiques traditionalistes, à Marcel Lefebvre (conférences en 1968 et 1973)[18], François Ducaud-Bourget, et l’abbé Georges de Nantes, qui discutent les orientations de ce qu’ils appellent l’Église conciliaire. Claude Adam anime aussi le Club de la culture française, fondé en 1963, avec le romancier Michel de Saint Pierre et Michel Aumônier[Note 2]. Il figure au comité de patronage de l'association Credo, fondée par Saint-Pierre en [19].

Dans les années 1980-1990, l'UII renouvelle ses orateurs en invitant des personnalités comme Vladimir Volkoff, Jacques Vergès, René Huyghe, Michel Déon, Michel Jobert, Jean-Marie Le Pen.

Claude Adam s'engage par ailleurs à titre personnel en participant à un meeting du Front national en 1973[20]. Et en 1979 à un colloque pour l'Europe aux côtés de Jean-Marie Le Pen, Roger Holeindre et d'autres figures de l'extrême droite[21]. Il dirige encore en 1990 un forum lors des journées culturelles de National-Hebdo de 1990[22].

Prix modifier

Sous la présidence de Claude Adam, l'UII crée en 1977 le prix des Intellectuels indépendants[9] destiné à couronner chaque année un livre et son auteur « pour leur part prise à la lutte contre le mensonge et l'imposture et, d'une manière générale, contre le conformisme actuel »[23].

Le prix fut décerné à[9]:

Le prix était accompagné d'une prime de 5 000 francs financée par les cotisations des 400 adhérents réguliers de l'UII.

Membres et proches de l'UII modifier

Parmi les écrivains et intellectuels membres ou sympathisants de l'UII, on relève durant les années 1950 ou 1960 les académiciens Pierre Benoit, Léon Bérard, Henry Bordeaux, Jérôme Carcopino, Jacques Chastenet, René Huyghe, André Chaumeix, Claude Farrère, Pierre Gaxotte, Jean Guitton, Edmond Jaloux, Louis Madelin, Henri Massis, Thierry Maulnier, Henry de Montherlant, Paul Morand, ainsi que Daniel Halévy, Georges Ripert, Maurice Bardèche, Jacques Benoist-Méchin, Henry Coston, André Frossard, Maurice Martin du Gard, Louis Rougier, etc[29]. L'avocat André Berthon, ancien député socialiste puis communiste, donne en 1951 une conférence[30].

Présidents modifier

Cadres de l'UII modifier

En 1951, l'UII présidée par Jean Montigny compte notamment à son comité directeur François Le Grix, André Thérive, Pierre Morel, ancien de l'agence de presse Inter-France, Louis Rougier, François Cathala, Paul Estèbe, député et directeur de l'hebdomadaire Paroles françaises[36]. Siègent au bureau de l'UII durant les années 1950 et 1960 les écrivains José Germain et André Thérive, vice-présidents, ou encore Georges Rivollet, ancienne figure du mouvement ancien combattant et ancien cadre d'un parti collaborationniste, le RNP de Marcel Déat. Sont membres de son comité directeur l'ancien journaliste collaborationniste Stéphane Lauzanne (ancien directeur du quotidien Le Matin), l'ancien député socialiste rallié à la collaboration Alexandre Rauzy, des journalistes, des avocats, des colonels[11].

Sources modifier

  • Henry Coston, Partis, journaux et hommes politiques d'hier et aujourd'hui, Paris, Lectures françaises, .
  • Jérôme Cotillon, Ce qu'il reste de Vichy, Armand Colin, coll. « Histoire au présent », 2003 (ISBN 2200263821)
  • Jean-Yves Camus, René Monzat, Les droites nationales et radicales en France: répertoire critique, Presses Universitaires de Lyon, 1992
  • Olivier Adam, Claude Adam et l'Union des intellectuels indépendants, vol. 79, Librairie Fosse, (lire en ligne).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Le Comité de défense de la civilisation chrétienne de l'amiral Lucien Lacaze, le Comité de défense des droits de l'Homme, d'Hélène de Suzannet, la Fraternité de Notre-Dame de la Merci, du chanoine Jean-Marie Desgranges, l'Union pour la Restauration et la Défense du service public, de Louis Rougier
  2. Le Club de la culture française, fondé par Adam, Pierre Debray, Saint-Pierre et Aumônier, est présidé par Saint-Pierre. Il a été fondé en juillet 1963 sous le nom de Club Albert Camus ; il a changé de nom à la demande de la veuve de l’écrivain. Avec l’aide du club du livre civique, lié à la Cité catholique de Jean Ousset, il organise des conférences à Paris, salle des horticulteurs, dans le VIIe, avec par exemple Gustave Thibon et Louis Salleron, ainsi qu’une réunion à la Mutualité en avril 1966 (avec Ousset, Jean Madiran, Saint-Pierre). Aumônier pour le Club de la culture française et Claude Adam pour l’UII invitent en 1972 Gustave Thibon pour une conférence sur « la dictature de la démocratie ». Le club a publié quelques ouvrages : Pierre Debray, Les technocrates de la foi, 1968, Michel Demange, Extravagances liturgiques et faux œcuménisme, 1968, Marcel de Corte, L’intelligence en péril de mort, 1969, Béatrice Sabran (épouse de Debray), L’Eglise et la sexualité, 1969 : cf. Yvon Chotard, « Notre ami Michel », in Michel de Saint-Pierre, témoin de son temps, Ed. Bertout, 1997, p. 67-69, Le Monde et la vie, n° 152, janvier 1966, n° 163, décembre 1966.
  3. Pas d'indication de dates précises pour les trois premiers présidents (en même temps ? Successivement ?) dans Coston et Cotillon
  4. Né à Saint-Georges-d'Oléron le 14 décembre 1918, mort à Lannion le1er septembre 2007, Adam a milité dans son adolescence aux Camelots du roi de l'Action française. Il est ensuite le collaborateur parlementaire du chanoine Lucien Polimann, député de Bar-le-Duc. Après avoir été mobilisé en 1939-1940, il est présenté à Georges Lamirand par Polimann et entre en 1941 au Secrétariat d'État à la Jeunesse, où il participe à la création des Chantiers de jeunesse. En 1942, il est nommé chef des Equipes Nationales (cf. Équipes nationales sur j.champault.pagesperso-orange.fr) de la Meuse, puis en 1944 du Centre à Orléans, il y organise l'action des nouvelles Equipes nationales régionales. Président d'honneur de l'UII en 1995, il continue à animer cette association. Il est vice-président en 1998, président intérimaire, puis président d'honneur de l'Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain. Il a été membre du comité de parrainage du Cercle renaissance et membre du comité directeur des Hommes Libres, l'Association des anciens élus de la IIIe République fondée par le Chanoine Jean-Marie Desgranges. C'est aussi un habitué des banquets annuels des Amis de l'Action française(L'Action française 2000, 20 septembre/3 octobre 2007)

Références modifier

  1. Coston 1960, p. 195.
  2. statuts de l'association déposés à la Préfecture de Police de Paris (avril 1950).
  3. Jean Montigny, « Où en est l'amnistie ? », La Revue des Deux Mondes, octobre 1952 (lire en ligne)
  4. « M. Montigny: plus de cent mille foyers ont bénéficié des lois d'amnistie », Le Monde,‎ (Lire en ligne)
  5. La Revue syndicaliste, 1951, (« Le 21 mai 1951, aux Sociétés Savantes, sous les auspices de l'Union des Intellectuels Indépendants, René Belin a parlé de l'épuration syndicale et de ses conséquences et Me Pierre Leroy a parlé de la « Grande Amnistie »), Le Monde, 27 octobre 1952, " La Tunisie et le Maroc ne sont pas une monnaie d'échange " déclare M. de Saivre", (« Au cours d'une réunion de l'Union des intellectuels indépendants, qui a eu lieu hier vendredi salle des Sociétés savantes, M. Roger de Saivre, député d'Oran, a déclaré : " Le problème de l'évolution et de l'intégration des populations musulmanes au sein de la communauté française est un problème français. Nous avons prouvé que nous seuls pouvions y apporter les solutions souhaitables. Les Français musulmans d'Algérie sont nos témoins. En conséquence nous nous refusons à toute discussion, fût-ce de procédure, sur le plan international. La Tunisie et le Maroc ne sont pas une monnaie d'échange. Nos alliés doivent s'en persuader une fois pour toutes." »), Le Monde, 20 mai 1953 (« Réunie sous la présidence de M. Jean Montigny, l'Union des intellectuels indépendants a entendu des exposés de M. Bruchesi, sous-secrétaire d'État de la province de Québec, et de M. Georges Bonnet. L'ancien ministre des affaires étrangères a rappelé quelle avait été sa politique méditerranéenne avant guerre : " Maintien de notre présence en Syrie; neutralité de l'Italie, qui, dit-il, jusqu'en juin 1940 a livré à la France du matériel militaire ; neutralité espagnole consacrée par les accords Léon Bérard-Jordana, à l'esprit desquels il faut revenir. " »), Le Monde, 24 novembre 1953, "M. P.-E. Flandin s'élève contre le traité" (« M. Pierre-Étienne Flandin, ancien président du conseil, s'est prononcé, au cours de la dernière réunion de l'Union des intellectuels indépendants, contre le traité de la C.E.D. et le projet de Communauté politique »), Le Monde, 20 février 1956, (« Au cours d'une conférence organisée à la Salle des sociétés savantes par l'Union des intellectuels indépendants, M. Tixier-Vignancour, député des Basses-Pyrénées, a annoncé l'intensification de la tactique d'obstruction qui a pour but de freiner au maximum les invalidations des députés poujadistes. Ses amis politiques auraient l'intention, afin de " bloquer " les nouveaux débats qui s'annoncent, de réclamer des scrutins sur les sujets les plus divers. " Grâce à Pierre Poujade, a notamment déclaré M. Tixier-Vignancour, nous avons retrouvé le chemin des masses. " »), Le Monde, 19 mars 1956, "M. Jean Montigny fait le procès des " généraux fossoyeurs de l'empire " (« Au cours d'une réunion organisée vendredi soir par l'Union des intellectuels indépendants, M. Jean Montigny, président de cette organisation, a fait le procès du général de Gaulle et des généraux fossoyeurs de l'empire. Il a fait ensuite acclamer le nom de Pierre Poujade »), Le Monde, 22 juin 1955, "Une nouvelle interpellation" ((« Au cours d'une réunion de l'Union des intellectuels indépendants, présidée par M. Jean Montigny, M. Jean Legendre a annoncé qu'il déposerait à l'Assemblée nationale une motion préjudicielle tendant à l'ajournement de la ratification des conventions franco-tunisiennes jusqu'au moment où le gouvernement aurait obtenu leur amélioration et des garanties sur la permanence du nouveau lien juridique à intervenir entre les deux pays »).
  6. Le Libertaire, 2 mars 1951, Paris-presse, L’Intransigeant, 6 mars 1951, Rivarol, 8 mars 1951
  7. La Revue des deux mondes, Simon Arbellot, Chez les intellectuels indépendants, février 1955 (présence de Pierre Taittinger, de Raoul Nordling, du général Maxime Weygand) (Lire en ligne)
  8. La Revue des deux mondes, février 1957
  9. a b c et d Adam.
  10. Droit et liberté, mai 1961, p. 7, Le droit de vivre, 15 mai 1961, Nicolas Hubert, Éditeurs et éditions pendant la guerre d'Algérie, 1954-1962, Editions Bouchène, 2012, p. 368 (à lire l'auteur, la manifestation a eu lieu).
  11. a et b Coston 1960, p. 196.
  12. Le Monde, 1er février 1960, "Autres réactions"
  13. Le Monde, 6 avril 1962, "L'Union des intellectuels indépendants : non"
  14. Le Monde, 20 décembre 1965, "Les ultimes prises de position en faveur du général de Gaulle...et en faveur de M. Mitterrand"
  15. Rivarol, 20 décembre 2002
  16. Bulletin des Amis de Robert Brasillach, septembre 1965, n° 31, p. 7
  17. Les Études américaines
  18. « Mgr Marcel Lefebvre : à l'exemple du Portugal il faut rebâtir la chrétienté », Le Monde, 20 mars 1969 : (« conférence donnée par Mgr Marcel Lefebvre (...) au cours d'un dîner organisé par l'Union des intellectuels indépendants, que préside M. François Cathala (15, rue de la Croix-Nivert, Paris-15). Après avoir parlé de la crise morale contemporaine et de la situation relativement florissante du catholicisme sous le pontificat de Pie XII, " pape exceptionnel ", le prélat a retracé l'histoire du concile qui " dès les premiers jours a été investi par les forces progressistes " et la manière " scandaleuse " dont fut attaquée la Curie »), « Témoignage d’un père du Concile », Rivarol, 19 décembre 1968 (Lire en ligne), Des prêtres pour demain - Conférence prononcée en mars 1973 à Paris à l'instigation de l'Union des Intellectuels indépendants et du Club de la Culture française (Lire en ligne)
  19. « La nouvelle association Credo projette de rassembler des catholiques traditionalistes de diverses tendances », Le Monde, 23 janvier 1975
  20. « Le Front national veut " réunir en faisceau " les formations et personnalités d'extrême droite », Le Monde, 31 mai 1973
  21. « Le Front national lance un appel en faveur d'une liste d’Union française pour l'Europe des patries », Le Monde, 6 avril 1979
  22. Guy Birenbaum, Le Front national en politique, Balland, 1992
  23. Bulletin de l'association des amis de Robert Brasillach, n° 95, mars 1988, p. 2
  24. Bulletin de l'Association des Amis de Robert Brasillach, automne 1980, p. 11
  25. Le Monde, 30 décembre 1988, "Prix"
  26. Le Monde, 17 décembre 1989, "Le prix des Intellectuels indépendants 1989"
  27. « Derniers prix d'automne », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  28. Quatrième de couverture de Jacques Le Groignec, Philippique contre des Mémoires gaulliens
  29. Jérôme Cotillon, op. cit.
  30. Rivarol, 18 janvier 1951, Ibid., 25 janvier 1951
  31. Notice de la BNF
  32. Pascale Froment, René Bousquet, Fayard, 2001. Il a été secrétaire de la Conférence des avocats du barreau de Paris en 1945-1946 (Le Monde, 29 juillet 1946, "Les prix de la conférence du stage"). Il adhère à l'association des amis de Robert Brasillach en 1964 (Bulletin de l'association des amis de Robert Brasillach, décembre 1964, p. 11)
  33. Lectures françaises, 2004, vol. 47, p. 34
  34. Elu lors de l'AG du 3 février 1974 : Le Nouvel observateur, 6 janvier 1984, Lettre de Claude Adam, Bulletin de l'association des amis de Robert Brasillach, 15 mai 1974, p. 6
  35. Laurent Joly, Xavier Vallat (1891-1972): Du nationalisme chrétien à l'antisémitisme d'Etat, Grasset, 2001
  36. Tunisie-France, 23 juillet 1951

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