Utilisateur:Kinich' Kawiil/Brouillon
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L'autosacrifice est un rite consistant à sacrifier une partie de son corps à une divinité, par extraction de sang en particulier. Cette forme de sacrifice humain était très courante en Mésoamérique.
Durant le préclassique modifier
L'autosacrifice fut pratiqué dès la période préclassique. Des découvertes archéologiques attestent de ce rituel au moins à partir du préclassique moyen (de 1200 av. J.-C. à 400 av. J.-C.), notamment sur le site olmèque de La Venta avec découverte d'aiguillons de raie et de plusieurs perforateurs en pierre verte[1].
Au préclassique récent (de 400 av. J.-C. à 200 ap. J.-C.), les fresques mayas du site de San Bartolo (Guatemala) témoignent de cette pratique avec la représentation de plusieurs individus se perforant le pénis[1],[2].
Annexes modifier
Bibliographie modifier
- Michel Graulich, « Autosacrifice in ancient Mexico », Estudios de Cultura Náhuatl, no 36, (lire en ligne).
- Claude-François Baudez, La douleur rédemptrice : L'autosacrifice précolombien, Paris, Riveneuve éditions, , 271 p. (ISBN 978-2-36013-086-3).
- Claude-François Baudez, La douleur rédemptrice: l'autosacrifice précolombien, Riveneuve éd, (ISBN 978-2-36013-086-3), p. 31
- Mary Ellen Miller et Megan Eileen O'Neil, Maya art and architecture, Thames & Hudson, coll. « World of art », (ISBN 978-0-500-20422-1), p. 211