Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon/Notes/Suite (I)

Charlotte Salomon modifier

« J’appris à suivre tous les chemins et j’en devins un moi‑même. »


Louise Bourgeois modifier

« toutes ces idées qui viennent, il faut les attraper comme des mouches quand elles passent. »

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Louise Bourgeois.



Remarque : 22/10. Vu le dossier pédagogique https://awarewomenartists.com/wp-content/uploads/2021/05/dpgo-aware-louise-bourgeois.pdf, remontage de fil, cf. #Automne 2022.

Alice Neel modifier

«  »

  • Jeremy Lewison (dir.), Alice Neel : peintre de la vie moderne (exposition, itinérante, 2016-2018), Fonds Mercator, (ISBN 978-94-6230-137-5). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Angela Lampe (dir.), Alice Neel : un regard engagé, Centre Pompidou, (ISBN 978-2-84426-877-8). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Niki de Saint Phalle modifier

«  »

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Niki de Saint Phalle.




Notes :

+ (Nouveaux réalistes)

  • Gérard Durozoi, Dada et les arts rebelles, Hazan, coll. « Guide des arts », (ISBN 2-7541-0044-X). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Catherine Francblin, Les nouveaux réalistes, du Regard, (ISBN 2-8410-5037-8, lire en ligne)
  • Cécile Debray (dir.), Le Nouveau réalisme (exposition, Galeries nationales du Grand Palais, Paris, 28 mars 2007-2 juillet 2007, Sprengel Museum Hannover, 9 septembre 2007-27 janvier 2008), Réunion des musées nationaux/Centre Pompidou/Sprengel Museum, (ISBN 978-2-7118-5248-2)

Frida Kahlo modifier

«  »

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Frida Kahlo.



« Il est impossible de séparer la vie et l’œuvre de cette singulière personne. Ses peintures constituent sa biographie. »

— José Moreno Villa, « La Realidad y el Deseo en Frida Kahlo »[n 4]

Jacqueline Lamba modifier

Ceija Stojka modifier

«  »

(fr + en + de) Ceija Stojka : une artiste rom dans le siècle = a Roma artist in the century (catalogue d'exposition, Paris, La Maison rouge), Fage, (ISBN 978-2-84975-496-2). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article, dossier de presse de l’expo à Marseille en 2017 [lire en ligne], (Prendre le temps).



Susan Sontag modifier

« until I’d gone far enough so that the argument sketched in the first essay, documented and digressed from in the succeeding essays, could be recapitulated and extended in a more theoretical way; and could stop. »

— On Photography (en)[1]

« Écrire sur la photographie, c’est écrire sur le monde. »

— Sur la photographie[2]

Alix Cléo Roubaud modifier

« Une image incomplète doit montrer qu’elle est incomplète. »


Alejandra Pizarnik modifier

« Une poésie qui dise l’indicible – un silence. Une page blanche. »



  • Mariana Di Ció, Une calligraphie des ombres : les manuscrits d'Alejandra Pizarnik, Presses universitaires de Vincennes, (ISBN 9782842924027, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    Thomas Barège, « Mariana Di Ció, Une calligraphie des ombres. Les manuscrits d’Alejandra Pizarnik, Saint-Denis, Presses universitaires de Vincennes, coll. « Manuscrits modernes », 2014, 364 p. », Genesis. Manuscrits – Recherche – Invention, no 39,‎ (DOI 10.4000/genesis.1116)


Silvina Ocampo modifier

«  »



Elsa Triolet modifier

«  »



Suzanne Césaire modifier

«  »



  • (en) Kara M. Rabbitt, « Suzanne Césaire’s surrealism: Tightrope of hope », dans Surrealist women’s writing, Manchester University Press, (ISBN 978-1-5261-3203-1, DOI 10.7765/9781526132031.00011, lire en ligne)
  • Anny-Dominique Curtius, Suzanne Césaire : archéologie littéraire et artistique d'une mémoire empêchée, (ISBN 978-2-8111-2794-7, lire en ligne)
  • Vanessa Lee, « (In)soumise à la censure : l’activisme littéraire et politique de Suzanne Roussi-Césaire », Transtext(e)s Transcultures 跨文本跨文化. Journal of Global Cultural Studies, no 15,‎ (DOI 10.4000/transtexts.1518, lire en ligne, consulté le )
  • Anny Dominique Curtius, « Suzanne Césaire et la Tropiques -poétique du morne : de Tropiques aux patrimoines immatériels des nœuds de mémoire », Revue de littérature comparée, vol. 364, no 4,‎ (DOI 10.3917/rlc.364.0404)
  • Gabrielle Saïd, « Suzanne Césaire, la poésie en partage », sur DIACRITIK, (consulté le )
  • Anny Dominique Curtius, « Tropiques : Le dialogue créole écopoétique d’Aimé et Suzanne Césaire: », Présence Africaine, vol. N° 189, no 1,‎ , p. 141–151 (DOI 10.3917/presa.189.0141)
  • (en) Kara M. Rabbitt, « The Geography of Identity in Suzanne Césaire's "Le grand camouflage" », Research in African Literatures, vol. 39, no 3,‎ , p. 121–131 (ISSN 0034-5210, lire en ligne)

Notes :

  • Tiens, sur la route d’une ébauche Quote, une citation en lien avec LdV p. 51-52 (note: « l’œuvre cachée dans les taches », aussi en introduction p. 19 [+ « Elle célébrait l’art de détourner tout système pour atteindre « l’œuvre cachée […] »]), et hop, p’tite habitude wikiquotienne, résultat : Dominique Diard, « Tropiques (1941-1945) : dissidences en résonances », Revue de littérature comparée, vol. 364, no 4,‎ (ISSN 0035-1466 et 1965-0264, DOI 10.3917/rlc.364.0390)
    • (note: précise que la « leçon » est reproduite dans le 3, 1941 – du coup, même démarche #Max Ernst ( À faire), cf +bas et pdd [  Vu, pas le même extrait, version Traité Péladan, là aussi, à priori])
    • Cependant, la source citée là c’est Tropiques : 1941-1945 : collection complète, (ISBN 2-85893-205-0). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Pour Tropiques (revue) :

Valentine Hugo modifier

«  »

  • [Hugo 2002] Valentine Hugo (textes et documents réunis par Béatrice Seguin), Écrits et entretiens radiophoniques, Actes Sud, (ISBN 2-7427-3979-3). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article




Valentine Hugo#Œuvres

Notes :



Valentine Penrose modifier

«  »

  • Valentine Penrose, Écrits d'une femme surréaliste, J. Losfeld, (ISBN 2-84412-091-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article


Notes :

Leonora Carrington modifier

«  »




  • Renee Riese Hubert, « Leonora Carrington and Max Ernst: Artistic Partnership and Feminist Liberation », New Literary History, vol. 22, no 3,‎ (DOI 10.2307/469210)


Notes :




Dorothea Tanning modifier

«  »

(Writings by, Poetry) :

  • BirthdayDorothea Tanning, Birthday, Christian Bourgois Editeur, (ISBN 2-267-00652-9)
  • Dorothea Tanning, Between lives : an artist and her world, (lire en ligne)
    • (Spies 2007, p. 181, 182 [65-67], 186, 198, 240, ed. anglaise (2006) disponible sur Internet Archive)
    • « [… 63] later, a few snowflakes, for the season was Christmas, 1942, and Max was my Christmas present. [… 64] There is something voluptuous, close to the bone, about chess [Il y a dans les échecs quelque chose de voluptueux, d’intime]. "Your game is promising. I could come back tomorrow, give you some pointers..." So the next day and the next saw us playing frantic chess ["Votre jeu est plein de promesses. Je pourrais revenir demain et vous apprendre quelques trucs…" C’est ainsi que le lendemain et le surlendemain, nous jouons comme deux forcenés [p. 182]]. [ /…/ 208] For me, an artist living in the shadow of a greatman […] »

      Dorothea Tanning, La vie partagée, C. Bourgois, (ISBN 2-267-01645-1)
      « Conversation : Dorothea Tanning, le surréalisme au cœur », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • (en) Dorothea Tanning, Chasm : a weekend, Virago, (lire en ligne)
  • (en) Dorothea Tanning, A table of content : poems, Graywolf Press, (lire en ligne)
  • (en) Dorothea Tanning, Coming to that : poems, Graywolf Press, (lire en ligne)

(Bibliography) :

  • [Paris 1974] Dorothea Tanning (exposition, Paris, Centre national d'art contemporain), Centre national d'art contemporain, (SUDOC 016692527)
  • [XXe 1977] Dorothea Tanning: essais, lettres, poèmes et témoignages, XXe Siècle, (ISBN 2-85175-055-0, lire en ligne)
    • Dorothea Tanning, « Dorothea, ses jeux, son enfer... », p. 5-15
    • Alain Jouffroy, « L’attentat de Dorothea Tanning », p. 16-26
    • Jean-Christophe Bailly, « La peinture et l’insomnie », p. 28-30
    • #André Masson, « L’expérience de Dorothea Tanning », p. 32-33
    • #André Breton, « Une si grande part du monde », p. 36
    • Patrick Waldberg, « La belle dormeuse aux abois », p. 38-44
      • « On ne dira jamais assez combien cet autoportrait splendidement hagard, mystérieux et insidieusement fascinant […] combien cette image irruptive et agissante a su imprimer sa marque sur les esprits et les cœurs, au point qu’elle a pu devenir une sorte de signal. […] Birthday appartient à cet ordre exceptionnel, une peinture qui vous entraîne un instant au-delà de toutes les peintures. »
  • Biro et Passeron 1982, p. 398 (« Plus tard, elle comprendra que son existence en tant que peintre devait inévitablement souffrir de par sa qualité d’épouse de Max Ernst. Mais l’amour submerge tout. » (Paris 1974))
  • [Waddell et Ruby 1992] (en) Roberta Waddell et Louisa Wood Ruby, Dorothea Tanning : hail, delirium! : a catalogue raisonné of the artist's illustrated books and prints, 1942-1991, New York Public Library, (ISBN 0-87104-430-7, lire en ligne)
  • .
  • [Sundberg 2010] (en) Martin Sundberg, « The Metamorphosis of Dorothea Tanning: On the Painting Insomnias: Between Facets and Details », Konsthistorisk Tidskrift/Journal of Art History, vol. 79, no 1,‎ (DOI 10.1080/00233600903494561)
  • [Carruthers 2011] (en) Victoria Carruthers, « Dorothea Tanning and Her Gothic Imagination », Journal of Surrealism and the Americas,‎ (lire en ligne)
  • [Carruthers 2020] (en) Victoria Carruthers, Dorothea Tanning: transformations, Lund Humphries, (ISBN 978-1-84822-174-1)



« [elle] faisait naître de son inconscient un univers entier, minutieusement peint, aussi authentique que Dalí devait l’espérer quand il a demandé à faire photographier en couleur l’intérieur de son cerveau. […] Comme nul ne l’ignore à présent, de toutes les femmes que Max a connues ou épousées, Dorothea était celle qu’il allait garder. »

— Julien Levy, Memoir of an Art Gallery[3]


Images externes
Max Ernt et Dorothea Tanning, sculpture Capricorne, Sedona, photographie John Kasnetsis[n 6].
Max Ernst et Dorothea Tanning jouant aux échecs, Sedona, photographie Bob Towers[n 7].
Portrait de Dorothea Tanning, 1960 (Spies 2007, p. 264).


« le domaine du merveilleux est son pays natal […]. La précision est son mystère. »

— Max Ernst, 1944


Œuvres :
(life and work)

  • Chambre 202, Hôtel du Pavot, 1970 (Inv. AM 1977-204[12])

Notes :

  • Agret et Païni 2023, p. 54–55, 73, 74, 100
  • Metz 2018, p. 210, 211
  • Paris 2009, p. 167
    • « Questions pour Dorothea Tanning, entretien avec Alain Jouffroy, mars 1974 », (Paris 1974) / cita x4
      • p. 48
      • p. 49 « (J'avais remarqué avec une certaine consternation que la place de la femme, chez les Surréalistes, n'était pas différente de celle qu'elle occupe chez la population en général, y compris la bourgeoisie) » [24.10.23 ~ Vu48-49  Lu visuel de la page sur le web. C’est en fait extrait d’une (longue) réponse à une question sur son absence dans l’ouvrage de #André Breton (Le Surréalisme et la Peinture)… / « Très probablement, dans l'esprit de Breton, je dépendais de Max, de tous les points de vue. ([extrait]). Aussi - avais-je tort ? - je ne le sollicitai pas, je ne désirais pas qu'il écrive sur moi. »]
      • p. 52
      • p. 56
  • Caws 2006


LE :

Lee Miller modifier

«  »



À voir modifier

    1. Heidi Bucher (en) (et voilà, encore wp:en et son fair-use : en:File:Photo of Heidi Bucher.jpg (Smiley: triste))[n 8]
    2. Christine Macel
      • Christine Macel, Le Temps pris : le temps de l’œuvre, le temps à l’œuvre, Flammarion, (1re éd. 2008) (ISBN 978-2-08-150806-4, lire en ligne) :

        « Souvent le critique écrit sur ce qu’il n’a pas vu et son travail devient un discours spéculatif vide comme une coquille de noix. Les artistes se moquent souvent du critique qui écrit au sujet d’images reproduites dans des catalogues ou trouvées grâce à Google. »

Notes et références modifier

  1. « abandonner chaque jour son passé »

    ->suite d’abord sur quote, ajouter précisions petit à petit.

  2. Lecture commencée le 25.10.22 (+écouter le CD). Laissé un mot en pdd y’a peu (Discussion:Louise Bourgeois (plasticienne)#Biblio, Réf, citation, #SheSaid). (En empruntant cet ouvrage, suis tombé sur les deux volumes de L’Art au feminim de Marie Bagi, rangés sur une étagère à qlq mètres. Ouvrages déjà partiellement feuilletés via Google ces derniers temps en cherchant à estimer le côté « médiatique », sur le web, de certaines citations.)

    « J’accepte le dilemme, je ne le discute pas. »

  3. Tests : 1/4, 2/4, 3/4, 4/4 <-[Archive] (en) Émoticône [lire en ligne] et Wayback Machine ? [lire en ligne].
  4. Herrera 2013, p. 480 ( Novedades : México en la Cultura (es), 26 avril 1953 [lire en ligne])
  5. d’abord signalé en pdd puis en sous-page dédiée, et le 26.05 Wikipédia:Demande de purge d'historique#Suzanne_Césaire_(d_·_h_·_j_·_↵). Notes : vu projet universitaire. Maintenant, faut reconstruire
  6. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Media1
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Media2
  1. Préface, 1977
  2. Préface édition française, 1982
  3. Spies 2007, p. 181.
  4. Caws 2006, p. 188.
  5. Durozoi 1997, p. 382.
  6. Allmer 2009, « Safe as Houses: Anamorphic Bodies in Ordinary Spaces: Miller, Varo, Tanning, Woodman », p. 50-51, ill. p. 198.
  7. a et b Caws 2006, p. 189.
  8. (en) Larry List, The imagery of chess, revisited (exposition, musée Noguchi), (ISBN 0-9709310-3-4, lire en ligne), p. 97-99
  9. XXe 1977, p. 95, avec un « poème pour d. » de Max Ernst en regard (Maternité).
  10. MoMA 2019, p. 157 ((en) [lire en ligne]), Durozoi 1997, p. 383
  11. (en) « Insomnias », sur sis.modernamuseet.se;
  12. Angela Lampe dans Brigitte Leal (dir.), Collection art moderne : La collection du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Éditions du Centre Pompidou, , 2e éd. (ISBN 978-2-84426-368-1, lire en ligne), p. 590Voir et modifier les données sur Wikidata