Utilisateur:Lyon-St-Clair/bac à sable/2

Histoire

modifier

L'ancien réseau

modifier
Le pont en X.

Le tramway avait fait une première apparition au Mans entre 1897 et 1947. Il était composé de lignes construites à voie métrique et électrifiées qui desservaient les différentes parties de la ville, alors peu étendues.

Le réseau urbain était exploité par la Compagnie de l'Ouest Électrique créé à Lyon le 21 octobre 1896, et qui se substitue à la Compagnie des tramways électriques du Mans, formée antérieurement, le 23 juillet 1896. Elle a pour mission, la création et l'exploitation des réseaux de tramways dans les villes du Mans et de Rennes.

Elle crée au Mans un réseau de trois lignes :

  • I - Gare centrale - place de la République - Octroi des Maillets (2,925 km)
  • II - Carmélites - Croix d'or (2,875 km)
  • III- Hôpital - rue et Pont Gambetta - place de la République - Lune de Pontlieue

L'ouverture des lignes se fait dans l'ordre suivant :

  • Ligne I, est ouverte le 21 juin 1897.
  • Ligne II, le 27 juin suivant.
  • Ligne III, le 27 juin suivant entre La Croix d'or et Mission, le 8 juillet vers l'hôpital et enfin le 20 juillet jusqu'au pont de l'Huisne. Le terminus de Pontlieue atteint quelques jours après.

Le matériel roulant est composé de 22 motrices à deux essieux, pesant 8 tonnes et d'une capacité de 45 voyageurs. Ces motrices sont construites par la firme Fives Lille

Des remorques au nombre de 9, appelées Buffalo sont attelées aux motrices. Ces voitures sont ouvertes latéralement.

en 1911, 2 remorques ouvertes sont livrées.
en 1916, 4 remorques fermées sont livrées par Carel et Fouché.

En 1931 et 32, six caisses modernes sont commandées à la firme Carel et Fouché du Mans et montées sur des châssis provenant d'anciennes motrices. Ces châssis sont modernisés et équipés de nouveaux moteurs.

L'usine de production d'électricité et le dépôt des tramways sont construits sur l'emplacement de l'ancien hôpital, occupé aujourd'hui par la médiathèque Louis Aragon. La production d'électricité était réalisée grâce à deux dynamos Fives Lille, entrainées par une machine à vapeur fixe. En 1932, le système est abandonné pour une alimentation par le réseau extérieur de la « Société Lyonnaise des Eaux et de l'Éclairage ».

Juxtaposant l'usine, se trouve le dépôt du matériel roulant, avec ses remises couvertes pour le matériel roulant et les bâtiments administratifs de la compagnie.

À la fin des années 1930, devant la croissance de la circulation automobile le tramway doit faire place aux autobus et trolleybus.

L'exploitation du tramway de la COE est arrêtée :

  • le 23 novembre 1936 sur la ligne Hôpital- Pontlieue
  • le 12 novembre 1947 sur les lignes Gare - Maillets et Gare - Léon Bollée (octroi de Paris).

En parallèle, la ville était le centre névralgique du réseau départemental de la compagnie des tramways de la Sarthe depuis 1881. Le centre du réseau était situé sur la rive gauche de la Sarthe, non loin de ce qui est aujourd'hui la gare sud du Mans. Les trains ont circulé jusqu'au 1er mars 1947.

Le retour du tramway

modifier

La création d'un axe de transport en commun en site propre au Mans voit le jour dans le cadre de l'étude menée en 1990-1991 par le SOFRETU qui dégage un axe qui relie l'université du Maine aux quartiers Sud de la ville (Pontlieueetc.)[1]. La SETRAM mandate alors le cabinet Richez Associés afin de travailler sur l'intégration de la ligne sur la place des Jacobins et la place de la gare du Mans, dont il en découle que l'arrivée de la ligne doit s'accompagner d'une rénovation de la gare et du quartier[1]. L'étude du SOFRETU séduit la communauté urbaine du Mans, qui doit faire face à un réseau de bus englué dans la congestion de la circulation automobile et ce, malgré le site propre de l'avenue Jean-Jaurès, un des premiers du pays, la CUM mandate alors en 1994 Richez Associés, associé à Sogelerg (aujourd'hui Artelia) en groupement, afin d'approfondir l'étude[1] : l'idée du tramway commence à faire son chemin, les études privilégient alors le Bombardier TVR, et la branche vers les Sablons est ajoutée au projet[1],[2].

Ce même groupement se voit confier en 1997 une étude de définition afin de préciser l'intégration de la ligne ; l'étude abouti sur un changement majeur du tracé, avec l'abandon de la place des Jacobins au profit de la place de la République, soit un passage en plein centre-ville[1],[3]. Le tracé et le budget, alors estimé à 1,286 milliard de francs, est voté en conseil communautaire en , pour un début de chantier alors prévu en 2001 pour une mise en service par étapes en 2005 ou 2006[4],[5].

En , les élus manceaux votent à une large majorité pour le tramway à roulement fer (40 voix pour, 6 abstenions, aucun vote pour le tramway sur pneus) tout en précisant que le tramway sur pneus n'est pas définitivement écarté, selon la communauté urbaine, « si la législation évolue pour l’intégrer dans la même catégorie que le tramway classique, notamment au regard des subventions »[6].

La concertation débute en et permet d'affiner le projet[1],[7] : passage par la route d'Angers dans le quartier Université-Ribay, maintien des accès résidentiels rue Gambetta, suppression de l'échangeur routier à la station Saint-Martin afin de recréer un carrefour à niveau — le tramway devait initialement suivre la voirie et donc, pour la branche des Sablons en venant de l'université, bifurquer à droite et faire un virage en demi-cercle afin de passer sous les voies et se diriger vers le quartier — et rétablir un parvis pour l'église Saint-Martin[1]. L'État rend une décision favorable courant 2000 et la synthèse est établie fin-2000/début-2001[7]. Les rencontres publiques ont débuté en janvier/février 2000 et les oppositions au projet de la part de la population ont disparues dès mars/avril et a continuée tout au long de l'année 2000[8].

Le bilan de la concertation est finalement approuvé le [9]. Si les études laissaient planer le doute sur le choix du mode de transport — Tramway ou tramway sur pneus —, Le Mans Métropole valide fin 2001 l'option du tramway à roulement fer[1],[10]. La ligne est déclarée d'utilité publique fin-2001/début-2002[7].

Le projet, définitivement validé par Le Mans Métropole, est lancé dans sa phase opérationnelle en 2002, avec une maîtrise d'ouvrage confiée à la Société d'équipement du Mans, la maîtrise d'oeuvre, hors dépôt et billétique, étant confiée au groupement formé par les entreprises EGIS Rail, EGIS Aménagement, Coteba, Richez Associés et Attica[1],[7]. L'avant-projet est présenté en 2003 et permet de définir les choix d'aménagements[1] : 10 km de plateforme engazonnée, le revêtement du sol (béton ou granit) doit rappeler l'ocre des façades mancelles et la couleur cuivre habillant les rames doit rappeler l'ocre de la muraille romaine[1]. Le marron d'Inde accompagné de touches de rouge habille quant à lui le mobilier le long de la ligne[1]. L'avant-projet ajoute une dernière modification au tracé : la ligne est prolongée au delà du centre de maintenance pour passer sous la ligne droite des Hunaudières afin de desservir Antarès-Technoparc, la salle Antarès, le MMArena — alors en projet — et l'enceinte du célèbre circuit de la Sarthe[1].

Malgré la réduction des financements de l'État, le projet est maintenu, bien que son calendrier soit modifié avec une mise en service échelonnée au cours de l'année 2007[11]. L'avant-projet est approuvé en et l'enquête publique relative au projet se déroule du 15 mars au 22 avril 2004 et les premières déviations de réseaux souterrain sont lancées en pour s'acherver à l'été 2005, tandis qu'il est finalement décidé que la place de la République sera réservée aux seuls tramways, piétons et modes doux, nécessitant de modifier les accès du parking souterrain qui lui, est maintenu[1],[7],[12]. Le , Le Mans Métropole choisi Alstom pour fournir les rames du tramway, face à Stadler Rail et Bombardier Transport[13].L'enquête publique se conclue sur un avis favorable « sans réserves »[14].

En 2005, tandis que la construction de la plateforme est entamée en début d'année et celle du centre de maintenance le , des économies durant les appels d'offres permettent même de réinjecter les sommes dans l'amélioration du traitement du sol et du mobilier urbain rue Levasseur ou avenue Jean-Jaurès par exemple[1],[7],[14]. La maquette à l'échelle 1, dessinée par l'agence RCP basée à Tours est présentée au public en [15]. En , la reconstruction des accès au parking souterrain de la place de la République, en lien avec la construction du tramway, est achevée[16].

Le chantier se poursuit avec la pose du premier rail le avenue Olivier-Messianen[7],[1]. Une étape spectaculaire a lieu le avec le ripage du pont-route qui permet au tramway de passer sous la rocade sud, nécessitant de couper la circulation routière durant 72 heures[17].

La première rame est livrée le et est baptisée « Désir » trois jours plus tard[7]. Le , le projet voit un changement de dernière minute avec la suppression de la station Léon Blum, terminus de la branche des Sablons, au profit de la station Espal - Arche de la nature au motif d'une éventuelle extension au Gazonfier qui serait ainsi facilitée[7]. Les essais en ville débutent le entre Antarès et le boulevard des Glonnières puis jusqu'à Saint-Martin le [7]. Ils débutent sur le tronçon Lafayette-Université le tandis que l'ultime soudure de rails à l'Espal a lieu le [7]. Les essais sur l'ensemble du tronçon Antarès-Université sont lancés le [7].

Enfin, la marche à blanc début le et la ligne est finalement inaugurée le , presque 60 ans jour pour après la suppression de l'ancien réseau, dans le cadre d'un week-end de festivités[1],[7].

Ouverture de la seconde ligne

modifier

L'idée de créer une seconde ligne était évoquée dès la mise en service de la première[18]. Le dossier du projet est déposé en préfecture en mai 2009[19].

La [(Société d'équipement du Mans]] est désignée maître d'ouvrage en juin/juillet 2010[20]. La maîtrise d'œuvre est quant à elle attribuée au groupement composé des entreprises SCE, Obermeyer et AUP le [21].

Le projet est voté en conseil communautaire par les élus de l'agglomération le et les travaux débutent en décembre[18].

La première soudure de rails a lieu le [18].

Les essais débutent le [18].

La ligne T2 est inaugurée le [18].

Le réseau

modifier

Principales caractéristiques

modifier

En 2018, le réseau du Mans compte deux lignes en activité, formant une sorte de « K » avec un tronc commun en centre-ville, entre les stations République et Saint-Martin.

Le réseau de tramway est alimenté en 750 V courant continu par ligne aérienne de contact (LAC). Il dessert exclusivement la commune du Mans.

Lignes du réseau de tramway du Mans
Ligne Terminus Longueur
(en kilomètres)
Temps de
parcours moyen
(en minutes)
Mise en service Fréquentation annuelle
T1 Le Mans — Université ↔ Le Mans — Antarès - MMArena 11.9 38
T2 Le Mans — Bellevue - Hauts de Coulaines ↔ Le Mans — Espal - Arche de la Nature 8.4 25

La ligne T1

modifier

La ligne T1 est une ligne d'orientation Nord-Sud reliant les stations Université et Antarès - MMArena, toutes deux sur la commune du Mans.

Inaugurée le sous le nom de ligne T, la branche vers l'Espal a été quant à elle ouverte le . Elle est renommée ligne T1 et amputée de sa branche Espal le à la mise en service de la ligne T2. Elle partage depuis cette date un important tronc commun en centre-ville avec cette ligne.

La ligne est longue de 11,9 km et dessert 24 stations.

La ligne T2

modifier

La ligne T2 est une ligne d'orientation Nord-Est-Sud-Est reliant les stations Bellevue - Hauts de Coulaines et Espal - Arche de la Nature, toutes deux sur la commune du Mans.

Inaugurée le elle reprend la branche vers l'Espal de la ligne T1, ouverte le , et la combine avec le tronçon entre le centre-ville et Coulaine, nouvellement construit. Elle partage depuis cette date un important tronc commun en centre-ville avec cette ligne.

La ligne est longue de 8,4 km et dessert 18 stations.

Aménagement des stations

modifier

Exploitation

modifier

Matériel roulant

modifier

Pour la mise en service de la première ligne, 23 rames de tramway de type Citadis 302 ont été commandé au constructeur français Alstom et construites à l'usine d'Aytré près de La Rochelle[22]. Les rames disposent d'un design extérieur et intérieur personnalisé créé par l'agence RCP Design Global basée à Tours, qui le décrit comme « une silhouette hyper-moderne, égayée par un nez rond » et habillées d'une couleur cuivre qui évoque l'ocre des fortifications romaines de la ville[1],[23],[24].

Les rames, dotées de la climatisation, mesurent 32,7 m de long et 2,40 m de large et peuvent accueillir jusqu'à 211 personnes dont 64 assises[22]. Elles sont alimentées en 750 Volts courant continu par une ligne aérienne de contact et atteindre une vitesse maximale de 70 km/h[22]. Les rames sont techniquement extensibles, caractéristique commune des Citadis 302, jusqu'à 42 m de long par l'ajout de deux modules supplémentaires.

Les 23 premières rames portent le nom des communes de Le Mans Métropole. Trois d'entre elles portent les noms 24 heures du Mans, MUC 72 et MSB, reflétant ainsi la dimension sportive de la ville[22]. Trois nouvelles rames ont été livrées quatre années plus tard, en 2011 pour un coût de 10 millions d'euros, à l'occasion d'une commande supplémentaire pour faire face à l'affluence lors des grands événements notamment[25], mais seule l'une des trois a reçu un nom de baptême. Une nouvelle commande de huit rames (de la no 1027 à la no 1034) a été votée en avril 2012 et est mise en service à l'occasion de l'ouverture de la deuxième ligne[26],[27].

Les rames 1025 à 1034 ont été finalement baptisées elles-aussi, à une date inconnue. La 1023 a changé de nom de baptême, Cénomane laissant place à Carel Fouché, en hommage au constructeur ferroviaire manceau Carel et Fouché[28]. Les rames 1030 à 1034 ont été baptisée en du nom des communes ayant rejoint Le Mans Métropole en 2017[29].

Liste des noms de baptême des Citadis 302[22],[27].
Numéro Date de livraison Nom
1001 Désir
1002 Le Mans Métropole
1003 Allonnes
1004 Arnage
1005 Coulaines
1006 La Chapelle-Saint-Aubin
1007 Le Mans
1008 Mulsanne
1009 Rouillon
1010 24 Heures du Mans
1011 Sargé-lès-le-Mans
1012 Yvré-l'Évêque
1013 Plantagenêt
1014 Bérengère
1015 Bollée
1016 Wilbur Wright
1017 MUC 72
1018 Trouvé-Chauvel
1019 Arche de la nature
1020 MSB
1021 Pays de la Loire
1022 Sarthe-Huisne
1023 Carel Fouché[28] (jusqu'au 3 mars 2018 : Cénomane)
1024 Dominique Niederkorn[30]
1025 Aigné
1026 Champagné
1027 La Milesse
1028 Ruaudin
1029 Saint-Saturnin
1030 Chaufour-Notre-Dame
1031 Fay
1032 Pruillé-le-Chétif
1033 Saint-Georges-du-Bois
1034 Trangé

Conduite et signalisation

modifier

Remisage et entretien

modifier

Le remisage et l'entretien des rames du réseau est assuré au centre de maintenance des Hunaudières, situé au sud de la ville, à hauteur du MMArena, de l'autre côté de la ligne droite des Hunaudières[31].

Le complexe occupe une superficie de 55 000 m2 et est composé de deux bâtiments[31] :

  • Le bâtiment principal qui accueille sur 5 500 m2 les ateliers comprenant sept voies permettant d'assurer la maintenance légère et lourde des rames, les bureaux administratifs et le poste de commande centralisé (PCC) du réseau, tramway et bus compris ;
  • Le bâtiment grand entretien qui accueille sur 1 200 m2 un hall servant au nettoyage des rames, au remplissage des sablières et une station de lavage. Il compte deux voies.

Le remisage des rames, non couvert, occupe quant à lui une surface de 3 300 m2 et compte six voies de garage[31]. Le complexe était initialement conçu pour 29 rames, il a été agrandi pour en recevoir 34[32].

Sécurité et accidents

modifier

Tarification et financement

modifier

Système d'information en temps réel

modifier

En station

modifier

Sur chaque quai des stations, des écrans informent les voyageurs de la destination des prochaines rames et du temps d'attente respectif. Toutes les stations sont reliées au poste de commande centralisé (PCC), depuis lequel sont diffusées des informations vocales en cas de perturbations importantes.

Dans les rames

modifier

Les tramways sont équipés d'un système d'information voyageurs embarqué. Des afficheurs intérieurs indiquent aux voyageurs la destination ainsi que la prochaine station. Entre deux stations, une annonce sonore donne le nom de la prochaine station.

Projets de développement

modifier

Il n'existe aucun projet de développement de nouvelle ligne. En janvier 2016, Jean-François Soulard, vice-président du Mans Métropole chargé des déplacements et président de la SETRAM, estime que l'ouverture de la ligne de BHNS du réseau (d'ailleurs nommée T3 en référence aux deux lignes de tramway T1 et T2, « [boucle] la couverture des quartiers relevant de la politique de la ville par un mode lourd »[33].

Notes et références

modifier
  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Le tramway du Mans, Paris, Richez Associés, , 23 p.
  2. Nathalie Marcault, « Le Mans - le TVR à l'étude », Le Moniteur,‎ , p. 123 (lire en ligne)
  3. « CONTRAT Tramway au Mans », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  4. Emmanuel Guimard, « Le Mans La décision pour le tramway est proche », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  5. « Le Mans Les élus votent pour le tramway », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  6. Bertrand Escolin, « Le Mans Les élus choisissent le rail », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  7. a b c d e f g h i j k l et m « Quelques dates », sur http://www.tramwaydumans.fr (consulté le )
  8. Blandine Daheron-Lagneau, « Le Mans Concertation autour du tramway », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  9. « LE MANS Le bilan de concertation du projet tramway approuvé », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  10. Claude Hubert, « Le Mans malgré un coût au kilomètre a priori moins avantageux Les élus confirment le choix du rail pour le tramway », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  11. « LE MANS Rééchelonnement », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  12. « LE MANS Le tramway attendu en 2007 », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  13. François Perrier, « Pour son tramway, Le Mans métropole choisit Alstom », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  14. a et b « ARRET SUR IMAGE Le Mans : dévoiement de réseaux pour le tram », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  15. « Le Mans Le tramway d’Alstom aux couleurs de la ville », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  16. « Le Mans Première inauguration liée au tramway », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  17. « Quatre-vingt roues pour glisser le tunnel », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  18. a b c d et e « Le tramway du Mans, d'hier à demain... », sur https://www.ouest-france.fr, (consulté le )
  19. « Déposé le projet de deuxième ligne de tramway au Mans », sur https://www.lemoniteur.fr/, (consulté le )
  20. « Désignée », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  21. « La 2e ligne de tramway confiée à SCE, Obermeyer et AUP », sur https://www.lemoniteur.fr, (consulté le )
  22. a b c d et e « Le Citadis », sur https://web.archive.org (consulté le )
  23. « Le Mans lance son tramway », sur https://www.caissedesdepotsdesterritoires.fr, (consulté le )
  24. (en) « Le Mans light rail takes off », sur http://www.railwaygazette.com, (consulté le )
  25. lemans.maville.com
  26. Conseil de la communauté urbaine du 5 avril 2012.
  27. a et b « Les tramways du Mans », sur http://transporturbain.canalblog.com (consulté le )
  28. a et b « Tu sais qu'une rame de tram est nommée Carel Fouché », sur https://www.ouest-france.fr, (consulté le )
  29. « La rame du tram Saint-Georges-du-Bois a été baptisée », sur http://www.sgdb72.fr, (consulté le )
  30. « Le Mans : « Madame tramway » a désormais sa rame », sur https://lemans.maville.com, (consulté le )
  31. a b et c « Le centre de maintenance », sur http://www.tramwaydumans.fr (consulté le )
  32. « CDM du tramway - Le Mans », sur https://www.cenovia.fr (consulté le )
  33. Christine Cabiron, « Après le tram, Le Mans lance Tempo, un bus à haut niveau de service », sur mobilicites.com, (consulté le ).

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier
  • Dominique Amouroux, Alain Szczuczynski, Didier Bordes et Pierre Mesnage, Le Mans, le tramway, Le Mans, 24 Images, , 144 p. (ISBN B0050C33SY[à vérifier : ISBN invalide]).

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sources

modifier

Le Moniteur/ligne T :

Le Moniteur/ligne T2 :

SNO tramway :

Autres :