Utilisateur:Kistsen1u/Brouillon
- → N'hésitez pas à publier sur le brouillon un texte inachevé et à le modifier autant que vous le souhaitez.
- → Pour enregistrer vos modifications au brouillon, il est nécessaire de cliquer sur le bouton bleu : « Publier les modifications ». Il n'y a pas d'enregistrement automatique.
Si votre but est de publier un nouvel article, votre brouillon doit respecter les points suivants :
- Respectez le droit d'auteur en créant un texte spécialement pour Wikipédia en français (pas de copier-coller venu d'ailleurs).
- Indiquez les éléments démontrant la notoriété du sujet (aide).
- Liez chaque fait présenté à une source de qualité (quelles sources – comment les insérer).
- Utilisez un ton neutre, qui ne soit ni orienté ni publicitaire (aide).
- Veillez également à structurer votre article, de manière à ce qu'il soit conforme aux autres pages de l'encyclopédie (structurer – mettre en page).
- → Si ces points sont respectés, pour transformer votre brouillon en article, utilisez le bouton « publier le brouillon » en haut à droite. Votre brouillon sera alors transféré dans l'espace encyclopédique.
Dans le monde, 127 personnes ont trouvé la mort ces deux dernières années en se prenant en photo. L'Inde est le pays le plus meurtrier avec 76 "morts par selfie".
modifierEn quête du selfie parfait, plus de gens sont morts en Inde sur cette période que dans le reste du monde, selon les chercheurs qui ont identifié sur internet et les réseaux sociaux un total de 127 "morts par selfie" depuis mars 2014. "Ce phénomène est tellement désastreux que durant la seule année 2015, il y a eu plus de morts dues aux selfies qu'aux attaques de requins à travers le monde", commentent les chercheurs sur leur blog.[1]
Selon l'étude publiée, le moteur est le désir de collectionner le plus de "likes" et commentaires possibles sur les réseaux sociaux. Mais les chercheurs n'apportent pas d'explication sur le triste record détenu par l'Inde. [2]
La casbah ou vieille ville d’Alger tire son nom de la citadelle qui la surplombe.[3] Elle est un exemple important de ville historique au Maghreb. Le secteur de l'artisanat dans la Casbah, autrefois florissant, est de nos jours en déclin, concurrencés par les produits manufacturés. Le tourisme est en revanche stimulé par sa nomination au Patrimoine mondial de l'UNESCO.[4] Casbah (ou Kasbah) signifie ville ou forteresse. Mais, par extension, le mot désigne toute la partie ancienne d'Alger construite sous la forteresse située sur les hauteurs de la ville.[5]
Le renard roux, qui tire son nom de la couleur de sa fourrure, est un animal présent dans de nombreux pays à travers le monde.[6] Il est souvent décrit comme rusé, voir même nuisible pour l'homme. Il possède en tout cas une bonne faculté d'adaptation à de nouveaux environnements, y compris urbains. Son régime alimentaire est carnivore. [7] Le renard est un carnivore de taille moyenne, relativement bas sur pattes, de forme élancée. Sa longueur peut atteindre 1,20 m du museau au bout de la queue pour un poids d'environ 6 à 7 kg. II est facilement reconnaissable à son fin museau, ses grandes oreilles pointues aux extrémités noires et à sa longue queue touffue. Sa fourrure, généralement rousse, peut varier du jaune au marron foncé. Le renard est, de tous les carnivores du paléarctique, celui dont l'aire de répartition actuelle est la plus vaste. Il est présent dans tout l'hémisphère nord, excepté en Islande et en Crête. En France, il est présent dans tous les départements depuis le bord de mer jusqu'à des altitudes d'environ 2500 m.[8]
- « Francemusique »
- « L'Inde détient le record de "morts par selfie" », LExpress.fr, (lire en ligne, consulté le )
- UNESCO Centre du patrimoine mondial, « Casbah d'Alger », sur whc.unesco.org (consulté le )
- « A Alger, les artisans de la Casbah tentent de sauver leur héritage - RFI », RFI Afrique, (lire en ligne, consulté le )
- Saïd Almi, Urbanisme et colonisation: présence française en Algérie, Mardaga, , 159 p. (lire en ligne), p. 144
- Futura, « Renard roux », Futura, {{Article}} : paramètre «
date
» manquant (lire en ligne, consulté le ) - « Le renard roux », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Michel Vallance, Faune sauvage de France, Le gerfaut, , 415 p. (lire en ligne), p. 242