Ce phénomène semble avoir été observé en l'entité d'une organisation d'étudiants Québécois ce genre de pratique. En effet, lors du déclenchement de la grève contre la hausse des frais de scolarité au début de l'année 2012, des étudiants dont certains de leurs porte-couleurs ont une affiliation directe au Parti Libéral, se sont regroupés sous l'acronyme (MESRQ) soit le Mouvement des Étudiants Socialement Responsable du Québec. S'inscrivant dans la mouvance d'une démarche d'astroturfing qu'ils ont peine à cacher depuis que fut révélé leur proximité avec le Parti Libéral, notamment lorsque son président, Monsieur Marc-Antoine Morin a vu une photo posée de lui en présence de la Ministre de l'Éducation, des Sports et des Loisirs, Madame [[Line Beauchamp]], se diffuser massivement sur l'Internet, et principalement dans les réseaux sociaux, et ce malgré le fait qu'il ait nié publiquement avoir fait parti des jeunesses libérales [http://jeunesses%20libérales http://quebec.liberal.ca/commission-des-jeunes/] et que cette dernière ait nié publiquement avoir été en contact avec l'un des leaders de ce mouvement, d'où tout le malaise de la publication de cette photo.
=== Chine ===
Le [[Parti des 50 centimes]] et l'''{{lien|Internet Water Army}}'' sont les deux plus grandes communautés d{{'}}''astroturfers'' en Chine.
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[[Cambridge Analytica]], une entreprise britannique, a travaillé sur la campagne présidentielle de [[Donald Trump]] en ayant récolté des données sur plus de {{nombre|200|millions}} d'Américains dans le but d’influencer les scrutins de votes à travers des publicités ciblées<ref>{{Article|langue=en-US|titre=Cambridge Analytica and Facebook: The Scandal and the Fallout So Far|périodique=The New York Times|date=2018-04-04|issn=0362-4331|lire en ligne=https://www.nytimes.com/2018/04/04/us/politics/cambridge-analytica-scandal-fallout.html|consulté le=2018-04-13}}</ref>.
[[Barrier Breakers 2016]] est une « usine à trolls » créée pour la campagne présidentielle 2016, rémunérée et composée d'une douzaine de personnes dont des anciens journalistes, des blogueurs, des spécialistes des affaires publiques et des designers qui publient du contenu positif à [[Hillary Clinton]] sur les réseaux sociaux. Son activité est assimilée à du astroturfing<ref>http://www.slate.com/articles/technology/future_tense/2016/06/the_fec_can_t_figure_out_what_to_do_about_paid_speech_online.html</ref>{{,}}<ref>http://uk.businessinsider.com/clinton-pac-spends-1-million-to-correct-people-online-2016-4</ref>.
