Utilisateur:Христо Зарев Игнатов/Brouillon

Georgi Sotirov est historien bulgare. Pendant le temps du socialisme « mûr »[Quoi ?], il immigre au Canada où il finit[Quoi ?] et publie en anglais la plupart de ses ouvres et recherches de l'histoire antique de la Bulgarie.

A[Quoi ?] 1986 au Canada il se fait publier[Quoi ?] la recherche « La langue de Constantin Le Grand » avec la monographie „Elementa Nova Pro Historia Macedono-Bulgarica", G. Sotiroff, Regina, Lynn Publishing Co., Saskatchewan, Canada, 1986.

L'étude est destinée à révéler des informations pour la langue, les coutume, le système patronymique et d'autres couches culturelles, liées aux macédoniens antiques qui ont créé un état vaste à Ve-IVe siècle avant J.-C. Et qui ont fait toutes les civilisations entre le Rome, L'Egypte et l'Inde prendre leur essort[Quoi ?].

L'ouvrage représente un recueil des articles différentes de G.Sotirov comprenant « La langue de Constantin Le Grand », « Orbini et Ulysse à l'Ogigi-Préslav », « Littérature précyrile aux térritoires slaves » et « Les noms des dieu paiens ».

Autre apport à l'histoire antique bulgare, Georgi Sotirov fait par son livre « Le meurtre de l'identité de Justinian ». L'auteur examine à profondeur les attaques contre lévêque croate Ivan T. Marnavic ref>http://www.enciklopedija.hr/Natuknica.aspx?ID=42247</ref> qui rédige un résumé de l'hagiographie de saint tzar Oupravda-Justinian, écrit par son mentor – prêtre Bogomil. Partant des sources primières et par le biais des moyens subsidiaires de l'onomastie, G.Sotirov reussit non seulement à « innocenter » l'évêque Marnavic mais aussi à démontrer des fautes essentielles tant factologiques que méthodologiques dans l'historiographie prédominant.

Georgi Sotirov est également chercheur profond de la littérature pré-antique des Balkans. Dans son livre « A qui appartient Linéar B » , il examine les corrélations des nos premiers ancêtres (les traces-pélasguites) (appellés parfois « frigui ») et les premiers émigrés hellénistiques pendant le temps d'Homère.