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Gilbert BURLOT 1968


Gilbert Burlot, déporté résistant [1], né le 21 février 1917 à Nantes et décédé le 27 juillet 1968 à Nantes, est un haut fonctionnaire français. Il a travaillé successivement à la sous-préfecture de Chateaubriand et à la préfecture de Nantes, avant d’être déporté dans le camp de concentration de Dachau. A son retour, il entre au Secrétariat Général du Gouvernement et enfin à l’O.R.T.F. Au moment de son décès il était maire de la Bernerie-en-Retz[2].

Monsieur Pierre Leduc, conseiller général, devait dire lors de ses obsèques «Pour avoir aimé sa patrie, il lui donna ses forces, c’est encore par devoir qu’il vient de payer de sa personne»[3].

BIOGRAPHIE modifier

Jeunesse et Etudes[4] modifier

Originaire de la Bernerie-en-Retz, il effectue ses études secondaires au Lycée Georges Clémenceau à Nantes puis supérieures, d’abord en droit à Poitiers, où il obtient une première partie de Licence de Droit[5], puis à l'Université de Rennes où il obtiendra une Licence ès lettres.

Parcours Professionnel modifier

A dix-neuf ans, la disparition subite de son père, l’oblige à entreprendre parallèlement une carrière administrative sans interrompre ses études. Il entre d’abord à la sous-préfecture de Chateaubriant, puis en 1939 à la préfecture de Nantes en qualité de chef de bureau[2] [6]où il sera arrêté par la Gestapo[7] le 19 mai 1944[8].

Rapatrié fin mai 1945, il reprend sa carrière à la préfecture de Nantes avant d’être nommé au Secrétariat Général du Gouvernement (Direction Général de la Fonction Publique[9]), en qualité d’administrateur civil[10] en décembre 1945[11].

En 1955, il est nommé directeur-adjoint[12] de l’Office National des Anciens Combattants et Victimes des Guerre[13], poste qu’il occupe jusqu’à son premier grave accident cardiaque qui l’oblige à interrompre sa carrière, alors même que le Général Paul DASSAULT[14], Grand Chancelier de l’Ordre de la Légion d’Honneur songe à lui confier le secrétariat général de la Grande Chancellerie . Après un repos de cinq ans, il se considère en état de reprendre de l’activité à l’O.R.T.F., où il assure l’administration du journal parlé et du journal télévisé [15].

Début 1963, il subit une nouvelle attaque qui l’oblige à renoncer définitivement à toute activité professionnelle. Il s'intéresse alors aux langues slaves du Sud et devient vice-président de l’Association France-Albanie[16]. C’est dans ce cadre qu’il se rend en fin d’année en Albanie[17].

En 1965, il décide de revenir dans son pays natal.

Après avoir été longtemps adjoint au maire de la commune de La Bernerie-en-Retz[18], il en devient maire, le 26 février 1968 jusqu’à son décès[19] [20].

RESISTANCE[21] [22] [23] [24] [25] [26] [27] [28] modifier

Exempté du service militaire pour des raisons de santé en 1937, il fait une demande d’engagement volontaire en septembre 1939 qui n’est pas prise en compte. Dès 1940, il entre en contact avec différents groupes de la Résistance: avec Max VEPER, fusillé à Nantes en 1944[29] [30], à qui il fournit des papiers officiels; avec un réseau d’anciens combattants de la guerre 14-18, qui est décimé en octobre 1941; et également, avec M. Pierre ARNAUD, sous-préfet de Chateaubriant[31] [32].

Il entre le 1er octobre 1942 dans le réseau ELEUTHERE[33] [34] [35] [36], Centrale PRAXITELE[37], des Forces Françaises Combattantes sous le pseudonyme: BARCLAY, au grade homologué de Lieutenant et parallèlement dans la Résistance Intérieure Française – Mouvement LIBERATION-NORD[38].

Dès cette époque, il s’efforce de contrecarrer la propagande ennemie et vichiste. Il crée à l’automne 1942 un sous-secteur du réseau ELEUTHERE centré sur la préfecture de Nantes, où il occupe un emploi de chef de bureau[5] [6], rayonnant sur la mairie de Nantes ainsi que sur une vingtaine de communes limitrophes (Brains[39], Saint-Léger-les-Vignes[40], Bouaye[41], La Montagne[42], Chateaubriant[43], Saint-Brévin[44], Ancenis[45], Montrelais[46], Le Clion[47], Pornichet[48], Vay[49], Varades[50],...). Il surveille, ainsi, les déplacements des unités ennemies, en particulier, grâce à des intelligences au sein de services allemands. Il réussit à opérer la mise en place d’agents dans certains services relevant des autorités ennemies, notamment la KRIEGMARINE[51] de Nantes et l’Organisation TODT[52] de Saint- Nazaire…[53].

Parallèlement, il assure et dirige dans le cadre du mouvement LIBERATION-NORD, avec lequel il est en contact depuis le milieu de l’année 1942, l’organisation de groupes de l’Armée Secrète[54] dans les communes indiquées précédemment. Il met sur place une organisation, par quartiers, de groupes analogues à ceux de la ville de Nantes, en confiant notamment le commandement à plusieurs agents d’ELEUTHERE. Au total, 90 personnes sont recrutées avec pour conseiller militaire le colonel CHAUMETTE[55] [56], ancien officier d’Etat-Major et ex-prisonnier de guerre.

Grâce à cette organisation de nombreux dépôts d’armes légères sont constitués.

Indépendamment des contacts avec les autres agents d’ELEUTHERE, il travaille en liaison avec le Capitaine MONIN[57] [58]qui est l’un des dirigeants de l’Armée Secrète, et également avec le Capitaine LIGONDAY[5] [59] [60] [61].

Par ailleurs, il assure l’hébergement et l’évacuation d’aviateurs anglo-américains abattus ou parachutés pour lesquels soit directement, soit par l’intermédiaire de Louis HEYTE[62] [63] [64]du réseau COHORS-ASTURIES[65] [66] [67] [68]ou de Georges HEYTE[69] [70]d’ELEUTHERE, auxquels il remet des cartes d’identité parfaitement en règle et dûment revêtues des cachets authentiques de la Préfecture.

Il a également de fréquentes entrevues avec les frères François[71] [72]et René van PEE[73] et avec André CHAUVEL[74] [75] [76] [77], de COHORS-ASTURIES ainsi qu’avec bien d’autres chefs de la Résistance locale, en vue d’en perfectionner l’organisation (1942-1943).

Fin 1942 et début 1943, c’est la «Relève»[78] et la mise en place du Service du Travail Obligatoire «STO»[79] [80]. Il s’emploie aussitôt à accentuer l’effort de sabotage de ces entreprises en utilisant au maximum les agents de la Préfecture: destruction de convocations, fausses adresses… Ayant introduit un de ses agents au service de recherche des réfractaires[81], il raye sur les listes remises à la police les noms des réfractaires, entrainant ainsi pour ces derniers la cessation des poursuites, les intéressés étant considérés comme partis en Allemagne. Il dérobe des quantités massives d’imprimés de cartes d’identité, cartes de travail, certificats de recensement, dont il constitue un stock soigneusement dissimulé. Il dérobe également des cachets, dateurs de toutes sortes à la Préfecture, à la mairie de Nantes et au service du travail. Grâce aux mairies affiliées à son réseau, notamment ceux de Brains, Vay et Le Clion-sur-Mer, il dispose de cartes d’alimentation[82] qui permettent de venir en aide aux réfractaires, prisonniers de guerre, évadés, persécutés raciaux et autres. Il réussit à faire échapper certains à la déportation en les plaçant, grâce à certaines intelligences dans les services allemands (Kriegmarine)[83]avec l’aide de Raymond MALCOSTE[84]de la mairie de Nantes – Organisation TODT[85].

Il organise des collectes pour venir en aide aux réfractaires sans ressources (André CHAUVEL en est un des bénéficiaires). Il dirige ensuite certains d’entre eux vers le maquis[86]. Il dispose de tout un arsenal de faux titres, comportant en outre de ceux précédemment énumérés, des cachets allemands dérobés ou imités et même des «Soldbuch»[87] (Livre du soldat allemand).

Son travail de renseignement s’exerce également dans les domaines militaires et administratifs. Au printemps 1943, grâce à une opération menée avec son camarade René LAUGE[88] il réussit à prendre dans les dossiers secrets de la Préfecture de Nantes les plans détaillées des usines de la région, tous des objectifs militaires de premier ordre: Chantiers Navals de Nantes (Chantiers de la Loire)[89], Chantiers de Bretagne[90], Chantiers Dubigeon[91], usine de construction de locomotives Batignolles-Châtillon de Nantes[92], qui est bombardée peu de temps après avec succès [93][94], usine de produit chimiques Kuhlmann de Paimboeuf[95] [96], dépôts de pétrole de Nantes, Saint-Herblain et Saint-Nazaire, raffinerie de Donge[97] [98], usines métallurgiques de Couëron[99], Indret[100], Basse-Indre[101] [102],…

Il relève l’implantation des défenses intérieures de l’ennemi à Nantes et sur les routes de la région et détermine l’emplacement des points de parachutage possibles.

En juin 1943, il entre en relation, par un de ses adjoints Célestin SURZUR[103]avec trois membres du réseau «CND-CASTILLE» [104] [105]qui souhaitent rejoindre les Forces Françaises Libres[106] en Afriques: Georges NOURY (pseudonyme Grand Georges)[107], Victor PIGNEUX (pseudonyme Sauvage) [108] [109]et Yves LELCHAT (pseudonyme Icare)[110] [111].

Il les aide à s’équiper, à organiser leur programme et se pourvoir en papiers d’identité de toutes natures. Il se tient en liaison avec eux jusqu’à leur arrivée à destination. A la suite de cette opération, il entre en contact avec leurs camarades demeurés à Nantes, travaillant à la Standard Française des Pétroles[112] notamment François VITEL[113]qui lui procure un duplicateur à main.

Grâce à cet instrument, aidé de Guy BARON[114]et de Célestin SURZUR puis des Frères HEYTE, il rédige, imprime et diffuse le journal clandestin Nantais «La Lanterne»[115]dont les numéros (au nombre de trois d’ici les bombardements de septembre 1943) sont tirés à une centaine exemplaire.

Parallèlement, il assure la diffusion d’autres journaux clandestins tels que la Défense de la France[116] [117], Libération[118]

Les fonds récoltés par VENISSE du réseau GILBERT[119] [120]à qui il a rendu de nombreux services, en particulier, dans le domaine des titres d’identité, les aide à subvenir aux achats qu’entrainent la réalisation du journal.

Les renseignements obtenus dans les domaines administratifs rendent les plus grands services: par exemple un contact aux Ponts et Chaussées permet d’obtenir des permis de circuler provisoires évitant aux aviateurs alliés les aléas d’un voyage en train[121].

Les bombardements de Nantes de septembre 1943[122] survenant après une vague d’arrestations à laquelle il échappe, l’oblige à tout réorganiser. Il remet sur pied les groupes décimés autour du noyau «Préfecture», en liaison avec André CHAUVEL et reprend le travail quotidien de renseignement.

Il se met à cette occasion en rapport avec Clovis CONSTANT[123], membre du Comité Départemental de Libération (C.D.L.)[124], (il échappe aux arrestations ultérieures et deviendra maire de Nantes à la Libération puis député de la Constituante). Leurs relations devenant très étroites, il peut lui signaler travaillant à la préfecture au Cabinet du Préfet Edouard BONNEFOY [125](futur déporté, mort lors du naufrage du Cap Arcona[126] dans la baie de Lubeck le 3 mai 1945)[127], des avis relatifs à des rafles prévues par les allemands dans plusieurs communes rurales qui permettent de prendre les mesures préventives nécessaires afin d’empêcher des arrestations.

En janvier 1944, a lieu la plus grande série d’arrestation depuis le début de l’occupation dans le département. Les organisations de résistance sont littéralement décapitées. Etant au Cabinet du Préfet, il peut consulter la liste des arrestations et mesurer l’étendue du désastre. Bien que des personnes avec qui il est en contact sont aux mains de l’ennemi: Charles MONIN[128]et Pierre LERAY[129] [130]de son réseau (ce dernier de Châteaubriant, déporté et mort à Mauthausen le 14 novembre 1944), André CHAUVEL de COHORS-ASTURIES, François et René van PEE[131], Pierre BOUVRON [132] [133]de COHORS-ASTURIES, arrêté le 21 janvier 1944, déporté à Ebensee[134] en Autriche, assassiné le 9 février 1945, les frères HEYTE (Louis lui fait passer un message de prison pour l’aviser que les allemands ont des doutes le concernant …). Célestin SURZUR échappe de peu à son arrestation en s’enfuyant, de même que Louis COURBIL de son réseau, secrétaire de mairie de Vay, qui se réfugie à Nantes accompagné par un autre de ses agents Henri LUCE [135] [136]qui a recours à son aide pour changer d’identité et se dissimuler. Ils peuvent, ainsi échapper aux recherches de la Gestapo.

Cette période tragique passée, il remet une fois de plus sur pied un sous-secteur avec le concours entre autres de René LAUGE[137]de l’Organisation Civile et Militaire (O.C.M.). Ce dernier l’aide à dissimuler son stock de faux papiers et de cachets alors qu’Yves JOUBERT[138]remet à Jean- Baptiste DAVIAIS[139] [140] [141]membre du C.D.L., les faux titres d’identité qu’il fabrique.

Par son ami et agent Pierre MALTETE[142],il entre en relation début février 1944 avec le gendarme Willy PELLETIER[143] [144] [145], agent de liaison du responsable de «Défense de la France»[146] [147], le commandant Henri MAURICE[148], alias Le Flalut, pour le département avec lequel il est mis en contact. Contact qui s’avère très profitable aux deux organisations, mettant en commun leurs moyens de lutte et disponibilités.

Il prépare un plan d’occupation militaire de la Préfecture de Nantes destiné à servir dans les heures de la Libération. Il s’assure du «plan de protection» secret, du plan de ravitaillement du département en cas d’évènements de guerre, enfin du plan des itinéraires d’évacuation de la zone côtière interdite avec indications des routes que se réservent les allemands. Parallèlement, il poursuit son travail de fabrication des titres d’identité, notamment pour Marcel EUGENE, dit DOUTRELIGNE[149][150],alias Dron, responsable pour le département de COHORS-ASTURIES[151].

Pendant ce temps, les allemands continue à frapper le réseau et Jean LIGONDAY est arrêté le 20 avril 1944, déporté, il sera rapatrié[152].

Le deuxième document important qu’il saisit, est la circulaire de Vichy relative aux relations que les préfets relevant de l’autorité du Gouvernement peuvent avoir avec les alliés en cas de débarquement. Capturé sur Henri MAURICE lors de son arrestation, elle entraine la sienne[153].

Il est arrêté le 19 mai 1944 par le Doktor Werner RUPPER [154] [155] et le SS Paul HEIMANN son adjoint, du Sicherheitdienst[156] et de la Gestapo de Nantes[157]. Interrogé à deux reprises, le matin et l’après-midi , confronté à Xavier AVRIL[158] [159]dont il vient d’établir la carte d’identité quelques jours auparavant, ils jurent tous les deux de ne pas se connaître. Torturé, détenu à la prison Lafayette de Nantes, il ne révèle rien et est condamné à la déportation «pour opinion agressive à l’égard du Reich Allemand».

DEPORTATION (Matricule à Dachau : 72344)[160] modifier

Il quitte la prison de Nantes le 9 juin pour le camp de Compiègne[161] [162]. Le 17 juin, il quitte ce camp dans un convoi pour Dachau, restant enfermé pendant trois jours dans un wagon avec 115 autres déportés, sous une température dépassant parfois plus 30 degrés. Arrivé à Dachau[163] le 20 juin après une période de quarantaine, il est envoyé le 14 juillet au commando de Landsberg am Lech[164] [165]à environ une soixantaine de kilomètres de Dachau.

Il participe à la résistance clandestine des camps où il se trouve. Il a notamment comme camarade de déportation à Landsberg Gabriel GOUDY [166] [167] [168]qui deviendra député puis membre du Conseil Economique, Georges CHARPAK[169] [170] [171]qui obtiendra le prix Nobel de physique en 1992, Marcel MIQUET[172] [173] [174],Georges ARJALIES[175] , ou encore Albert FUCHS[176](professeur à l'Université de Strasbourg)...

Il y retrouve également des camarades de la Résistance nantaise, Jean-Baptiste DAVIAIS[177] [178]qui meure le 9 janvier 1945, Libertaire RUTIGLIANO[179] [180]décédé le 6 mai 1945 à l’âge de 26 ans et Jacques CHOIMET[181] [182].

Vers la fin avril, le commandant du camp Willy WAGNER[183], décide de renvoyer les déportés à Dachau.

Il quitte le 24 avril 1945 Landsberg d’abord pour le commando voisin Kaufering[184] [183]à une dixième de kilomètres. Là, il expérimente pendant deux jours avec ses camarades des conditions de vie épouvantables infligées aux juifs. Puis, de Kaufering, ils marchent jusqu’à dix kilomètres de Dachau, pour arriver en trois jours à Allach[185]. C’est là qui sont libérés par les américains trois jours plus tard mais subissent une nouvelle quarantaine en raison des risques de propagations des épidémies, en particulier, du typhus.

Après la libération du camp le 30 avril 1945, il est rapatrié en France le 19 juin 1945.

Après la guerre, proche d'Edmond MICHELET[186] [187] [188], Président-fondateur de l'Amicale des Anciens de Dachau, il participe activement à celle-ci. Il en devient vice-Président et rédacteur du bulletin jusqu’à son départ pour sa région natale en 1965, puis vice-Président Honoraire jusqu’à son décès. Durant ces années à l’Amicale, il se lie d’amitié, en particulier, avec le Docteur Georges FULLY[189] [190] [191]médecin-inspecteur général de l’administration pénitentiaire, assassiné à Paris le 20 juin 1973, le docteur André BOHN[192] [193], qui devient le deuxième Président de l’Amicale ainsi qu’avec Pierre SCHILLIO[194] [195], vice-Président d’Honneur de l’Amicale et son père Lucien[196], arrivés tous deux à pied des camps d’extermination de l’est et Jacques SONGY[197], également ancien vice-Président de l’Amicale[198].

DISTINCTIONS modifier

Commandeur de la Légion d’Honneur : décret du 5 décembre 1957

Croix de Guerre avec Etoile de Vermeil : décision du 23 décembre 1947

Médaille Militaire comportant Croix de Guerre avec Palme : décret du 28 février 1949

Médaille de la Résistance, décret du 31 mars 1947

Croix du Combattant Volontaire 1939-1945, 9 mai 1957

Médaille des Services Volontaires de la France Libre, 8 mars 1949

Médaille des Blessés

Croix du Combattant Volontaire de la Résistance

Participation au Mouvement "Libération-Nord"
Participation au Mouvement "Libération-Nord"

Médaille Commémorative de la Guerre 1939-1945

  • HOMMAGES

Livre d'or de la France Combattante et Résistante - Edition Gloire, 1950

Forces Françaises Libres

Avenue Gilbert BURLOT à la Bernerie-en-Retz[199]

Notes et Références modifier

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  2. a et b « La Bernerie fait à son maire, M. BURLOT, d’émouvantes obsèques », Presse Océan,‎ , p. 7
  3. « Les obsèques de M. Gilbert BURLOT, maire de La Bernerie », Ouest France,‎
  4. Service Historique de la Défense
  5. a b et c Ministère des Armée, Services Historique de la Défense, Château de Vincennes
  6. a et b « Gilbert BURLOT- Légion d'Honneur -Planche 17 », sur Archives Nationales (consulté le )
  7. « Gestapo », dans Wikipédia, (lire en ligne)
  8. « Gilbert BURLOT- Fiche de renseignements du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre- Planche 25 », sur Archives Nationales (consulté le )
  9. « Direction générale de la Fonction publique », dans Wikipédia, (lire en ligne)
  10. « Administrateur civil (France) », dans Wikipédia, (lire en ligne)
  11. « Gilbert BURLOT- Fiche de renseignements du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre- Planche 21 », sur Archives Nationales (consulté le )
  12. « Gilbert BURLOT- Ministère de la Défense Nationale- Planche 10 », sur Archives Nationales (consulté le )
  13. « Office national des combattants et des victimes de guerre », dans Wikipédia, (lire en ligne)
  14. « Paul Dassault », dans Wikipédia, (lire en ligne)
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  16. « Association France-Albanie », sur France archives
  17. Gilbert Burlot, « L'Albanie et la propagande chinoise », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  18. « Election de Monsieur Gilbert BURLOT à la mairie de La Bernerie-en-Retz », Courrier de Paimboeuf,‎
  19. « M.Burlot, est élu maire de la Bernerie en remplacement de M Turpeau », Presse Océan,‎ , p. 9
  20. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :7
  21. « Résistance intérieure française », dans Wikipédia, (lire en ligne)
  22. « Gilbert BURLOT », sur Mémoire des Hommes, Ministères des Armées
  23. « Liste nominative des Résistants par Réseau et Mouvement Gilbert Burlot, page 52 » [PDF], sur Musée de la Résistance en ligne
  24. Jacques Ghermard et Laurent Laloup, « Gilbert Burlot - Les Français Libres », sur Les Français Libres,
  25. a et b « Gilbert Burlot », sur Archives Nationales (consulté le )
  26. « Dossier individuel de personnel de BURLOT, GILBERT », sur FranceArchives (consulté le )
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