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=== Personnalités liées à la commune ===
{{pertinence section|date=2 décembre 2017}}
* Les ''[[Adhémar de Monteil]]'', seigneurs puis barons de Rochemaure, ancêtres maternels de la [[maison de Rohan]] [par les Lévis-Ventadour], dont les derniers représentants de la branche de [[Soubise]] furent barons de Rochemaure durant la majeure partie du {{s-|XVIII|e}}.
* ''[[Louis-Charles de Lévis]]'', duc de Ventadour, baron de Rochemaure, décédé le 28 septembre 1717, époux de [[Charlotte de La Mothe-Houdancourt|Charlotte-Eléonore-Magdeleine de La Motte-Houdancourt]], père d'Anne-Geneviève de Lévis-Ventadour (ci-dessous).
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* ''Jacques Ier d'Hilaire de Jovyac'' ([[Les Vans]], v. 1565-Rochemaure, château de Jovyac, v. janvier 1632, inhumé en l'église N. D. des Anges de Rochemaure, chapelle Sainte-Anne), gouverneur de la ville et du château de Rochemaure en mai 1592, capitaine de cent hommes d'armes, converti au catholicisme, auteur d'ouvrages en faveur de la religion catholique<ref>Chanoine Baconnier, "Famille et château de Jovyac" ''in'' Revue du Vivarais, tome LXXI, n° 2 [avril-juin 1967], p.&nbsp;74</ref>.
* ''Jean-François Régis Privat'' dit Privat-Lachamp (Rochemaure, 23 juin 1759-Torgau (Prusse), 6 mars 1814), soldat au régiment des [[Gardes-Françaises]] le 7 juin 1785, sergent le {{1er}} septembre 1789, sous-lieutenant au {{102e|régiment}} d'infanterie le 16 février 1792, lieutenant le 10 mars 1793, adjoint provisoire aux adjudants généraux le 22 septembre 1793, adjoint à l'adjudant général Simon le 11 vendémiaire an IV, aide de camp du général [[Lazare Hoche|Hoche]], qu'il avait rencontré aux [[Gardes-Françaises]] et dont il était l'un des proches amis, le 5 messidor an IV. Lors de l'expédition d'Irlande, il fut provisoirement nommé chef de bataillon, par le général Hoche, le 26 frimaire an V. Aide de camp du général [[Augereau]] le 12 brumaire an VI, il fut promu adjudant-général, chef de brigade et chef d'État-major de la {{10e|division}} militaire le 12 fructidor an VII. Membre de la Légion d'honneur dans les tout <!-- 'tout' est ici adverbe --> premiers temps, par décret du 17 janvier 1805, il mourut de maladie, en Prusse, lors du siège de [[Torgau]], laissant deux enfants d'''Angélique'' Magdeleine Verdun, de Thionville, qu'il avait épousée en 1793. (Sources : [[Service historique de la défense]] (SHD), Vincennes ; "Un aide de camp du Général Hoche, Jean-François Privat, dit Lachamp, de Rochemaure - 1759-1814" ''in'' Revue du Vivarais, tome V, numéros 1,2,3,4 et 5 janvier-février-mars-avril-mai 1897).
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* ''Constantin Félicien Cheynet''<ref>{{Lien web|langue=|titre=Acte de naissance de Constantin Cheynet|url=http://www.archinoe.net/ark:/39673/4ddcfde3617e55931c7d63e220e1307d|site=archinoe.net|date=|consulté le=}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=|titre=Acte de décès de Constantin Cheynet|url=http://www.fondsenligne.archives-lyon.fr/ark:/18811/3b22387bc7107c777b9435fc6667331c|site=fondsenligne.archives-lyon.fr|date=|consulté le=}}</ref>, officier, (Rochemaure, 10 octobre 1845-Lyon, 1921). Il prend part à la [[bataille de Sedan]] où il est fait prisonnier le 2 septembre 1870 et conduit à [[Szczecin|Stettin (Poméranie occidentale)]]<ref>Service Historique de la Défense, Pensions {{4e|série}}, dossier 21699, ''Services et positions diverses''.</ref>. Libéré après le [[traité de Francfort]] (mai 1871), il intègre l'armée versaillaise le 20 juin 1871<ref name=":a">Service Historique de la Défense, Pensions {{4e|série}}, dossier 21699.</ref>. Chevalier de la Légion d'honneur le 11 juillet 1891<ref>Ministère de la Culture, Base Léonore, dossier LH/526/85, Constantin Félicien Cheynet.</ref>. Chef d'escadron<ref>Tout Lyon, ''Annuaire des salons du Sud-Est'', Édition de guerre, Lyon, ''Paul Duvivier, Directeur'', 1919, p. 116.</ref>, il démissionne de l'armée en 1901, lors de la loi sur les associations<ref name=":a" />.
* ''Constantin Félicien Cheynet de Beaupré'', officier, comte romain (Rochemaure, 10 octobre 1845-Lyon, 1921). Le 6 août 1870, commandant une section de reconnaissance du {{12e|régiment}} d'artillerie monté, il se distingue à [[Bataille de Frœschwiller-Wœrth (1870)|Reichshoffen]], enlevant à la tête de ses hommes une redoute ennemie et recevant le sabre, à titre d'arme de prise, d'un officier prussien qui y était retranché. Il prend part à la [[bataille de Sedan]] où il est fait prisonnier le 2 septembre 1870 et conduit à [[Szczecin|Stettin (Poméranie occidentale)]]. Libéré après le [[traité de Francfort]] (mai 1871), il intègre l'armée versaillaise le 20 juin 1871<ref name=":a">Service Historique de la Défense, Pensions {{4e|série}}, dossier 21699.</ref>. Il est nommé directeur adjoint de la [[Manufacture d'armes de Saint-Étienne]] le 22 avril 1882<ref>Service Historique de la Défense, Pensions {{4e|série}}, dossier 21699, ''Services et positions diverses'', grades et emplois, directeur adjoint à Grenoble, 22 avril 1882.</ref>, chevalier de la Légion d'honneur le 11 juillet 1891<ref>Ministère de la Culture, Base Léonore, dossier LH/526/85, Constantin Félicien Cheynet.</ref>. Chef d'escadron<ref>Tout Lyon, ''Annuaire des salons du Sud-Est'', Édition de guerre, Lyon, ''Paul Duvivier, Directeur'', 1919, p. 116.</ref>, il démissionne de l'armée en 1901, lors de la loi sur les associations<ref name=":a" />. Commandeur de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand par bref de 1898, il reçoit le titre de comte romain le 28 juin 1904, par un bref du pape [[Pie X]]<ref>Dominique de La Barre de Raillicourt, ''Les titres authentiques de la noblesse de France'', Dictionnaire raisonné, Paris, Perrin, 2004, {{4e|partie}}, p. 374.</ref>.
* ''[[Jean Henri Terrasson de Fougères]]'', administrateur des colonies, lieutenant-gouverneur du Haut-Sénégal-Niger (1920-1922), gouverneur par intérim (1921-1924) puis gouverneur général du [[Soudan français]], inhumé en l'église N. D. des Anges de Rochemaure.
 
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