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Nouveau plan possible (d'après la proposition de Léna) :

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L'effacement des femmes, ou invibilisation des femmes, ou cryptogynie, ou mentrification désigne le phénomène récurrent, à travers l'histoire et dans la plupart des cultures, consistant à cacher, effacer, invibiliser les femmes et les références féminines dans différentes sphères de la société, en particulier les plus prestigieuses. Ce processus s'applique à la fois dans l'espace public, mais aussi dans les mémoires. Il décrit notamment les disparitions dans les récits historiques des femmes marquantes, ayant excellé dans certains domaines prestigieux (arts, sciences, techniques, pouvoir). Parfois, cet effacement de leur contribution est au profit d'hommes, c'est dans ce cas une mentrification, ce qui dans le domaine des arts est nommé un effet Matilda, mais peut aussi s'appliquer aux domaines des arts, des techniques.

Conceptualisation

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L'étude de l'invibilisation des femmes dans des sphères variées (scientifiques, mais aussi techniques, artistiques, politiques) s'accélère depuis les années 2010. Plusieurs concepts ont été créés parallèlement pour désigner ce phénomène : cryptogynie dans la sphère hispanophone[1], et mentrification dans la sphère anglophone. Ce dernier terme est le plus utilisé dans la sphère francophone. Il désigne des phénomènes proches qui peuvent prendre plusieurs formes dans plusieurs domaines prestigieux[2]'[3]'[4].

recherches récentes et conceptualisation

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cryptogynie

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Pour nommer cette pratique, la poétesse et philologue Begonya Pozo et le philologue Carles Padilla, tous deux professeurs titulaires à l' Université de Valence, ont inventé le terme « cryptogynie » et l'ont diffusé publiquement pour la première fois le 5 février 2020, dans un article publié dans un journal numérique[5]. Le 27 novembre de la même année, l’ Académie Valencienne de la Langue a approuvé son incorporation au Dictionnaire Normatif Valencien. Plus tard, le 8 mars 2021, le dictionnaire basque Elhuyar Hiztegia a inclus l'adaptation basque kryptogyny</link> . Dans d’autres langues, comme l’espagnol et le français, bien que le terme ne soit pas encore officialisé, il a déjà été utilisé ( cryptogyny</link> et cryptogynie</link> , respectivement) dans les domaines académiques et sur les réseaux sociaux. [6] En France, par exemple, au cours de l'année universitaire 2021-2022, un séminaire interuniversitaire sur la littérature catalane a été organisé sous le titre De la cryptogynie à la mediatisation des escrivaines: Felícia Fuster and Carmelina Sánchez-Cutillas</link> , sur les auteurs catalans Felícia Fuster et Carmelina Sánchez-Cutillas . [7]

Le terme « cryptogynie » est composé de deux lexèmes grecs, crypto (« cacher, cacher ») et gyné (« femme ») qui font partie d'autres mots, généralement cultisme, en catalan et dans d'autres langues. En fait, l'équivalent italien (le nom et l'adjectif correspondants : cryptogynie ou crittogynie et criptogina) peut être trouvé dans certains textes de biologie en référence à des espèces chez lesquelles les organes femelles ou femelles ne sont pas visibles de l'extérieur. Par exemple, la cochenille Suturaspis archangelskyae est décrite comme « cryptogénique » [8] et le dictionnaire Panlessico Italiano de 1839 a inclus le terme crittogynie (avec le synonyme cryptogynie) pour décrire une fougère aquatique dans laquelle le sporange est caché. [9]

Mentrification

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Le terme est né en 2018[10] sur un forum de fans de Star Trek[11]. C'est néologisme qui s'appuie sur la construction du terme de gentrification[12].

Dans l'espace public

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Les observations démontrent un effacement global et systématique des femmes dans l'espace public[13]'[14]

Questions vestimentaires

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Le port du voile, qui couvre notamment les cheveux des femmes, mais aussi certaines parties de leur corps, a répondu à plusieurs impératifs, religieux et non religieux dans de nombreuses civilisations[15]'[16]'[17]. Ils ont souvent été symboles de pudeur, de modestie ou de soumission à l’homme[18]. Ces questions sont débattues depuis plusieurs années, en se focalisant surtout sur les différents voiles religieux liés à l'islam, ou prétendument liés à lui[19]'[20]'[21].

Noms de rue

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2% des noms de rue en France sont des noms de femmes[22]'[23]

Dans l'histoire

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De nombreux chercheurs et chercheuses confirment le processus[24].

Processus d'effacement et d'invibilisation des femmes dans l'Histoire

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Les processus d'effacement des femmes ont été constatés dès le 19ème siècle[25].

Dans les années 1980, amplification du constat[26].

Titiou Lecoq publie en 2021 l'ouvrage Les Grandes Oubliées. Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes[27], préfacé par Michelle Perrot[28], chez L'Iconoclaste. En 2023, elle publie une édition adaptée aux enfants, Les Femmes aussi ont fait l'Histoire, chez Les Arenes[29]. Dans ces livres, , elle étudie les mécanismes d'invibilisation et d'effacement des femmes dans l'Histoire. Elle démontre que ces effacements ont été cycliques et le fruit de la domination masculine[30]. Elle étudie des figures féinines ayant marqué leur époque, mais progressivement effacées, telles Enheduanna, Brunehaut, Julie-Victoire Daubié, Emilienne Moreau- Evrard[31]. Elle remonte jusqu'à la préhistoire, pour laquelle les Historiens du 19ème siècle ont imaginé un monde des hommes tourné vers les découvertes, la chasse, l'art pariétal alors que femmes auraient veillé sur le foyer et les enfants. Pourtant, rien ne permet de démontrer cette division[32]. Des femmes chasseuses, dans des postes de pouvoir, résistantes et guerrières ont existé à toutes les périodes, mais ont disparu progressivement des imaginaires et des récits[32]. Et Titiou Lecoq démontre que ces processus d'effacement ont été la plupart du temps volontaires et conscients de la part des historiens et des pouvoirs politiques[33].

Les femmes actives dans tous les domaines

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L'anthropologue et ethnologue Françoise Héritier montre ainsi en 1984 dans le sang des guerriers et le sang des femmes[34] la diversité des types de société des peuples de chasseurs cueilleurs. la plupart connaissent une domination masculine, mais certains beaucoup moins que d'autres, et pratiquent par exemple un forme de fonctionnement matrilinéaire (environ 15% des sociétés humaines au milieu du XXème siècle)[27].

Claudine Cohen, dans Femmes de la Préhistoire[35] montre que les femmes de la préhistoire faisaient relativement peu d'enfants (un tous les trois ou quatre ans), n'étaient ainsi pas complètement assujettis aux soins et participaient à de nombreuses tâches du groupe[36].

La forte représentation des vénus, formes féminines et sexes féminins dans l'art pariétal a été étudié par de nombreux chercheurs. Marija Gimbutas y voit dans les années 1970 le signe d'une mythologie vénérant la féminité. L'archéologue Carole Fritz arrive à la même conclusion[27].

Par contre, de nombreux chercheurs et chercheuses ont montré un division très rependue des tâches, entre les activités de chasse faisant couler le sang, réservées aux hommes, pour des questions symboliques. Paola Tabet et Alain Testart ont l'un et l'autre observé cette division, qui s'est ensuite amplifiée dans le temps, entre domaines visibles, valorisés et avancées technologiques pour les hommes, et tâches répétitives et domestiques pour les femmes[27].

Michelle Perrot, dans Mon Histoire des femmes, sorti en 2006, démontre la place des femmes dans des domaines où elles étaient jusque là peu représentées[37]'[38]'[39]'[40].

La question du matrimoine

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matrimoine[41]

Effets sur différents domaines

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Sciences : cf Effet Matilda

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Jocelyn Bell Burnell
Jocelyn Bell Burnell a découvert le premier pulsar radio. Pour cette découverte, en 1974, un prix Nobel de physique a été décerné à son superviseur Antony Hewish et à Martin Ryle, citant Hewish et Ryle pour leur travail pionnier en radioastrophysique. Jocelyn Burnell a été laissée de côté.

Dans le domaine scientifique, la minimisation ou la dissimulation des recherches et des découvertes menées par des chercheuses, connue sous le nom d'« effet Matilda », est un cas de cryptogynie. En inventant ce terme, Pozo et Padilla voulaient nommer un phénomène bien connu dans l'histoire des sciences et dans l'histoire des femmes, car « la conscience sociale se satisfait d'actions et d'omissions, de silences et de mots : ce qui n'est pas inclus dans le dictionnaire n'existe apparemment pas ». Ils considèrent que la dissimulation des réalisations des femmes ou leur sous-estimation a été une violence symbolique qui a perduré dans le temps[4].

Techniques

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Ada Lovelace et l'informatique[2]'[3]'[42]

Arts :

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Littérature

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Eileen O'Shaughnessy[43]'[44]

d'autres exemples[45]'

Les femmes du XXe siècle ont-elles une Histoire littéraire ?[46]

Musique
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Dans la fiction

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Test de Bechdel

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Le test de Bechdel, ou test de Bechdel-Wallace, vise à mettre en évidence la sur-représentation des protagonistes masculins ou la sous-représentation de personnages féminins dans une œuvre de fiction.

Le test est nommé en référence à la dessinatrice de BD américaine Alison Bechdel.

Le nom du test fait référence à un comic strip de la dessinatrice Alison Bechdel intitulé La Règle (The Rule en version originale) paru en 1985 dans sa bande dessinée Lesbiennes à suivre[47]. Dans ce strip, une femme propose à une autre de l'accompagner au cinéma, mais la deuxième répond qu'elle ne regarde que des films qui respectent trois règles, qui correspondent à ce qui sera appelé par la suite le test de Bechdel. Après avoir lutté pour trouver un film qui respecterait ces trois règles, les deux femmes décident finalement d'aller manger du pop-corn.

L'idée du test a été empruntée par Alison Bechdel à son amie Liz Wallace, qui est remerciée dans le strip, ce que Bechdel reconfirmera plusieurs fois par la suite[48],[49],[50]. Toujours selon Bechdel, Liz Wallace a probablement été inspirée par l'essai Une chambre à soi de Virginia Woolf[51],[52], où l'autrice peine à trouver des livres décrivant une amitié féminine et ne présentant pas les femmes comme seulement intéressées par les affaires domestiques[53].

Fonctionnement du test

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Le test repose sur trois critères[54] :

  1. Il doit y avoir au moins deux femmes nommées (nom/prénom) dans l’œuvre ;
  2. qui parlent ensemble ;
  3. et qui parlent de quelque chose qui est sans rapport avec un homme.

Le critère qui stipule que les deux femmes doivent être nommées est un complément du premier critère ajouté par d'autres par la suite[55].

Si l’œuvre vérifie ces trois critères, le test est dit réussi. Si ce n'est pas le cas, cela peut indiquer que l’œuvre est centrée sur des figures masculines, voire correspond au syndrome de la Schtroumpfette[56],[57].

Le test de Bechdel-Wallace se veut un indicateur du sexisme des films qui ne mettraient en avant qu'un nombre restreint de personnages féminins, dont le rôle serait celui de faire-valoir des personnages masculins. Il vise aussi à ne pas limiter les personnages féminins à leurs histoires d'amour[58].

Statistiques

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Selon le site collaboratif bechdeltest.com, 57 % de la totalité des films répertoriés depuis 1877 réussissent le test[59]. La part des films ne validant aucune ou une partie des affirmations seulement diminue légèrement d'année en année, jusqu'à atteindre 30% pour les films sortis en 2022[59].

Une étude sur les films produits entre 1995 et 2005 montre que 53 % des films échouent au test lorsqu'ils sont écrits par des hommes, 38 % des films échouent lorsqu'il y a une femme parmi les scénaristes, et 0 % échouent lorsqu'il n'y a que des femmes dans les scénaristes[60]. L'étude explique que cette faible réussite est probablement due à la quasi absence de femmes scénaristes, notant « concernant les blockbusters, Hollywood a, en proportion, moins de femmes cinéastes que l'armée n'a de femmes générales ». Elle remarque, toutefois, une bonne performance du cinéma français, où l'on ne trouve « que » 34 % d'échec dans les films produits par Canal+[60].

À titre d'exemple, The Washington Post a testé en 2014 les films en lice pour l'Oscar du meilleur film de la 86e cérémonie des Oscars. Seulement trois films réussissent le test : Dallas Buyers Club, Nebraska et Philomena ; les autres films, dont Le Loup de Wall Street, Capitaine Phillips ou Gravity, échouent[52],[61].

Autres variantes de tests

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Plusieurs tests se sont inspirés du test de Bechdel-Wallace pour mesurer les questions de représentation et de diversité dans les films.

Test de Mako Mori

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Le test de Mako Mori a été nommé d'après un des personnages de Pacific Rim, film qui ne réussit pas le test de Bechdel-Wallace malgré un personnage féminin fort et qui ne se limite pas à être un faire-valoir des personnages masculins[62].

Test Furiosa

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Le test Furiosa est nommé d'après un personnage de Mad Max: Fury Road, film qui met en valeur de nombreux personnages féminins forts. Inspiré par de nombreuses critiques d'internautes mécontents de voir autant de personnages féminins, le test pose une seule question : « est-ce que des internautes s'énervent parce que ce film est féministe[63] ? » Si oui, c'est peut-être bon signe[63].

Outre Mad Max: Fury Road, parmi les films qui réussissent ce test, on peut citer Wonder Woman, Captain Marvel, Tomb Raider ou encore SOS Fantômes[64].

Test de la lampe sexy

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femme à lunette, cheveux roux, habillée en noir.
La scénariste Kelly Sue DeConnick, créatrice du test de la lampe sexy.

Plus radical, le test de la lampe sexy, créé par la scénariste Kelly Sue DeConnick, propose de remplacer un personnage féminin par une lampe, et de voir si l'histoire est modifiée[65]. L'idée de la lampe sexy vient d'une lampe avec une jambe de femme élancée, élément de décor du film Christmas Story[66].

Plusieurs films échouent à ce test, comme la plupart des James Bond, en particulier Skyfall, et beaucoup de films de super-héros, comme Man of Steel ou encore Gatsby le Magnifique[67],[68],[66].

Test de Finkbeiner

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Dans le domaine du journalisme, le test de Finkbeiner, proposé par la journaliste américaine Christie Aschwanden, est destiné à servir d'aide-mémoire pour la rédaction d'articles biographiques relatifs à des femmes scientifiques pour en éradiquer le sexisme. Les critères du test Finkbeiner mettent en jeu la propension à évoquer le caractère exceptionnel du fait qu'une femme soit une scientifique reconnue, ou encore sa fonction maternelle.

Autres variantes

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Le site FiveThirtyEight a proposé à 12 femmes scénaristes, réalisatrices, actrices ou productrices de proposer des tests mesurant le sexisme, avec des critères comme la parité de l'équipe, la représentation de femmes de couleur, la complexité des personnages féminins[69]etc.

Le test DuVernay, nommé en hommage à la réalisatrice Ava DuVernay, indique si une histoire est uniquement centrée sur des personnages blancs[70]. Ce test n'a pas de critères précis, ce qui lui permet d'analyser plus finement les représentations[71].

Le test de Vito Russo, nommé en hommage à Vito Russo, évalue la représentation des personnes LGBTQI+ dans la fiction et en particulier au cinéma[72].

Je suis une fille sans histoires

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En 2021, dans Je suis une fille sans histoire[73], Alice Zeniter décrypte la notion même de récit et explicite la façon dont les histoires sont racontées depuis de nombreux siècles et l’influence qu’a la fiction sur nos perceptions. Elle démontre l'omniprésence du modèle masculin dans les récits, notamment héroïques et la difficulté de s'identifier en tant que femme à ce titre.[74]'[75]'[76]


Première version bêta

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Effacement dans l'espace public

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Féminicides

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Effacement dans l'Histoire

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Mentrification et cryptogynie

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Cryptogynie

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Mentrification

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Fanny Mendelssohn[77]

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