Utilisateur:Gregkozo/Brouillon
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Greg Kozo a toujours vécu sur une planète qui s’appelle musique et, tant mieux pour nous, il n’a pas l’intention de déménager. Très jeune déjà, ado qui pense plus aux grafs qu’à l’école, elle devient sa planche de salut. Apaisé par quatre ans d’école de jazz, il consolide une formation qu’il mettra du temps à désapprendre mais qui fait aujourd’hui sa force. Il s’essaie comme bassiste pour différents groupes de pop rock, apprend le métier d’ingé son aux côtés d’un requin de studio pour les grosses stars de la pop et constate que la petite boîte à rythme qui l’accompagne quand il répète sa basse l’excite bien plus que sa guitare. C’est à la Winter Conference de Miami qu’il a la révélation et découvre un monde qui le fascine : lui qui avait toujours envisagé la musique sous son côté le plus sombre et rock, découvre que la house et l’électro font danser et sourire les gens. Ce sera sans retour : il balance quelques maxis en solo, donne des coups de mains à des potes musiciens, fait le DJ à droite et à gauche, devient sélecteur sonore pour les Galeries Lafayette… Jusqu’au moment où, en 2009, le succès montre le bout de son nez via sa rencontre avec l’animateur télé Pierre Mathieu, qui le pousse à monter avec lui Make The Girl Dance. En pleine explosion du son banger et de la french Touch 2.0, MTGD et sa formule sex, drugs and BPM, ses clips érotiques qui font le buzz et sa musique bourrée d’énergie et d’humour, s’affirme comme une machine de guerre à l’intention des dancefloors. Sept singles plus tard, un album rondement ficelé sous le coude et des tournées - des clubs aux festivals - qui emmènent le groupe tout autour du monde à partager l’affiche des plus grands comme les Chemical Brothers, MTGD est une machine rôdée qui tourne quasi toute seule. C’est aussi le moment où Greg pour qui composer est un pêché quotidien, développe un projet parallèle qui lui appartiendra de A à Z, plus underground et arty et nourri de toute l’ébullition de la scène électro d’aujourd’hui. En forme de mise en bouche débarque dans les clubs avec une techno racée, sombre et puissante, qui infiltrent les dancefloors tout en surfant sur l’ébullition de la french touch 2.0 qui chaque jour ne cesse de nous émerveiller. Et dont il devrait logiquement devenir un des piliers incontournables.