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Henry Déziré, né en 1878 à Libourne (Gironde) et mort en 1965 à Paris, est un artiste peintre français.

Biographie modifier

Jeunesse:

Son acte de naissance indique les prénoms Pierre, Henry, mais il a toujours été connu sous le nom de Henry ou Henri. On le trouve aussi parfois désigné sous le nom de Henry-Déziré, et son nom de famille est parfois orthographié Désiré. Il passe ses dix premières années à Libourne, où son père est mouleur. Puis la famille se déplace à La Rochelle. Il y apprend le métier de mouleur, lui aussi et passe beaucoup de temps à dessiner. Il est alors remarqué par un architecte qui le présente à William Bouguereau, professeur à l'École des Beaux-Arts de Paris et à l'Académie Julian. Bouguereau lui fait obtenir une subvention de la ville et la gratuité des cours à l'Académie Julian.


Formation:

Henry Déziré reçoit sa formation à l'Académie Julian, auprès de William Bouguereau et de Gabriel Ferrier, Il est admis à l’École des Beaux-Arts de Paris en 1899, à titre temporaire, puis à titre définitif en 1901. Il participe à peu de concours de l’École, mais obtient une 3ème seconde médaille au concours d'esquisse peinte 1er degré en 1901, puis en 1902, il obtient une mention au concours Fortin d'Ivry (concours de perspective) en composition à deux degrés[1].


Carrière:

Il s'installe définitivement à Paris dans un studio situé à Montparnasse, grandement soutenu par la générosité de mécènes rochelais, parmi lesquels les familles David et Babut, et grâce aussi à la générosité de la ville de La Rochelle qui continue de lui accorder une subvention. Il fait ses débuts au Salon de la société des artistes français en 1904, et à cette occasion le jury lui décerne une mention honorable[2]. Dès lors sa carrière est lancée, il expose dans de nombreux Salons, ainsi que dans des galeries en France et à l'étranger. Il reçoit des prix, l’État lui achète des toiles, même si la plupart des ses toiles sont achetées par des collectionneurs.

Œuvre modifier

Grandes compositions et pastorales: Henry Déziré a reçu un enseignement académique, et ses premières œuvres en portent la marque (Post Fata Venit Gloria, 1904). Au fil du temps, il se détache de ce style, mais il gardera toujours le goût des grandes compositions (l'Age d'Or, 1911[3], l'Age d'Or ou Le Printemps, 1921)[4] à la recherche d'un idéal de beauté et d'harmonie, peuplé de bergers et de nymphes. Tout au long de sa carrière, il sera remarqué pour ses compositions décoratives: Retour de Fête (1907)[5], Pierrot endormi (1909)[6], Les Patineurs (années 1920), l'Hallali (1933)[7], le Carnaval de Venise (1939)[8].


Natures mortes: Le parti-pris décoratif se manifeste dans toutes ses œuvres, doublé d'un talent de coloriste, notamment dans les natures mortes qu'il commence à exposer en 1905 (Fleurs et Oranges)[9]. Il y représente des arrangements de fleurs, de fruits, d'objets disposés sur des nappes blanches, où jouent les harmonies de blanc, de jaune, de bleu, parfois rehaussées par une touche d'orange ou de vert. Les critiques remarquent les « symphonies en blanc » de ses débuts, et parlent d'un « sentiment latent de l'intimité et de l'élégance, la fascination d'un œil serein par l'harmonieuse chanson des nuances[10] ». Henry Déziré peindra des natures mortes tout au long de sa vie, et souvent des fleurs. Ses Monnaies du pape de 1929 et ses « bouquets en blanc majeur[11] » retiennent l'attention.


Portraits: Il commence très tôt à peindre des portraits, notamment ceux de ses bienfaiteurs, puis celui de sa fille (Portrait de Mademoiselle D. ou Portrait de ma fille, 1925)[12], qui fait partie des collections du Musée d'art moderne de Paris. Ce sont des portraits de l'intimité, à la forte présence, peints d'une manière franche et directe. Voici ce que dit le critique du Journal des débats: "Heny Déziré a résumé [dans ce portrait] tout son savoir attentif, loyal, sensible, là non plus rien d'apprêté, pas de manière: conscience et tact se sont entendus pour n'exprimer que le vrai en sa grâce simple."[13]


Nus: Les critiques le remarquent aussi pour ses nus, pudiques, aux tons dorés, où il s'émancipe des modèles académiques et cherche à mettre en valeur l'aspect décoratif, notamment dans le tableau intitulé Femme accroupie devant la cheminée, 1907[14], ou encore plus tard, dans les années 1920, où le critique J.C. Holl évoque "deux beaux nus de femmes qui vibrent dans la lumière."[15]


Paysages: La vie et l’œuvre d'Henry Déziré sont très marqués par ses voyages, dont il rapporte des paysages, souvent peints sur place.

La Rochelle et la Vendée:

Il a souvent peint La Rochelle, captant ses lumières aux tonalités grises (La Plage, 1935[16], Le Port de La Rochelle, vers 1940[17]) ou celles de l'Ile d'Oléron Moulin, 1938, dont le critique Gallus écrit: "L'attention est aussitôt attirée par un panneau important d'oeuvres de Déziré, qui lui ont valu le prix Puvis de Chavannes, et parmi lesquelles figurent une marine lumineuse et une petite toile sobre et pleine de distinction, d'un vieux moulin breton,"[18]ou encore Les Bords de la Creuse à La Roche-Posay (1923)[19].

l'Italie:

Il est attiré par l'Italie où il fait ses premiers séjours en 1912 et 1913, dans la région de Rome et de Naples (Villa d'Este, Villa d'Hadrien, Tivoli, Capri, Naples). Il est fasciné par les arbres et les paysages où se côtoient le gris-vert des oliviers et le noir des cyprès. Il rapportera assez de toiles pour faire deux expositions à la Galerie Druet, qui lui achète toute sa production[20].

Il va à Venise en 1937, et en donne une impression aux lumières pâles et argentées, avec une pâte plus riche. Ses sujets de prédilection sont le Grand Canal, le Palais des Doges, San Giorgio Maggiore, La Douane, les canaux, les ciels. Une fois rentré à Paris, il travaille à sa composition Carnaval de Venise qui lui vaut un prix en 1939: « A l'occasion du Salon, la Société Nationale des Beaux-Arts vient de décerner ses prix annuels. Le prix Gillot-Dard (24.000 francs) a été attribué à M. Déziré pour son tableau Carnaval. »[21]

Temps de Guerre (1914-1918):

Empêché de s'engager pour combattre à cause des suites d'une grave typhoïde, il séjourne à Viviers-sur-Rhône (Ardèche), et y peint de grands peupliers, des paysages de ruines rocailleuses, des portraits. En 1917, rétabli, il est peintre aux Armées, affecté dans la zone de Wesserling, en Alsace.

Bretagne:

Entre 1918 et 1921 il fait de nombreux séjours au Faouët (Morbihan). Il en rapporte des portraits, en particulier "une petite paysanne au profit nettement arrêté"[22] et "des paysanneries très réalistes", comme l'écrit J.L. Vaudoyer[23]. Un critique rapporte qu'il peint "une Bretagne âtre et vigoureuse, telle qu'elle est."[24]

Région de Sanary (Var):

A partir de 1924, il séjourne à plusieurs reprises à Sanary, à la recherche de lumières méridionales. Les toiles qu'il y peint sont pour la plupart des marines où il retrace "le calme et le repos des barques au bassin, dans des notes grises derrière quoi transparait le bleu méridional"[25]. Lors de l'exposition de ses toiles à la Galerie Devambez, Escholier parle de la "chaude lumière méditerranéenne" de ses marines[26].

Paris et l'Ile-de-France:

Henry Déziré est très attaché à ce coin d'Ile-de-France où il a une maison (Avernes, Seine-et-Oise) et aussi à Paris. À partir de 1931 il peint des vues de Paris, notamment des bords de la Seine, de la Place de la Concorde, des Invalides, de la Chambre des Députés, des paysages du Vexin français, et aussi des natures mortes et des bouquets[27]. Il ne fera plus guère de voyages lointains à partir de ce moment-là, partageant son temps entre Paris et la campagne. Voici ce qu'il dit lui-même en 1932: "Je passe mon été en Seine-et-Oise, à Avernes. J'ai choisi cette région d'Ile-de-France un peu oubliée des artistes pour me reposer de la vive lumière du Midi où je vais tous les ans depuis assez longtemps. Ici, à deux pas de Paris, je suis dans la vraie campagne, sans baigneurs ni touristes, c'est d'une quiétude que j'apprécie beaucoup pour le travail."[28]

Salons modifier

Il envoie des tableaux régulièrement à différents salons de Paris et de province, ou même à l'étranger.

Salons de Paris modifier

Il fait ses débuts à la Société des Artistes Français en 1904 et y expose encore à plusieurs reprises [29]. A partir de 1906 il expose au Salon d'Automne. On lui confie l'accrochage et l'organisation générale du salon en 1930[30], et en 1932, c'est lui qui réalise l'affiche et les cartons d'invitation[31]. Il fera partie du jury pour le salon de 1936[32], et fera partie du Comité d'Honneur à partir de 1952[33]. Il envoie des toiles au Salon des Indépendants[34], à la Société Nationale des Beaux-Arts[35], au Salon des Tuileries[36]. Il participe aussi au Salon des Echanges, à partir de 1922. A l'occasion de ce salon, les artistes peuvent échanger toiles et objets d'art ou d'industrie. En 1933, on lui demande de faire un grand panneau décoratif pour le Salon des Artistes Décorateurs, et il réalise l'Hallali[37]

Salons de province et de l'étranger modifier

Le Salon d'Automne se délocalise parfois en province et à l'étranger, et les toiles d'Henry Déziré sont accrochées à La Rochelle, en 1927, à Saint Etienne, en 1938 ou 39 puis en 1943, à Vienne (Autriche) en 1946. Le Salon des Tuileries envoie aussi des toiles notamment aux Etats-Unis, à Indianapolis en 1931 et à Dallas en 1932[38].


Expositions modifier

Très tôt il expose ses toiles dans différentes galeries, pour des expositions qui lui sont consacrées en propre, ou bien où l'espace est partagé avec d'autres.

En France modifier

Henry Déziré a la chance de pouvoir exposer ses toiles dans de nombreuses galeries, pour les vendre. Parmi les premières expositions celle de la Société Moderne à la galerie Durand-Ruel, rue Laffitte[39], celles de la Galerie Druet[40]. Puis il exposera à la Galerie Marcel Bernheim[41], à la galerie Devambez,[42] ou encore à la galerie Charpentier qui lui consacrent chacune une grande exposition[43]. Certains lieux d'exposition sont moins habituels, comme pour l'exposition intitulée "Paris vu par les peintres d'aujourd'hui" organisée par le joailler Henry Kahn dans les vitrines de la rue Saint-Honoré[44]. Il expose beaucoup à Nantes, en particulier, à la Galerie Mignon-Massart, comme l'atteste sa correspondance.

A l'étranger modifier

Comme l'attestent les tampons des douanes françaises sur les châssis, les tableaux d'Henry Déziré ont voyagé en Allemagne, en Italie pour la Biennale de Venise en 1932, en Belgique pour de grandes expositions à Anvers et à Bruxelles[45], et aussi aux Etats-Unis où il a participé à la "Summer Exhibition of Paintings at the Brooklyn Museum" de New York, en 1925[46] ainsi qu'aux "Exhibition of Paintings from the Carnegie International", au Carnegie Institute de Pittsburgh


Depuis sa mort (1965) modifier

Il a été organisé deux expositions

  • une rétrospective "Henry Déziré, 1878-1965, peintures et dessins" à la chapelle du Collège Fromentin de La Rochelle, exposition organisée par la Société des Amis des Arts de La Rochelle, du 14 mars au 30 avril 1986[47]
  • une exposition à la galerie Roland Maréchal, l'Ami des Lettres, à Bordeaux, en 1996.

Le Musée du Faouët organise une exposition rétrospective du 4 avril au 7 juin 2015, à l'occasion du cinquantième anniversaire de la mort d'Henry Déziré[48]

Prix et récompenses modifier

En 1901, il obtient une 3ème seconde médaille au concours d'esquisse peinte 1er degré[49], puis en 1902 une mention au concours Fortin d'Ivry (concours de perspective) en composition à deux degrés[50]. En 1904 il reçoit une mention honorable au Salon des Artistes Français[51], puis, en 1936, une 2ème mention honorable au Carnegie International de Pittsburgh pour Field Flowers (Fleurs des champs)[52], en 1938 le prix Puvis de Chavannes pour son panneau à la Nationale des Beaux-Arts (marine bretonne et moulin à vent)[53], en 1939 le prix Gillot-Dard (24.000 francs) pour Carnaval, ce prix étant décerné à la meilleure composition[54], en 1948 le prix Dulac et en 1958 le prix Bastien Lepage.

Collections publiques modifier

Un certain nombre de musées possèdent des toiles d'Henry Déziré, notamment le Musée d'Art Moderne de Paris, Centre Georges Pompidou [55], le Palais des Beaux-Arts de Lille (Nord)[56], le Musée des Beaux-Arts de Nantes (Loire Atlantique)[57], le Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne Métropole (Loire)[58], sans oublier le musée des Beaux-Arts de La Rochelle[59]et le musée du Faouët[60].

Ventes aux enchères modifier

Les tableaux d'henry Déziré passent parfois dans les salles de ventes. Parmi les ventes qui ont eu lieu depuis les années 2000, voici quelques résultats dont on trouve la trace sur les sites de ventes aux enchères: Nymphes au bain, huile sur toile, a été vendu à la Nouvelles Orléans (Etats-Unis), le 27 janvier 2002 pour 4.800$[61], Bouquet de roses, 1912, huile sur toile, a été vendu à New York (Christie's), le 16 juin 2009 pour 1.500$[62], Nu devant la console, (vers 1910) huile sur toile, a été vendu à Lyon (Conan rive gauche), le 12 décembre 2010 pour 4.350€[63], Nu accroupi devant la cheminée, 1907 a été vendu à Lyon (Conan rive gauche), le 12 décembre 2010 pour 6.800€[64], Muse et berger, pastorale, 1917, huile sur toile, a été vendu à Paris (Drouot), le 13 décembre 2013 pour 1.800€[65].

bibliographie modifier

Il peut y avoir des variations sur l'orthographe du nom: Déziré ou Désiré, Henry ou Henri.

Le nom d'Henry Déziré figure dans plusieurs dictionnaires des artistes:

Benezit Dictionary of Artists

Allgemeines Künstlerlexicon on line

Panorama of French Painting in 1940, éditions Wildenstein and Co, New York, 1940

SCHURR et CABANE, Dictionnaire des Petits Maîtres de la peinture, 1820-1920, éditions Amateur, 2008

René EDOUARD-JOSEPH, Dictionnaire biographique des artistes contemporains 1910-1930, éditions Art et Edition, Paris, 1930

Didier COUSIN, Les peintres bordelais, site web[66]

J.A. AKOUN, la cote des peintres 2014, éditions Isandra, 2014[67]

Il lui a été consacré quelques monographies et articles divers

Drogues et Peintures, album d'art contemporain, n°34 "Henry Déziré", Laboratoire Chantereau, vers 1935

J.C. HOLL, La jeune peinture contemporaine, éditions de la Renaissance contemporaine, 1912

Tristan LECLERE, La peinture, éditions Sansot et Cie, 1913

William ROMIEUX, "Henry Déziré" dans l'Art et les Artistes, tome XVI, octobre 1912

On peut consulter aussi

Google books[68] et Gallica, la bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France[69]

Liens modifier

On peut trouver des références au peintre Henry Déziré sur diverses bases:la base Joconde des musées de France[70], la base Arcade (archives nationales)[71], le portail videomuseum[72], la base Alienor[73]

On peut aussi consulter les sites des musées, comme celui du Musée National d'Art Moderne, centre Georges Pompidou[74], du Musée des Beaux-Arts de Nantes (Loire Atlantique)[75], du Musée des Beaux-Arts de Saint-Etienne Métropole (Loire)[76], du Musée d'Art et d'Histoire Marcel Dessal, Dreux (Eure-et-Loir)[77], ou encore du Musée du Faouët (Morbihan)[78].

Références modifier

  1. archives de l’École des Beaux-Arts de Paris
  2. Gazette de France, 2 mai 1904.
  3. Tabarant, Siècle, le 7 octobre 1911
  4. Thiebault-Sisson, Le Temps, 20 avril 1921
  5. Hofmann, Journal des Arts, 21 avril 1926
  6. Tout Paris (pseudonyme) dans Le Gaulois, 7 février 1909
  7. Gustave Kahn, "Les artistes décorateurs" dans Le Mercure de France, 15 juin 1933
  8. René Jean, Le Temps, 16 mai 1939
  9. Aubry, Le Petit Havre (Le Havre), 18 novembre 1905
  10. J.C. HOLL, Les Salons, 1906.
  11. Arsène Alexandre, « Le salon des Tuileries », Le Figaro, 7 mai 1929, p. 6 lire en ligne sur Gallica
  12. Sarradin, Journal des Débats, 2 octobre 1925
  13. Sarradin, Journal des Débats, 2 octobre 1925
  14. http://vincentlecuyer.com/henri-dezire/
  15. J.C. Holl, Correspondance Artistique, 15 novembre 1927
  16. http://www.alienor.org/alienorweb/ aller à "auteur-exécutant" et taper "DEZIRE"
  17. http://www.videomuseum.fr/index.php# aller à Musée d'Art Moderne de Saint Etienne Métropole aller à recherche rapide – taper DEZIRE
  18. Gallus, La Bretagne à Paris, 2 juillet 1938
  19. Fegdal, Bonsoir, 18 mai 1923
  20. Henri Genet, Exposition Henry Déziré, L'opinion, 8 novembre 1913
  21. Excelsior, 12 mai 1939
  22. Journal des Arts, 22 octobre 1920
  23. J L Vaudoyer, Echo de Paris, 11 février 1921
  24. Victoire, 20 février 1920
  25. René Jean, Le Petit Provençal, 30 mai 1925
  26. Escholier, Le Dépêche (Toulouse), 17 mai 1925
  27. Charnage, La Croix, 30 juin 1931
  28. "Peintres, en quelle province de France passez-vous l'été?" réponses recueillies par Gaston Poulain, Comoedia, 9 septembre 1932
  29. Gazette des Beaux Arts, 1er juin 1906
  30. Chavance, in Liberté, 1er novembre 1930
  31. Catalogue du Salon d'Automne, 1932
  32. Catalogue du Salon d'Automne, 1936
  33. Catalogue du Salon d'Automne, 1952
  34. Courrier de La Rochelle, 15 mai 1904
  35. Fegdal, Revue Contemporaine, avril 1922
  36. René Jean, Le Provençal (Marseille), 15 mai 1923
  37. Gustave Kahn, les artistes décorateurs in Mercure de France, 15 juin 1933
  38. Maureen Osburn, "Petites Tuileries on View", Dallas Morning News, 27 mars 1932
  39. Thebault-Sisson, Le Temps, 27 février 1909
  40. Henri Genet, Exposition Henry Déziré, l'Opinion, 2 novembre 1912
  41. Louis Vauxelles, Modigliani, Déziré et Charlot, Excelsior, 11 février 1922
  42. Alexandre, Le Figaro, 25 mars 1925
  43. J.C. Holl, Henry Déziré, Henry Ottmann, la peinture en zigzags, La Correspondance Artistique Internationale n° 53, 30 novembre 1926
  44. Renée Moutard-Uldry, Beaux-Arts, 28 juin 1935
  45. Catalogue illustré de l'exposition des oeuvres de Henry Déziré (17 au 28 février 1926) à la Galerie des Artistes Français, Passage Colonial, 35 chaussée d'Ixelles, Bruxelles
  46. The World of Art: Summer Exhibition of Painting at the Brooklyn Museum." New York Times, 12 July 1925, p. SM18.
  47. Catalogue de l'exposition Henry Déziré organisée par la Société des Amis des Arts de La Rochelle, 14 mars-30 avril 1986
  48. http://www.museedufaouet.fr/pages/expo/expo_fiche.php
  49. Archives de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris
  50. Archives de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris
  51. Gazette de France, 2 mai 1904
  52. Excelsior, 17 octobre 1936
  53. Bretagne à Paris, 2 juillet 1938
  54. Bretagne à Paris, 2 juillet 1939
  55. http://www.videomuseum.fr/index.php# aller à Centre Pompidou, puis recherche rapide et taper DEZIRE
  56. N° d'inventaire P. 1944, don de la famille Masson en 1979
  57. http://www.videomuseum.fr/index.php# aller à Musée des Beaux-Arts de Nantes, puis recherche rapide et taper DEZIRE
  58. http://www.videomuseum.fr/index.php# aller à Musée d'Art Moderne de Saint Etienne Métropole, puis recherche rapide – taper DEZIRE
  59. http://www.alienor.org/alienorweb/ aller à auteur-exécutant et taper DEZIRE
  60. http://www.museedufaouet.fr/pages/expo/expo_fiche.php
  61. http://www.artnet.com/artists/henri-dezire/bathing-nymphs-njieQ4_jjKQCVTinot5o5Q2
  62. http://www.invaluable.com/auction-lot/henri-dezire-french,-1878-1965-197-c-91574ec325
  63. http://www.askart.com/AskART/artists/
  64. http://www.vincentlecuyer.com/catalogues/
  65. http://www.artnet.com/artists/henri-dezire/scène-pastorale-tiWnBpQXU7dNJrVjCEtfYg2
  66. www.lespeintresbordelais.com
  67. site web: www.akoun.com
  68. https://books.google.fr
  69. http://gallica.bnf.fr/Search?ArianeWireIndex=index&p=1&lang=FR&q=DEZIRE&x=21&y=12
  70. http://www.culture.gouv.fr/documentation/joconde/fr/pres.htm
  71. http://www.culture.gouv.fr/documentation/arcade/pres.htm
  72. http://www.videomuseum.fr/index.php#
  73. http://www.alienor.org/alienorweb
  74. http://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cynd7p6/rn9pXq
  75. http://www.collection.museedesbeauxarts.nantes.fr/Navigart/index.php?db=internet&qs1
  76. http://www.videomuseum.fr/index.php#
  77. http://webmuseo.com/ws/musees-regioncentre/app/collection/expo/139
  78. http://www.museedufaouet.fr