« Jacques de Flesselles » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m v2.04b - Bot T3 PCS#548 - Correction syntaxique (Ponctuation dans un lien - Orthographe et typographie)
Herr Satz (discuter | contributions)
mAucun résumé des modifications
Ligne 41 :
 
== Prévôt des marchands de Paris (21 avril-14 juillet 1789) ==
[[Fichier:Plaque Jacques de Flesselles, 52 rue de Sévigné, Paris 3.jpg|thumbvignette|[[Plaque commémorative]] au 52 [[rue de Sévigné]], [[Liste des plaques commémoratives du bicentenaire de la Révolution à Paris|posée pour le bicentenaire de la Révolution]], marquant l'emplacement de l'hôtel où résidait Jacques{{lien|langue=c|trad=Category:Hôtel de Flesselles|fr=Hôtel aude {{numéro|52Flesselles}} de larésidait [[rueJacques de Sévigné]]Flesselles.]]
Le {{date|21 avril 1789}}, il est appelé à succéder à [[Louis Le Peletier de Mortefontaine|Louis le Peletier]] comme [[prévôt des marchands de Paris]], fonction équivalente à celle de maire de nos jours. Le {{date-|27 mai}}, les électeurs des trois ordres de la ville demandent à siéger à l'[[Hôtel de ville de Paris|hôtel de ville]] et à participer à la gestion de la cité, ce que Jacques de Flesselles, soutenu par le ministère de [[Jacques Necker]] refuse, considérant que cela est illégal. Le {{date-|25 juin}}, cette demande est renouvelée et, sous la pression publique, Jacques de Flesselles autorise douze de ces électeurs à se joindre à la municipalité en place. La première session de cette « assemblée générale » se tient le {{date-|13 juillet}}. Jacques de Flesselles en est élu président. Sous la pression de la foule, il doit accepter la création d’une [[garde bourgeoise]] et annonce que {{formatnum:12000}} fusils vont arriver de [[Charleville (Ardennes)|Charleville]] pour équiper la troupe. Mais celle-ci n'arrive pas et il est accusé d'avoir caché au peuple l'existence de cinq milliers de livres de poudre découverts sur un bateau au port Saint-Nicolas, d'être l'auteur de toutes les fausses espérances qui portent au comble l'irritation des esprits<ref>Philippe Le Bas, ''Dictionnaire encyclopédique'', 1842, t. 8, Firmin Didot frères, Gallica0</ref>.