Utilisateur:Hhorus/Famille de Menon

Famille de Menon
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Armes de la famille.

Blasonnement de Menon et de Menon de Turbilly : d’or au chardon de sinople fleuri de gueules, soutenu d’un croissant de même en pointe,.
Devise Ne deuil ne joie et Ferrierunt et ferrunt insignia pacis[1],[2]
Branches De Menon De Turbilly,
De Menon De Champsaur,
De Menon De Ville.
Période Du XIIIe ou XVe siècle au XIXe siècle
Pays ou province d’origine Écosse[3],[4],[a] ?, Normandie ? [b]
Vassaux Curés de Vaulandry (1550 : Jean GEUFFRÉ, 1557 : François PANTIN, 1568 : Guillaume DROULLET), famille BOURRÉ, seigneurs de Vaux (Jean)[5]
Demeures Château de Turbilly (Vaulandry), Château du Plessis-au-Maire, Maison forte de ville à Saint-Savin, Château de Menon (vendu et transformé en mairie à Saint-Savin en 1923)

Origines

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La famille De Menon est une famille de la noblesse française. Elle est originaire de Saint-Martin-la-Plaine, au diocèse de Lyon. Elle semble avoir un lien de parenté avec la famille Menon, comme laisse penser la devise. La famille comprend des seigneurs de Darmassière (l'actuelle Dalmassière près de Voiron), des religieux et religieuse, des sieurs et seigneurs de la Motte-en-Champsaur,des chevalier de l'ordre de Malte… En 1489 la famille de Menon apparait à Voiron.

Genealogie

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La famille de Menon c'est divisée en plusieurs branche au cour du temps comme par exemple les de Menon de Turbilly (les seigneurs de Turbilly), les de Menon de Ville (seigneurs de Ville et maires de Saint-Savin) les du/de Menon de Champsaur (seigneurs et sieurs de La Motte-en-Champsaur)... La famille de Menon avait principalment des seigneurs de la Motte-en-Champsaur, de Darmassière, de Saint-Savin, de Turbilly (Vaulandry), du Plessis-au-Maine

  • Origine écossaise d'après l'Abrégé, hypothétiquement confirmée par la théorie de M. Louis TISSERON, basée sur le blason.
    • Diverses migrations à travers le Royaume de France
      • Installation dans le Dauphiné. Branche d'Origine
      • Installation en Anjou. Branche de Turbilly
        • Installation au Plessis-au-Maire, à Noyant. Rameau des seigneurs du Plessis

l'Abrégé de la Généalogie de la Famille de Menon, une source contestée

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L'Abrégé est une source douteuse qu'il faut prendre avec des pincettes car elle n'est aucunement vérifiable avant Pierre II de Menon, qui est l'origine prouvée des différentes branches de cette maison. Cependant, on peut noter qu'il est fils d'un Pierre Ier né apparemment en 1404 et mort en 1445. Or, un certain Pierre de Menon fut fait héritier de La Motte-en-Champsaur en 1429 par Léon MUISARD, et un autre Pierre testa en 1482, et si, selon l'hypothèse commune, le Pierre héritier et le Pierre II sont la même personne, alors ses dates sont très écartée, mais grâce à la date de l'héritage (1429), on peut estimer l'age à 20-30 ans, ce qui fait naître Pierre l'héritier vers 1400-1410, ce qui ne correspond pas du tout à la date du testament (1482) car il serait âgé d'environ 80 ans, improbable à l'époque. Il est donc probable que Pierre l'Héritier sois Pierre Ier de Menon. On ne connaît pas le ou les auteur(s) du livre ni la date exacte d'écriture, mais certains détail permettent de l'estimer au XVIIe siècle. On y trouve aussi quelques incohérence : les dates les plus anciennes sont étrangement plus précises que celles plus récentes.

Voici la généalogie proposée par l'Abrégé jusqu'à Pierre II de Menon : Simon Ier de Menon, "étoit originaire du Royaume descosse, et vint en France sous le Roy Philippe Auguste" le servit et mourut "du temps du Roy St Louis, le dernier de Janvier de l'an 1249". Il épousa une certaine Jeanne, morte le 22 décembre 1252. L'auteur de l'Abrégé, qui est inconnu, nous apprend ses armoiries : "D'or, a vu Lion de gueules" et en déduit qu'elle était de la maison de Châtillon, seigneurs de Châtillon-en-Bazois, la même qui, avec les enfants de Jean II et de Dauphine de Lavieu, veuve de Guy Ier de Damas, adopta les armes de la maison de Damas[6]. Il aurait eut un fils connu :

  • Simon II, soldat au service du roi Saint Louis, qui aurait participé aux septième et huitième croisades[c] mort le 20 avril 1297 Il épousa Marguerite Clément , "de noble et ancienne maison, qui a eu deux Marechaux de France, Henri et Jean Clement", qui mourut un 12 juin. Il eurent plusieurs enfants :
    • Pierre, mort en Aragon, sans descendance, non-marié ;
    • Simon, archidiacre, protonotaire apostolique, mort le 21 août 1336 ;
    • Antoine, né en 1260, mort le 10 mars 1330, aussi soldat à la solde du Roi. Il aurait testé à Paris le 3 mars 1330, testament dans lequel il aurait nommé héritier universel son fils aîné. Ce testament mentionnerait aussi ses enfant Antoine et Marie. Il avait épousé à Catherine de Candie , proche parente du vidame de Genève François de Candie, morte en 1340.
      • Simon, mort jeune ;
      • Philippe Ier, né en 1297, mort le 4 octobre 1374, au service du roi Philippe V le Long dont il aurait été l'écuyer. Pour cette raison, "il fut employé dans plusieurs negociations dans le Poitou", ce pourquoi il s'y serrait marié à Jeanne de Fontenay, morte en 1360. Cette famille s'était alliée à la famille de Beauvau par le mariage de Pierre de Beauvau du Rivau à Anne/Annette de Fontenay, qui a, dans certaines généalogies ce blason : . Il eurent plusieurs enfants de cette union :
        • Antoine, mort à la Bataille de Crécy le 26 août 1346, sans descendance ;
        • Jean Ier, né en 1328, mort très âgé en février 1400, aussi au service des rois de France Philippe VI de Valois, Jean II le Bon et Charles V le Sage. Il serait parfois qualifié de valet dans certains actes. Il épousa Alix de Severac, morte en 1402. Ils auraient eu 3 fils et 2 filles :
          • Philippe II, fils aîné, fut, comme ses ancêtres, au service militaire du roi de France, avec qui il aurait participé à la Croisade de Barbarie en Tunisie, où il mourut en juillet 1390. Il épousa Madeleine de la Palu, morte en février 1396. Ils eurent un fils :
            • Pierre, mort avant ses parents et son ayeule.
          • Simon, chanoine à Grenoble ;
          • Jean II, né en 1373, mort en septembre 1429 aussi au service militaire du roi, aurait épousé Jeanne d'Eudin , peut-être veuve Louis d'Abbeville, ce qui est peut probable, ou alors une autre Jeanne, sœur inconnue de la précendente. Ils eurent un fils et une fille :
            • Pierre Ier, né en 1404, mort en 1445, au service miliataire du roi, épousa en Bourgogne Marguerite de Ternant et eu un fils et un fille :
              • Pierre II, mort le 16 décembre 1467 résidait dans le Dauphiné, chose avérée grâce à son testament, se mit au service du dauphin de France Louis XI et fut son écuyer, ce qui expliquerait son anoblissement par celui-ci en octobre 1478. Il épousa Marguerite Alleman , apparemment nièce du cardinal Louis Alleman, morte en 1456.
                • Dont descendance
              • Anne
            • Anne
          • Marie, religieuse, morte en 1430 ;
          • Magdeleine, aussi religieuse, morte en 1432 ;
        • Pierre, mort en 1345 ;
        • Jeanne, morte jeune en 1340 ;
      • Antoine, religieux à Clairevaux, mort le 26 janvier 1363 ;
      • Marie, aussi religieuse, morte le 28 avril 1350
    • Simone, religieuse, décédée le 27 novembre 1336.

de Menon de Turbilly

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La branche de Menon de Turbilly est la plus connue de toute, principalement grâce à Louis François Henri de Menon, un agronome français. Cette branche était seigneur de Vaulandry, du Plessis,de Chéronne, de Bresteau de 1647 à 1746[7], de Challoux, de Boislenfray, de Fontenailles, de Parcay [8], de La Bresche, Laudet, de Perrière[9]. Elle descend Jean (III) de Menon qui fut notaires et secrétaires du roi sous les règnes de Louis XI, Charles VIII et Louis XII [10] marié à Pérrine Dos-de-Fer le 23 octobre 1481, et s'est éteinte en 1776.

Unions notables

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Branches du Dauphiné

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C'est avec Pierre (II) que la famille Menon s'installe définitivement dans le Dauphiné, à l’exception de Jean qui s'installe, lui, en Anjou où il fonde sa branche, ci dessus.

  • Pierre (de) Menon, seigneur par héritage de son père de La Motte-en-Champsaur, propriétaire d'une mine de charbon à Gravenand à Rive-de-Gier qu'il avait acquis le 25 juin 1459[32], bourgeois de Saint-Martin-la-Plaine. Il est anoblit par lettres du roi Louis XI en octobre 1478. Il testa le 4 juin 1482 à Saint-Martin-la-Plaine et nomme ses enfants :
    • Jean de Menon, secrétaire du Roi, seigneur de Saint-Martin-la-Plaine et par mariage de Turbilly. ;
      • Branche des seigneur de Turbilly
    • Jacques de Menon ;
    • Denis de Menon ;
    • Zacharie de Menon, consul de Grenoble en 1497, 1498 et 1527, seigneur de la Motte-en-Champsaur par héritage de son père, de Montaugnière et de Montbives (Biviers), secrétaire au Parlement de Grenoble, docteur en droit, procureur fiscal de la cour majeure du Viennois et terre de La Tour et greffier civil en 1490. Il fut maintenu dans la noblesse par arrêt du Parlement de Grenoble du 3 décembre 1489, et testa le 10 août 1534 à Coublevie. Il avait épousé en premières noces Charlotte de Cizerin, et se remaria probablement veuf à Ennemonde de Chanterel de Saint-Arey ;
      • (1) Jean de Menon, consul de Grenoble en 1524, secrétaire, comme son père, au Parlement de Grenoble. Il habitait à Voiron et épousa Catherine Chevilharde ;
        • Jean de Menon [33], marié le 24 janvier 1584 à Florie de Gotefrey[34] ;
          • Aymard ou Eymard de Menon, marié à Sébastienne de Morard, peut-être identifiable à Aymar de Menon, seigneur d'Armentières, marié à Louise de Galbert de Comiers ;
            • Joachim de Menon, militaire, mort le 1er août 1664 à la bataille de Saint-Gothard ;
            • Madeleine de Menon, peut-être aînée, religieuse au Monastère de Sainte-Claire de Grenoble, marraine d'enfants à Voiron, notamment en 1651, de Jean Ogier avec son frère Jean, qui confirme qu'ils sont fils d'Eymard[35].
            • Jean de Menon (* 17/04/1646 Voiron[35]), militaire ;
            • Louis de Menon, militaire ;
        • Ennemond de Menon[33] ;
        • Denis de Menon[33] ;
        • Ennemonde de Menon, mariée à Eynard-Gaspard du Monet, sieur d'Oncinet[33] ;
        • Rolande de Menon[33] ;
      • (1) Yves de Menon ;
      • (1) Florence de Menon, mariée à Jean II de Chanterel, seigneur de Montsublet, près du Col de la Croix de Toutes Aures[36] ;
      • (1) Christine de Menon, mariée à Michel de Comiers, seigneur d'Étapes et de Vors ;
      • (2) Jacques, seigneur de La Motte-en-Champsaur, du Champsaur, de Montbives de 1554 à 1574, consul de Grenoble en 1568, Comte Palatin du Saint-Siège en 1517, marié en 1549 à Anne de Morard d'Arces, qui vendit veuve Montbives en 1593 à Jean-Baptiste de Simiane. Son testament, en 1583, nous apprend qu'il résidait à Biviers, ce qui confirme l'implantation rapide de cette branche à Biviers ;
        • Branche des seigneurs de La Motte
      • (2) Jean-Ennemond de Menon, seigneur d'Armassières, marié à Bonne de Maubec. Il testa à Coublevie en 1591 ;
        • Jean de Menon, seigneur d'Armassières, marié à Louise de Buffevent, dame de Saint-Savin ;
          • Branche des seigneurs de Saint-Savin
        • Catherine de Menon, religieuse à Sainte-Claire de Grenoble ;
        • Jeanne de Menon ;
        • Ennemonde de Menon ;
        • Bonne de Menon mariée à Claude de Burdin ;
        • Anne de Menon (* ~1565 - 08/05/1628 Châbons), mariée le 23 mai 1599 à Joffrey de Lemps, né le 15 mai 1569, décédé le 6 novembre 1630 à Châbons ;
    • Claude de Menon, mariée à Étienne Paschatonis[d] ;
    • Louise, mariée et décédée avant le testament de son père.

de Menon de Champsaur

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La famille de Menon de Champsaur descend du fils probablement aîné de Zacharie, Jacques. Elle s'installe à Biviers avec celui-ci et sa femme.

de Menon de Ville

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Personnes notables

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  • Louis François Henri de Menon de Turbilly (1717-1776), Chevalier, seigneur de Turbilly, de Challoux, de Boislanfray, de Fontenailles et de Parçay-les-Pins, agronome.
  • Joseph Pie Gabriel de Menon de Ville (1727), Chevalier de l'ordre de Malte

Armoiries

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Image Armoiries de la famille de Menon
Branche normande :D'or, à un bouton de rose de gueule, tigé et feuillé de sinople, soutenu d'un croissant de gueule.[37] (Riestap),
D'or, à un bouton de rose de gueules, feuillé et tigé de sinople, et posé sur un croissant de gueules[38] (Jouffroy d'Eschavannes).
Origine : D'or, au chardon fleurit de gueules, feuillé et tigé de sinople, mouvant d'un croissant de gueules[39] (Steyert).

Branche de Turbilly : D'or, au chardon fleurit de gueules, feuillé et tigé de sinople, mouvant d'un croissant de gueules[40] (Dubuisson),
D'or au chardon fleuri de gueules feuillé et tigé de sinople montant d'un croissant de gueules posé en pointe[41] (Quartiers des As).

Vaulandry : Écartelé: au 1er d'or au chardon de sinople, fleuri de gueules et mouvant d'un croissant du même, au 2e de sinople au pairle d'argent, la branche senestre alésée et aiguisé, chargé de quatre fers de moulin de sable posés à plomb, au 3e de sinople à la tour d'or, maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ, au 4e d'or au sanglier de sable surmonté de deux pommes de pin au naturel.

Branche de Ville :


de Menon de Buffevant de Ville : Écartelé, au 1er d'or, au chardon fleuri au naturel, tigé et feuillé de deux pièces de sinople, accosté de deux croissants de gueules et soutenu d'un croissant du même (DE MENON) ; au 2e de gueules, à une fasce d'argent ; au 3 de gueules, semé de fleur de lys d'or, à une bande d'argent, brochante sur les fleur de lys (ALLEMAN) ; au 4 parti, en a) d'azur, à une croix tréflée et vidée d’or (DE BUFFEVENT) ; en b) d'azur, à une tour d'or, ouverte et maçonnée de sable.

Comtes de Menon : D'or, à un chardon feuillé d'azur, sur un croissant de gueules ou D'or au chardon d'azur issant d'un croissant de gueules.
(d'où : Blason de Saint-Savin (Isère) : D'or au chardon d'azur issant d'un croissant de gueules.

Sources

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Notes et référence

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  1. D'après Mr. TISSERON, dans ses Anciennes Archives Générales des Hommes du Jour, Le chardon écossais sur le blason laisse penser que cette famille vient d'Écosse, mais la seule origine prouvée montre qu'elle vient de Saint-Martin-la-Plaine, diocèse de Lyon. C'est donc peut-être une origine lointaine.
  2. Une variante du blason existe en Normandie. À la place du chardon, il y a une rose, ou un bouton de rose. L'absence de deux croissant en chef laisse penser que il est sois issus du blason de la branche aînée, ou à l'origine de celle-ci, or aucun membre n'est connu en Normandie donc il est plus probable que ce sois l'origine.
  3. L'Abrégé de la Famille de Menon donne comme source les Mémoires de Joinville qui cite, à la page 439, Messire Simon de Menon qui accompagna Louis IX en croisade, mais à cause d'une erreur de retranscription, fréquente à l'époque, il pourrait tout autant s'agir de Simon de Menou, époux d'Alix de Melun que de Simon II, personnage qui plus est hypothétique.
  4. Le nom provient du testament en latin, et par conséquent le nom est aussi sous sa forme latine. Le nom en français serait plutôt Paschaton ou Pachaton.
  5. Attention ! L'Abrégé de la généalogie de la Famille De Menon est une œuvre servant peut-être juste à donner de glorieux et imaginaires ancêtres à la famille de Menon de Turbilly car il donne par exemple des dates précises anciennes, mais vagues pour les récentes sans donner de preuves ni sources, il faut donc être très prudent.

Références

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  1. Joseph DENAIS, Armorial général de l'Anjou, Fascicule 11, p. 378 (Lire en ligne)
  2. Autre source (PDF)
  3. Louis TISSERON, Anciennes Archives Générales des Hommes du Jour, volume 39 (1865)
  4. Abrégé de la généalogie de la famille de Menon, XVIIIe siècle
  5. Aveux d'après l'Histoire de la maison de Broc, volume 2, page 324, notes.
  6. Généalogie de la Famille de Rigal, consulté le 14 juin 2022.
  7. a b c et d Revue historique et archéologique du Maine, tome 1, p. 243 (Lire en ligne)
  8. catalogue de vente
  9. Grand armorial de France, tome 5, p. 39 (Lire en ligne)
  10. André LAPEYRE et Rémy SCHEURER, Les notaires et secrétaires du roi sous les règnes de Louis XI, Charles VIII et Louis XII (1461-1515), tome 2 (1978), LXXII (Lire en ligne)
  11. Histoire de la maison de Broc, v. 02, édité en 1898
  12. a b c et d Le Mis de Turbilly, 2e édition
  13. a b c d e f g h i j k l m et n Archive de la commune de Vaulandry, sur le site des archive du Maine-et-Loire
  14. Abre Généalogique de la famille Maillé de la Tour-Landry
  15. a b c d e f g h et i Archive de Tuffé sur les archives de la Sarthe
  16. Armorial de la Sarthe, page 924 sur Geneanet
  17. a b c et d Archive de Semur-en-Vallon sur les archives de la Sarthe
  18. Archives de Paris
  19. a b et c Archive de la ville de Saint-Sulpice sur le site des archives de la Mayenne
  20. Revue historique et archéologique du Maine
  21. Archive de la ville d'Arquenay sur le site de archives de la Mayenne
  22. a b c et d Archive du Mans sur les archives de la Sarthe
  23. a et b Archive de Ecommoy sur les archives de la Sarthe
  24. a et b relevé collaboratif sur Geneanet
  25. Dictionnaire de la noblesse, tome 19, partie 2
  26. Dictionnaire de la noblesse, tome 5
  27. Armorial de la Sarthe, page 790 sur Geneanet
  28. Archive de la commune de Saint-Pierre-en-Vaux, sur le site des archive du Maine-et-Loire
  29. a b et c Archive de la commune de Clefs-val-d'Anjou, sur le site des archive du Maine-et-Loire
  30. Archive de la commune de Lasse, sur le site des archive du Maine-et-Loire
  31. Recueil de généalogies de maisons nobles de France
  32. Bulletin de la Société industrielle d'Angers et du département de Maine-et-Loire, 22e année (1851), p. 85 (Lire en ligne)
  33. a b c d et e Bulletin d'histoire ecclésiastique et d'archéologie religieuse, tome 15, p. 46 (Lire en ligne)
  34. Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, tome 17 (1882), p. 127 (Lire en ligne)
  35. a et b Archive de Voiron sur les archives de l'Isère
  36. Châteaux et demeures de l’Isère
  37. Johannes-Baptista RIESTAP, Armorial général, tome 2, p. 199 (Lire en ligne)
  38. M. JOUFFROY D'ESCHAVANNES, Armorail universel, volume 1, p. 267 (Lire en ligne)
  39. André STEYERT, Armorial général du Lyonnais, Forez et Beaujolais, f. 42 (Lire en ligne)
  40. Pierre-Paul DUBUISSON, Armorial des principales maisons et Familles du royaume, volume 2, p. 16 (Lire en ligne)
  41. Les quartiers des As