Sarlabous

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Sarlabous est une commune française située dans le centre du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sarlabous
Sarlabous
Vue du village.
Blason de Sarlabous
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan
Maire
Mandat
Jean- Paul Compagnet
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65405
Démographie
Gentilé Sarlabousiens
Population
municipale
77 hab. (2021 en évolution de +13,24 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 04′ 36″ nord, 0° 16′ 40″ est
Altitude Min. 344 m
Max. 593 m
Superficie 3,39 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sarlabous
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Sarlabous
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Sarlabous
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Sarlabous

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Arros, l'Avezaguet, le ruisseau Tilhouse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sarlabous est une commune rurale qui compte 77 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 434 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Sarlabousiens ou Sarlabousiennes.

Géographie

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Localisation

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Carte

La commune de Sarlabous se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 10 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 12 km de Tournay[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Batsère (1,8 km), Bourg-de-Bigorre (2,1 km), Benqué (2,2 km), Espèche (2,3 km), Escots (2,4 km), Espieilh (2,8 km), Tilhouse (2,9 km), Molère (2,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Sarlabous fait partie de la région des Baronnies, dont le nom est issu d’une légende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge (les barrons d’Esparros et de Lomné, le vicomte d’Asté et le sire d’Uzer) avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin[5].

Sarlabous est limitrophe de sept autres communes dont Espèche au sud-est par un simple quadripoint, au Pé de Gutor.

Carte de la commune de Sarlabous et des proches communes.

Paysages et relief

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Géologie

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Le monument aux morts municipal.

Elle est dominée par un monticule appelé Turon Det Haou qui serait un point de défense terrible, commandant la vallée de l’Arros, du côté du nord, et du côté du sud, le chemin de grande communication no 10, jusqu’aux gorges des Pyrénées. Les versants de la colline sont coupés par des ravins au fond desquels coulent plusieurs petits ruisseaux affluents de l’Arros.

Hydrographie

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Le moulin des Baronnies en 2020.
L'Arros au moulin des Baronnies

Elle est drainée par l'Arros, l'Avezaguet, le ruisseau Tilhouse et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Arros, d'une longueur totale de 130,8 km, prend sa source dans la commune d'Esparros et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Izotges, après avoir traversé 54 communes[8].

L'Avezaguet, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune d'Avezac-Prat-Lahitte et s'écoule vers le nord puis se réoriente vers l'ouest. Il se jette dans l'Arros sur le territoire communal[9].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 12 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 002 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lannemezan », sur la commune de Lannemezan, mise en service en 1970[15] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 159,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 27 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[21].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22] : le « réseau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du département[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] : les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du département[24].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sarlabous est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), prairies (24,6 %)[25].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Une croix.

Logement

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En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 60[I 5].
Parmi ces logements, 54,4 % sont des résidences principales, 35,5 % des résidences secondaires et 10,1 % des logements vacants.

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par la route départementale D 314.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sarlabous est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arros et l'Avezaguet. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[29],[26].

Sarlabous est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[30]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sarlabous.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 14,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 59 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

Toponymie

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Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sarlabous.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[34] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

  • de Salabombos (1300, enquête de Bigorre) ;
  • De Serlo Bonio, de Serlobone, latin (1313, Debita regi Navarre) ;
  • de Sarlabonio, latin (1342, pouillé de Tarbes) ;
  • de Sarlobonis, latin (1369, Larcher, Castelbajac) ;
  • de Serlobonis, latin (1379, procuration Tarbes) ;
  • Sarlabous (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

Nom occitan : Sarlabons.

Histoire

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Le nom de Sarlabous provient sans doute de celui des seigneurs qui ont habité le château dont on voyait encore naguère les ruines dans un champ situé près de l’église.

Cadastre napoléonien de Sarlabous

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Le plan cadastral napoléonien de Sarlabous est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[35].

Politique et administration

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Liste des maires

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La mairie en 2020.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 en cours Jean Paul Compagnet    

Rattachements administratifs et électoraux

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Historique administratif

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Sénéchaussée de Toulouse, élection de Nébouzan, viguerie de Mauvezin, canton de Lannemezan, de Bourg (1790), Lannemezan (depuis 1801)[36].

Intercommunalité

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Sarlabous appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en et qui réunit 57 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39]. En 2021, la commune comptait 77 habitants[Note 7], en évolution de +13,24 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
234251296263359398434434433
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
393373402359371348345314321
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
275247229238214195200170160
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
153134115968158737470
2015 2020 2021 - - - - - -
687877------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Le stade de rugby André Bruzaud en 2020.

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[42].

  • rugby à XV Club de rugby des Baronnies.

Économie

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Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 8,9 % 5,7 % 7,1 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 38 personnes, parmi lesquelles on compte 81 % d'actifs (73,8 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 19 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 42 en 2013 et 33 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 28, soit un indicateur de concentration d'emploi de 79,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,5 %[I 10].

Sur ces 28 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 96,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Martin en 2020.
Le clocher.
Le cimetière.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'azur au globe d'argent, cerclé et cintré de gueules, sommé d'une boule du même.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Sarlabous » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Sarlabous ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Sarlabous
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sarlabous » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sarlabous » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Sarlabous et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Sarlabous et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Sarlabous et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Sarlabous », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 283-284.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Sarlabous », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « l'Arros »
  9. Sandre, « l'Avezaguet »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  15. « Station Météo-France Lannemezan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Sarlabous et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France Lannemezan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Sarlabous et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  26. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sarlabous », sur Géorisques (consulté le ).
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  28. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  35. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Sarlabous en 1830
  36. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  37. « Liste des juridictions compétentes pour Sarlabous », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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