Utilisateur:Colonel 26/Brouillon

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DEFINITIONS : NORME a) Le guide [ISO/CEI 2 : 2004] intitulé « Normalisation et activités connexes — vocabulaire général » identifie la Norme comme un document établi à l’unanimité et approuvé par un organisme reconnu, national ou international de normalisation qui fournit pour les usages communs et répétés, des règles, des lignes directrices, des exigences ou des caractéristiques inhérentes à l’activité.

b) Une Norme est un référentiel commun de principes et de bonnes pratiques, voire même une source irremplaçable de contenu pour l’ensemble des procédés d’un projet donné.

C’est également un document de référence, national ou international défini et documenté conformément au consensus auquel sont parvenues l’ensemble des « parties prenantes intéressées » au projet.

Ses objectifs incluent en particulier les indications énumérées ci-dessous — allant de sa conception, son homologation, sa publication jusqu’à son développement en comprenant les processus pertinents :

– La fourniture d’un cadre afin de favoriser un environnement de travail productif et un esprit d’entreprise compétitive ;

– L’élaboration d’une méthodologie commune ;

– L’harmonisation des informations et des méthodologies ;

– La garantie des engagements pris en matière de politique de concurrence et les caractéristiques des produits telles que :

a) la qualité des produits services ;

c) le respect de l’environnement, la sécurité, la fiabilité, l’efficacité et l’interchangeabilité des produits.


c) SELON LA DÉFINITION EUROPÉENNE DE LA NORME : Une Norme est une spécification technique qui n’est pas obligatoire et qui est développée, approuvée par un organisme de normalisation spécialisé dans l’élaboration de recommandations pour une application répétée ou continue, particulièrement pour l’Europe, par le Comité européen de Normalisation (CEN) ou le Comité européen de normalisation en Électronique et en Électrotechnique (CENELEC), et cela, quel que soit le champ d’action (produits, services, processus, systèmes ou personnes).

d)

SELON LA DÉFINITION FRANÇAISE DE LA NORME : La Norme a pour objet de fournir des documents de référence nationale ou internationale voués à servir d’outil efficace et fondamental pour trouver des “remèdes” pratiques aux exigences économiques et aux dilemmes éthiques qui surgissent dans les domaines des sciences, de la technologie et de l’IA ou dans le cadre, par exemple de problèmes multidimensionnels techniques commerciaux et récurrents, relatifs aux produits, aux biens et aux services proposés ou commercialisés sur le marché national, le marché unique européen ou le marché international ».

N.B. Ce qui rapproche les deux définitions c’est la dimension « technique » de la Norme et le caractère récurrent de son application dans le processus de production.


e) Une Norme est un référentiel d’exigences et de spécifications techniques, de modèles et de caractéristiques combinées à des lignes directrices à suivre pour assurer l’aptitude à l’emploi des matériaux, des produits, des systèmes, des processus opérationnels et des services d’intérêt économique général liés aux activités d’évaluation de la conformité.

Dans ce cadre, la Norme garantit la rationalisation économique et des méthodes de travail structurées et rigoureuses, l’optimisation de l’action et de bonnes pratiques de gouvernance d’entreprise ainsi que le renforcement de la coopération politique et technique entre les institutions dédiées à la conformité.

N.B. Elle peut être adoptée et utilisée aussi bien dans la fabrication d’un produit que dans la gestion du processus d’évaluation des performances opérationnelles.

f) La Norme découle d’un large consensus entre toutes les parties prenantes concernées par son élaboration que sont : Les protagonistes de la sphère publique (autorités nationales, régionales et locales, autres instances et institutions représentant l’intérêt public), les acteurs de la société civile et les intervenants du secteur privé, dans le cadre d’engagement dans le processus de partenariat.

Les six catégories d’acteurs concernés sont principalement :

– Les industries ;

– Les gouvernements ;

– Les institutions de normalisation et de certification internationale ;

– Les Organisations non gouvernementales (ONG) ;

– Les associations de consommateurs et les autres

(recherche publique, scientifique et universitaire, les activités d’audit et de conseil…).


g) Assurer la compatibilité et l’interopérabilité des produits, rationaliser une production en réalisant des économies d’échelle, clarifier des transactions en facilitant l’expression d’un besoin, toutes ces expressions sont souvent citées dans le management des systèmes, comme étant les motivations de base du recours à la Norme nationale (NF) ou internationale (ISO) ou au marquage CE (conformité européenne).

« L’ADN » de la Norme ou du référentiel normatif est composé d’un support d’information technologique dont les codes d’accès portent au respect des procédures, des notions clairement définies, rigoureuse et des règles de bonne pratique et de transparence assorties de principes de bonnes gouvernances d’entreprise.