Utilisateur:Blande07/Brouillon

Mariama Bâ a étudier le droit à l'école, durant la période de la révolution coloniale et plus tard, alors que les femmes faisaient face à de nombreux obstacles lorsqu'elles voulaient faire des études supérieures.

A l'école Normale d'instituteurs basée à Rufisque (banlieue de Dakar), elle remporte le premier prix du concours d'entrée.


Mariama Bâ était romancière, enseignante et féministe, active de 1979 à 1981 au Sénégal, en Afrique de l'Ouest. Sa détermination et son engagement pour la cause féministe découlant de son parcours, de la vie de ses parents et de sa scolarité. Sa contribution est d'une importance absolue dans les études africaines modernes, comptant parmi les premières femmes à montrer la réalité sur la position défavorisée des femmes dans la société africaine. Mariama Bâ a plaidé pour une considération urgente et une revitalisation de la vie africaine, se fondant essentiellement sur la construction sociale de la relation entre l'homme et la femme. En effet, il y a un pouvoir inégal et déséquilibré dans la relation homme/femme. Selon elle, ces faits peuvent nous aider à prendre conscience des besoins de changement sociétal de l'Afrique, un changement plus politique que de simples discours.

En tant que divorcée et "musulmane moderne" comme elle se définissait, Bâ était active dans les associations féminines. Elle a aussi ardemment promu l'éducation. Elle a défendu les droits des femmes, prononcé des discours et écrit des articles dans les journaux locaux. Ainsi, sa contribution est significative car elle a expliqué et décrit la position défavorisée des femmes en général et des femmes mariées en particulier.

Ses premières œuvres sont des essais qu'elle a écrits à l'École Normale. Certaines de ses œuvres sont maintenant publiées. Son premier ouvrage constitue essentiellement une méthode utile de rejet de la "politique dite assimilationniste française".

Bâ a écrit de nombreux livres partageant ouvertement ses pensées et ses sentiments, notamment: Une si longue lettre(1979), Un chant écarlate (1981) et La fonction politique des littératures africaines écrites (1981).