« To love truth for truth's sake is the principal part of human perfection in this world, and the seed-plot of all other virtues. »

John Locke, lettre à Anthony Collins, 30 octobre 1703.

Mon CV absolument fascinant

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Né en 1972 (soit la même année que le crew Stupeflip[1]) à Lucera en Italie, le jeune Matteo Nocciola a en 1980 une vision prophétique l'informant de l'existence à venir de Wikipédia. Il se passionne avant l'heure pour cette encyclopédie. Comme Terminator, il envoie des lettres au jeune Jimbo Wales pour lui donner l'idée d'une grande encyclopédie virtuelle mondialisée. Certains[2] disent que Wales n'aurait jamais eu l'idée de l'encyclopédie sans Matteo.

Cependant, pris dans la tourmente des années de plomb, Matteo est amené à se faire mercenaire. Il part en Afrique, plus précisément dans l’État du Katanga, et se bat dans ses rangs afin de l'aider à conquérir son indépendance. Sur place, il improvise un titre amené à passer dans les classiques de la chanson italienne, Il mercenario di Lucera, et survit à plus de cent affrontement armés avant de mourir écrasé par un vélo (comme King Ju de Stupeflip[3]).

Ressuscité par des disciples de René Guénon et d'Aleister Crowley maîtrisant la magie hermétique, Matteo revient sur Terre au cours des années 2000. Il en profite pour s'inscrire sur Wikipédia avec le pseudonyme de Katanga et contribue quand il a le temps.

A lire : un libre essai de 2012 sur le PoV-pushing inversé.

Contributions

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  1. Stupeflip, album Stupeflip (2003), « Explication nº1 ».
  2. Seuls les initiés au 2e degré ou plus de la loge maçonnique « Onche Onche » (rite écossais nouveau non-accepté) savent de qui nous parlons. Certains dissidents le savent aussi, mais comme il s'agit de soraliens, personne ne les écoutera. Mouahahaha.
  3. Stupeflip, album Stupeflip (2003), « L'épouvantable épouvantail ».