Sonate K. 385
Sonate K. 385 ut majeur — ![]() ![]() ⋅ K.384 ← K.385 → K.386 ⋅ L.283 ← L.284 → L.285 ⋅ P.219 ← P.220 → P.221 ⋅ F.330 ← F.331 → F.332 —
⋅ VIII 27 ← Venise VIII 28 → VIII 29
⋅ X 27 ← Parme X 28 → X 29
⋅ IV 22 ← Münster IV 23 → IV 24
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La sonate K. 385 (F.331/L.284) en ut majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Présentation
modifierLa sonate K. 385, en ut majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente, de même tonalité. Scarlatti « signe » l'ouvrage par l'élision des premiers temps de bout en bout[1].
Manuscrits
modifierLe manuscrit principal est le numéro 28 du volume VIII (Ms. 9779) de Venise (1754), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme X 28 (Ms. A. G. 31415), Münster (D-MÜp) IV 23 (Sant Hs 3967) et Vienne B 23 (VII 28011 B)[2].
Interprètes
modifierLa sonate K. 385 est défendue au piano, notamment par Carlo Grante (2013, Music & Arts, vol. 4) et Artem Yasynskyy (2016, Naxos vol. 20) ; au clavecin, elle est jouée par Scott Ross (1985, Erato)[3], Ursula Duetschler (1988, Claves), Richard Lester (2003, Nimbus, vol. 3) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 9).
Notes et références
modifier- Chambure 1985, p. 217 (133).
- Kirkpatrick 1982, p. 470.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le ).
Sources
modifier : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti, Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato/Éditions Costallat (2564-62092-2 (livret : 2292-45309-2)), 1985 (OCLC 891183737).
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la musique :
- [vidéo] Sonate K. 385 (Kamil Tokarski, clavecin — 2017) sur YouTube