Trondes

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Trondes
Trondes
La salle d'asile de Trondes, ancêtre de l'école maternelle.
Blason de Trondes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Jimmy Cartier
2020-2026
Code postal 54570
Code commune 54534
Démographie
Gentilé Trondards [1]
Population
municipale
521 hab. (2021 en diminution de 3,16 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 00″ nord, 5° 46′ 24″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 368 m
Superficie 12,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Trondes
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Trondes
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Trondes
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Trondes

Trondes est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie modifier

Trondes (ban communal).

L'altitude moyenne de Trondes est de 264 mètres environ. Le ban communal, d’une superficie de 1 245 hectares, comporte en 2011, d'après les données Corine land Cover, près de 48 % de forêts, 50 % de prairies, terres arables et cultures, puis 2 % de zones anthropisées (zones industrielles et urbaines)[2].

Le territoire est arrosé par les cours d'eau naturels que sont le Terrouin (sur 2,121 km), le Ruisseau des Hautes Bruyères (sur 1,317 km) et le Ruisseau de Trondes (sur 4,282 km)[3].

Le village de type village-rue est situé à la confluence de deux vallées, le territoire est limité à l'est par le Terrouin et au nord et au sud par les bois de Foug, de Lucey et de Lagney, majoritairement situés sur des reliefs entre 355 et 365 m.

Exemple de tuiles canal dites "Tiges de botte[4]" en Lorraine (Vosges).

Comme d'autres communes dans la région touloise, Trondes a été le lieu de productions manufacturées à base d'argile étant donné la disponibilité de l'eau (nombreux ruisseaux) et surtout de matière première : l'argile de la Woëvre. Une tuilerie au moins a fonctionné sur ce territoire[5].

Communes limitrophes de Trondes
Boucq Royaumeix Lagney
Boucq Trondes Lucey
Pagny-sur-Meuse
(Meuse)
Foug

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 866 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 19 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Trondes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (29,7 %), prairies (16 %), cultures permanentes (4 %), zones urbanisées (2,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le toponyme apparaît au Xe sous la forme Trondolae. Son origine est obscure[19]. Trondolæ ; Alodium de Trondis ; De Trundlis (1157) ; Trundles (1181) ; Trondeles (1180) ; Molendinum apud Trundes (1220) ; Ecclesia de Trondes (1402) sont les autres graphies rencontrées[20].

Histoire modifier

Antiquité modifier

J. Beaupré signale dans son répertoire archéologique[21] :

« Sur le Romont, au lieu-dit Les chevillottes, substructions gallo-romaines, se reliant à celles du canton des Sarrazinières à Laneuveville-derrière-Foug.» et «On a trouvé des ossements à plusieurs endroits, dans les vignes : ils étaient accompagnés de sabres ».

La carte archéologique de la Gaule[22] indique que ces découvertes d'ossements et d'armes en fer pourraient être liées à une nécropole mérovingienne. Les communes de Foug, Laneuveville (la petite Foug) et Trondes, partagent un même site archéologique autour du Romont (parfois Raumont et Romons) et du bois du Romont, ce site est placé sur une ancienne liaison (chemin Brabant[23] ?) entre Toul et le camp de Sorcy[24] à Sorcy-Saint-Martin.

Moyen Âge modifier

Le village de Trondes a subi au cours de l'histoire mouvementée de la Lorraine les conséquences des affrontements entre le roi de France et l’empereur du Saint Empire germanique par les biais et l'interposition des comtes de Bar, de Champagne et autres seigneurs de Sorcy et de Void[25].

H. Lepage indique dans un de ses ouvrages[26] :

Exemple de moulin à eau lorrain (Ville-sur-Yron)

«Ce village, appelé Trondolae à la fin du Xe siècle était un alleu en 1157 il eut beaucoup à souffrir, en 1380, dans la guerre du comte de Bar. Il existait un moulin en 1220[27]».

Le moulin Neuf qui figure sur les cartes des Naudin est toutefois formellement sur la commune de Foug, la chronique du Toulois[28] précise au contraire :

«1120, Trondes, Ancel dit Chauvoisin, seigneur de Sorcy, donne à l'église de Rangéval un moulin à Trondes (apud Trundes) avec ses entrées et sorties, le libre cours de l'eau au-dessus et au-dessous»

et

«1223, Trondes, Pierre de Bourlémont, fait savoir qu'Anselme, surnommé Malvoisin, Agnès, sœur de Pierre et femme d'Anselme, leur fils Etienne, ont en partie donné et en partie vendu au chapitre de Toul, ce qu'ils possédaient, à l'exception d'une vigne, ledit Pierre ratifierait cette vente comme seigneur d'Anselme et garantiront le chapitre de Toul, contre les tentatives d'éviction du comte de Champagne»

Il indique également :

Denier de commode (exemple).

«  a trouvé aussi des pièces de monnaie de Commode, Nerva, Trajan, d'autres à l'effigie des évêques de Metz et des ducs de Lorraine. Près de Trondes sont deux fontaines, l'une de Saint-Elophe, dont l'eau est, dit-on , salutaire pour les maladies des yeux , l'autre, appelée Fontaine-l'Evéque, est fréquentée par les fiévreux. Ils y vont porter du pain, boivent de l'eau autant que possible et s'en retournent en courant. »

Époque moderne modifier

Population masculine déportée en partie en camp de concentration (1944) ; il y eut 45 morts[29].

Séjour du philosophe Alain en 1915.

Anecdote modifier

A la fin du XIXe siècle , la disparition d'un ruminant appartenant à un vigneron du village provoqua l'ouverture d’une enquête de gendarmerie avec la découverte des restes de l'animal au fond d'un étang. Les élus locaux feront les frais de la lenteur à résoudre l'affaire et ce n'est que plusieurs mois après les faits, que les auteurs seront démasqués, puis condamnés à de lourdes peines (2 et 4 années d'emprisonnement)[30].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 2001 Marc Prairat DVG  
mars 2001 mars 2008 Jean-Marc Wilhelm PS  
mars 2008 2011 Philippe Couget    
2011 2020 Alain Cocusse    
2020 En cours Jimmy Cartier[31]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 521 habitants[Note 4], en diminution de 3,16 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
653710772789810838830847824
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
752764708677669647614598567
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
569549538544491467405401396
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
362341393470497524522532538
2020 2021 - - - - - - -
523521-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

E. Grosse[36] indique dans son ouvrage, vers 1836 :

« Territ. : 1225 hect. cad. , dont 624 en labours , 184 en prés , 137 en forêts , et 25 en vignes , dont les produits sont d'un assez grand objet de commerce, malgré leur faible qualité. »

Le village a donc eu une tradition viticole.

Secteur primaire ou Agriculture modifier

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[37]), la commune de Trondes était majoritairement orientée [Note 5] sur l'élevage d'herbivores (auparavant sur la polyculture et le poly - élevage) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 142 hectares (en deçà de la surface cultivable communale) en baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 210 à 82 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 5 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 5 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Tuilerie.
La tuilerie en 1991.
  • Caniveaux gallo-romains desservant une fontaine, encore en fonction.
  • Fort construit entre 1875 et 1878, modifié par la suite (1888), intégré au camp retranché de Toul, selon les plans du général Raymond Adolphe Séré de Rivières.
  • Ancienne tuilerie XIXe, objet d'un classement au titre des monuments historiques en 1983 et radiée, en raison de son état de ruine irréversible, en 2006[38].
  • Église XVe.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Édouard-Ernest Maire (1848-1932), né sur la commune, missionnaire lazarsite en Chine et botaniste (lire sur WP anglais ici) ;
  • Alain, philosophe né Émile-Auguste Chartier (1868-1951) séjour sur Trondes en 1915.

Héraldique modifier

Blason de Trondes Blason
De gueules à l'épée haute d'argent garnie d'or accompagnée de trois cailloux d'argent.
Détails
Trondes dépendait du chapitre de la cathédrale de Toul, symbolisé par les trois cailloux. L'épée est l'instrument du martyre de saint Elophe, patron de la paroisse.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

  • « Trondes », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
  • Trondes sur le site de l'Insee

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse », sur brgm.fr (consulté le ).
  3. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « PK: 974713 | Ruisseau de Trondes (A5800330) ».
  4. « Les toits des Pays de France - J.-Y. Chauvet - Éditions Eyrolles », sur editions-eyrolles.com (consulté le ).
  5. « Feu la tuilerie de Trondes », sur Etudes touloises.fr, Etudes touloises (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Trondes et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
  20. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  21. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 137.
  22. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 9782877540919, OCLC 890475393, lire en ligne).
  23. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 137

    « Une voie ancienne continue le Chemin Brabant et longe la vallée dans la direction de Pagny-sur-Meuse. Une autre voie, traverse, dit-on, la plaine reliant le Romont aux Chevillottes, elle se dirige vers Void. »

    .
  24. B. Humbert, Les 'fana' de la Côte Châtel à Sorcy-Saint-Martin (Meuse), ELAN, Nancy I, 1983 p. 41-56,
  25. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ) : « La châtellenie de Void fut protégée par les comtes de Bar jusqu'en 1267 au moins. A cette date, le comte Thiébaut II s'occupa de faire renouveler les accords antérieurs. Reprenant pour trois ans sous sa garde les terres capitulaires à Void, Troussey, Ourches, Pagny,Dommartin et Trondes avec les sujets du chapitre, le comte devait assurer la sécurité de ceux qui se rendaient au marché de Void. ».
  26. Henri Lepage, Le Département de la Meurthe. Statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 580.
  27. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne)

    « Au mois de novembre 1220, Ancel, surnommé Malvoisiu, seigneur de Sorcy, donne à l'église de Rangéval un moulin à Trondes (apud Trundes), avec ses entrées et sorties, le libre cours de l'eau »

    .
  28. https://www.etudes-touloises.fr/autres/inedits/Chronologie_Toulois.pdf
  29. https://www.etudes-touloises.fr/archives/78/art5.pdf
  30. « l'affaire de la vache de Trondes », sur Etudes touloises.fr, Etudes touloises, (consulté le ).
  31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. E. Grosse, Département de la Meurthe : dictionnaire historique et statistique, Res Universis (OCLC 642811322, lire en ligne), p. 522.
  37. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  38. « Ancienne tuilerie », notice no PA00106421, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.