Lady domi
Née le même jour que Patrice Loko, mais dans la même ville que Pierre Loti. Bercée toute petiote par les musiques de George Brassens, Mozart, Art Tatum et Big Bill Broonzy. On ne s'en remet jamais tout-à-fait.
Commence à écouter des musiques de djeunes pour faire comme les copains de collège, mais finit par retomber dans le jazz pendant ses années de fac (DEUG d'anglais et LEA anglais/allemand abandonnés à mi-parcours). Se découvre atteinte du syndrome (Johnny)Hodgien, une maladie absolument incurable, heureusement.
Quelques années plus tard, anoblie par Richard Davis : un très bon moyen d'éviter les malentendus (plus de «Cher Monsieur», siouplaît) et, ma foi, un joli nom de plume.
Aimerait passer un peu plus de temps à œuvrer pour Wikipédia, mais a des papiers à écrire et des traductions à faire. M'enfin.
Aime le jazz (années 50 surtout), la photo (argentique exclusivement, de préférence sur un antique Canon FT), sa région, James Baldwin, Stephen King, Douglas Adams, Terry Pratchett, John Irving, «Supervivant» de G.K. Chesterton, les langues étrangères, les chats et tout ce qui la fait rire, c'est-à-dire beaucoup des choses sus-citées.
Plusieurs devises, selon l'humeur : «Be yourself, no more, no less», «Life is a school unless you're a fool», «Faire son boulot sérieusement sans jamais se prendre au sérieux» et «DON'T PANIC».
Généralement peu rancunière et ouverte à la critique, pourvu qu'elle soit constructive.