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! '''Points débattus''' !! '''Tendance 1''' !! '''Tendance 2'''
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| '''Les certifications, un gage de ventes ? Un seuil valable ?''' || - Une seule certitude, quels que soient les seuils retenus, on ne doit pas renoncer à la notion des ventes certifiées seules garantes de rigueur et crédibilité de cette page.<br> - Plusieurs Wikipedia étrangers fonctionnent déjà depuis longtemps avec des listes de ventes certifiées<br> - C'est peut-être pas l'idéal, mais c'est déjà mieux Avancé
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et d'autres Wiki étrangers ont adoptés la même façon de faire || - En 1973 (date du premier disque d'or officiel du SNEP), les artistes qui avaient déjà 10 à 15 ans de carrière derrière eux n'avaient pas attendu que ces récompenses deviennent officielles pour vendre des disques.
- Elles n'ont pas commencé à être attribuées durant les mêmes périodes (sous-entendu par pays) et ne sont pas systématiques. Exemple : le lundi au soleil (1972) de Claude François ou le téléphone pleure (1974), représentant ensemble plus de 1 600 000 disques qui passent à la Avancé
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trappe. Ce qui est problématique quand on fait une liste regroupant les artistes français qui ont vendu le plus avec pour critère essentiel la certification. Démonstration : un artiste A qui sort uniquement un single dans les années 70 et vend 600 000 disques devient disque d'or / un artiste B qui vend 8 singles à 400 000 disques devient "rien du tout" (n'ayant pas atteint le seuil de 500 000). l'artiste B a vendu, malgré l'absence de certifications, le plus de disques = l'artiste qui a certifié le plus de disques n'est pas forcément l'artiste qui en a vendu le plus.
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| '''Aucune obligation d’appartenir à un syndicat''' || - Pouvez-vous me citer des artistes qui n'ont pas été certifiés pour cette raison ?<br>_ Concernant les maisons de disques indépendantes, Claude François a bien reçu des disques d'or dans les années 70. Votre argument ne tient donc pas. || - Il n'y avait aucune obligation d'appartenir à un syndicat. des labels n'étaient pas au SNEP, l'ont rejoint plus tard ou pas : Sonopresse, Albatros, les éditions Ibach etc... cela avait un impact forcément pour l'artiste car pour être disque d'or il fallait une justification de la maison de disques auprès d'un syndicat auquel elle n'avait aucune obligation de fournir ses chiffres et d'y appartenir et pouvait elle même faire ses disques d’or. « Flèche » (le label de Claude François) souvent se faisait ses propres disques d'or et que rien ne l'obligeait d'avoir recours au SNEP.<br>Pour Claude François, ai-je dit qu'il n'avait reçu aucun disque d'or du SNEP ? Je l'ai simplement cité en exemple car son label souvent se faisait ses propres disques d'or et que rien ne l'obligeait d'avoir recours au SNEP. Il n'empêche que Le lundi au Soleil et Le téléphone pleure n'ont obtenu aucune certification (+ d'1 600 000 disques qui passent à la trappe pour reprendre l'expression d'un utilisateur). Sans doute, le label n'en avait pas fait la demande.
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Tel est l'enjeu ! En d'autres termes et pour poser la question autrement : Doit-on conserver à l'article une ligne directrice rigoureuse, référencée par des sources fiables, ou doit-on l'abandonner aux à-peu-près des sites douteux, des allégations surgonflées des maisons de disques, à celles des fans partisans et intraitables ?
 
Dans l'attente de vos avis éventuels avis, cordialement. --[[Utilisateur:PHIL34|PHIL34]] ([[Discussion utilisateur:PHIL34|discuter]]) 14 mars 2021 à 12:54 (CET)
 
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