Utilisateur:Groupir !/Yves Montand

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Yves Montand, l'ombre au tableau

Yves Montand modifier

Biographie modifier

… (ascension) modifier

Premiers pas, dans les cabarets marseillais modifier

https://www.francedimanche.fr/actualites/yves-montand-son-inavouable-secret : à mieux sourcer

À Paris, sous l'aile d'Édith Piaf modifier

Révélation musicale modifier

[1] : Khrouchtchev, avec Mikoyan, Molotov, Boulganine et Malenkov. Discussion sur l'insurrection

Succès au cinéma modifier

https://www.lepoint.fr/pop-culture/du-micro-a-l-ecran-yves-montand-le-french-lover-tout-feu-tout-flamme-31-07-2020-2386226_2920.php

L'accès à la gloire (-1981) modifier

Passage aux États-Unis remarqué modifier

ou alors dans la section "Ascension" ?

Désormais uniquement au cinéma modifier

Il fait un dernier passage dans le cinéma américain en 1970 : Melinda, (On a Clear Day You Can See Forever) de Vincente Minnelli : Dr Marc Chabot

Reconnaissance critique modifier

Costa-Gavras en 1970.

films de Costa-Gavras

Il perd son père le , mort à l'âge de 77 ans[2].


César et Rosalie -> le film qui le fait véritablement décoller, selon "Le Grand Atelier" (https://www.franceinter.fr/emissions/le-grand-atelier/le-grand-atelier-du-dimanche-10-octobre-2021)

Films classiques et succès populaires / Apogée / Une décennie de films classiques et succès populaires modifier

Poussé par son épouse, il remplace Bourvil dans

Il remonte exceptionnellement sur scène en , pour soutenir les réfugiés chiliens et condamner le récent coup d'état du général Pinochet, en donnant un unique récital à l'Olympia. La préparation et la captation de ce tour de chant donnent lieu à un documentaire de Chris Marker, La Solitude du chanteur de fond[3].

[3]


Emmanuel Bonini, chap. 5 « L'aventure espagnole », dans Le Véritable Yves Montand, Pygmalion, , 526 p. (ISBN 2756432458, lire en ligne), p. 362-367.

Montand s'oppose à aller en Espagne, comme il l'avait fait pour Le Salaire de la peur[4]

explication plus concise du procès de Burgos : [4]

la réplique « Bon appétit, messieurs » : [4]

Oury sur l'alliance de Funès/Montand :

« Le mariage de deux comédiens comiques, c'est toujours dangereux. Parce que Montand peut être comique et peut être dramatique, il peut être l'homme de L'Aveu ou l'homme du Diable par la queue, c'est un magnifique acteur. Mais deux personnages comiques et là, les deux devaient être drôles, différemment mais drôles : ça peut être l'eau et le feu ou l'huile et le feu, ils peuvent se mettre en valeur ou s'éteindre l'un l'autre mutuellement. »

— Gérard Oury, …[4].

Mauvais traitement de Karin Schubert par Oury : [4]

Karin Schubert, détresse émotionnelle, crises de larmes[4]

Plus tard, Montand semble déçu de la structure du film et de son rôle : « dans la deuxième partie, il aurait fallu que de Funès devienne mon valet. Le rebondissement aurait été, je crois, surprenant »[4]

Montand juge que ce divertissement « désamorce, mine de rien, nombre de problèmes brûlants »[4].

France Dimanche dévoile une supposée liaison entre Montand et sa partenaire allemande mais se voit plus tard condamner à verser 10 000 francs de dommages-intérêts à Yves Montand et son épouse Simone Signoret[4].

Box-office : Montand dépasse le succès remporté la même année par Simone Signoret avec La Veuve Couderc[4]





D'après l'article Claude Sautet :

Il décide alors de revenir à un milieu plus proche du sien pour ses histoires, avec des personnages qui lui ressemblent davantage[5]. Il se penche sur un projet entamé dès 1962, mais qui ne sortira finalement qu'en 1972 : César et Rosalie[6]. Dans l'intervalle, Sautet et ses complices du moment Jean-Loup Dabadie et Claude Néron reprennent le scénario en profondeur. Mais ils rencontrent de grandes difficultés à le boucler. Ils s'en tirent en s'appuyant davantage sur les caractères, sans chercher à tout prix à construire une histoire[7]. Un choix qui n'échappera pas à la critique : « Sautet nous entretient, non de l'accessoire, du mirobolant, mais de l'essentiel, de quelques sensations et sentiments bruts captés à leur source. » (Claude Beylie dans L'Avant-scène cinéma)[8]. Plusieurs noms circulent pour les acteurs. À l'origine, le réalisateur pense à Brigitte Bardot, Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo pour le trio principal[6]. Il envisage également Vittorio Caprioli, remarqué dans Zazie dans le métro (Louis Malle, 1960), puis Vittorio Gassman[7]. Mais à sa reprise du projet dix ans plus tard, Yves Montand lui réclame le rôle principal. D'abord hésitant, Sautet se laisse convaincre par le côté « enfantin » et « macho presque malgré lui » de l'acteur. C'est le début d'une collaboration qui durera encore deux longs-métrages après celui-ci[9]. Aux côtés de Montand, Dabadie propose Catherine Deneuve, qui se montre d'abord enthousiaste, mais tarde ensuite à s'engager, invoquant vaguement des problèmes avec les coproducteurs de United Artists[10]. Cette défection conduit Sautet à faire de nouveau appel à Romy Schneider qui, non rancunière, accepte de reprendre le rôle. Le cinéaste confiera que c'est au fond ce qu'il souhaitait depuis déjà quelque temps[9]. Les relations sont plus tendues avec Sami Frey, qui complète le trio de tête. Sur le tournage, l'acteur ne parvient pas à prendre dans son jeu une part de la personnalité de Sautet, ce que ce dernier impose de plus en plus à son casting[7]. Mais le film remporte un nouveau très gros succès, qui continue d'assoir la notoriété du cinéaste[11]. Il obtient plus de 2,5 millions d'entrées en France[12], et l'Académie du cinéma italien auréole Montand d'un David di Donatello du meilleur acteur étranger[13].

L'apogée arrive probablement avec le suivant Vincent, François, Paul... et les autres (1974)[14]. Il s'agit d'une adaptation d'un autre roman de Claude Néron, La Grande Marrade (1965), dans lequel Sautet, conseillé par Jean-Loup Dabadie, a aimé retrouver l'ambiance hétéroclite des bistrots et des réunions de famille ou d'amis de sa jeunesse[15],[16]. Comme c'est maintenant son habitude, il s'entoure de Néron et Dabadie pour refondre l'histoire. Ensemble, ils réhabilitent le personnage de Vincent (qui se suicide d'entrée dans le livre), développe ses rapports avec celui de Jean, et lui inventent divers déboires. Ils reprennent aussi, là encore, entièrement la fin. Libre désormais de contrôler sa distribution, Sautet n'hésite pas longtemps à choisir le trio du titre[17]. Il refait confiance à Yves Montand, pour son jeu flamboyant en contraste avec les malheurs de son personnage[18],


Sautet se consacre alors à Garçon !, film promis à Yves Montand comme Une histoire simple l'était à Romy Schneider. Comme pour ce dernier, il se met une pression désagréable et l'écriture du scénario est éprouvante[19], malgré le retour en support de Jean-Loup Dabadie[20]. L'acteur impose d'entrée de nombreuses modifications à son personnage[21], et son emploi du temps repousse qui plus est le tournage d'un an, durant lequel le réalisateur avoue avoir peut-être perdu son inspiration[22]. Ce dernier est en outre très affecté par le décès de sa muse Romy Schneider survenu en mai 1982[23]. La distribution fait une nouvelle fois la part belle aux seconds rôles, parmi lesquels on remarque une jeune Clémentine Célarié signant ses débuts au cinéma[21]. Sur le tournage, Montand en fait trop au goût du cinéaste, il lui apparaît très « égocentrique » et il peine à le contenir. Sautet se console un peu en situant l'histoire autour d'une brasserie, milieu qu'il affectionne depuis toujours, et dont il prend plaisir à filmer le « ballet » des serveurs en salle. Mais il coupera de nombreuses séquences au fil de plusieurs remontages, pour la sortie d'abord, puis à l'occasion de chaque diffusion télévisée[19]. Le film remporte un certain succès, avec quelque 1,5 million d'entrées et quatre nominations aux César, mais la critique est sévère[6],[21], et lui l'estime raté[24] :

« Brusquement, je me suis senti au bord de la ringardise. Tout ce que j'avais dit jusque-là dans mes films n'avait plus besoin d'être[22]. »


La relation est plus conflictuelle avec Yves Montand[19]. Le cinéaste est d'abord surpris quand son agent Jean-Louis Livi lui soumet son nom pour César et Rosalie. Ses prestations précédentes ne le convainquent pas : il les trouve forcées. Mais il organise tout de même une rencontre, qui le laisse charmé. Il découvre un homme sympathique, drôle[25], mais aussi émouvant d'une certaine manière, par son côté hâbleur et sanguin prisonnier de lui-même. Il va beaucoup jouer de cet aspect dans leurs trois films ensemble : celui-ci, puis Vincent, François, Paul... et les autres, et enfin Garçon ![9]. Ce dernier résulte d'ailleurs d'une promesse qu'il a faite l'acteur, comme Une histoire simple l'était pour Romy Schneider. Mais leurs rapports se dégradent peu à peu. D'une part, le caractère excessif de Montand commence à lui peser[26], et d'autre part il insiste de plus en plus pour que son rôle le mette en valeur. Souvent Sautet cède et lui ajoute des scènes favorables, mais il en coupera la plupart lors de remontages, certains après sa mort en 1991[27],[19]. L'échec critique de Garçon ! scelle la fin de leur collaboration[28]. Après le hiatus de cinq ans qui lui succède[29], Sautet aspire à un renouveau. Il se lasse d'osciller entre ces deux représentations de lui-même, Piccoli pour sa part de pudeur quasi puritaine, Montand pour son côté plus sanguin[28]. Il préfère alors se tourner vers des acteurs plus jeunes, en particulier Daniel Auteuil[30].

Un monument de la chanson et du cinéma (1981-1991) modifier

Retour sur scène triomphal et dernier grand rôle modifier

https://www.lemonde.fr/archives/article/1987/06/27/montand-de-florette-a-manhattan_4041900_1819218.html

Yves Montand sur scène à Strasbourg, en mars 1982.


rapprochement avec Coluche,

En 1985, il rallie Coluche pour le lancement des Restos du Cœur, en étant l'un des rares artistes à participer à la création de La Chanson des Restos[31],[32].

Montand la vie continue de Jorge Semprún

La ferme des Romarins, décor central de Jean de Florette et Manon des sources de Claude Berri.

« Montand président ! » modifier

« Que des gens aient été prêts à suivre un saltimbanque comme moi, ce n'est pas très bon pour la classe politique. »

— Yves Montand à La Nouvelle République, [33].


Yves Montand http://www.yves-montand-site-officiel.com/biographie/

https://www.nytimes.com/1983/10/10/arts/yves-montand-and-the-left-at-odds.html


name="Rakotoarison" Sylvain Rakotoarison, « Yves Montand, une grenouille de la politique qui chantait : vive la crise ! », sur AgoraVox, .


La trajectoire de Ronald Reagan, acteur devenu président des États-Unis, amène à imaginer Yves Montand candidat à l'élection présidentielle de 1988.

À partir de 1983, Yves Montand est de plus en plus sollicité pour exprimer ses opinions politiques, dans des interviews souvent très suivis[2],[34],[35]. Il prend en quelque sorte la suite de Coluche dans la posture de personnalité du spectacle très populaire qui prend part au débat public[35]. Selon l'universitaire Michel P. Schmitt, Montand endosse à l'époque « le personnage de l'artiste engagé transformé en moraliste grisonnant, pourfendeur de l'oppression et défenseur tous azimuts des droits de l'homme, et dont le discours peut s'autolégitimer de la reconnaissance bruyante de ses erreurs passées » (le reniement du stalinisme)[36]. Lors d'un passage au journal de 20 heures d'Antenne 2 en 1983, Christine Ockrent va jusqu'à le qualifier de « phare de la pensée contemporaine »[35]. Il multiplie les interventions politiques à la télévision et aligne des audiences énormes par ses apparitions dans 7 sur 7 en 1983, Les Dossiers de l'écran en (où il explique longuement son retournement sur le communisme[37]), et ses présentations de Vive la crise ! en et La Guerre en face en 1985[2],[34]. Pendant ces années, Montand devient l'objet médiatico-politique qui l'installe à la une de journaux ou magazines, certains titrant « Montand président ! »[2].


Vive la crise !

En plus de s'afficher comme un farouche opposant du communisme à chacune de ses interventions médiatiques[35],


Dans les années 1980, son revirement idéologique fut total. Il adhère au courant d'idées à l'extrême opposé, le libéralisme, qui arrive alors en France, promu par le courant de pensée TINA : There is no alternative[38]. Dans l'émission télé pédagogique Vive la crise ! ()[39] suivie par 20 millions de personnes[40], il prône un « capitalisme libéral »[41] tout en avouant ne rien connaître à l’économie[42].

Pierre Rimbert, « Il y a quinze ans, “Vive la crise !” : éternelle pédagogie de la soumission », sur www.monde-diplomatique.fr, Le Monde diplomatique, (consulté le ).


[43]

name="MarcheDeLHistoire" « Quand Yves Montand disait « Vive la crise ! », sur www.franceinter.fr, émission La Marche de l'histoire, France Inter, .

[37]

tournant de la rigueur

docu-fiction

. Il assure aussi la narration du documentaire controversé La Guerre en face, diffusé en , traitant de politique étrangère et de défense[2],[34],[35].

Tandis que l'aura politique d'Yves Montand se consolide[44], divers commentateurs lui prêtent des ambitions, à une époque où l'ancien acteur Ronald Reagan est président des États-Unis[2],[43] et Clint Eastwood est maire d'une petite ville[45]. En , répondant au New York Times qui lui demande s'il envisage de se lancer en politique, Montand explique : « La politique représente beaucoup de travail (…). Je n'ai ni parti ni organisation : je suis tout à fait seul (…). Mais peut-être (…). Pourquoi pas ? »[45],[46]. Dans son interview, l'acteur-chanteur critique à la fois le président François Mitterrand et le Premier ministre de cohabitation Jacques Chirac, explique que les Français aurait envie de dépasser les traditionnels clivages entre gauche et droite et chercherait des hommes politiques nouveaux, pragmatiques : il s'affiche comme l'un de ceux-là, ni de droite ni de gauche mais « indépendant »[45],[46]. Certains voient en lui un potentiel rénovateur du centre gauche, une tête de liste aux élections européennes de 1984, un ministre voire un président[47].

Plusieurs personnes le confortent dans ses ambitions, notamment Bernard Kouchner qui lui met en tête de se présenter à la prochaine élection présidentielle, sur l'exemple de Reagan[48],[37]. La comparaison avec Reagan est néanmoins ténue : le président américain n'était qu'un acteur de série B, qui avait mis de côté sa carrière et accomplit depuis plus de quinze ans plusieurs mandats syndicaux et politiques, dont celui majeur de gouverneur de Californie[35]. De fait, après ses thrillers politiques, ses interventions médiatiques et ses deux documentaires sérieux, Yves Montand est vu comme un candidat possible à l'élection présidentielle de 1988[35],[49],[37]. À l'époque, la candidature de Mitterrand pour sa réélection est encore très incertaine et celle probable de Chirac entachée par l'affaire Malik Oussekine[35]. Un sondage indique que 36 % des Français seraient prêts à voter pour l'acteur-chanteur lors d'une élection présidentielle à venir[2],[43]. Des intellectuels parmi lesquels Michel Foucault, André Glucksmann, Jorge Semprún, Jean-Claude Guillebaud, Michel Albert, Chris Marker et Costa-Gavras l'entourent comme une équipe de campagne[33]. Même en Israël, où il se rend en , invité par le Premier ministre Shimon Peres à un spectacle de soutien aux Refuzniks, Montand est accueilli « comme un chef d'État »[50],[35].

Yves Montand, président du jury du festival de Cannes en 1987.

En , Yves Montand est le président du jury du quarantième festival de Cannes[2]. Il se montre pour la première fois au bras de Carole Amiel lors de la montée des marches, deux mois après avoir révélé leur relation à la presse[2]. Membre du jury, Danièle Heymann raconte plus tard que Montand « était un président chaleureux, flatté d'être ainsi distingué, et assez désarmé d'avoir à exercer une autorité. Lui qui était un super patron quand il faisait son métier de chanteur se montrait intimidé par des personnalités très fortes. Et il était très modeste devant ceux qu'il admirait… »[51]. La politique le rattrape pendant sa présidence du festival, quand une délégation d'ouvriers de la Normed, chantier naval au bord de la fermeture, lui demande une audience, après s'être vu refuser une rencontre avec le ministre du Travail ; le président Montand les reçoit symboliquement sur le galion du film Pirates de Roman Polanski et intercède pour leur obtenir un rendez-vous au ministère[44]. À la fin du festival, l'annonce du palmarès est houleuse, la remise de la Palme d'or à Sous le soleil de Satan de Maurice Pialat étant vivement contestée[51],[52].

En , Yves Montand participe à l'opéra Garnier à une cérémonie célébrant le quarantième anniversaire de la fondation de l'État d'Israël, où il lit la déclaration d'indépendance à la demande de Shimon Peres[44]. L'annonce de sa candidature ou non à l'élection présidentielle est escomptée par la presse pour l'émission Questions à domicile sur TF1, en , six mois avant le scrutin[44]. Finalement, à la toute fin de cet interview chez lui, Yves Montand annonce qu'il ne sera pas candidat[35] : « En soi, la Présidence de la République ne m'intéressait pas, puisque, pour l'essentiel, c'est la satisfaction d'un désir de gloire et de réussite, d'une ambition. Toutes proportions gardées, cela, je l'avais déjà. Mais j'avais envie de dire des choses. Or, pour les dire et être entendu, il fallait jouer le jeu. J'espérais faire de la politique sans devenir politicien. C'est impossible »[2]. La révélation par Le Canard enchaîné du cachet de 800 000 francs reversé à Montand pour cet interview provoque l'indignation les jours suivants[53] et efface tout son crédit politique[43].


En , il révèle sa relation avec Carole Amiel à Nice-Matin[2]. Il connaît depuis 1974 cette jeune femme de Saint-Paul-de-Vence[2]. résumé de leur liaison

Dernières années et décès modifier

Yves Montand, l'ombre au tableau, documentaire de Karl Zéro et Daisy d'Errata, Troisième Oeil et Arte France, 2015.


Trois Places pour le 26 de Jacques Demy, sorti en 1988 [54]

Gérard Grugeau, « Entretien avec Jacques Demy Allume, on ne voit pas ce qu'on dit! »

prend sous son aile le débutant Patrick Bruel

(parle de Marylin ?)

L'émission Les Guignols, à ses débuts, le caricature

(en) Alan Riding, « Yves Montand, Sage Charmer of French Film and Politics, Dies at 70 », sur www.nytimes.com, The New York Times, (consulté le ). (et bon résumé de sa vie)

En 1991, il renoue avec son frère Julien par l'intermédiaire de leur sœur[55].

Il insiste pour obtenir une télévision dans sa chambre afin de ne pas rater une diffusion de César et Rosalie le lundi[56].

Vie privée modifier

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  2. a b c d e f g h i j k et l Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées SiteOfficiel
  3. a et b « Ivo Livi, dit Yves Montand », encyclopédie Larousse (consulté le ).
  4. a b c d e f g h i et j Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées BoniniMontand
  5. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées AllianceHongKong
  6. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées CNC
  7. a b et c Binh et Rabourdin 2005, p. 146-147.
  8. Binh et Rabourdin 2005, p. 162.
  9. a b et c Binh et Rabourdin 2005, p. 150.
  10. « Claude Sautet et Romy Schneider : une histoire pas si simple », sur Télérama, (consulté le ).
  11. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cinémathèque
  12. « César et Rosalie », sur JP's Box Office (consulté le ).
  13. (it) « Cronologia dei premi David di Donatello », sur Accademia del cinema italiano (consulté le ).
  14. Binh et Rabourdin 2005, p. 166.
  15. Binh et Rabourdin 2005, p. 168.
  16. Binh et Rabourdin 2005, p. 170.
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  18. Binh et Rabourdin 2005, p. 171.
  19. a b c et d Binh et Rabourdin 2005, p. 266.
  20. Binh et Rabourdin 2005, p. 264.
  21. a b et c « Trois choses à savoir sur... Garçon ! », sur Première, (consulté le ).
  22. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Libération
  23. « Disparu il y a 20 ans, qu'est-ce que Claude Sautet filmerait des choses de nos vies d'aujourd'hui? », sur HuffPost, (consulté le ).
  24. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées FranceDimanche
  25. Binh et Rabourdin 2005, p. 146.
  26. Binh et Rabourdin 2005, p. 249.
  27. Binh et Rabourdin 2005, p. 191.
  28. a et b Binh et Rabourdin 2005, p. 282.
  29. « "Quelques jours avec moi" de Claude Sautet - L'ami retrouvé », sur Le Monde, (consulté le ).
  30. Binh et Rabourdin 2005, p. 284.
  31. Léna Lutaud, « L'histoire secrète de la chanson des Restos du cœur », sur www.lefigaro.fr, Le Figaro, .
  32. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Marcadet
  33. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées MontandMaitron
  34. a b et c Paul-Marie de La Gorce, « “La guerre en face” : fantasmes et manipulations », Traitement de choc à la télévision, sur www.monde-diplomatique.fr, Le Monde diplomatique, .
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  36. Groupir !/Yves Montand sur le site de l'Encyclopædia Universalis.
  37. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées MarcheDeLHistoire
  38. Vive la crise! Et caetera Bakchich (site internet) 2008
  39. Quand Yves Montand et Laurent Joffrin criaient « Vive la crise ! »… 20 minutes, 13/10/2008.
  40. André Halimi, Le show-biz et la politique, Ramsay, , p. 45.
  41. Vive la crise : pédagogie de la soumission. Reportage radio diffusé sur France Inter dans l'émission Là-bas si j'y suis en 2006.
  42. Il y a quinze ans, « Vive la crise ! » in le Monde diplomatique
  43. a b c et d Baro 2016.
  44. a b c et d « Citoyen Montand, au créneau ! », sur www.lemonde.fr, Le Monde, .
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  46. a et b B.G., « Montand président : « Pourquoi pas ? », sur www.lemonde.fr, Le Monde, .
  47. Pascal Mouneyres, « Yves Montand Homo Politicus », ARTE Magazine, Arte, no 45,‎ , p. 6 (lire en ligne).
  48. « VIDÉO – Yves Montand se voyait “président de la République” en 1988 : qui l’a encouragé à se présenter ? », sur www.gala.fr, Gala, .
  49. « Yves Montand n’envisage pas de devenir président » sur www.traces-ecrites.com : « Merci pour votre sympathie et pour vos encouragements, mais pour le moment je n'envisage rien », 11 août 1986.
  50. « Yves Montand en Israël » [vidéo], sur ina.fr, Antenne 2 Midi, .
  51. a et b Claude-Marie Trémois, « Quand Danièle Heymann racontait les coulisses du jury de Cannes 1987 », sur www.telerama.fr, Télérama, .
  52. [vidéo] Yves Montand et Maurice Pialat au Festival de Cannes - Archive INA sur YouTube, .
  53. [vidéo] Yves Montand Question à domicile : la politique et l'argent - Archive INA sur YouTube, .
  54. « Trois places pour le 26, un film de Jacques Demy : L'amour toujours… », sur www.lemonde.fr, Le Monde, .
  55. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées JulienLiviMaitron
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