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{{Voir homonymes|Église Saint-Barthélémy}}
{{Infobox Édifice religieux
| nommonument = Église Saint-Barthélemy<br>de Rion-des-Landes
| photo = Église Rion 3.JPG
| légende = Église Saint-Barthélemy de Rion-des-Landes
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| ville = [[Rion-des-Landes]]
| pays = {{France}}
| région = [[Nouvelle-Aquitaine]]
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| culte = [[Église catholique romaine|Catholique romain]]
| type = [[Église (édifice)|Église]]
| rattachement = Paroisse Notre-Dame-du-Midadour<br>[[Diocèse d'Aire et Dax]]
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}} L''''église Saint-Barthélemy''' est une [[église paroissiale]] [[Église catholique|catholique]] située dans la commune de [[Rion-des-Landes]], dans le département français des [[Landes (département)|Landes]]. Construite au [[Moyen Âge]], elle est rattachée à la paroisse de Notre-Dame du Midadour et
== Histoire ==
=== Moyen Âge ===
L'histoire commence avec une première chapelle dédiée à Notre-Dame construite au {{s-|XI}}<ref
Au début des 300 ans de l'occupation anglaise à la suite du mariage d'[[Aliénor d'Aquitaine]] avec [[Henri II Plantagenêt]], cette chapelle fut remplacée
Vers 1380, une cloche y est attribuée. C'est la plus ancienne cloche recensée dans les Landes<ref name=":4">{{Ouvrage|langue=FR|prénom1=Xavier de (1858-1930) Auteur du texte|nom1=Cardaillac|titre=Églises fortifiées landaises / par Xavier de Cardaillac|date=1926|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9735110m|consulté le=2022-08-28}}</ref>.
Rion
▲Arrion comptait une deuxième église dédiée à saint Martin fondée aussi au {{XIIe}} siècle sous le nom latin de ''Sanctus Martinus de Arrione'' selon le cartulaire de la [[cathédrale de Dax]] (le Liber rubeus). Cette église et son cimetière existait encore selon un testament du 5 janvier 1646 trouvé par Pierre Cuzacq, et par lequel un habitant de Rion demande à être inhumé « dans le cimetière de l'église St-Martin du dit Rion. » Elle se trouvait dans le quartier de Saint Martin, il s'étendait à partir de Pégaoule et toute le long de la route de Beylongue<ref>{{Ouvrage|langue=FR|titre=L'Aquitaine historique et monumentale : monographies locales illustrées. T. 2 / publiées par MM. Dufourcet, Taillebois et G. Camiade|date=1890-1893|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503804t|consulté le=2021-08-29}}</ref>.
=== Renaissance ===
Entre le {{
Avec son clocher en pointe et ses créneaux au dessus de la nef, l'église de Rion ressemblait à l'architecture actuelle l'[[Église Notre-Dame de Magescq|église Notre Dame de Magescq]]<ref name=":4" />.
=== Révolution française, la Terreur ===
Avant la Révolution, la dime en grain s'y montait à {{nombre|4750|livres}} et le curé en avait les neuf dixièmes, il avait aussi le dixième de la dîme des agneaux, chevreaux et abeilles<ref name=":2" />.
Sur ordre du district de Tartas, donc de la République, la municipalité fit l'inventaire des biens de la paroisse en 1792, et officiellement ont donné au district les objets en argent, d'un poids de vingt livres et seize once. Dans les faits, l'argenterie est restée sur place<ref name=":2" />{{,}}<ref name=":3" />.[[Fichier:Centre ville de Rion au début du XIX siècle.jpg|vignette|L'église en violet, avec son enceinte fortifiée au début du {{s-|XIX}}.]]C'est dans l'église qu'ont eu lieu les premières séances municipales et les premières élections<ref name=":2" />.
Le 10 mai 1793, la république réquisitionne les cloches des églises afin de les convertir en canons. Le district de Tartas réquisitionne 2 cloches à Rion, laissant la cloche de l'horloge de 1720, et la cloche du {{s-|XIV}}<ref name=":0" />.▼
En 1794 le culte cessa dans toute la France. Le 11 mars l'église fut renommée "Temple" est y était célébré le [[culte de la Raison]]. Les 5 autels furent détruits et les débris laissés sur place<ref name=":2" />.▼
▲Le 10 mai 1793, la république réquisitionne les cloches des églises afin de les convertir en canons. Le district de Tartas réquisitionne 2 cloches à Rion, laissant la cloche de l'horloge de 1720, et la cloche du {{s-|XIV}}.
Le 17 nivôse de l'an II de la République, soit le 5 janvier 1795, le commissaire D'Arnaudin du district Tarusate, tient une vente aux enchères sur la place publique de Rion. Sont vendus tout le mobilier, les statues et les objets de culte de l'église dont l'argenterie, ainsi que les débris des 5 autels qu'il nomme "les restes des dépouilles du fanatisme". Seule la chaire à prêcher résiste aux révolutionnaires<ref name=
▲En 1794 le culte cessa dans toute la France. Le 11 mars l'église fut renommée "Temple" est y était célébré le [[culte de la Raison]]. Les 5 autels furent détruits et les débris laissés sur place.
▲Le 17 nivôse de l'an II de la République, soit le 5 janvier 1795, le commissaire D'Arnaudin du district Tarusate, tient une vente aux enchères sur la place publique de Rion. Sont vendus tout le mobilier, les statues et les objets de culte de l'église dont l'argenterie, ainsi que les débris des 5 autels qu'il nomme "les restes des dépouilles du fanatisme". Seule la chaire à prêcher résiste aux révolutionnaires<ref name=daugé>{{Harvsp|Daugé|1912|p=|id=}}.</ref>.
Dès 1802, avec le rétablissement du culte, les marguillers successifs s'attachent à remeubler l'église dont seuls les derniers débris des autels sont présents à l'intérieur. Grâce à l'appel à la générosité et à la piété, de nouveaux objet de culte sont achetés, en 1825 fut construit l'autel dédié à [[saint Barthélemy]] par des Italiens, en 1827 l'autel dédié à [[saint Roch]]<ref name=":0" />{{,}}<ref name=":2" />.▼
En 1832 le cimetière, qui se trouvait dans l'enceinte fortifiée de l'église, est déplacé à son emplacement actuel (le cimetière Nogaro). En 1834 on rénove le clocher en bois et on détruit les fortifications. Avec ses pierres
▲=== La reconstruction du {{s-|XVIII}} ===
[[Fichier:Centre ville de Rion au début du XIX siècle.jpg|vignette|L'église en violet, avec son enceinte fortifiée au début du {{s-|XIX}}.|285x285px]]▼
▲Grâce à l'appel à la générosité et à la piété, de nouveaux objet de culte sont achetés, en 1825 fut construit l'autel dédié à [[saint Barthélemy]] par des Italiens, en 1827 l'autel dédié à [[saint Roch]].
En 1837, à peine le clocher rénové que celui-ci fut frappé par la foudre, qui l'incendia complètement<ref name=":0" />.▼
▲En 1832 le cimetière, qui se trouvait dans l'enceinte fortifiée de l'église, est déplacé à son emplacement actuel (le cimetière Nogaro). En 1834 on rénove le clocher en bois et on détruit les fortifications. Avec ses pierres, sont pavées les rues du bourg et est construite une maison commune.
Plus tard en 1847, on fait un appel à la générosité et à la piété des habitants, pour remplacer la cloche de l'horloge de 1720. La charité publique surpassa les attentes tellement que fut décidé de fondre deux cloches. Ces deux cloches furent fondues au pied de l'église le 11 novembre. L'horloge est changée en 1862<ref name=":2" />.[[Fichier:Eglise rion 1866.jpg|vignette|L'église gothique en 1866, coté nord. Dessin de l'architecte Gustave Alaux. ]]L'accroissement de la population (passée de 1.200 habitants sous la Révolution à
▲En 1837, à peine le clocher rénové que celui-ci fut frappé par la foudre, qui l'incendia complètement.
Le chantier commence en mai 1868 par la destruction des trois sacristies qui étaient accolées à l'abside, de la chapelle hors-œuvre dédiée à Notre-Dame, de la rotonde au rez-de-chaussée du clocher ( qui abritait les fonts baptismaux et la chapelle Saint-Roch), ainsi que la partie ouest de la nef située devant le clocher. Ensuite le portail romain d'origine est déplacé sur la façade ouest du clocher, de nouveaux chapiteaux viennent l'entouré posé sur des colonnes de marbre rose, il est ensuite accompagné par l'édification du grand porche néo roman. Le bas-côté nord gothique est agrandi vers l'ouest et ajouré d'un portail ornemental néo roman. Le mur sud est percé afin de construire le bas-côté sud identique au bas-côté nord. Le clocher monumental en pierre de taille est reconstruit au-dessus de la première travée de la nef et sont installés les vitraux du chœur. Le chantier dont le décompte final porte la dépense à 91.404 francs et 58 centimes, est mené à bien en 1872, après une brève interruption due à la guerre franco-prussienne<ref name=":2" />{{,}}<ref name=":0" />.
Le dernier remaniement intervient en 1894, avec l'ajout, par l'architecte bordelais Paul Minvielle, d'une tribune sur la première travée de la nef, dont le rez-de-chaussée devient ainsi un vestibule ou une avant-nef. De 1892 à 1897, le décorateur local J. Ducournau couvre les murs et voûtes de peintures ornementales (supprimées à la fin du
▲L'accroissement de la population (passée de 1.200 habitants sous la Révolution à 1.332 en 1824 et 2.263 en 1861) et l'état de ruine du clocher font ressentir dès le milieu du siècle le besoin d'une rénovation et d'un agrandissement. Le conseil municipal vote un crédit de 90.000 francs et approuve en mai 1867 le projet présenté par l'architecte bordelais [[Gustave Alaux (architecte)|Gustave Alaux]], architecte de l'église St-Pierre de [[Morcenx]] bourg en 1863. Les travaux, estimés à la somme de 80.343 francs 39 centimes, sont adjugés pour 72.308 francs 97 centimes et sont confiés à l'entrepreneur Jules Lespessailles, de [[Tartas]].
En
▲Le dernier remaniement intervient en 1894, avec l'ajout, par l'architecte bordelais Paul Minvielle, d'une tribune sur la première travée de la nef, dont le rez-de-chaussée devient ainsi un vestibule ou une avant-nef. De 1892 à 1897, le décorateur local J. Ducournau couvre les murs et voûtes de peintures ornementales (supprimées à la fin du XXe siècle).
▲En démolissant les murs intérieurs de l'église, ont été découverts un grand nombre de vases en terre, dont l'ouverture était tournée ver la nef. Ces [[:en:Echea|échées]] avaient été mis intentionnellement dans ce mur pour augmenter la sonorité du vaisseau<ref>{{Ouvrage|langue=FR|titre=L'Aquitaine historique et monumentale : monographies locales illustrées. T. 2 / publiées par MM. Dufourcet, Taillebois et G. Camiade|date=1890-1893|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503804t|consulté le=2021-11-28}}</ref>. De plus les murs des combles de la nef portent des traces des cheminés qui durent servir à faire cuire des aliments pour la garnison et peut être à faire bouillir des liquides à jeter sur les assaillants.
=== Les dernières rénovations ===
▲[[Fichier:
En 1918, on construit le monument aux morts, le premier de la commune.
Une restauration de l'intérieur est effectuée en 1968, on repeint les murs avec des couleurs vives (orange, bleu, rouge, vert…) pour correspondre à la mode du moment, on change le maitre autel avec celui actuel qui est d'un seul bloc de granit. On enlève les prie-Dieu et autres chaises personnelles que l'on remplace par les bancs actuels<ref>{{Ouvrage|auteur1=Janette Duboscq-Lamarque|titre=Rion des Landes Regards sur le passé 1960-2000 Tome III}}</ref>.
Au début du XXI siècle, l'édifice était noir de pollution et la flèche commençait à pencher. En 2005-2006 datent la restauration de l’extérieure de l'église qui fut réalisé par la Municipalité Rionnaise. Ils supprimeront la clôture à piliers de pierre et la grille ouvragées qui délimitaient un enclos autour de l'édifice.▼
▲Au début du {{s-|XXI
De même en 2009''',''' se déroulera la restauration intérieure de l'église par l'Association 'les Amis de l'Eglise St-Barthélémy' : peintures à la chaux, réfection de l'électricité avec pose de plusieurs lustres, sonorisation, nettoyage et restauration de l'orgue avant de la placer en tribune.▼
▲De même en 2009
Et pour finir, en 2019, l'Association 'les Amis de l'Eglise St-Barthélémy' acquiert une icône représentant Saint Barthélémy, réalisée par l'iconographe Marie-Cécile Froment, accrochée dans le chœur<ref>{{Lien web |titre=Église Saint-Barthélémy à Rion-des-Landes - Office de Tourisme du Pays Tarusate - Le cœur des Landes (40) |url=https://www.lecoeurdeslandes.com/eglise-saint-barthelemy-a-rion-des-landes |site=www.lecoeurdeslandes.com |consulté le=2023-03-05}}</ref>.▼
▲Et pour finir, en 2019, l'Association 'les Amis de
== Architecture ==
Le monument mélange le style néo-roman avec le porche et le clocher-tour, et le style néo-gothique pour le chevet. Il est majoritairement bâti en moellon calcaire enduit sauf exception de la façade occidentale, du porche, du clocher, des encadrements des baies et des contreforts qui sont en pierre de taille. Les pierres blondes sont issue des carrières de Beylongue et les colonnes de marbre rose viennent de la carrière de Campan dans les Hautes-Pyrénées<ref name=":0" />.
Les autres chapiteaux néo roman du porche date de 1868, eux et l'ensemble de l'important décor sculpté de l'édifice sont exécuté par le sculpteur Vincent Saint-Sébastien<ref>{{Ouvrage|auteur1=Maisonnave Jean-Philippe|titre=Chapiteaux et frises du porche|éditeur=Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel|lire en ligne=https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/cd602e0b-90c1-47b3-a45e-ad29ce3955aa}}</ref>.
▲L'église primitive était romane, comme l'atteste son seul vestige, le remarquable portail du {{s-|XII}}. Il développe l'essentiel du mystère chrétien son [[Tympan (architecture)|tympan]] montre le [[Christ en majesté]] inscrit dans une [[mandorle]], assis sur un trône de gloire et entouré des quatre évangélistes : saint Matthieu (l'ange), saint Jean (l'aigle), saint Marc (le lion) et saint Luc (le taureau). Le tympan est surmonté de [[voussure]]s. Leurs cinq ornements (torsades, étoiles, perles, tores, bandelettes) représentent la beauté et la joie de la vie avec Dieu<ref name="Panneau">Église Saint-Barthélemy de Rion-des-Landes, panneau de présentation consulté sur site en septembre 2011.</ref>.
Les murs de l'église primitive ont été arrondis pour former les colonnes
=== Mobilier ===
▲Les murs de l'église primitive ont été arrondis pour former les colonnes de la nef principale et des bas-côtés. Le bas-côté nord et la nef datent du {{s-|XV}}, le bas-côté sud de 1868.
[[Fichier:Rion, la cloche du XVI siècle.jpg|vignette|La plus vieille cloche des Landes datant vers 1380.]]
Le chœur est de style néo-gothique, il se compose de 3 verrières de 1868 réalisées par le maître verrier Bordelais Isidore Pomès. Voici leur signification <ref>{{Ouvrage|auteur1=Maisonnave Jean-Philippe|titre=Ensemble de 3 verrières à personnages (Saint Pierre et saint Paul, Saint Matthieu et saint Luc, Saint Jean et saint Marc) et de 2 verrières décoratives du chœur (baies 0 à 4)|éditeur=Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel|lire en ligne=https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/e3cb4f3a-f899-46b4-8cb0-0a928c34cd26}}</ref>:
* Vitrail côté nord : Saint Mathieu et saint Luc avec Dieu le Fils dans le trèfle.
* Vitrail du milieu : Saint Pierre et saint Paul avec Dieu le Père dans le trèfle.
* Vitrail côté sud : Saint Jean et saint Marc avec le Saint Esprit sous la forme d'une colombe dans le trèfle.
Les vitraux symboliques des bas-côtés nord sud, les plus près des autels, sont fabriqués et posés en 2010 par la verrière dacquoise Brigitte Nogaro<ref>{{Ouvrage|auteur1=Maisonnave Jean-Philippe|titre=Ensemble de 2 verrières symboliques des collatéraux : Annonciation, Assomption (baies 5 et 6)|éditeur=Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel|lire en ligne=https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/f4d16b05-ef98-43d8-ab32-cafa747eaa18}}</ref>.
Il y a trois autels <ref>{{Ouvrage|auteur1=Dossier réalisé par Maisonnave Jean-Philippe|titre=Ensemble de l'autel de la Vierge (autel, 2 gradins, tabernacle, statue de Notre-Dame de Lourdes)|éditeur=Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel|lire en ligne=https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/c869f908-fe09-4062-a4c3-2ac65863167d}}</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage|auteur1=Maisonnave Jean-Philippe|titre=Ensemble de l'autel de saint Joseph (autel, 2 gradins, tabernacle, statue de saint Joseph à l'Enfant)|éditeur=Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel|lire en ligne=https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/9c854537-be32-45ec-9bdb-7041daa6bce2}}</ref>:
* L'autel en marbre côté nord date de 1868, est dédié à saint Joseph.
* L'autel en marbre côté sud date de 1868, est dédié à la Vierge Marie.
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L'orgue a été réalisé par la maison Pesce à Pau en 1972<ref>{{Lien web |titre=Orgue de Rion-des-Landes, Église Saint-Barthélémy - A.D.OR.A |url=http://orgue-aquitaine.fr/Orgue-de-Rion-des-Landes-Eglise-Saint-Barthelemy.html |site=orgue-aquitaine.fr |consulté le=2021-06-15}}.</ref>.
Le clocher-tour abrite l'horloge de 1862 et un ensemble de 2 cloches fondues en 1847 sur lesquelles sont gravés "Santa-Maria" et "Sanctus-Bartholomeus", ainsi qu'une cloche du
== Objets classés ==
L'église possède 2 objets classés :
- la [[Chaire (église)|chaire à prêcher]] à double escalier en bois sculpté datant du
- une cloche en bronze datant du Moyen Âge, son profil en "pain de sucre" et son inscription en lettres onciales permet de la dater du
Survivante des guerres et de la révolution, elle est classée le 5 juin 2003<ref>{{
== Galerie ==
<gallery
Fichier:Église Rion 2.JPG|Vue de face
Fichier:Église Rion 1.JPG
Fichier:Église Rion 4.JPG|Chapiteau représentant la fuite en Égypte
Fichier:Église Rion 5.JPG|Le tympan
Fichier:Rion des Landes, l'église milieu XX.jpg|Carte postale du milieu du {{
Fichier:Rion, intérieur de l'église saint Barthélemy début XX.jpg|L'intérieur début
Fichier:Rion des Landes,
</gallery>
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