Utilisateur:Groupe9-Despiau/Brouillon

Le Parc naturel régional des Landes de Gascogne est un parc naturel français protégé situé en Aquitaine. Ce sont 336 100 hectares et 51 communes (78 100 habitants) contenus dans les Landes et la Gironde. Il a été créé suite à l'arrêté du 16 octobre 1970, a subi plusieurs renouvellements dont le dernier en date pour la période 2014-2026.

Enjeux environnementaux

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Le Parc naturel des Landes de Gascogne s'engage à maintenir un environnement varié et durable notamment avec de nombreux arbres et arbustes (liste non exhaustive): chêne, châtaignier, pin maritime, pin franc, bouleau, acacia, tilleul, aubépine, aulne, frêne, sorbier, poirier, prunier, pommier sauvage, pêcher, cerisier, noisetier, houx, arbousier, laurier sauce, néflier, cognassier, sureau, bourdaine, figuier, genêts, bruyère cendrée, callune, ajonc...[1] Il a imposé le respect des prescriptions de la charte de chantier vert avec des contrôles du volume sonore ou le nettoyage des roues du camion par exemple, dans le but de réduire les nuisances subies par les riverains. S'y trouve également un écomusée à Marquèze avec des expositions permanentes et quelques expositions temporaires qui permettent de sensibiliser les visiteurs à la protection de la nature, de l'environnement, ainsi qu'aux traditions landaises.

Enjeux humains

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Le Parc naturel des Landes de Gascogne est un lieu où le tourisme est très présent notamment par le biais de l'écomusée. De nombreuses sorties scolaires sont organisés pour éduquer les élèves à l'écologie et à la préservation de l'environnement. L'association GRAINE Aquitaine, créée en 1992, a pour objectif d'animer un réseau régional d'animateurs en lien avec la structure du parc naturel.

Enjeux économiques

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Le Parc naturel des Landes de Gascogne a une économie très variée: tourisme balnéaire (grande côte sableuse landaise très attractive), tourisme culturel (écomusée), activité viticole (frange Est du Médoc, Armagnac), la sylviculture (culture des pins).

  1. « Le journal du parc », journal, no 38,‎ , p. 2 (lire en ligne)