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Bertrand Dubedout

Naissance (66 ans)
Bayonne
Activité principale compositeur
Style
Musique contemporaine (instrumentale, mixte, électroacoustique)
Activités annexes Professeur de composition électroacoustique au Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse
Éditeurs Gérard Billaudot Editeur
Site internet http://www.bertranddubedout.fr/

Bertrand Dubedout est un compositeur français né le 8 mai 1958[Quand ?] à Bayonne.

Biographie

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Après sa scolarité et ses études initiales de musique (piano) dans sa ville natale, Bertrand Dubedout suit ses études musicales supérieures à l'université de Pau (Guy Maneveau, Marie-Françoise Lacaze), puis au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (classe de composition électroacoustique et recherche musicale – Pierre Schaeffer, Guy Reibel), où il obtient un Prix de composition en 1981, ainsi qu'à l'Université Paris-VIII et au Centre d'études polyphoniques de Paris[1].

Il enseigne la composition électroacoustique au Conservatoire à rayonnement régional de Toulouse[2], et donne des conférences et master-class en France et à l'étranger.

Fondateur de l'ensemble Pythagore[3], il est à partir de 1998, avec le compositeur Pierre Jodlowski, codirecteur artistique d'éOle[4] (studio de création et de production musicales en résidence à Odyssud-Blagnac) et du festival Novelum. En 2015 il fonde à Toulouse le Forum ByPass[5].

Il reçoit en 1997 le prix Claude Arrieu de la Sacem.

En 1999, il est compositeur résident à la Villa Kujoyama de Kyôto au Japon[6], lauréat du programme Villa Kujoyama de l'Afaa / Ministère des Affaires Étrangères (aujourd'hui Institut Français).

En 2014, il est en résidence à Montréal (Canada – Québec) : Université McGill, Conservatoire de Montréal, Université de Montréal.

En 2015, il est compositeur invité du SeaM (Studio für elektroakustische Musik) de la Hochschule für Musik Franz Liszt et de l'Université du Bauhaus à Weimar (Allemagne) pour la composition de Zazpiak A[7].

Ses œuvres sont régulièrement interprétées en France, en Europe, aux États-Unis, au Canada, en Argentine, ainsi qu'en Chine, en Corée, à Taiwan et au Japon.

Les œuvres instrumentales et vocales de Bertrand Dubedout sont publiées par Gérard Billaudot Éditeur à Paris[8].

Œuvres

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Bertrand Dubedout consacre ses compositions à la musique instrumentale et vocale, à la musique acousmatique, à la musique mixte et au multimédia.

Premiers opus (1981-1992)

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Premier opus acousmatique de Bertrand Dubedout, Aux Lampions voit le jour en 1981 suite à une commande de l'Ina-GRM. Il est suivi en 1982 par Inji, pour soprano et clavecin, sur un texte d'Henri Michaux (inédit). L'année suivante, le compositeur répond à une commande du Festival d'Occitanie de Montauban par la composition d'une nouvelle œuvre acousmatique, Nouveaux agrandissements.

En 1984, Cycles de transparence pour saxophone alto et bande magnétique (inédit), est une première œuvre destinée à la formation des jeunes instrumentistes. Le compositeur revient à l'acousmatique en 1985 avec Accords Anciens, commande de l'Ina-GRM.

En 1986, il reçoit une commande de l'Ensemble de Musique Nouvelle de Bordeaux. Ce sera Les Nombres, pour 7 instrumentistes. Cette œuvre est la première du compositeur publiée par Gérard Billaudot Éditeur, qui devient à partir de 1989 l'éditeur graphique de ses œuvres instrumentales, vocales et mixtes.

En 1987 débute une collaboration avec Guy Maneveau et l'Ensemble Musical Contemporain. Commande de l'État, Épisodes transparents pour chœur à 32 voix et bande magnétique est créée par cet ensemble à Toulouse en 1988 (inédit). Les matériaux électroniques de cette œuvre sont redéployés dans Territoires, musique acousmatique, commande de l'Ina-GRM, en 1989. Puis l'Ensemble Pythagore, fondé par le compositeur l'année précédente, donne en création Maestrazgo, pour 11 instrumentistes.

L'année 1990 est celle de la création de Entre les braises rouges, pour flûte, alto et harpe amplifiés. Cette œuvre est enregistrée pour le CD Feu dévorant (L'empreinte digitale). En 1991, Sapha pour chœur mixte et orchestre, donne lieu à une nouvelle collaboration avec le chef d'orchestre Guy Maneveau. L'œuvre est créée sous sa direction au Bach Fest de Braunschweig par l'Orchestre Perpignan-Languedoc-Roussillon et  l'Ensemble Musical Contemporain.

Grands cycles

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À partir de 1992, la production musicale de Bertrand Dubedout se structure en grands cycles thématiques.

Fractions du silence

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Le cycle Fractions du silence puise sa source dans la lecture de l'œuvre poétique d'André du Bouchet (1924- 2001). À cette occasion, le compositeur et le poète ont entretenu une correspondance régulière, rythmée par l'écoute et le commentaire des différents livres du cycle[9]. Le poète autorise également Bertrand Dubedout à choisir dans son recueil Dans la chaleur vacante (Mercure de France, 1961) les textes du Huitième livre du cycle, chantés par une voix de soprano. Ce cycle est également imprégné de l'intérêt du compositeur pour la musique traditionnelle du Japon (Gagaku, musique du Nô)[10].

Fractions du silence attend encore son achèvement avec le Septième livre, œuvre en projet pour ensemble orchestral.

  • Fractions du silence - Premier livre, pour quatuor de saxophones, commande du quatuor Disatéma, 1994.
  • Fractions du silence - Deuxième livre, pour flûte en sol, hautbois et violoncelle, commande de Radio-France, 1992.
  • Fractions du silence - Troisième livre, pour saxophone ténor, clarinette, violon et piano, commande de Radio-France, 2003.
  • Fractions du silence - Quatrième livre, musique acousmatique 8 pistes, commande du GMEM (CNCM Marseille), 2005.
  • Fractions du silence - Cinquième livre, pour flûte et piano, commande du festival Aujourd'hui Musiques de Perpignan, 1995.
  • Fractions du silence - Sixième livre, pour un percussionniste, commande de Jean Geoffroy, 1996.
  • Fractions du silence - Septième livre, pour ensemble orchestral. Œuvre en projet.
  • Fractions du silence - Huitième livre, pour soprano, harpe et deux percussionnistes. Commande de Radio-France, 1998. Sur des textes du recueil Dans la chaleur vacante d'André du Bouchet, (© Mercure de France, 1961)

C'est en 1999, au cours d'une résidence de plusieurs mois à la Villa Kujoyama à Kyôto[11] (Japon) que le compositeur, lauréat du programme Villa Kujoyama de l'Afaa / Ministère des Affaires Étrangères (aujourd'hui Institut Français), entreprend la composition de NARA – Une fresque électroacoustique inspirée du rituel Shuni-e, ou Omizutori du Temple Todai-ji de Nara. Cette vaste fresque en six parties, ou veilles, déploie sur une durée d'une heure et quarante cinq minutes des matériaux issus de phonographies réalisées au Japon à Nara, Kyôto, Tôkyo, Koyasan, Nagoya au cours de cette résidence, ainsi qu'au cours de deux autres séjours au Japon en 1999 et 2000[12]. Parmi les plus singulières phonographies sur lesquelles s'appuie cette œuvre, il faut signaler en particulier celles du rituel Omizutori du Temple Tôdai-ji de Nara, et celles du Tsukiji Fish Market à Tôkyô.

Achevée au studio éOle en 2001, cette œuvre a fait l'objet d'une commande de l'État, et d'une commande de l'Ina-GRM pour la 5ème partie, composée à Paris dans les studios du GRM[13]. La première audition a eu lieu le 1er décembre 2001 à Grenoble dans le cadre du festival 38èmes Rugissants[14]. Enfin, cette œuvre a donné lieu à deux éditions discographiques successives, la première sous le label L'empreinte digitale, la seconde sous le label éOle Records.

Les six "veilles" :

  1. Veille du crépuscule
  2. Veille des onze célébrants
  3. Veille de la pénitence à onze faces
  4. Veille de la prise de l'eau
  5. Veille des austérités ardentes
  6. Veille de l'aube

VOI(yages)X

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Le cycle VOI(yages)X est consacré à la voix chantée et à l'exploration d'autres langues, proches ou lointaines. Il comprend à ce jour deux œuvres :

  • Ça va commencer ça commence, pour mezzo-soprano et saxophone soprano (commande Henri Selmer – Paris).

L’œuvre est composée en 2004 sur un texte bilingue (japonais/français) issu du recueil À partir du sable de Mikirô Sasaki (© Éditions Belin, 2002), pour le saxophoniste Claude Delangle et la mezzo-soprano Marie Kobayashi.

  • Lo Libre dels Rituals / Le Livre des Rituels, pour mezzo-soprano, flûtes, trio à cordes et électronique 4 pistes (sons fixés).

Commandée par le Cirm (CNCM Nice) avec le soutien de l'État et du Festival Déodat de Séverac. Le livret, signé Alem Surre-Garcia, est écrit à partir de textes en occitan, français, arabe et espagnol d' Alem Surre-Garcia, Joë Bousquet, Jaufre Rudel, Ibn Zaidun, Federico Garcia Lorca[15].

L’œuvre se compose de 4 mouvements :

  1. Ritual del Foc / Rituel du feu
  2. Ritual dels Cendres / Rituel des cendres
  3. Rituel de la Colomba / Rituel de la colombe
  4. Ritual de l'Èrm / Rituel du désert.

Endless Eleven

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Action musicale, scénique et vidéographique pour un percussionniste et un environnement électronique interactif.

En 2010 et 2011, Bertand Dubedout, répondant à une suggestion du percussionniste Jean Geoffroy et à une commande du Grame (CNCM Lyon), réunit une équipe artistique composée de Christophe Bergon, metteur en scène et scénographe, Christophe Lebreton, développeur informatique, et Frédéric Fachena, metteur en scène, pour la réalisation d'un spectacle multimédia. Onze séquences musicales intégrant la vidéo, le texte, le jeu scénique, l'électronique, l'interaction en temps réel et la lumière se succèdent pour créer un portrait imaginaire et très improbable d'Emmanuel Kant, à mesure que se déploie une enquête autour du chiffre onze[16]. Le tournage des séquences vidéo, le développement des dispositifs temps réel et l'élaboration de la scénographie ont nécessité plusieurs résidences au théâtre Garonne à Toulouse, au Collectif 12 et à l'École Nationale de Musique de Mantes-La-Jolie, ainsi qu'au Grame et à l'Ensatt à Lyon, où l’œuvre est créée en mars 2012, lors de la biennale Musiques en Scènes[17].

L’œuvre comporte onze tableaux :

  1. Rideau / Curtain … où le rideau se lèvera enfin sur les mystères de l'espace et du temps.
  2. Solfège … où l'on vénèrera les vertus de l'apprentissage.
  3. Squash … où, tout en perdant du poids, l'on éprouvera les actions réciproques de la matière.
  4. Yes we Kant … où l'on fera mémoire d'un grand philosophe et d'un Lied d'Hugo Wolf.
  5. Onze / Eleven … où l'on entendra battre le cœur du chiffre onze
  6. Gagaku … où l'extrême-occident avouera ses limites.
  7. Gefühl … où l'on tentera de rassembler les critères de la proprioception
  8. Koltrane … où onze cellules d'un fameux “Countdown” tisseront la trame d'une quête identitaire.
  9. Criticisme / Criticism … où les pays non-alignés connaîtront enfin leur hymne.
  10. Der blaue Reiter … où Kandinsky regrettera de ne pas avoir appris l'équitation.
  11. Avalokiteshvara … où la divinité de la compassion confiera toute sa gratitude à Bouddha pour avoir multiplié ses têtes sans disperser son esprit.

Issues de ce spectacle, quatre œuvres pour un percussionniste et électronique 4 pistes (sons fixés) sont assemblées au sein du recueil PercuKant :

  • Solfège, pour 4 octobans (Boo-Bams)
  • Gefühl, pour tambour sur cadre
  • Criticisme, pour deux gongs ascendants et tam-tam medium
  • Der blaue Reiter, pour tambourin

De la même façon, trois autres œuvres issues de ce spectacle font l'objet d'une édition séparée, et peuvent être interprétées isolément :

  • Onze/Eleven, pour deux mokushos ou polyblocks.

Dédicacée à la percussionniste japonaise Asami Kaminaka, cette pièce au dispositif très simple constitue pour le compositeur sa restitution la plus profonde et authentique à la musique traditionnelle du Japon.

  • Yes we Kant, pour marimba (et voix : celle du - ou de la - percussionniste)
  • Koltrane, pour marimba et vidéo (œuvre inédite).

Cycle indien (2009-2013)

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Les années 2009 à 2013 voient naître trois œuvres d'un cycle inspiré par l'Inde et l'hindouïsme, consécutif à un séjour du compositeur à Bénarès et au Rajasthan(Jaisalmer et Jaipur) en 2008. Contrairement à Nara, ce cycle ne se cantonne pas au seul domaine acousmatique, bien qu'il y ait été fait usage de nombreuses phonographies. Ces dernières sont utilisées soit comme des matériaux sonores au sens strict, soit comme des sources d'inspiration pour la composition instrumentale.

  • Vrishti, pour piano. Commande d'Ars Mobilis pour un récital de Finghin Collins au festival Solistes aux Serres d'Auteuil, 2009.
  • Svapna, pour saxophone alto et marimba. Commande du duo Pulsaxion : Radek Knop et Philippe Spiesser, 2009.
  • Les Cheveux de Shiva, pour flûte, saxophone, piano, percussion et électronique 4 pistes (sons fixés). Commande de l'État pour l'ensemble Proxima Centauri, 2013.
  1. Gangâ
  2. Pûjâ
  3. Japa
  4. Mandala
  5. Vâhana
  6. Mantra

Zazpiak

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À partir de 2012, Bertrand Dubedout met en chantier le cycle Zazpiak (“sept” en basque), fondé sur les typologies de jeu de la tradition immémoriale de Txalaparta au Pays Basque. Ce cycle comprend en 2015 une œuvre soliste : Zazpiak B, pour marimba (commande du chœur Britten / Nicole Corti pour Jean Geoffroy, 2012), une œuvre d'ensemble : Zazpiak Z, pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano (commande éOle / Ensemble Court-circuit, 2014), et une œuvre acousmatique : Zazpiak A,  commande de l'État et de l'Ina-GRM.

Enseignement

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Bertrand Dubedout est professeur de composition électroacoustique au Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse[18]. Son enseignement propose un cursus complet de formation aux techniques compositionnelles de réalisation en studio. De nombreux étudiants issus de cette classe poursuivent leur formation dans les Conservatoires et Pôles Supérieurs de Paris, Lyon, ou Strasbourg, ainsi que dans des institutions internationales (Ircam, McGill, UdeM, Berkeley, etc.).

Parmi les anciens élèves de cette classe, on peut citer : Pascal Gaigne, Jean-Louis Hargous, Bruno Capelle, Benjamin de la Fuente, Christophe Ruetsch, Vincent-Raphaël Carinola, Michaël Gavazzi, Julien Copeaux (2003), Olivier Ménini, Guillaume Hermen, Leilei Tian, Mazen Hussein, Muriel Adamo, Gaël Tissot, Hamid Baradaran-Khosrowshahi, Emmanuel Ménis, Sucen Liu, Maylis Raynal, Marin Bonazzi, Adrien Trybucki, Raphaël-Tristan Jouaville, Maider Martineau, Jean-David Merhi, Lucie Bortot.

Bertrand Dubedout est par ailleurs amené à donner des conférences et master-class dans des institutions internationales telles que l'Académie Sibelius à Helsinki (Finlande), le Conservatoire Supérieur de Musique de Vitoria-Gasteiz (Espagne – Euzkadi), l'Université des Arts de Kyôto (Japon), l'Université Aichi des beaux-arts de Nagoya (Japon), le Centre Culturel de Belem (Lisbonne, Portugal), la Hochschule für Musik et l'Université du Bauhaus de Weimar (Allemagne), l'Université McGill (Montréal, Canada, Québec), l'Udem – Université de Montréal (Canada – Québec), et dans de nombreuses institutions françaises.

Direction artistique

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Bertrand Dubedout a également développé une importante activité de direction artistique. Il fonde en 1988 à Toulouse l'ensemble Pythagore, dont il assure également la direction musicale[19]. Avec cet ensemble il programme et interprète les œuvres de plus de 150 compositeurs, jouées en concerts et tournées, en France, en Europe et au Japon. Cet ensemble participe à plusieurs enregistrements discographiques pour les labels MFA- Radio France, L'empreinte digitale[20], éOle Records[21].

En 1998, Bertrand Dubedout participe avec le compositeur Pierre Jodlowski à la création du festival Novelum à Toulouse. Ce festival, bientôt reconnu comme l'un des principaux festivals de musique d'aujourd'hui en Europe, connaîtra 17 éditions successives[22]. C'est également avec Pierre Jodlowski qu'est créée éOle, structure de création et de production musicales accueillie en résidence à Odyssud Blagnac, dont les deux compositeurs assurent toujours aujourd'hui la direction artistique. Outre les créations, les concerts, les festivals, ainsi qu'un nouveau Forum : ByPass, lancé en 2015 par Bertrand Dubedout[23], éOle développe également son propre label discographique : éOle Records, riche aujourd'hui de plus de 15 CDs et DVDs, qui ont obtenu de prestigieuses récompenses dans la presse et les institutions professionnelles[24].

CDs / DVDs

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- Aux Lampions, musique acousmatique - CD Metamkine « Cinéma pour l’oreille » MKCD 012.

- Entre les braises rouges, flûte, alto et harpe, Ensemble Pythagore – CD « Feu dévorant  » – L’empreinte digitale ED 13019 (Avec œuvres de S. Bortoli, B. Giner, Ph. Leroux).

- Fractions du silence - Premier livre, quatuor de saxophones - Les Nombres, sept instruments, Ensemble Pythagore - CD « 70  » – L’empreinte digitale ED 13070 (Avec œuvres de P. Gaigne).

- Fractions du silence - Deuxième livre, flûte en sol, hautbois et violoncelle , Ensemble Pythagore – CD « Répertoires polychromes 2  » – MFA / Radio-France MFA 216030 (Avec œuvres de D. Cohen, M. Pascal, G. Kurtag, D. Levaillant, K. Saariaho).

- Fractions du silence - Cinquième livre , flûte et piano, Annie Ploquin et François-Michel Rignol – CD “L’Air du large” MOTUS 9803-09-M04C11 (Avec œuvres de D. Dufour, B. Giner, Ph. Leroux, D. Tosi)

- Fractions du silence - Sixième livre, un percussioniste, Jean Geoffroy – CD « Monodrame » – Skarbo DSK 1063 (Avec œuvres de JL. Campana, B. Giner, Ph. Hurel, Y. Taïra, I. Urrutia)

- Ça va commencer ça commence, mezzo soprano et saxophone soprano, Marie Kobayashi, Claude Delangle (et Jean Geoffroy) CD « Japanese Love Songs » – BIS CD 1630 (Avec œuvres de M. Natsuda, T. Hosokawa, A. Ifukube, F. Tanada, R. Noda, I. Nodaira, H. Larbi, S. Tôson)

- Fractions du silence - Troisième livre, violon, clarinette, saxophone ténor, piano - FRACTIONS DU SILENCE – QUATRIÈME LIVRE, musique acousmatique - CD « Fractions du silence » – éOle Records éOr 003

- Endless Eleven, une action musicale, scénique et vidéographie pour un percussionniste et un environnement électronique interactif - DVD de promotion disponible auprès d'éOle

- Nara, une fresque électroacoustique inspirée du rituel bouddhiste Shuni-e ou Omizutori du temple Tôdai-ji de Nara (Japon) - Double CD « NARA » – éOle Records éOr_008

- Zazpiak B, marimba solo - Zazpiak Z, flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano - CD « De Front » – éOle Records éOr 011. Avec aussi : Philippe Hurel : Cantus – Pierre Jodlowski : De Front.

Références

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  1. « Bertrand Dubedout », sur brahms.ircam.fr (consulté le )
  2. http://conservatoirerayonnementregional.toulouse.fr/index.php?post/Composition-Electro-Acoustique
  3. « Ensemble Pythagore (1987) - Organisation - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le )
  4. http://www.studio-eole.com
  5. eoletravail, « Forum Bypass », sur www.studio-eole.com (consulté le )
  6. « Villa Kujoyama | Bertrand Dubedout », sur www.villakujoyama.jp (consulté le )
  7. eoletravail, « Zazpiak A », sur www.studio-eole.com (consulté le )
  8. « Gérard Billaudot Éditeur | Bertrand Dubedout », sur billaudot.com (consulté le )
  9. « Présence d'André du Bouchet (2011) », sur www.ccic-cerisy.asso.fr (consulté le )
  10. « Arts sonores - Bertrand DUBEDOUT, Fractions du silence - quatrième livre - Ina.fr », sur Arts sonores (consulté le )
  11. http://www.villakujoyama.jp/resident/bertrand-dubedout/
  12. eoletravail, « Bertrand Dubedout », sur www.studio-eole.com (consulté le )
  13. « Musique acousmatique / Acousmatic music | Bertrand Dubedout Compositeur / Composer », sur www.bertranddubedout.fr (consulté le )
  14. eoletravail, « Bertrand Dubedout », sur www.studio-eole.com (consulté le )
  15. « Lo libre dels rituals / Le livre des rituels - DUBEDOUT Bertrand », sur www.cirm-manca.org (consulté le )
  16. eoletravail, « Endless Eleven », sur www.studio-eole.com (consulté le )
  17. Michèle Tosi, « Endless eleven de Bertrand Dubedout en création mondiale à la Biennale Musiques en Scène « La Scène « ResMusica » (consulté le )
  18. http://conservatoirerayonnementregional.toulouse.fr/index.php?post/Composition-Electro-Acoustique
  19. « DUBEDOUT Bertrand (1958) », sur Centre de documentation de la musique contemporaine (consulté le )
  20. « Trois instruments / Three instruments | Bertrand Dubedout Compositeur / Composer », sur www.bertranddubedout.fr (consulté le )
  21. « CDs – DVDs | Bertrand Dubedout Compositeur / Composer », sur www.bertranddubedout.fr (consulté le )
  22. « Clap de fin ce week-end pour l'aventure de Novelum », sur ladepeche.fr (consulté le )
  23. eoletravail, « Forum Bypass », sur www.studio-eole.com (consulté le )
  24. « éOle Records - éole : collectif de musique active », sur www.studio-eole.com (consulté le )

Liens externes

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