« Bataille de la crête de Pilckem » : différence entre les versions
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== Histoire ==
La [[5e armée (Royaume-Uni)|Cinquième armée britannique]], appuyée par la [[2e armée (Royaume-Uni)|Deuxième armée britannique]] sur le flanc sud et la
Dans la zone du {{XIXe|Corps}} au centre et à droite du {{XVIIIe|Corps}}, trois brigades de réserve s'avancent de la {{Citation|ligne noire}} vers l'objectif principal (la {{Citation|ligne verte}}) et poussèrent vers la {{Citation|ligne rouge}}, la plus éloignée que l'exploitation sur initiative locale avait été autorisée. Il commence à pleuvoir, coupant de vue les troupes britanniques avancées, tout comme les régiments allemands spécialistes de l{{'}}''{{Lien|lang=en |trad= Eingreif division | fr=Eingreif| texte =Eingreif}}'' (la [[Contre-attaque (militaire)|contre-attaque]]) et les divisions avancent sur la crête de Passchendaele. Pour éviter d'être entourées, les brigades de réserve se retirent, subissant de nombreuses pertes, à travers la ligne verte jusqu'à la ligne noire, que les observateurs d'artillerie britanniques puissent encore voir ; l'infanterie allemande est empêchée d'avancer davantage par des tirs massifs d'artillerie et d'armes légères.
Une portion substantielle de terrain est conquise par les Britanniques et les Français, sauf sur le {{lien |
Une attaque britannique locale sur le {{lien | langue = en | trad = Gheluvelt Plateau actions, July–August 1917| fr = Actions sur le plateau de Gheluvelt | texte = plateau de Gheluvelt}} prévue le {{date-|02 août}} est reportée à plusieurs reprises en raison des conditions météorologiques jusqu'au {{date-|10 août}}, et la deuxième grande attaque générale, prévue le {{date-|4 août}}, ne commence que le {{date-|16 août}}. Les objectifs de la ligne verte sur le plateau ne sont atteints qu'à la [[Bataille de la route de Menin|bataille de la crête de la route de Menin]] le {{date-|20 septembre}}, après que le rôle principal de l'offensive a été transféré à la deuxième armée et que trois semaines de soleil et de brise fraîche ont séché une grande partie du sol. La troisième bataille d'Ypres est controversée alors qu'elle se déroule, des différends portant sur la prévisibilité des déluges d'août et pour ses résultats mitigés, qui, dans une grande partie des écrits en anglais, sont imputés à des malentendus apparents entre [[Hubert Gough]] et [[Douglas Haig]] et à une planification défectueuse, plutôt que sur la résilience de la {{4e|armée}}.
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