Séderon
Séderon est une commune française située au sud-est du département de la Drôme et dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Séderon | |||||
Église Saint-Baudile. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Alain Frachinous 2020-2026 |
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Code postal | 26560 | ||||
Code commune | 26340 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Séderonnais, Séderonnaises | ||||
Population municipale |
243 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 12′ 18″ nord, 5° 32′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 751 m Max. 1 484 m |
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Superficie | 20,30 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
modifierLocalisation
modifierSéderon est située en Drôme provençale.
Relief et géologie
modifierLe village de Séderon est situé à l'entrée d'un anticlinal perché entouré par une ceinture de rochers élevés[1] dont toutes les eaux s'écoulent par la cluse à l'entrée de laquelle est bâti le bourg.
Site curieux entre deux rochers : interpénétration alpine et méditerranéenne des reliefs[2].
Sites particuliers :
- 1891 : Abeillon, mont[3].
Hydrographie
modifierLa commune est partagée en deux par la Méouge[4].
Elle est aussi arrosée par l'un de ses affluents, le Ravin de Lèbrières[5].
En 1891, le ruisseau affluent de la Méouge se nomme Les Lébrières. Il a deux kilomètres de parcours. Sa largeur moyenne est de cinq mètres et sa pente de cent mètres. Son débit ordinaire est de 0,05 m3, extraordinaire de 15 mètres cubes[6].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 047 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 4,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −4,8 | −4,7 | −2 | 1 | 4,6 | 7,8 | 9,8 | 9,6 | 6,4 | 3,7 | −0,7 | −3,9 | 2,2 |
Température moyenne (°C) | 1,6 | 2,3 | 5,6 | 8,4 | 12,4 | 16,1 | 18,6 | 18,5 | 14,4 | 10,6 | 5,5 | 2,1 | 9,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,9 | 9,4 | 13,2 | 15,9 | 20,2 | 24,5 | 27,4 | 27,4 | 22,3 | 17,5 | 11,7 | 8 | 17,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−23 04.01.1971 |
−21,7 06.02.12 |
−18,7 01.03.05 |
−10,7 08.04.21 |
−5,8 06.05.1979 |
−2,4 03.06.06 |
1,6 17.07.00 |
0,4 31.08.06 |
−3,5 18.09.01 |
−8,9 31.10.1997 |
−16,1 23.11.1999 |
−21,4 03.12.1973 |
−23 1971 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,8 27.01.1983 |
22,3 27.02.19 |
26,2 11.03.1978 |
27,9 08.04.11 |
32,2 22.05.22 |
38,4 28.06.19 |
36,2 30.07.1983 |
37,7 22.08.23 |
31,7 04.09.23 |
29,9 08.10.23 |
23,6 03.11.1981 |
19,2 16.12.1998 |
38,4 2019 |
Précipitations (mm) | 88,6 | 64,9 | 64,4 | 95,6 | 84,8 | 63,1 | 38,6 | 59,2 | 99,9 | 130,9 | 148,9 | 93,5 | 1 032,4 |
Voies de communication et transports
modifierLe col de Macuègne (1 068 m) relie la commune à celle de Barret-de-Lioure.
La commune est desservie par la ligne de bus no 43 (Laragne - Mévouillon)[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Séderon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (23 %), terres arables (1,4 %), zones urbanisées (1,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierHameaux et lieux-dits
modifier- Gueisset (1891) est un quartier de la commune de Séderon[18]. Il peut être orthographié Gueysset ou Gueyssier[réf. nécessaire].
- Les Lébrières.
- Saint-Baudile.
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[19] :
- 1293 : castrum de Sedarono (inventaire des dauphins, 221).
- 1293 : castrum de Sadorolio (Valbonnais, I, 35).
- 1299 : de Saderono (archives de la Drôme, E 3093).
- 1299 : castrum Saderoni (inventaire de la maison de Baux).
- 1308 : Sadaronum(archives des Bouches-du-Rhône, B 155).
- 1442 : Sadaronem (choix de docum., 282).
- 1516 : mention du prieuré et de la paroisse : prioratus cura de Sadarono (pouillé de Gap).
- XVIIe siècle : Cederon (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Séderon, commune, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Nyons.
Étymologie
modifierHistoire
modifierDu Moyen Âge à la Révolution
modifierLa seigneurie[19] :
- Au point de vue féodal, Séderon était une terre du fief des barons de Mévouillon puis des barons de Murs.
- 1293 : la terre est soumise aux dauphins.
- 1309 : les Mévouillons la vendent aux comtes de Provence.
- 1325 : les comtes de Provence acquièrent certains droits des Agoult.
- 1339 : ils acquièrent les droits des dauphins et réunifient la seigneurie.
- Vers 1356 : elle est donnée aux Turenne puis aux Baux d'Avellino (les vicomtes de Turenne font partie de la famille des Beaufort. Le célèbre Raymond de Turenne, pour une histoire d'héritage, ravagea Provence et Dauphiné[2]).
- 1380 : elle passe aux Villars, héritiers des Baux d'Avellino.
- Vers 1437 : elle passe aux Mévouillon de Barret.
- 1530 : elle est engagée ou vendue aux La Baume.
- (non daté) : passe aux Boche.
- Vers 1609 : passe (par héritage) aux Astoaud, encore seigneurs en 1738.
Autre version : la tradition veut que Séderon ait existé sur la colline de Gueysset (ou Gueyssier) jusqu’au Xe siècle[réf. nécessaire].
Possédée par les Mévouillon (Mevolhon), la seigneurie fut ensuite propriété de Raymond III de Toulouse[réf. nécessaire]
En 1308, les comtes de Provence achètent le fief[20].
Du XIIe siècle au XIIIe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait l'église castrale et l'église Sainte-Baudile, et percevait leurs revenus[21].
Les seigneurs prélevaient un péage sur la route allant de Carpentras à Sisteron[22].
1628-1630 : Séderon est touché par une épidémie de peste[23].
1720-1722 : lors de l’épidémie de peste dite de Marseille, Séderon est située au nord de la ligne du Jabron, élément du cordon sanitaire allant de Bollène à Embrun et isolant la Provence du Dauphiné (et dont fait partie le mur de la peste)[24]. L'interdiction de franchir le Jabron, sous peine de mort, est décidée par le gouverneur d'Argenson début août et le cordon est mis en place le 26 septembre[25] pour n'être levé que le 19 novembre 1722 par ordonnance royale[25].
À Séderon, la ligne sur le Jabron est surveillée par une compagnie d'une cinquantaine d'hommes[26]) du régiment de Poitou revenant d'Espagne[27] à partir du 21 octobre 1720[28]. Les soldats sont renforcés par dix hommes levés dans la population de Séderon (en plus de ceux envoyés à la compagnie de milice placée sur la Durance)[29]. La communauté est requise pour construire des corps de garde pour loger les soldats le long de la ligne : deux sont prévus entre le col de la Pigière et la Gourre[30] mais, finalement, six corps de garde sont construits, ainsi que 17 guérites placées dans les intervalles, à une moyenne de 250 m[26].
Au XVIIIe siècle, Séderon était le chef-lieu d'un archiprêtré du diocèse de Gap, comprenant les paroisses d'Aulan, Ballons, Barret-de-Lioure, Eygalayes, Izon, Lachau, Mévouillon, Vers et Villefranche[19].
Avant 1790, Séderon était une communauté du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap, dont l'église était celle d'un prieuré séculier, et dont les dîmes étaient partagées entre le prieur du lieu et le commandeur des Omergues, ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui était aux droits d'une commanderie de Templiers, unie à la sienne en 1308[19].
Saint-Baudile
modifier1891 : Saint-Baudille : c'est une chapelle. Elle est sur l'emplacement de l'ancien prieuré de Séderon dont le titulaire était décimateur dans cette paroisse, conjointement avec l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[31].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, la commune est comprise dans le canton de Montbrun.
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait le chef-lieu d'un canton comprenant les communes d'Aulan, Ballons, Barret-de-Lioure, Eygalayes, Ferrassières, Laborel, Lachau, Mévouillon, Montauban, Montbrun, Montfroc, Montguers, Reilhanette, Séderon, Vers, Villebois et Villefranche[19].
En 1889, pour le centenaire de la Révolution, un peuplier est planté place de la Fontaine. Celui-ci est toujours présent, sur cette place, de nos jours[réf. nécessaire].
Seconde guerre mondiale
modifierDurant la Seconde Guerre mondiale, la région a abrité plusieurs maquis et fut le lieu de combats.
- Un massacre a lieu le 20 février 1944.
- En juin, la Résistance prend le contrôle du secteur. Elle surveille ou coupe les voies de communication. Les cols du Négron et de l'Homme Mort sont sabotés[32].
- Divers éléments de la Résistance sont stationnés à Séderon et aux environs, dont des unités du 1er régiment FTP[33].
- Le 14 juillet, un détachement FFI peut rendre les honneurs au monument aux morts[32].
- Le , la Luftwaffe bombarde le village, tuant sept personnes et en blessant gravement cinq[33]. « En bombardant le village, ils pouvaient estimer qu'ils allaient frapper les maquisards, mais ils savaient très bien qu'ils allaient surtout frapper la population civile. Ils ont vraiment voulu détruire un village où ils sentaient l'installation d'une résistance[34].
Histoire récente
modifierPolitique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2021, la commune comptait 243 habitants[Note 1], en évolution de −10,66 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifier- Trésor public
Enseignement
modifierSanté
modifierLa commune possède une maison médicale avec un médecin, une kinésithérapeute et trois infirmières[40].
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Fête : le dimanche après le 14 juillet[2].
Loisirs
modifier- Piscine municipale[réf. nécessaire].
- Centre de pêche[2].
Sports
modifierLa commune de Séderon, comme celle de Mévouillon, dispose de plusieurs lieux de pratique de parapente[41].
Médias
modifierCultes
modifierÉconomie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : bois, lavande, tilleul, truffes, pâturage (ovins), grives, écrevisses, apiculture (miel)[2].
- Foires : les 3 avril, 3 mai, 3 juin, 21 septembre et 22 octobre[2].
Tourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Tour médiévale[réf. nécessaire].
- Ruines de la chapelle Notre-Dame-de-la-Brune[2].
- Église Saint-Baudile[42].
- Église du XIXe siècle : croix de procession[2].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierLa commune fait partie du Parc naturel régional des Baronnies provençales créé en 2014.
Personnalités liées à la commune
modifier- Lucien Bertrand (1847-1929) ancien député de la Drôme, ancien maire de Séderon.
Héraldique, logotype et devise
modifierSéderon possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Séderon sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
- Association des maires de la Drôme (note : cette référence est insuffisante car elle ne donne que les derniers résultats, remis à jour à chaque nouvelle élection municipale)
- L'Essaillon,
- Office de Tourisme des baronnies en Drôme provençale
- Eclats de vie, documentaire TV réalisé par Thierry Michel en 2004 et diffusé sur FR3 Méditerranée en 2006. Ce film retrace l'histoire du village et de ses habitants pendant la seconde guerre mondiale.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- géologie de Séderon
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Séderon.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 1 (Abeillon).
- Fiche de la Méouge sur le site du SANDRE
- Fiche du Ravin de Lèbrières sur le site du SANDRE
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 193 (Lébrières (ruisseau).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Séderon » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Séderon » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ligne de bus no 43
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 173 (Gueisset).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 370.
- Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 20.
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 230.
- Lucien Stouff, Ports, routes et foires du XIIIe au XVe siècle, carte 86 et commentaire dans l'Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017).
- Jean-Pierre Joly, « La ligne du Jabron pendant la peste de 1720 », Chroniques de Haute-Provence, no 360, été 2008, p. 8.
- Joly, op. cit., p. 9.
- Joly, op. cit., p. 11.
- Joly, op. cit., p. 27-29.
- Joly, op. cit., p. 14.
- Joly, op. cit., p. 16.
- Joly, op. cit., p. 37.
- Joly, op. cit., p. 19.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 331 (Saint-Baudille).
- Guy Bernard, « Cinquantenaire du bombardement de Séderon du 10 août 1944 », L'Essaillon, 25 octobre 2013, consulté le 5 novembre 2013
- Jean-François Chabrol, « Souvenir des opérations et représailles de l'armée allemande contre la résistance et la population civile de Séderon (10 août 1944) », L’Essaillon, 16 septembre 2013, consulté le 5 novembre 2013
- Témoignage d'André Daspres issu du documentaire "Eclats de vie" » réalisé par Thierry MICHEL en 2004.
- http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- [1].
- Parapente à Séderon
- Église Saint-Baudile de Séderon