Utilisateur:Listes Duchêne/Brouillon

En 1ER l'article que je veus poster : droit de courte citation avec des lignes qu'un copain a ecrit

En 2Eme des citations seulment avec des guillmets partout pour eviter la violation de droit dauteurs comme a dit Sebk


Le massacre des Bagogwe, population tutsie du Rwanda, a commencé en janvier 1991[1]. L'extermination de milliers de Bagogwe par l'armée (Forces armées rwandaises)[2] prépare le génocide de 1994[3]

Les Bagogwe modifier

Untel définit les Bagowe comme un « Groupe marginal du Nord-Rwanda, [les Bagogwe étaient] en majorité composé d’éleveurs pauvres. Marginalisés, ils formaient une population sans défense »[4]. D'après Untel, Les Hutus du nord du Rwanda voyaient les Bagogwe comme une caste inférieure[5].

La décision de massacrer les Bagogwe modifier

D'après untel, « La décision de massacrer les Bagogwe fut prise avant janvier 1991. Il avait été décidé de faire payer par un massacre de Bagogwe chaque attaque du Front Patriotique Rwandais »[6] : selon la propagande hutu extrémiste, les Tutsi de l’intérieur sont des « complices » du Front Patriotique Rwandais, un mouvement créé par des Tutsi exilés en Ouganda, analyse Untel[7]. Tel auteur estime que "Les Tutsi de l’intérieur étant associés au Front Patriotique Rwandais – par affinité de « race » en quelque sorte – ils deviennent une cible"[8].

Ces massacres « permirent au gouvernement rwandais de tester l’absence de réaction de la communauté internationale »[9] et aussi l'attitude des différents acteurs au Rwanda. Les hommes politiques hutu voulaient savoir s'ils pouvaient recommencer les massacres de Tutsi comme ceux de 1959 et 1963. "Aux yeux des stratèges hutu, la réponse fut claire : ni les militaires français, ni les autorités religieuses, ne protestèrent"[10]

Massacres modifier

En janvier-février 1991 près de 2 000 Bagogwe (hommes, femmes et enfants) sont massacrés dans le Nord-Ouest du pays[11].

"En 1992, 9000 Bagogwe sont massacrés avec femmes et enfants. Souvent, on tuait avec des grenades. Presque tous les hommes Bagogwe avaient été exterminés au cours des deux premières années"[12]

"A partir de février 1993, l’extermination va atteindre toutes les catégories, les femmes et les enfants seront aussi visés"[13]

Janvier Afrika, un ancien membre des escadrons de la mort qui ont mené les attaques [14] , dit, « Au début de 1992, nous avons perpétré notre premier massacre. Près de 70 d’entre nous ont été envoyés à Ruhengeri tuer des Tutsi du clan Bagogwe. Nous en avons massacré environ 10 000 en un mois, à partir de notre base du camp militaire de Mukamira »[15]

"L’objectif consistait principalement à éliminer un groupe défini sur une base ethnique" d'après Diogène Bideri [16]

Les Bagogwe "ont été tués dans l’indifférence" [17]



"Le massacre de la communauté tutsie des Bagogwe par l'armée (Forces armées rwandaises), encadrant des émeutiers"[18] "commence en janvier 1991"[19]. "Des milliers de Bagogwe ont été tués"[20]. "L’extermination de ce groupe humain marginal a été le coup d’essai du génocide de 1994"[21]

Les Bagogwe modifier

"Groupe marginal du Nord-Rwanda, les Bagogwe étaient en majorité composé d’éleveurs pauvres. Marginalisés depuis toujours, y compris du temps de l’ancien royaume du Rwanda, ils formaient une population sans défense"[22] . "Les Bagogwe étaient considérés par les populations hutus du nord du Rwanda comme une caste inférieure"[23].

La décision de massacrer les Bagogwe modifier

"La décision de massacrer les Bagogwe fut prise avant janvier 1991. Selon plusieurs témoignages, il avait été décidé de faire payer par un massacre de Bagogwe chaque attaque du Front Patriotique Rwandais"[24], "le mouvement rebelle formé parmi les exilés tutsi d’Ouganda, et dont les Tutsi de l’intérieur sont uniformément accusés d’être des « complices » selon les termes de la propagande extrémiste"[25]. "Les Tutsi de l’intérieur étant associés au Front Patriotique Rwandais – par affinité de « race » en quelque sorte – ils deviennent une cible"[26].

Ces massacres « permirent au gouvernement rwandais de tester l’absence de réaction de la communauté internationale »[27]. "La question des dirigeants hutu était celle-ci : Si nous recommençons ce que nous avons fait en 1959 et 1963, aurons-nous le même soutien de nos amis ? Aux yeux des stratèges hutu, la réponse fut claire : ni les militaires français, ni les autorités religieuses, ne protestèrent"[28]

Massacres modifier

"Massacre de près de 2 000 Bagogwe (hommes, femmes et enfants) dans le Nord-Ouest du pays en janvier-février 1991"[29].

"Les massacres continuèrent. En 1992, 9000 Bagogwe sont massacrés avec femmes et enfants. Souvent, on tuait avec des grenades. Presque tous les hommes Bagogwe avaient été exterminés au cours des deux premières années"[30]

"A partir de février 1993, l’extermination va atteindre toutes les catégories, les femmes et les enfants seront aussi visés"[31]

"Janvier Afrika, un ancien membre des escadrons de la mort chargés des exactions" [32] , dit, « Au début de 1992, nous avons perpétré notre premier massacre. Près de 70 d’entre nous ont été envoyés à Ruhengeri tuer des Tutsi du clan Bagogwe. Nous en avons massacré environ 10 000 en un mois, à partir de notre base du camp militaire de Mukamira »[33]

"L’objectif consistait principalement à éliminer un groupe défini sur une base ethnique" [34]

Les Bagogwe "ont été tués dans l’indifférence" [35]