« Parc éolien » : différence entre les versions

 

En France, certains projets de parcs éoliens marins soulèvent des oppositions locales. La géographe Annaig Oiry a montré comment ses oppositions, mêmes structurées, ne parvenaient pas à empêcher l'avancée des projets d'énergies marines renouvelables<ref>{{Article|langue=français|auteur1=Annaig Oiry|titre=Développer les énergies marines renouvelables sur la façade atlantique française : entre contestation et planification|périodique=Géoconfluences|date=22 novembre 2018|issn=2492-7775|lire en ligne=http://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/dossiers-thematiques/changement-global/articles-scientifiques/energies-marines-renouvelables-france-contestation-planification|pages=}}</ref> Cependant, si de telles oppositions n'empêchent pas ces projets, elles peuvent les ralentir. Des sept parcs éoliens en mer attribués par la France depuis 2012, aucun n'a encore vu le jour. Un huitième parc a été attribué en décembre 2020 après une longue procédure de débat public entamée en novembre 2019. Situé au large du Cotentin, il pourrait commencer à produire de l'électricité en 2028, et aurait une capacité d'1 gigawatt (GW), soit l'équivalent de la production d'un réacteur nucléaire<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Un nouveau parc éolien en mer verra le jour au large du Cotentin |url=https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/un-nouveau-parc-eolien-en-mer-verra-le-jour-au-large-du-cotentin-1271354 |site=Les Echos |date=2020-12-05 |consulté le=2020-12-08}}</ref>.

 

== Biodiversité ==