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== Écriture ==
Dans un style souvent humoristique, Philippe Jaenada se raconte dans ses sept premiers romans largement inspirés par sa propre vie. Il y raconte les péripéties d’un Parisien toujours muni de son sac matelot et habitué des bars de quartier {{citation|dans un déluge de phrases, de parenthèses, de digressions, avec un esprit d'une vivacité peu commune qui ne cesse de jouer à saute-mouton. Dans le drame, il n'oublie jamais la dérision, se mettant en scène en train d'écrire comme un forcené<ref>''Humaine trop humaine'', [[Olivia de Lamberterie]], ''Elle'', 3 septembre 2015, consulté sur www.philippejaenada.com [http://www.jaenada.com/presse/LPFElle.jpg]</ref>.}} Il se tourne vers le [[fait divers]] dans ses ouvrages suivants : [[Bruno Sulak]] (''Sulak''), [[Pauline Dubuisson]] (''La Petite femelle'') et [[Georges Arnaud]] (''[[La Serpe]]'', inspiré du triple assassinat du [[château d'Escoire]]) tout en conservant son style caractéristique. Ces ouvrages lui ont valu de recevoir divers prix littéraires dont notamment Le [[Prix Femina]] pour La Serpe<ref>{{Article|langue=français|auteur1=|titre=Le prix Femina récompense Philippe Jaenada pour « La Serpe »|périodique=Le Monde|date=8 novembre 2017|issn=0395-2037|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/livres/article/2017/11/08/le-prix-femina-recompense-philippe-jaenada-pour-la-serpe_5212006_3260.html|pages=}}</ref>.
 
== Œuvres ==
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