Marcel Dusaussois et Martine Doos

couple d'artists belges
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Les époux Marcel Dusaussois (né à Seneffe le , mort à La Louvière le )[1],[2] et Martine Doos (née à Borgerhout le )[2] sont deux artistes et écrivains amateurs belges, à la notoriété locale.

Marcel Dusaussois
Marcel Dusaussois en 1995
Naissance
Décès
Nationalité
Activité

Peinture, dessin, sculpture

Poésie, nouvelles, essais
Mouvement
Style personnel et indépendant
Distinction

Picturales : 19 médailles

Littéraires : 6 premiers prix
Martine Doos
Martine Doos en 1966
Naissance
Nationalité
Activité

Peinture, dessin

Poésie, contes
Mouvement
Style personnel et indépendant
Distinction
Picturales : 15 médailles

Marcel Dusaussois est un employé commercial. Dans ses loisirs, il est peintre, dessinateur et écrivain du cosmos[pas clair]. Il est aussi poète, nouvelliste, essayiste et le chantre de son terroir natal au travers de ses livres illustrés. Il a également réalisé quelques sculptures, linogravures, icônes et peintures sur émaux.

Martine Doos a réalisé de nombreux dessins et miniatures ainsi que quelques dizaines de tableaux à l'huile, et des linogravures. Elle a également écrit.

Présentation des artistes

Mariage du Ciel et de la Terre, huile sur toile de Marcel Dusaussois et Martine Doos, 1990

Les époux Marcel Dusaussois et Martine Doos, peintres et poètes belges, voyaient l'art comme une façon toute naturelle d'exprimer le monde intérieur[3],[4],[5].

Marcel Dusaussois et Martine Doos sont indissociables, car si chacun d'eux avait sa personnalité et son univers pictural, ils peignaient parfois en duo, et certains tableaux portent leurs deux signatures[6]. Ils exposaient très souvent ensemble : « Difficile de parler de Marcel Dusaussois sans évoquer sa femme, son égérie, Martine Doos. Artiste comme lui, Martine Doos laisse souvent son empreinte sur l'œuvre de son mari[7]. »

Marcel Dusaussois était aussi poète, nouvelliste, essayiste et conférencier[8]. Les livres Chasse aux vieilles Censes, où il rend hommage à son terroir natal, contribuent à la sauvegarde du patrimoine culturel du Hainaut[9].

Tout au long de leur parcours, ces deux artistes ont voulu promouvoir la fraternité et les échanges entre artistes, qu'ils soient amateurs ou professionnels[10]. Marcel Dusaussois disait dans ses conférences : « Les amateurs sont entièrement libres. Ils peignent par conviction profonde, par besoin d'évasion, et non par souci financier. Le véritable artiste est un apôtre de la beauté, de la création, de la recherche. Il ne devrait jamais être catalogué comme professionnel ou amateur[11],[12]. »

Marcel Dusaussois et Martine Doos sont référencés dans le Guida all'Arte Europea[2],[13].[précision nécessaire]

Profondeur insondable du Cosmos, huile sur unalit avec joncs, de Marcel Dusaussois, 1976

Marcel Dusaussois peintre et écrivain du cosmos

Peintre du cosmos, comme l'a appelé en 1977 Françoise Zonemberg du journal régional La Nouvelle Gazette[3], Marcel Dusaussois n'est pas un paysagiste du cosmos mais un créateur d'univers, ou plus exactement d'embryons d'univers[14][réf. à confirmer].

Selon Claude Darcy, de La Revue Moderne des Arts et de la Vie : « il dompte les grands mouvements perpétuels de l'univers. Dans ses œuvres abstraites, les mouvements commencent et finissent en dehors du cadre et semblent venir du néant et y retourner. Chaque toile suggère un monde qui naît, grandit ou explose[15][réf. à confirmer]. »

Pour Jalons et Actualités des Arts[16], chacune de ses compositions graphiques et surtout picturales commence par un point illisible dans le microcosme, se développe en graphisme spiraloïde en relief qui, dans des gammes chromatiques harmonieuses, exprime l'explosion continuelle qui préside à la naissance et à la mort des galaxies : ensuite l'équilibre rythmique et le jaillissement fougueux du mouvement perpétuel invitent le spectateur à prolonger l'œuvre dans le macrocosme en imaginant des harmonies complémentaires[réf. à confirmer].

La critique d'art Vera Manuelle dit de sa peinture qu'elle vibre avec une onde profonde qui confère une vie intense, emprisonnée et ensuite libérée dans un mouvement perpétuel en constante expansion. Elle ajoute que sa technique est véhémente dans le jaillissement de la couleur et que les densités se superposent et s'entrecroisent ou se heurtent. Cette technique a le pouvoir de conserver, pour le spectateur, sa rapidité visuelle, sa vibration, sa violence[17][réf. à confirmer].


Martine Doos miniaturiste et peintre lyrique

Envol vers la Lumière, dessin avec techniques diverses, de Martine Doos, 1974

Miniaturiste d'instinct, Martine Doos dessine et peint avec une finesse de structure qui oblige presque à un examen à la loupe[18] [réf. à confirmer].

Pour elle, la fin immédiate de l'art n'est pas d'exprimer simplement la beauté mais de s'exprimer à travers le sentiment, la fantaisie ou la passion, et de suggérer une vision intérieure, de mener à la méditation, si pas à la contemplation[19] [réf. à confirmer]. Elle aborde des thèmes aussi profonds que ceux de l'homme face à l'immensité de l'univers, du temps, de l'espace. L'eau, l'air, le feu constituent les éléments naturels à la base de ses œuvres qui semblent rythmées par des forces invisibles[20] [réf. à confirmer]. Son œuvre, fantasmagorique, d'une conception hautement poétique, ouvre une nouvelle voie sur l'étude de la sensibilité, sur le mysticisme et sur l'évolution du rêve[21] [réf. à confirmer].

Martine Doos acquiert au fil des années un style fait de sensibilité, de raffinement, de mouvement. Lignes gracieuses, tonalités nuancées dominées par le mauve, mouvements tortueux confèrent à son œuvre une harmonie étrange[20] [réf. à confirmer]. « Pour exprimer sa vision, elle crée un langage original et universel intensifié par une technique très personnelle qui vivifie les vibrations et les transparences et rend réels les sujets et les atmosphères étranges de chaque œuvre. Des lignes souples, des formes harmonieuses de chorégraphie, des couleurs délicates, l'eau, le feu, la femme au corps recréé, autant d'éléments qui contribuent à la réalisation de son idéal pictural et de ses concepts spirituels »[18].

Martine Doos est « l'une des rares poètes du lyrisme pictural[22] [réf. à confirmer]. » Sensible aux vibrations de la nature et de l'âme, elle s'exprime dans une forme et un concept poétiques, rehaussés par un chromatisme tout particulier[23] [réf. à confirmer]. Amour de la créature souffrante, appel à la compassion de Dieu, l'œuvre de Martine Doos est une forme esthétique de la prière[24] [réf. à confirmer].

Évolution du parcours artistique des époux

Marcel Dusaussois

Né à Seneffe le [1],[2], Marcel Dusaussois dessine depuis son enfance[25][source insuffisante]. Il expose pour la première fois en 1945 (des portraits), à l'Athénée de Morlanwelz où il termine ses études, puis en 1946, à l'hôtel de ville de Chapelle-lez-Herlaimont, avec Alexandre-Louis Martin[25]. Après ses humanités, il entre comme élève libre en classe de nu, à l'Académie des Beaux-Arts de Mons, où il n'achève pas l'année, pour suivre des cours supérieurs de journalisme[25][source insuffisante].

Depuis 1947, Marcel tente des incursions dans l'abstraction[26]. Il entre dans le groupe d'artistes louviérois Tendances contemporaines, dont font partie Hélène Jacquet, Pol Bury, Vittorio Bonuzzi, Lucien Guinotte et Max Michotte[25][source insuffisante].

En 1950, Marcel met au point une technique de fines coulées de couleurs soufflées[27]. Il traite des sujets sportifs, cherchant à décomposer le mouvement, à saisir sa cadence, à capturer ses instants fugaces[26].

Au début des années soixante, il expérimente les harmonies de teintes, de pâtes, de plans, de masses, de perspectives, ainsi que les contrastes et les jeux d'ombres et de luminosités, à travers des paysages paisibles, lumineux, romantiques parfois[25].[source insuffisante]

À partir de 1965, il se voit appelé « peintre du cosmos » car il affirme lui-même exprimer au travers de ses œuvres sa vision intime des grands mouvements perpétuels de ce cosmos[3].

Vers 1976, de plus en plus obsédé par la troisième dimension et les effets de profondeur, il finit par sculpter ses peintures et peindre ses sculptures, avec adjonction de différents matériaux, comme des joncs. Ces derniers allègent les peintures en relief et les sculptures polychromes grâce à leur graphisme tournoyant dans l'espace[3]. « Peinture sculptée ? Sculpture peinte ? Il est difficile de trancher en ce qui concerne les œuvres de cet artiste, mélanges intimes de deux formes d'art[3]. »

À partir de 1978, Marcel Dusaussois étudie l'iconographie byzantine et russe. Il se lance dans une série de portraits idéalisés. Il travaille sur bois, s'inspirant de la technique des icônes pour inviter le spectateur à méditer[28].

De 1991 à 1998, il ne cesse de prospecter des fermes et de les dessiner. Ainsi naît la série Chasse aux Vieilles Censes, citée ci-dessous[9].

Martine Doos

Martine Doos est née à Borgerhout le [2],[13]. Depuis que sa maison familiale a été bombardée par les V2, elle vient souvent loger à Seneffe chez sa tante qui est voisine de Marcel Dusaussois[13]. Leur passion commune pour le dessin et la peinture rapproche ces deux artistes qui se marient en 1952[13] et auront deux enfants[13],[29].

Puis le couple Dusaussois-Doos compose le recueil de dessins Laudes 67[30].

Elle organise des ateliers de dessin de 1972 à 2000[31].

Depuis les années 1980, Martine Doos peint surtout des tableaux à l'huile. Elle est une « artiste locale »[19].

Expositions personnelles, en couple ou en groupe

Marcel Dusaussois a exposé dans des cafés, agences bancaires de village et autres salles locales, en solo et en groupe dès 1945, et aussi avec son épouse à partir de 1964 jusqu'en 1997.

Marcel Dusaussois et Martine Doos ont aussi organisé des expositions pour les membres des ateliers de dessin et de peinture de Manage[5],[32].

Associations artistiques et littéraires dont le couple a fait partie

Marcel Dusaussois et Martine Doos sont entrés dans diverses associations artistiques et littéraires[33],[34],[35] :

Œuvres artistiques de Marcel Dusaussois et Martine Doos

Marcel Dusaussois

Durant soixante ans, il a utilisé une large gamme de supports et de techniques.

Ses œuvres illustrent les étapes de sa vie picturale : des paysages étranges aux lumières irréelles, des nus humanisant des paysages de caractère, des compositions cosmiques, à l'huile ou au crayon[36].[source insuffisante]

Il laisse de nombreux croquis et dessins, parfois à la gouache[25],[37] et plusieurs centaines d'huiles sur toile, parfois sur unalit[13]. Quelques portraits et paysages ont été travaillés au couteau[25].

Il est aussi l'auteur d'icônes sur bois et feuilles d'or[28], ainsi que d'émaux découpés dans du cuivre[13], ou encore de linogravures[38].

Renaissance, huile sur toile de Martine Doos, 1987

Marcel Dusaussois sculptait tous les matériaux qui l'inspiraient : du bois fossilisé, des pierres de sable, des pâtes de verre colorées rejetées par les verreries ; son jardin était jalonné d'étrange sculptures, fragments de briques, cailloux et verres polis et colorés, enchâssés dans des mini-menhirs[7]. Il sculptait aussi de grands blocs d'ytong (béton cellulaire), parfois polychromes et allégées par un graphisme tournoyant dans l'espace[39].

Martine Doos

Martine Doos a réalisé de nombreux dessins et miniatures, aux crayons et à la gouache[18],[24], et quelques icônes[13].

Puis elle est passée à la peinture à l'huile pour réaliser de grandes compositions sur le thème de la femme, de la danse, et surtout du sacré[19]. Elle laisse ainsi quelques dizaines de tableaux[13].

Elle est également l'auteure de linogravures qu'elle retravaillait parfois avec des couleurs[13],[20].

Livres illustrés du couple Dusaussois - Doos

De 1991 à 1998, Marcel Dusaussois a parcouru en tous sens la région de ses ancêtres, à la recherche des trésors en pierres et en briques qui étaient en péril ou déjà en voie de disparition[40]. Il les a dessinés et décrits avec maintes références à l'histoire, petite ou grande. Ces témoignages des temps révolus constituent un patrimoine culturel que l'artiste voulait contribuer à conserver dans la mémoire collective[9]. Martine Doos participait, elle aussi, à l'élaboration des textes et dessins de ces ouvrages[1].

Chacun des cinq livres ci-dessous a été publié par Marcel Dusaussois.

Les textes, poèmes et dessins sont principalement de Marcel Dusaussois, quelques-uns sont de Martine Doos.

  • Chasse aux Trésors dans l'Entité de Seneffe, Chapelles, Oratoires, Niches, Bornes potales, Croix, 1991. Sponsorisé par l'Administration communale de Seneffe, Éditions WEKA, Awans.

Ces cinq livres sont entrés dans le répertoire des bibliothèques de la Fédération Wallonie-Bruxelles[43]. Des médias locaux ont publié des comptes-rendus de ces livres, qui peuvent servir de guides touristiques, et qui contribuent à la sauvegarde du patrimoine culturel du Hainaut[9].

Le couple a aussi réalisé  :

Œuvres littéraires de Marcel Dusaussois

Amour créateur, huile sur toile de Marcel Dusaussois, 1995

D'autres poèmes ont été publiés dans les revues citées plus bas.

Nouvelles

  • Les Mardé, 1952, texte retravaillé en 1992. Se trouve dans le répertoire des bibliothèques de la Fédération Wallonie-Bruxelles[43]
  • Excursion dans une œuvre, science-fiction, 1971. Médaille d'Argent, concours international H.A.I.L. (Haute Académie Internationale de Lutèce)[Quoi ?] Paris, 1971
  • Conseil de Famille, science-fiction, 1972. Premier Prix Tortue d'Argent[Quoi ?] (lettres), Haute Académie Littéraire et Artistique de France[Quoi ?], 1972. Premier Prix Jean de Nivelles (science-fiction et fantastique)[Quoi ?] au G.P.L.W. (Grand Prix Littéraire de Wallonie)[Quoi ?], Charleroi, 1972

Essais

  • Étude sur l'Origine de la Peinture, 1966. Grand Prix international de la Critique artistique[Quoi ?], H.A.I.L. (Haute Académie Internationale de Lutèce)[Quoi ?] Paris, 1966
  • À mon Pays wallon, 1973. Premier Prix de la Semois[Quoi ?] (essais) au G.P.L.W. (Grand Prix Littéraire de Wallonie[Quoi ?]), Charleroi, 1973
  • L'Artiste, quelques Considérations artistiques, 1977
  • Les Origines des Origines de l'Art, 1981
  • Les Origines des Origines de l'Art moderne, 1981
  • Introspection, Rien et Tout, essai avec dessins, 1986, retravaillé peu avant sa mort.

Divers

  • Aureus Ordo, recueil de critiques, 1976
  • Martine Doos, ou le Don de Soi, biographie, 1986
  • Autopsie, recueil de textes et de dessins, 1988
  • Marcel Dusaussois a fait paraître des poèmes, essais et textes divers dans plusieurs revues du Hainaut dont il a été collaborateur littéraire :
    • La Toile d'Araignée[44], en 1953 (ex. : Apocalypse)
    • Terre wallonne[45], de 1966 à 1971 (ex. poème Au poète Wallon, dans le n°74)
    • El Bourdon et Falaises[46], de 1972 à 1974 (ex. : poème Elle, Acte d'Amour, 1973, n°261)
    • Le Dénominateur Commun[47], de 1973 à 1991 (ex. : extraits de l'essai Introspection, rien et tout, de 1986, parus en 1991)
    • Poemas[48], de 1989 à 1992 (ex. : extraits de l'essai Introspection, rien et tout, de 1986, parus en 1992).

Recueils de dessins et œuvres littéraires de Martine Doos

  • Laudes, plaquette de dessins, 1964[30]
  • Les deux Voies, conte pour enfants, 1972
  • Rencontres singulières, contes fantastiques, 1988
  • Souvenirs, recueil d'anecdotes et de réflexions, 2001
  • Journal intime, réflexions et dessins, commencé en à la mort de son époux.

Distinctions honorifiques

Marcel Dusaussois a obtenu les titres suivants[1],[34],[13] :

  • Chevalier de l'Ordre de Léopold[pourquoi ?]
  • Officier de l'Ordre de la Couronne[pourquoi ?]
  • Officier de l'Ordre du Mérite Culturel et Philanthropique de France[Quoi ?]
  • Grand Officier de l'Ordre Européen des Arts[Quoi ?]

Martine Doos a obtenu les titres suivants[35],[13] :

  • Chevalier de l'Ordre du Mérite Culturel et Philanthropique de France[Quoi ?]
  • Commandeur de l'Ordre Européen des Arts[Quoi ?]

Notes et références

  1. a b c d et e Les bibliothèques de l’entité de Seneffe, Journées du Patrimoine 2011 « Des pierres et des lettres », Ed. Echevinat du Temps Choisi, sept. 2011
  2. a b c d et e Guida all'Arte Europea, Bugatti, 1969, Ancona, Italie, p.34 ; photo d'œuvre p.43 et 45
  3. a b c d et e Marcel Dusaussois : peintre du cosmos dans La Nouvelle Gazette, Françoise Zonemberg, 2 déc. 1977, quotidien
  4. Ma conception de l’Art, 1968, et Ce que traduisent mes œuvres, 1971, textes de Martine Doos
  5. a et b Une Manageoise expose à Bruxelles dans La Nouvelle Gazette, 1er juillet 1989, quotidien
  6. Danielle Dusaussois, L’univers de Marcel Dusaussois et Martine Doos, Saint-Denis (Paris), Société des Écrivains, oct. 2019 (ISBN 978-2-3421-6751-1) ; exemples : tableaux p 31, 32, 63, 105, 167, 181, 214
  7. a et b L'autre histoire des vieilles fermes dans La Nouvelle Gazette, Nadine Thiry-Lebrun, 9 mars 1996, quotidien
  8. Marcel Dusaussois parle et expose au Cercle littéraire du Centre dans La Nouvelle Gazette, 17 janv. 1951, quotidien, Les Jeunesses culturelles repartent d'un bon pied à Charleroi avec le concours du peintre M. Dusaussois dans La Nouvelle Gazette, 16 déc. 1974, quotidien, et Une conférence de Marcel Dusaussois à Seneffe, le 15 mai 1981, annoncée dans La Dernière Heure, quotidien
  9. a b c et d Marcel Dusaussois: « La chasse aux vielles censes » à Seneffe dans Le Peuple 2 mars 1994, quotidien, Quand les pierres parlent dans La Nouvelle Gazette, 3 avr. 1997, quotidien, et dans Le Peuple, 4 avr. 1997, quotidien, Chasse aux trésors dans l'entité de Seneffe dans Nord Éclair et Le Journal de Mons, 6 févr. 1992 et 1er mars 1994, quotidiens, Vient de sortir de presse : « Chasse aux vieilles censes dans l'entité de Seneffe » dans Hainaut Tourisme, mai 1994, revue, Chasse aux vieilles censes dans Le Sillon belge, Guy-Arthur, 9 mai 1997, hebdomadaire, Marcel Dusaussois, chantre de la ferme dans Le Sillon Belge, Guy-Arthur, 28 juin 1996, hebdomadaire, Marcel, chasseur de censes dans Notre Temps n°96 janv. 1996, magazine, L'autre histoire des vieilles fermes dans La Nouvelle Gazette, Nadine Thiry-Lebrun, 9 mars 1996, quotidien, et L'homme qui écoute les pierres dans La Nouvelle Gazette, Nadine Thiry-Lebrun, 1er févr. 1999, quotidien
  10. Ligue des arts plastiques dans Le Peuple, 14 juillet 1964, quotidien, et Conférence de presse AEA dans La Nouvelle Gazette, 7 nov. 1973, quotidien
  11. Discours du vernissage de l'exposition AEA de La Louvière dans La Nouvelle Gazette, E. Nezer, 14 janv. 1971, quotidien
  12. Discours de M. Dusaussois lors du vernissage du salon AEA à Spa, le 22 mai 1971
  13. a b c d e f g h i j k et l Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :23
  14. Le peintre Marcel Dusaussois à Aureus Ordo dans Le Journal et Indépendance, 3 déc. 1975, quotidien
  15. Salon de l'Académie Européenne des Arts dans La Revue Moderne des Arts et de la Vie, Claude Darcy, Paris, sept. 1970, mensuel
  16. « Aureus Ordo » à l'Hôpital Erasme à Bruxelles du 13 octobre au 25 novembre dans Jalons et Actualités des Arts n°56, oct. 1979, mensuel
  17. La Revue Moderne des Arts et de la Vie, Vera Manuelle (critique d’art), Paris, sept. 1966, mensuel
  18. a b et c Martine Doos dans Le Peuple, 21 déc. 1975, quotidien
  19. a b et c Artiste locale, Martine Doos expose à Bruxelles dans L'Écho du Centre, 30 juin 1989, quotidien
  20. a b et c Martine Doos : de toutes les écoles dans La Nouvelle Gazette, Françoise Zonemberg, 1er déc. 1977, quotidien
  21. Martine Doos dans La Nouvelle Gazette, 16 mars 1979, quotidien
  22. Martine Doos : l'une des rares poètes du lyrisme pictural dans L’Écho du Centre, 12 mars 1977, quotidien
  23. Martine Doos et Marcel Dusaussois exposent à Bruxelles dans L'Écho du Centre, 28 juin 1990, quotidien
  24. a et b Martine Doos, peintre miniaturiste dans El Bourdon et Falaises n°250, Raymond Bath (critique d’art), Charleroi, 1972, mensuel
  25. a b c d e f et g Le peintre Marcel Dusaussois exposera ses œuvres du 13 au 22 octobre au café de « La Régence » dans La Nouvelle Gazette, 2 oct. 1962, quotidien
  26. a et b À la Maison des Loisirs Marcel Dusaussois peintre des Sportmen dans Journal de Charleroi, 6 févr. 1951, quotidien
  27. Marcel Dusaussois, Les Mardé, 1952, nouvelle
  28. a et b Marcel Dusaussois et les icônes dans L'Écho du Centre, 23 août 1979, quotidien, et Les icônes de Marcel Dusaussois à la C.G.E.R. de Manage dans La Dernière Heure, 16 mai 1980, quotidien
  29. Une exposition à visiter « Aureus Ordo » à Braine-le-Comte dans La Cité, 8 oct. 1976, quotidien
  30. a b et c Laudes 67 : entrée dans le catalogue et Laudes : entrée dans le catalogue.
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  36. Marcel Dusaussois, un artiste de chez nous, exposera dès le 31 juillet à Louvain-La-Neuve dans L'Écho du Centre, 28 juillet 1989, quotidien
  37. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :31
  38. Le groupe Aureus Ordo : diversité et perfection dans La Nouvelle Gazette, Ernest Haucotte, 30 mars 1978
  39. Une remarquable rétrospective du groupe « Aureus Ordo » à La Louvière dans La Nouvelle Gazette, L.E.P., 14 mars 1977
  40. Marcel Dusaussois, préface de Chasse aux Trésors dans l’Entité de Seneffe, Chapelles, Oratoires, Niches, Bornes potales, Croix, 1991
  41. Marcel Dusaussois, Chasse aux vieilles censes dans l'entité de Seneffe, Dusaussois, Marcel, (lire en ligne)
  42. Marcel Dusaussois, Chasse aux vieilles censes dans l'entité de Seneffe, (lire en ligne)
  43. a et b « Samarcande - Documentation », sur www.samarcande-bibliotheques.be (consulté le )
  44. Revue littéraire des Jeunes Écrivains du Hainaut
  45. Revue mensuelle franco-dialectale, organe de l'Association Littéraire des Écrivains de l'Ouest du Hainaut.
  46. Mensuel, bulletin officiel de l'Association Littéraire Wallonne de Charleroi des Jeunesses Culturelles et de la Fédération Wallonne Littéraire et Dramatique du Hainaut
  47. Revue des Jeunesses Culturelles du Hainaut
  48. Revue de poésie

Bibliographie

  • Danielle Dusaussois, L'univers de Marcel Dusaussois et Martine Doos, Saint-Denis (Paris), Société des Écrivains, (ISBN 978-2-3421-6751-1).