Agnès de La Beaumelle (dir.), Collection art graphique : La collection du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne-Centre de création industrielle, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-371-1)..
[Michaud 2012] Philippe-Alain Michaud (dir.), Collection films: la collection du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-579-1).
[Metz 2018] Couples modernes : 1900-1950 (exposition, Metz, Centre Pompidou-Metz, Galeries 2 et 3, 28 avril-20 août 2018 ; Londres, Barbican Centre, 10 octobre 2018-27 janvier 2019), Gallimard/Centre Pompidou-Metz, (ISBN978-2-07-277162-0).
Uta Grosenick, Women artists : femmes artistes du XXe et du XXIe siècle, Taschen, (ISBN3-8228-5967-2).
Elles@centrepompidou : artistes femmes dans la collection du Musée national d'art moderne, Centre de création industrielle, Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-384-1).
Julie Verlaine, Femmes collectionneuses d'art et mécènes de 1880 à nos jours, Hazan, (ISBN978-2-7541-0612-2).
Camille Morineau, L'autre continent : artistes, femmes, africaines (catalogue d’exposition, Le Havre, 15 septembre-31 décembre 2016), MkF éditions, (ISBN979-10-92305-35-7)
Camille Morineau (dir.) et Lucia Pesapane (dir.) (préf. Aurélien Rousseau, Susan Fisher Sterling(en)), Women House (catalogue d’exposition, Paris, Monnaie de Paris, 20 octobre 2017-28 janvier 2018 ; Washington, National Museum of Women in the Arts, 9 mars-8 mai 2018), Monnaie de Paris, Manuella, (ISBN978-2-917217-92-4)
Christine Macel et Karolina Ziebinska-Lewandowska, Elles font l'abstraction (catalogue d’expositions, Paris, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, 5 mai-23 août 2021, Bilbao, Musée Guggenheim, 22 octobre 2021-27 février 2022), Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-894-5).
Connaissance des arts, février 2022, 811, « 2022 voit l'art au féminin
« Je me dispute avec l’art surréaliste et abstrait comme on se dispute avec son père et sa mère, en reconnaissant le caractère inévitable et la fonction de mes racines, mais en insistant sur ma dissension : moi étant à la fois eux et un entier complètement indépendant d’eux »
Après qlq notes /Klee# (qui est l’objectif principal (), donc // Bio), et autres brouillons wp, créations/contributions quote, Focus… fin avril 2023 : Portail et Projet (Portail:Dada et Surréalisme) à voir (DdA énigmatique…)
Petite bifurcation : ces sous-pages citation portail wp me font repenser à cette éventuelle page quote style d’ « où vient cette citation » (titre proposé par Eunostos, cf. échange q:Discussion:Matsuo Bashō); bon, {{citation au hasard}} et autres, lien quote, icône, visibilité, Wikimag bla-bla-bla
(D’ailleurs, sur q, en réponse à la question d’Eunostos sur les « potentiellement », en dehors de l’état actuel, il me semble utile du coup de proposer d’établir chacun une liste d’articles « à fort potentiel » (note : une petite erreur d’attribution (me semble avoir trouvé l’origine sur le web) sur l’ébauche q:Jacques Hadamard (Henri Poincaré !), d’ailleurs ->Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon#Hadamard1975))
Du coup, pour wp, bien déterminer la place où ces info doivent figurer (articles, sections, simplement en notes, …). Pour accès à certaines ressources, demander en pdd projet si besoin.
Continuer travaux sur Klee et les surréalistes, notamment en partant de Marie Gispert, « Paul Klee, l'art allemand et la France durant l'Entre-deux-guerres », dans Polyphone Resonanzen. Paul Klee und Frankreich, Paul Klee et la France, (ISBN978-3-422-06941-1, lire en ligne) (revoir attentivement notes, //#Max Ernst, Bauhaus & co. (p. 125 : « Isabelle Ewig mettait déjà le doigt sur une question essentielle lorsqu’elle se demandait « si la réception de Klee par les surréalistes […] », Isabelle Ewig, « Paul Klee. De la maison de la construction au musée du rêve » dans Le Bauhaus et la France (User:Malik2Mars/Brouillon/Bauhaus#Passages4))), et voir Michael Baumgartner (dir.) et Nina ZimmerNina Zimmer (dir.), Klee et les surréalistes (catalogue d’exposition), Hatje Cantz, (ISBN978-3-7757-4155-2)
Approfondir aussi les études sur les femmes (voir notamment : Agret et Païni 2023, etc.), proposer un travail commun axé sur le sujet (rappel : échec, gros flop…, de la même proposition pour le Bauhaus… y’a qlq temps), à refaire en page wcc. Note : #Notes, suite / #Femmes surréalistes.
Poursuivre travaux biblio si feu vert confirmé (reçu 5/5….) ~ OK~ À faire
la première pierre de l’édifice, joliment posée par Feanor637[n 3]
Lecture de cette page qui me conduit forcément à revenir sur mes pas… (et je pense toujours important de m’investir sur les travaux annexes, ne pas négliger la cohérence interne des info disons…)
(Breton 2008, p. 426) « Genèse et perspective du surréalisme » : « Au début 1925 […] on discute encore de la possibilité pour la peinture de satisfaire aux exigences surréalistes. [Alors que certains nient qu’une peinture surréaliste puisse être, d’autres inclinent à penser qu’elle se trouve en puissance dans certaines œuvres récentes ou même qu’elle existe déjà]. Indépendamment de ce que l’on peut devoir, à ce moment là, dans la direction du rêve à Chirico, dans celle de l’acceptation du hasard à Duchamp, à Arp et au May Ray des rayogrammes photographiques, dans celle de l’automatisme (partiel) à Klee, il est aisé de reconnaître à distance qu’elle est alors en plein essor dans l’œuvre de Max Ernst. » (Spies 2002, La légitimation de l’art surréaliste, p. 19)
Gateau 1982, p. 111 sqq, souligne ce contexte : « Lorsque Capitale de la douleur sort des presses, le 8 septembre 1926, on peut dire qu'il existe une peinture surréaliste. […] »
Martine Antle, « Mise au point sur les femmes surréalistes: le clin d'œil de Leonora Carrington », Romance Notes, vol. 34, no 2, , p. 119–133 (ISSN0035-7995, lire en ligne, consulté le )
Don LaCoss, « Egyptian Surrealism and "Degenerate Art" in 1939 », The Arab Studies Journal, vol. 18, no 1, , p. 78–117 (ISSN1083-4753, JSTOR27934079, lire en ligne, consulté le )
Patrick Kane, « Art Education and the Emergence of Radical Art Movements in Egypt: The Surrealists and the Contemporary Arts Group, 1938–1951 », The Journal of Aesthetic Education, vol. 44, no 4, , p. 95–119 (ISSN0021-8510, DOI10.5406/jaesteduc.44.4.0095, lire en ligne, consulté le )
[Bardaouil 2016] (en) Sam Bardaouil, Surrealism in Egypt: Modernism and the Art and Liberty Group, Bloomsbury Publishing, (ISBN978-1-78672-163-1, lire en ligne)
Cléa Daridan, « Le surréalisme égyptien à la lumière de la presse francophone d’Egypte », dans Surrealism in North Africa and Western Asia: Crossings and Encounters, (ISBN978-3-95650-859-2, lire en ligne),
Mourad Yelles (dir.), Habib Tengour ou l'ancre et la vague : traverses et détours du texte maghrébin, Paris, Karthala, (ISBN2-84586-370-5, lire en ligne) (p. 39 « Je suis surréaliste quand je ne suis pas là »)
Leclercq 2010, + Sophie Leclercq, « Le colonialisme mis à nu. Quand les surréalistes démythifiaient la France coloniale (1919-1962) », Revue historique, vol. 646, no 2, , p. 315–336 (ISSN0035-3264, DOI10.3917/rhis.082.0315, lire en ligne, consulté le )
« « Ne visitez pas l’Exposition coloniale » : le manifeste du groupe des surréalistes en 1931 », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Note, (rembobine) : Sur Breton, lds, vu p’tite erreur en sept. 2023 spécial:diff/207963573, une partie de la soirée pour corriger « correctement » ce détail… ; c’est sans fin… … …
La Main à plume{{note|groupe=n|Voir #biblio in main, en plus de Vernay et Walter 2008, voir pour Léa Nicolas-Teboul, La main à plume (1940-1944) : le communisme des esprits surréalistes à l'épreuve de l'Occupation,
Continuer travail biblio ici, in main, toujours vérifier les données sur les pages liées, les autres langues
Navigation intensive wcc oblige et fâcheuse tendance à divaguer, lister ici les pages Lu/modifiées, même hors cadre, dans l’orde chronologique pour y repasser si besoin (ajout ressources &)[4]
Travailler principalement sur quote. Dans ce cadre, idéal pour s’autoriser à divaguer – et, dépasser les limites – (re)travailler (ou ébaucher) certaines pages quote (liste ci-dessous, éventuellement, créer les sections dédiées pour ici (#) et déplacer…) :
donc, tests, pour Les Peintres cubistes. Méditations esthétiques (#Apollinaire) ? ((comme pour Quote, d’ailleurs…) on ne fait pas ça n’importe comment…, ça nécessite parfois un gros investissement, de longues recherches sur les éditions, versions & co, et, bien sûr, de nombreuses heures de lecture ! – ce qui, au final – si bien fait –, servira (lecteurs/contributeurs) aussi sur WP, Quote…)
[Cantini 1988] L'art moderne à Marseille: la collection du Musée Cantini (exposition, Musée Cantini et Centre de la Vieille Charité, 9 juillet-19 septembre 1988), Direction des musées de Marseille, (ISBN2-902308-00-0).
Cette liste est mise à jour périodiquement par un bot avec les données de Wikidata. Les changements manuels à la liste seront retirés lors de la prochaine mise à jour !
Óscar Domínguez et le surréalisme, 1906 - 1957: la part du jeu et du rêve (exposition, Musée Cantini, Marseille, 25 juin au 2 octobre 2005), Musées de Marseille, (ISBN2-7541-0027-X)
Perahim, 1914-2008 : de l'avant-garde à l'épanouissement, de Bucarest à Paris (exposition, Les Sables-d'Olonne, MASC, Musée d'art moderne et contemporain des Sables-d'Olonne, 13 juin-26 septembre 2021, Marseille, Musée Cantini, 26 novembre 2021-24 avril 2022), Lienart, (ISBN978-2-35906-342-4)
A mesure que l’ouvrage s’étoffe, il arrive facilement qu’une association d’idées s’y greffe, s’apprêtant à jouer les démons de l’interprétation figurative. Car avec un peu d’imagination, tout agencement un peu poussé prête à une comparaison avec des réalités connues de la nature. Une fois interprété et nommé, pareil ouvrage ne répond plus entièrement au vouloir de l’artiste (du moins pas au plus intense de ce vouloir), et ses propriétés associatives sont à l’origine de malentendus passionnés entre l'artiste et le public.
À l’intérieur la vague bleue se berce.
L’écharpe rouge déchirée.
Des loques rouges. Des vagues bleues.
L’ancien livre fermé.
Regards silencieux dans le lointain.
Sombre égarement dans la forêt.
Des vagues bleues de plus en plus profondes.
Bientôt l’écharpe rouge s’enfonce.
Puis, histoire de penser à d’autres choses disons, j’ai saisi l’occasion pour (enfin, depuis le temps : cf. q:Discussion utilisateur:DeuxPlusQuatre) passer par q:Susan Sontag (+WD, +WP, voir remarque interface 3.2). Pris le temps aussi pour passer voir mon (mes) amoureuse(s), la (les) bibliothèque(s) – poser les yeux sur une (des) étagère(s) en bibliothèque(s), prendre le temps, s’élargir l’horizon… : #Susan Sontag.
D’ailleurs, comme d’hab, mieux qu’une requête Google, les catalogues et autres bases… Encore faut-il les connaître, savoir les questionner… et … explorer les réponses… .
Enfin, IRL, attention, c’est parfois mal rangé sur les étagères ou mal catalogué… ex : Chauviré 2019, W en France <–Là, rétrospectivement : /#À ranger.
Et parfois, sur wp, la biblio (1-2) est déjà suffisamment… éclairante, « parlante »…
Après qlq heures, toujours aussi « désordonné » , rétrospectivement : les premiers tests avec LdV, puis Klee, Kandinsky, R et W… certes qlq peu biaisés, ce dernier est une telle réussite (méthodique), intuitivement, et sans passer par LBW… .
+ici Sontag (quote laissé en l’état, pour le moment, p. 115 W). L’exergue dans Rieff 2008, Eliot, Mercredi des Cendres; + Sontag 2008 avec cette anthologie de citations…
Conclusion perso, productif, sur wiki, ssi « focus », point par point…
« Parce que je sais que le temps est toujours le temps Que le lieu est toujours et seulement le lieu Que ce qui est réel ne l’est que pour un temps Ne l’est que pour un lieu »
Sur quote, plusieurs points commencent à m’agacer…
Sur l’admissibilité q:Wikiquote:Critères d'admissibilité des articles, même s’il semble préférable de prendre comme critères d’admissibilité sur q le « potentiellement admissible sur wp » (en gros, même critères, sources snd et toutes les nuances), en arriver comme sur wp à accepter plus facilement les footballeurs que d’autres personnes me laisse perplexe… (c’est vrai, les footballeurs, c’est bien connu, leurs propos sont réputés pour être toujours mémorables …)
(22.09) +Code « Affichage amélioré des différences entre versions (diff) » Gadget Utilisateur:Leag/wikEd#Installation (complet activé sur wp:fr/ seulement diff wp:en)
Note: dans le cadre du wcc, en chemin, passant par #Béguin : Gérard Fabre, « Entre personnalisme et surréalisme : Albert Béguin, la critique littéraire et la question du suicide », COnTEXTES. Revue de sociologie de la littérature, no 12, (ISSN1783-094X, DOI10.4000/contextes.5479, lire en ligne, consulté le )
(du coup, combiné à ci-dessous, v’là que me vient l’idée d’en ajouter deux sur la page LdV « n’édifiez point sans fondations » et « considère en premier lieu la fin »; cependant, toujours pas ajouté « puisqu'il pense à la fin de son ouvrage avant de l'avoir commencé »)
puis, en une sorte de Réponse à #Friedrich (« Tout doit être italien »), création de la 175ème page de ma liste : q:Sophie Chauveau (avec 3 LI, de ma main, 91 Clark, 135 Vinci, 174 Lumière , en l’état…) bref, faudra (re)lire ses ouvrages +tard)
Puis, de nouveau (après la page Néant (philosophies occidentales)), on nous propose Installation (art)… euh, y’a comme une mauvaise habitude qui pointe le bout de son nez. Non, Wikiquote n’est pas la poubelle de wp:fr.
A deux doigts de déposer une RA ici, ça + les débats d’admissibilité dernièrement, ça commence à faire bcp. Commencer par exposer le ressenti directement ( : Sujet:Xqbvgxcz0wlsya51) .
Premier message de la pdd projet, importance partage/accès ressources, intro aide et liste en wcc (avec LE, dans la mesure du possible), Archive.org, LBW, accès, limites (contenu/fin partenariat (ex. : 17)), autres aide wp, [biblio contrib+boite recherche], etc.; clins d’œil numériques : 17/666. Euh…
Thématique travaux (?) : idem précédente édition moins les contraintes auto-fixées :
=>#Notes, suite, comme précédemment (l’idée de départ était : User:Malik2Mars/Brouillon/Bauhaus), répartir des principaux cat. (mais il semble inutile d’espérer de nouveau une participation commune à la thématique donc pas perdre de temps en bavardages…) – sans la contrainte de remonter le fil pendant la période 10-12 (peut se faire après, et par d’autres), et si gros potentiel wikiquotien ajouter # ici pour la suite (sans ignorer les bio wp, en passant).
Elles@centrepompidou : artistes femmes dans la collection du Musée national d'art moderne, Centre de création industrielle, Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-384-1).
Couples modernes : 1900-1950 (exposition, Metz, Centre Pompidou-Metz, Galeries 2 et 3, 28 avril-20 août 2018 ; Londres, Barbican Centre, 10 octobre 2018-27 janvier 2019), Gallimard/Centre Pompidou-Metz, (ISBN978-2-07-277162-0).
Christine Macel et Karolina Ziebinska-Lewandowska, Elles font l'abstraction (catalogue d’expositions, Paris, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, 5 mai-23 août 2021, Bilbao, Musée Guggenheim, 22 octobre 2021-27 février 2022), Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-894-5).
Lettre aux Français : notes brèves destinées à ceux qui comprennent, pour attirer l'attention sur des problèmes essentiels (avant-propos Antoine Sfeir, introduction et traduction René R. Khawam), Phébus, coll. « Libretto », (1re éd. 1977) (ISBN978-2-7529-0302-0).
(fr + ar) L'émir Abdelkader : autobiographie écrite en prison (France) en 1849 (trad. Hacène Benmansour), Dialogues, (ISBN2-911061-01-2).
Camille Faucourt (dir.) et Florence Hudowicz (dir.), Abd el-Kader (catalogue d’exposition, Marseille, Mucem, 5 avril-22 août 2022), Errance/Mucem, (ISBN978-2-87772-980-2, lire en ligne). — « Abd el-Kader », sur Mucem — Musée des civilisations et de la Méditerranée (consulté le )
Carole Boidin, « Le Jugurtha des Français ? Représentations d’Abd el-Kader dans la littérature et la culture de jeunesse françaises à l’époque coloniale », Strenæ. Recherches sur les livres et objets culturels de l’enfance, no 3, (ISSN2109-9081, DOI10.4000/strenae.474, lire en ligne, consulté le )
Un héros des deux rives, Abd el-Kader, l'homme et sa légende (exposition, 26 février-23 juin 2003, Hôtel de Soubise), Centre historique des archives nationales, (ISBN2-86000-300-2).
Bruno Étienne, Abdelkader : isthme des isthmes (barzakh al-barazikh), Hachette littératures, coll. « Pluriel », (ISBN978-2-01-279117-6).
Bruno Étienne et François Pouillon, Abd el-Kader, le magnanime, Gallimard/Institut du monde arabe, coll. « Découvertes Gallimard », (ISBN2-07-076749-3).
Abd el-Kader et l'Algérie au XIXe siècle dans les collections du musée Condé à Chantilly (exposition, Jeu de Paume du Musée Condé, Chantilly, 22 février-21 avril 2003), Somogy/Paris-Méditerranée/Edif, (ISBN2-85056-631-4).
À propos d'Abdelkader : en hommage au plus illustre prisonnier du château de Pau (textes réunis par Paul Mironneau et Claude Menges), Pin à crochets, (ISBN2-911715-05-5).
Bouyerdene 2008, La reddition : une mort symbolique, p. 81-85
p. 81, « Et Dieu défait ce qu’avait fait ma main » : Sentence fictive par un chroniqueur français (note p. 256 : Abdelkader en France, « Adieu à sa patrie », 1848)
le cheval, un geste symbolique, récupération politique. « C’est la cérémonie du cheval de bataille qui a marqué les annales historiques » (2017, p. 214); « la partie française n’en retient que le sens politique » (2008, p. 84).
[…] « Je suis le "combien" et le "comment" ; je suis la présence et l’absence » […]
(extrait initialement noté en /Actu (via Cat expo Marseille 2022 p. 10 section Embrasser la complexité du personnage))
Une traduction du texte de ce passage (également en 4eme de couv de Bouyerdene 2008) est donnée en guise de conclusion (après 39 haltes) des Écrits spirituels, 1982, chap. VII, 40, p. 177.
.
Dans ses « Indications pratiques », Lagarde (vol. I, p. 21) : « pas semblé utile et nécessaire de retraduire » ces 19 poèmes, ->voir la trad de Gilis, 1983.
Mohammed Souheil Dib, « La question de la liberté et de la responsabilité selon l'émir Abdelkader al-Djazaïri », Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, vol. 51, no 1, , p. 40–48 (DOI10.3406/horma.2004.2228, lire en ligne, consulté le ), + L'un et le multiple: Pour une nouvelle lecture de la poésie mystique de l'Emir Abdelkader, (ISBN9961-768-08-6)
Projet d'histoire littéraire contemporaine (édition établie, annotée et préfacée par Marc Dachy), Gallimard, coll. « Digraphe », (ISBN2-07-073556-7).
Papiers inédits: de Dada au surréalisme, 1917-1931 (établie et annotée par Lionel Follet et Édouard Ruiz), Gallimard, coll. « Les cahiers de la NRF », (ISBN2-07-075429-4).
pour le moment, seulement sur q:Pablo Neruda, initialement, pour « citer directement la version Aragon » (cf. pdd…)
Rembobine (papillon !), bien avant Pablo Neruda, j’avais déjà ajouté une section (vide) Louis Aragon en page Paul Klee, cf aussi brouillon ancrage User:Malik2Mars/Brouillon/Klee#Surréalisme…
Notes OK
En pdd Neruda, j’exprime le souhait de passer d’abord par la page #Elsa Triolet
p. 484 : « par le rivage des peintres pour chercher origine à l’une des caractéristiques de son art dont on lui fait le plus reproche. La citation, comme disent les critiques, les collages »…
+« L’art de Godard, inséparable de la peinture », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Je déballe ma bibliothèque : une pratique de la collection, Rivages, coll. « Rivages poche », (ISBN2-7436-0701-7).
Notes : plusieurs trad pour 1931, dont « Je déballe ma bibliothèque: Discours sur la bibliomanie », Esprit, no 61 (1), , p. 3–10 (JSTOR24268493, lire en ligne),
Bernd Witte (dir.), Topographies du souvenir : « Le livre des passages », de Walter Benjamin, Presses Sorbonne nouvelle, coll. « Publications de l'Institut d'allemand d'Asnières » (no 41), , 186 p. (ISBN978-2-87854-373-5, DOI10.4000/books.psn.6089, lire en ligne)
Anne Roche, Exercices sur le tracé des ombres: Walter Benjamin, Chemin de ronde, coll. « Strette », (ISBN978-2-905357-02-1).
Patricia Lavelle (dir.), Walter Benjamin, L'Herne, coll. « Cahiers de l'Herne », (ISBN978-2-85197-175-3).
Sigrid Weigel (trad. Marianne Dautrey), Walter Benjamin: la créature, le sacré et les images, Mimésis, coll. « Images, médiums », (ISBN978-88-6976-168-3)
Reto Sorg, « Walter Benjamin, le plus célèbre collectionneur de Paul Klee, à propos d’Angelus novus (1920), et de Worführung des Wunders (1916) », dans Angela Lampe (dir.), Paul Klee : l'ironie à l'œuvre (catalogue d’exposition, Paris, Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, Galerie 2, 6 avril-1er août 2016), Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-725-2), p. 96-98.
Marcella Lista, « Point gris. Paul Klee dans les introspections de la philosophie », dans Angela Lampe (dir.), Paul Klee : l'ironie à l'œuvre, Éditions du Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-725-2), p. 271 sqq.
Correspondance. Tome I - 1910-1928, 1979. p. 223 (23 juillet 1920, à Gershom Scholem) :
« le plus beau de tous les tableaux [de Klee] » (Sorg 2016, p. 96),
« Dora vous a peut-être amplement raconté tout ce qu'elle a trouvé pour me faire plaisir, surtout un merveilleux tableau de Klee, qui a pour titre : La Séduction du miracle. Connaissez-vous Klee ? Je l'aime énormément et c'est le plus beau de tous les tableaux que j'ai vus de lui. J'espère que vous le verrez en septembre chez moi. » (Hopfengart et Baumgartner 2012, note 14, p. 327)
« Avec Angelus novus, c'était [son] tableau préféré […]. Klee y a représenté non pas le miracle lui-même, mais la tentative de montrer un tel miracle au spectateur, de le « représenter » - à tous les sens du terme. […] Ce mélange grotesque de rêve et de réalité, de rigueur et de fantastique annonçait une nouvelle dimension de la représentation dans l'œuvre de Klee : ses images intérieures et les « mouvements de son âme », que l'on pourrait définir comme le fondement irrationnel ou romantique de son art, entraient désormais en résonance avec des principes de construction rationnels et abstraits. » (Hopfengart et Baumgartner 2012, p. 114)
Bernard Vouilloux, « Manifester la peinture : André Breton dans l’image », dans Tableaux d’auteurs : Après l’Ut pictura poesis, Presses universitaires de Vincennes, coll. « Essais et savoirs », (ISBN2-84292-139-9, DOI10.4000/books.puv.6238), p. 120–175
« Chaque point de chacun de nous coïncidait avec chaque point de chacun des autres en un point unique qui était celui-là où nous nous trouvions tous. »
Ermite à Paris : pages autobiographiques (trad. Jean-Paul Manganaro), Seuil, coll. « Bibliothèque Calvino », (ISBN2-02-025687-8).
Défis aux labyrinthes : textes et lectures critiques (trad. Jean-Paul Manganaro et Michel Orcel, relue et préfacée par Mario Fusco), t. I, Seuil, coll. « Bibliothèque Calvino », (ISBN2-02-051027-8).
Défis aux labyrinthes : textes et lectures critiques, t. II, Seuil, coll. « Bibliothèque Calvino », (ISBN2-02-061914-8).
Tourner la page : essais (trad. Christophe Mileschi), Gallimard, coll. « Du monde entier », (ISBN978-2-07-014004-6).
Le métier d'écrire: correspondance, 1940-1985 (trad. Christophe Mileschi et Martin Rueff), Gallimard, coll. « Du monde entier », (ISBN978-2-07-014006-0).
.
« Ceux qui croient pouvoir vaincre les labyrinthes en fuyant leurs difficultés restent en dehors; et demander à la littérature, à partir d'un labyrinthe donné, de fournir la clé pour en sortir est donc une requête peu pertinente. Ce que peut faire la littérature, c'est définir le meilleur comportement possible pour trouver l'issue, même si cette issue n'est rien d'autre que le passage d'un labyrinthe à l'autre. C'est le défi au labyrinthe que nous voulons sauver, une littérature du défi au labyrinthe dont nous voulons dégager le noyau et que nous voulons distinguer de la littérature de reddition au labyrinthe. »
Contient une partie « Anthologies », I. trad de textes de Calvino et II « Réception et lectures critiques de l’œuvre ».
Paolo Grossi et Silvia Fabrizio-Costa, Italo Calvino, le défi au labyrinthe (actes de la journée d'études de Caen, 8 mars 1997), Presses universitaires de Caen, (ISBN2-84133-035-4).
Pierre Brunel, Italo Calvino et le livre des romans suspendus: si par une nuit d'hiver un voyageur, Transparence, (ISBN978-2-35051-032-3).
Perle Abbrugiati (dir.), La Plume et le crayon. Calvino, l’écriture, le dessin, l’image (actes du colloque à Aix-en-Provence, Centre Aixois d’Études Romanes, 20-21-22 janvier 2011), coll. « Italies » (no 16), (DOI10.4000/italies.4371, lire en ligne)
Christophe Mileschi (dir.) et Martin Rueff (dir.), Italo Calvino, L'Herne, coll. « Cahiers de l'Herne » (no 144), (ISBN9791031904269). — Contient de nombreux « Inédits » de Calvino.
.
.
Mario Fusco, « Lire Calvino en français ? », dans Italo Calvino: les mots, les idées, les rêves, Université de la Sorbonne Nouvelle-Paris, coll. « Chroniques italiennes », (ISBN2-913299-10-5)
Sandra Garbarino, « Les traductions oubliées. Si par un jeu du hasard deux médiateurs calviniens… », Italies, no 9, , p. 395–411 (DOI10.4000/italies.520, lire en ligne, consulté le )
Sandra Garbarino, « « Collezione di sabbia » d’Italo Calvino en français : deux médiateurs, deux écritures narratives », Transalpina, no 9, , p. 129–148 (DOI10.4000/transalpina.3200, lire en ligne, consulté le )
Sandrine Granat-Robert, « Le Comte de Monte-Cristo réécrit par Calvino », Cahiers d’études romanes, no 20, , p. 431–457 (DOI10.4000/etudesromanes.1907, lire en ligne, consulté le )
Delphine Gachet, « « L’altra Euridice » d’Italo Calvino : entre réécriture et réinvention du mythe d’Orphée et Eurydice », dans Chances du roman, charmes du mythe : Versions et subversions du mythe dans la fiction francophone depuis 1950, Presses Sorbonne Nouvelle, coll. « Littérature et traduction », (ISBN978-2-87854-757-3, DOI10.4000/books.psn.2130, lire en ligne), p. 103–112
Enrico Bolzoni, « « Edmond Dantès, c’est moi ! » : une présence par effraction ou une effraction de la présence ? Lecture d’une nouvelle de Italo Calvino », dans Présence par effraction et par intrusion, Presses universitaires de Rennes, coll. « La Licorne », (ISBN978-2-7535-9143-1, DOI10.4000/books.pur.179654, lire en ligne), p. 179–189
Jean Nimis, « Dessiner en racontant, ou la poétique «cosmicomique» d’Italo Calvino », Acta fabula, (DOI10.58282/colloques.5221, lire en ligne, consulté le )
Teresa Solis, « «Faire Lune la lune» : l’imagination scientifique d’Italo Calvino », Acta fabula, (DOI10.58282/colloques.5270, lire en ligne, consulté le )
Notes :
« Tempête autour d'Italo Calvino », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
Gilbert Bosetti, « 14. L’enfant au maquis ou dans les arbres. Un point de vue fabuleux et marginal dans les récits d’Italo Calvino », dans L’enfant-dieu et le poète : Culte et poétiques de l'enfance dans le roman italien du XXe siècle, UGA Éditions, coll. « Ateliers de l’imaginaire », , 313–339 p. (ISBN978-2-37747-117-1, lire en ligne)
McLaughlin 1998, 2. A Small-scale Epic: The Path to the Spiders' Nests, p. 19-34
Sylvie Servoise, « « L’Histoire nous saisit ». Le Sursis de Jean-Paul Sartre et Le Sentier des nids d’araignée d’Italo Calvino », Roman 20-50, vol. 48, no 2, , p. 127–138 (ISSN0295-5024, DOI10.3917/r2050.048.0127, lire en ligne, consulté le )
Sylvie Servoise, Le roman face à l'histoire : La littérature engagée en France et en Italie dans la seconde moitié du XXe siècle, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », (ISBN978-2-7535-4729-2, DOI10.4000/books.pur.38232, lire en ligne)
Maria Pia Mischitelli, « L’image du soldat dans le roman d’Italo Calvino Le Sentier des nids d’araignée », Italies, no 19, , p. 283–295 (DOI10.4000/italies.5301, lire en ligne, consulté le )
1977 (p. 21, laissée(s) telle(s) quelle(s)) : « Structures, signes et images dans Les Villes invisibles d’Italo Calvino », Revue des Études Italiennes, 1977
Sandrine Granat-Robert, « Icasticità des Città invisibili. Fonction de la description chez Calvino », Italies, no 16, , p. 95–120 (ISSN1275-7519, DOI10.4000/italies.4391, lire en ligne, consulté le )
Clément Lévy, Territoires postmodernes : Géocritique de Calvino, Echenoz, Pynchon et Ransmayr, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », (ISBN978-2-7535-5791-8, lire en ligne)
Delphine Gachet, « Repenser l’utopie citadine : Les Villes invisibles de Calvino », dans Utopie et catastrophe : Revers et renaissances de l’utopie (xvie-xxie siècle), Presses universitaires de Rennes, coll. « La Licorne », (ISBN978-2-7535-9159-2, lire en ligne), p. 185–201
Natalie Berkman, « L’Oulipo et la géométrie : l’étrange utilité de la table des matières », Études littéraires, vol. 50, no 2, , p. 17–34 (DOI10.7202/1083994ar, lire en ligne, consulté le )
pour la « dernière lettre » de Calvino, Corriere della Sera, 4 nov. 1975, p. 301-302 + Calvino 2003b, p. 603-606, + ? Revue d’esthétique, 3, 1982, voir (ISBN2-85893-154-2)
((Massacre du Circeo), (cf. #biblio/#Notes et ref, + McLaughlin 1998, 9. Words and Silence : The Strange Genesis of Mr Palomar, p. 142-143) P : Il Mondo, 30 octobre (voir dans Lettres luthériennes : petit traité pédagogique (ISBN2-02-035938-3)); C : Crime en Europe, Corriere, 8 octobre 1975, dans Mileschi et Rueff, 2024, p. 214-216)
De Pasolini, voir aussi ses Ecrits corsaires, Flammarion (lire en ligne), …
Sylvie Barral, « Les personnages féminins dans l’œuvre d’Italo Calvino : d’une image simple à une image plurielle », Italies, no 3, , p. 164–185 (ISSN1275-7519, DOI10.4000/italies.2458, lire en ligne, consulté le )
Carole Bisenius-Penin, « Contraintes et frontières génériques dans le roman d'I. Calvino Si par une nuit d'hiver un voyageur : étude de la fiction latino-américaine et de ses limites », Revue de littérature comparée, , p. 59–72 (ISSN0035-1466, DOI10.3917/rlc.321.0059, lire en ligne)
Note : pour « Italo Calvino, classique romantique », Le Monde.fr, (lire en ligne), voir aussi dans Entretiens avec "Le Monde", vol. 2 : Littératures, La Découverte/Le Monde, (ISBN2-7071-1462-6, lire en ligne)
Carole Bisenius-Penin, « Formes hypertextuelles et mondes contraints chez Italo Calvino : pour une poétique réticulaire de la variation », Formules, no 17, , p. 167-177 (lire en ligne)
« Ceux qui aiment vraiment la lune ne se contentent pas de la contempler comme une image conventionnelle, ils veulent entrer plus étroitement en relation avec elle, ils veulent voir davantage dans la lune, ils veulent que la lune en dise davantage. Le plus grand écrivain de la littérature italienne de tous les temps, Galilée, dès qu’il se met à parler de la lune, élève sa prose à un degré prodigieux de précision et d’évidence, en même temps que de raréfaction lyrique[n 23]. »
Maria G. Vitali-Volant, « Italo Calvino et les artistes de son temps », Italies, no 16, , p. 277–306 (DOI10.4000/italies.4438, lire en ligne, consulté le )
p. 264 : « That Calvino was attracted to Klee’s art is no suprise. Klee’s works adorn several Einaudi covers. »
(note (suite bavardage) : le funambule de Klee (1923, 121 pour être précis) est en couverture de deux ouvrages de Calvino. Une édition italienne de I Racconti (sur une autre ed italienne, c’est une autre œuvre, 1923, 123, « Le navigateur » (1923 et non 1928… cf Ricci 1990, p. 109)), et aussi sur ed fr. de Marcovaldo (disponible sur Internet Archive).)
Note Correspondance 2023, 1972, Lettre 263, p. 629, au sujet de l’ed it Marcovaldo[n 26] : « D’autres me demandent des explications sur le dessin de couverture. L’éditeur Einaudi a coutume de mettre sur la couverture de ses livres des reproductions de tableaux ou de dessins de peintres modernes célèbres. Pour mon livre, il a choisi ce dessin de Paul Klee qui peut suggérer la vision d’une ville, très mouvementée et nerveuse. Cela m’a fait plaisir car Klee est l’un des peintres que j’aime le plus au monde »
p. 265-266 (« attesded to […] » Furti ad arte, 1980) :
« Klee è per me molto importante. La pittura mi è servita sempre come spinta a rinnovarmi, come ideale di invenzione libera, di essere sempre se stessi facendo sempre qualcosa di nuovo. In questo senso il nome di Klee mi pare fondamentale. »
.
.
« Calvino and Paul Klee », Rivista di studi italiani, 2003, 2, p. 151-163 OK (+)
Clément Chéroux, Henri Cartier-Bresson (exposition, Paris, Centre Pompidou, galerie 2, 12 février-9 juin 2014, Madrid, Instituto de Cultura-Fundación MAPFRE, 28 juin-8 septembre 2014), Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-628-6).
Voir est un tout: entretiens et conversations, 1951-1998, Éd. du Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-639-2)
« Je tombe qlq fois sur ces sections sans bandeau, dernièrement : Henri Cartier-Bresson , après avoir lu « Quand je voyage, je regarde ce qu'on me montre et je photographie à côté » rapportée dans Dictionnaire enjoué des cultures africaines (Alain Mabanckou et Abdourahman Waberi) mais - il me semble - initialement par Michel Butor dans le monde, 13 avril 2006 » (Discussion utilisateur:LD/Archives/2021#spécial:recherche et bla-bla !)
Notes sur Yves Bourde, « "Nul ne peut entrer ici s'il n'est pas géomètre" », Le Monde, (lire en ligne)
D’abord, Discussion utilisateur:Jules*##Citations [Notes: après wikif notes ci-dessous, remercier encore une fois, profiter de ce nouveau bavardage pour réécrire ces notes…]
Comme supposé, repris dans Guerrin 2008 (p.146-157)
+ réactions p. 158-166 : « Fleurir la statue de Cartier-Bresson ou la dynamiter ? »(soit [lire en ligne])
+p. 64, reproduction de la p. 13 du 5.9.1974
Du coup, avec l’illustration, le collage : Contre le travail et pour l’amour [note: Galassi 2010, p. 66 « dans un collage de jeunesse […] »]
p. 70 (« à la hauteur des propos à contre-pied de Cartier Bresson […], traduit à la fois son influence surréaliste (André Breton) et son esprit du moment (il prend ses distances avec la photographie) », donné à Martine Franck, ill. non publiée dans la Trad du 28 sept. 1974 (Guardian), Bresson : « Please, use collage »…)
p. 65-70, « Le hold-up d’Yves Bourde »
p. 65, « L’essentiel est là […] »
p. 66, « complément indispensable au texte qu’il publie en introduction du livre Images à la sauvette » (en note, pour //, voir Cookman 2008, History of photography, 32 DOI10.1080/03087290701723279)
…
« positivement, il est bien vrai qu’il n’attend personne, puisqu’il n’a pris aucun rendez-vous, mais du fait même qu’il adopte cette posture ultra-réceptive, c’est qu’il compte bien par là aider le hasard, comment dire, se mettre en état de grâce avec le hasard, de manière à ce que se passe quelque chose, à ce que survienne quelqu’un. »
« n’est pas à proprement parler un surr. […] Profondément influencé par eux, il ne cessera de se réclamer d’un « état d’esprit » surr. dont ses photos, à travers les thèmes de l’attente, du hasard et de la « trouvaille », sont les meilleurs témoins. » »
+Souligne l’emprunt à Breton d’une phrase mise en exergue 1976 (cf. … exergue _^_^_), « qui constitue son « discours de la méthode »
Je me demande, quant à moi, si je parviendrai une bonne fois à faire comprendre que le véritable et l’unique personnage qui m’intéresse c’est le lecteur, dans la mesure où un peu de ce que j’écris devrait contribuer à le modifier, à le faire changer de position, à le dépayser, à l'aliéner.
Pages inespérées : récits, Gallimard, coll. « Du monde entier », (ISBN978-2-07-014510-2).
Produit du hasard : hypertexte et poésie combinatoire, Presses universitaires de Lyon, (ISBN978-2-7297-0954-9).
« Ce n’est pas un phare, ma maison, ni un fort. J’habite un œil qui regarde sans but, un œil qui voit. Je sais qu’un jour il verra la sirène, l’alcyon, le léviathan, les sargasses, je sais qu’un soir je sortirai de ma maison pour rencontrer, sur la plage, un Hollandais qui me serrera dans ses bras. »
— Les Discours du Pince-Gueule (Cortázar 2008, « Où j’habite », p. 571)
Bernard Terramorsi, Le fantastique dans les nouvelles de Julio Cortázar: rites, jeux et passages, l'Harmattan, (ISBN2-7384-2387-6, lire en ligne)
Laure Bataillon, Traduire, écrire, Arcane 17, (ISBN2-903945-79-9). — « Traduire Cortázar avec Cortázar », p. 53-60, de La traduction : réflexions - reflets, Sud, coll. « Sud » (no 69-70), (ISBN2-86446-075-0)
Frédéric Tinguely, « Vers l'échiquier éclaté: Marelle, de Julio Cortazar », dans Échiquiers d'encre : le jeu d'échecs et les Lettres (XIXe-XXe s.), Droz, (ISBN2-600-00289-8, présentation en ligne)
Ilinca Ilian, « La traduction comme imagologie culturelle : les traductions en français de l’œuvre de Julio Cortázar : Application sur le recueil Le tour du jour en quatre-vingts mondes1 », dans Traduction et lusophonie : Trans-actions ? Trans-missions ? Trans-positions ?, Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Voix des Suds », (ISBN978-2-36781-081-2, lire en ligne), p. 261–278
Pour le moment, boiboite (ah ces boiboites…), #Œuvre…
Du coup, passage furtif par le main pour ajouter la compil de 2019 en bio (d’ailleurs, papillon, c’est vide sur quote ! Non mais moi-même !), sans oublier de commenter mes modif . Puis passage par Cronopes et Fameux. Maintenant, continuer à laisser mijoter encore un peu…
Charlotte Servel, « Carole Aurouet, le Cinéma des poètes. De la critique au ciné-texte », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma, no 76, , p. 194–196 (ISSN0769-0959, DOI10.4000/1895.5046, lire en ligne, consulté le )
Carole Aurouet, Desnos et le cinéma, Jean-Michel Place, coll. « Le cinéma des poètes », (ISBN978-2-85893-969-5).
Carole Aurouet, « Le cinéma sous l’œil et la plume du poète surréaliste Robert Desnos », Tangence, no 124, , p. 49–71 (ISSN1189-4563, lire en ligne, consulté le )
Jean Clair (dir.), Marcel Duchamp : tradition de la rupture ou rupture de la tradition ? (actes du Colloque de Cerisy, Cerisy-la-Salle, 25 juillet-1er août 1977), Hermann, coll. « Cerisy archives », (1re éd. 1979) (ISBN978-2-7056-7278-2). — Vincent Pécoil, « Marcel Duchamp : tradition de la rupture ou rupture de la tradition ? », Critique d’art. Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain, no 39, (DOI10.4000/critiquedart.2620, lire en ligne, consulté le )
Annabelle Görgen-Lammers (trad. Nathalie Paulme), « Les fumistes entre eux. Le surréalisme et les Arts incohérents. Marcel Duchamp et Alphonse Allais », dans Le splendide XIXe siècle des surréalistes, , p. 287-313
« je m’y suis complu parce que j’ai trouvé des points de ressemblance entre la peinture et les échecs. En fait, quand vous faites une partie d’échecs, c’est comme si vous esquissiez quelque chose, ou comme si vous construisiez la mécanique qui vous fera perdre ou gagner. […] le jeu lui-même est très, très plastique »
François Le Lionnais (trad. Patrice Cotensin, propos recueillis par Ralph Rumney), Marcel Duchamp joueur d'échecs et un ou deux sujets s'y rapportant, l'É́choppe, (ISBN2-84068-077-7) — trad. de (en) « Marcel Duchamp as a Chess Player and One or Two Related Matters : François Le Lionnais interviewed by Ralph Rumney », Studio International, vol. 189, no 973, , p. 23-25 (lire en ligne)
Sarah Troche, « Marcel Duchamp et les échecs : « tous les joueurs d’échecs sont des artistes » », dans Le Jeu d’échecs comme représentation : Univers clos ou reflet du monde ?, Éditions Rue d’Ulm, coll. « Actes de la recherche à l’ENS », (ISBN978-2-7288-0990-5, lire en ligne), p. 81-93
Lorraine Verner, « Le mordant du possible et la virtualisation du réel par l’imaginaire. À propos de Marcel Duchamp et de la 4e dimension en art », Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques, vol. 6, no 1, , p. 139–168 (DOI10.3406/fdart.2002.1307, lire en ligne, consulté le )
Hans De Wolf, « Marcel Duchamp, Alain Jouffroy, Gustave Courbet et ces quelques lignes qui dérangent », Critique d’art. Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain, no 25, (DOI10.4000/critiquedart.1618, lire en ligne, consulté le )
Marcel Bénabou, « Duchamp à l'Oulipo ou un secret trop bien gardé », dans Regarde de tous tes yeux, regarde : l'art contemporain de Georges Perec, Joseph K., (ISBN978-2-910686-50-5, lire en ligne)
« Marcel Duchamp », sur mediation.centrepompidou.fr (consulté le )
« Il sera peut-être réservé à un artiste aussi dégagé de préoccupations esthétiques, aussi préoccupé d’énergie que Marcel Duchamp, de réconcilier l’Art et le Peuple. »
Partant de cette p’tite phrase – « On a beaucoup spéculé autour » (Pontus Hulten, Notes, Préface, p. 274 Duchamp 2008 [1-46 : Wikt:inframince]) ; Duchamp : « il affirmait [ ] »
« Apollinaire fut le premier à me monter les œuvres de Roussel. C’était de la poésie. Roussel se croyait philologue, philosophe et métaphysicien. Mais il reste un grand poète. [… ] Je pensais qu’en tant que peintre, il valait mieux que je sois influencé par un écrivain que par un peintre. Et Roussel me montra le chemin. »
33 notices de Duchamp, rédigées entre 1943 et 1949, dans Duchamp 2008, p. 184-203. Comme in main ici, Décimo, dans Le Bon 2005, Marcel Duchamp, Écrits, p. 362, 32 notices : « sont à retenir, en particulier, les 32 études rédigées entre 1943 et 1949 pour le Catalogue […]. Le regard de Duchamp se porte sur un certain nombre d’artistes […]. Avec acuité, il s’applique à saisir de ces individualités le(s) trait(s) hautement distinctif(s). » Il cite ainsi des extraits des notices Arp, Ernst, Man Ray, Picabia, Ribemont-Dessaignes.
« Question finale. Max Ernst se permet de demander à ses sévères lecteurs et à ses douces lectrices s’il mérite la flatteuse appellation à lui offerte par un des plus grands (et plus méconnus) poètes de notre temps (René Crevel) : Le magicien des palpitations subtiles. » (Paris 1975, p. 148; Spies 1991, p. 338; Spies 2007, p. 341)
Spies, « Le magicien des palpitations subtiles » dans Maeght 1983, p. 12-15 (93)
« Lorsque je lui demandai d’actualiser […]. C’est la dernière phrase notée par Max Ernst. […] C’est un trait typique de ce maître de l’indirect, de la relation distanciée avec ce qui passe pour réalité, que de se dissimuler derrière une citation. »
Max Ernst: ses oiseaux, ses fleurs nouvelles, ses forêts volantes, ses malédictions, son satanas... (exposition, galerie Georges Bernheim, 1-15 décembre 1928), (SUDOC025358510)
Victor Hugo, Le promontoire du songe, Gallimard, coll. « Collection L'Imaginaire », (ISBN978-2-07-013738-1)
Bérangère Chaumont, « Victor Hugo, Le Promontoire du Songe », Studi Francesi. Rivista quadrimestrale fondata da Franco Simone, no 175, , p. 165–166 (DOI10.4000/studifrancesi.512, lire en ligne, consulté le )
Soleil d'encre : manuscrits et dessins de Victor Hugo (exposition, musée du Petit Palais, 3 octobre 1985-5 janvier 1986), Paris Musées/Bibliothèque nationale, (ISBN2-7177-1736-6, lire en ligne)
Du chaos dans le pinceau : Victor Hugo, dessins (exposition, Madrid, Museo Thyssen-Bornemisza, 2 juin-10 septembre 2000, Paris, Maison de Victor Hugo, 12 octobre 2000-7 janvier 2001), Paris musées, (ISBN2-87900-514-0).
Annie Le Brun, Les arcs-en-ciel du noir : Victor Hugo (exposition), Gallimard, coll. « Art et artistes », (ISBN978-2-07-013703-9).
Entrée des médiums, spiritisme et art de Hugo à Breton (exposition, Paris, Maison de Victor Hugo, 18 octobre 2012-20 janvier 2013), Paris musées, (ISBN978-2-7596-0186-8)
p. 13 « Le surréalisme a aimé se donner des annonciateurs. Hugo était trop majeur et consacré pour qu’il pût, d’emblée, sans difficulté prendre place sur une liste où le sens de la révolte convoquait poètes oubliés ou maudits. » […] p. 14 « Le surréalisme a rendu visible Hugo « le voyant ». »
p. 15 « Dans cette belle préface, qui mettait l’œuvre du poète-peintre sous l’œil du peintre-poète, Masson souligne la double détente du « surréalisme » pictural d’Hugo » [ #André Masson, « Le peintre Victor Hugo » dans Dessins de Victor Hugo, 1971, p. 13-18 (SUDOC015571017), repris dans Masson 2014, p. 165-168, notes p. 207-208]
« [En 1924, éclate cette bombe : le Manifeste du Surréalisme, dans lequel André Breton, à la recherche de précurseurs de ce mouvement, y rencontre Victor Hugo, avec une réserve cependant […]. Mais, des années après, la réserve tombe […] ] », p. 165)
« [il était donc fatal que la Tête de démon], « tâche d’encre prolongée », nous apparaisse comme le joyau de la salle consacrée aux précurseurs du Mouvement » (p. 165)
« Un tableau est un objet construit. Il faut qu’il soit bien construit; c’est une condition de vie: exactitude, logique, économie, probité; l’esprit qui ne se contente pas de « l’à-peu-près », qui aime le cercle tracé au compas, qui emploie le minimum de moyens pour obtenir le maximum d’effet et qui fait que le travail d’un bon ouvrier est « fini ». »
[Roegiers 2005] Patrick Roegiers, Magritte et la photographie (exposition, Bruxelles, Palais des beaux-arts, du 23 février au 15 mai 2005), Ludion, (ISBN90-5544-543-6).
[Umland 2013] Anne Umland (dir.), Magritte: le mystère du quotidien, 1926-1938 (exposition, New York, the Museum of modern art, 28 septembre 2013-12 janvier 2014, Houston, the Menil collection, 14 février-1er juin 2014, Chicago, the Art institute of Chicago, 29 juin-12 octobre 2014), La Martinière/MoMA, (ISBN978-2-7324-6101-4). — ed. anglaise disponible sur Internet Archive.
[Roberts-Jones 2014] Philippe Roberts-Jones, Magritte: poète visible et autres textes, Silvana/Musées royaux des beaux-arts de Belgique, coll. « Cahiers des Musées royaux des beaux-arts de Belgique / René Magritte », (ISBN978-88-366-2439-3).
[Ottinger 2016] Didier Ottinger (dir.), Magritte, La trahison des images (exposition, Paris, Centre national d'art et de culture Georges Pompidou, Musée national d'art moderne, Galerie 2, 21 septembre 2016 - 23 janvier 2017), Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-731-3).
Dans Caws 2006, p. 86 (L’Apparition, 1928)[n 32], je lis « dans l’une de ses propositions (souvent comparées à celles du philosophe Wittgenstein) : « Parfois, les noms écrits dans un tableau désignent des choses précises, et les images, des choses vagues, ou le contraire » (« Les mots et les images », La révolution surréaliste, n12. 1929). » Magritte 2009, p. 61, RS 1975, 12, p. 33 (Dispo aussi sur source, s:Page:La Révolution surréaliste, n12, 1929.djvu/39).
Sur « Les mots et les images », voir Yu Myongja, « Magritte : Une poétique des mots et des images (1927-1930) », Textyles. Revue des lettres belges de langue française, no 13, , p. 181–192 (ISSN0776-0116, DOI10.4000/textyles.2136, lire en ligne, consulté le )
Du coup, en plus d’une recherche rapide sur le web (mots clés, Wittgenstein, surréalisme, Magritte, toussa toussa ), prendre le temps pour : René Magritte#Éléments de bibliographie.
Commencer par Magritte 2009. Sur les éditions, voir André Blavier, « À propos de la réédition des écrits de René Magritte », Textyles. Revue des lettres belges de langue française, no 13, , p. 171–179 (ISSN0776-0116, DOI10.4000/textyles.2134, lire en ligne, consulté le )
Nav Wiki-univers, dans le cadre du #WCC (sept. 2023):
En plus de la palette et de la categ.
#Wikisource, la page wiki semble ne rien apporter mais en cherchant bien…
« La Trahison des images n'est que la partie émergée de l'iceberg. […] a en outre fait l'objet d'appropriations incalculables par la culture populaire et a généré des flots de commentaires. On a toutefois assez peu commenté son changement de titre. Le passage de L'Usage de la parole à La Trahison des images déplace pourtant l'enjeu critique du tableau des mots vers les images. […] publie la série de thèses illustrées sur la représentation, le monde, les mots et les images […] Sur laquelle on ne peut pas faire l'impasse si on parle du rapport mots-images dans son travail. […] Ainsi, lorsqu'il dit qu'« un mot peut prendre la place d'un objet dans la réalité » et l'illustre de l'image d'une femme qui dit « le soleil », il ne semble faire guère plus que de réitérer une théorie relativement primitive du langage, que l'on trouve déjà chez saint Augustin et que Ludwig Wittgenstein critique dans ses Recherches philosophiques. »
« Rentrant chez moi, je m’attendais à une surprise. Mais il n’y avait pas de surprise à mon intention. Aussi, bien entendu, ai-je été surpris. » (2002, p. 108 [45]) ->2.11 Passage rapide par Quote OK.
Adelaide Russo, « Chapitre XI : deuxième partie. Le Peintre de prédilection : André Masson », dans Le peintre comme modèle : du surréalisme à l’extrême contemporain, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Perspectives », (ISBN978-2-7574-2693-7, DOI10.4000/books.septentrion.114918, lire en ligne), p. 239–263
Notes:
Sébastien Galland, « Rêves de sable, d’eau et de forêt. De Giordano Bruno à André Breton et André Masson », dans Gôuter la terre : Histoire culturelle et philosophique des éléments, Publications de l’École nationale des chartes, coll. « Études et rencontres », (DOI10.4000/books.enc.12569, lire en ligne), p. 55–66
Sayag 1985, Chronologie et documents, « Agiter l’œil avant de voir », p. 308 : « Mais s’il y a urgence aujourd’hui à léonarder […]. En léonardant tu Vaincras. » (février 1977).
Nombreux sont ceux qui vivent en nous ;
Si je pense, si je ressens, j’ignore
Qui est celui qui pense, qui ressent.
Je suis seulement le lieu
Où l’on pense, où l’on ressent.
(en + fr + de) Photographs by Man Ray: 105 works, 1920-1934, Dover, (1re éd. 1934) (ISBN0-486-23842-3, lire en ligne) — contient (en)/(fr) de « L’Age de la lumière », Minotaure, (lire en ligne)
« [On nous a traités d’hommes finis. Parce que nous ne finissons jamais rien, dites plutôt : hommes infinis. […] Ah oui ! C’est tragique comme une partie d’échecs. Je ne vous en dirai pas davantage.] »
— Man Ray : bilingual biography [I and Marcel][22]
« Textes » p. 157-175 :
« Emak Bakia », trad. de Close up, 2, août 1927, p. 40
« Un film étonnant, L’Etoile de Mer par Man Ray », dans Vu, 46, janvier 1929, p. 74
« Conférence », oct. 1943, trad. fr « Art et cinéma », L’âge du cinéma, 2, 1951, p. 15-16
« Man Ray : bilingual biography », View, V-1, 1945, p. 32 et 51 [Opus international, 1974, 49, p. 31]
« Cinemage », L’âge du cinema, 4-5, 1951, p. 24-25
« Témoignages : Man Ray », Études cinématographiques, 38-39, 1965, p. 43-47
André Gain, « Le cinéma et les arts décoratifs », L’amour de l’art, 9, sept. 1928, 324-325
« Un entretien avec Man Ray », André Gain, Cinéa-Ciné pour tous, 144, nov. 1929, p. 27
« Réponse à un questionnaire », Film Art, III-7, 1936, p. 9-10
(extrait) « Petite histoire des Ursulines dans la grande histoire du cinéma », Entretien avec Roger Régent, Cahiers du cinéma, 14, juil-août, 1952, p. 14-15 (extrait dans Bajac et Chéroux 2009, p. 251)
Man Ray: la photographie à l'envers (exposition), Centre Georges Pompidou Seuil, coll. « Collection L'oeuvre photographique », (ISBN2-02-034318-5) — dossier.
Françoise Denoyelle, « Man Ray. La photographie à l'envers (cat. exp.), textes d'E. de L'Écotais, A. Sayag, J.-J. Aillagon, S. Bramly, M. Frizot, F. Neusüss et R. Heyne, M. Sanouillet, W. Spies, L. Treillard, Paris, Centre Georges Pompidou/Le Seuil, 1998, 260 p., ill. N.B., biog., 450 F. », Études photographiques, no 5, (ISSN1270-9050, lire en ligne, consulté le ) ; Jacinto Lageira, « Man Ray, la photographie à l'envers (exposition) », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
[Bandier 1991] Norbert Bandier, « Man Ray, les surréalistes et le cinéma des années 20 », Actes de la Recherche en Sciences Sociales, vol. 88, no 1, , p. 48–60 (DOI10.3406/arss.1991.2981, lire en ligne, consulté le )
[Durafour 2010] Jean-Michel Durafour, « Man Ray : voir le cinéma en peinture », Ligeia, vol. N° 97-100, no 1, , p. 62-73 (DOI10.3917/lige.097.0062, lire en ligne) — hal-02069850, pdf.
[Marquardt 2019] (en) Anne-Kathrin Marquardt, « The mathematician, the Surrealist, and the poet are of imagination all compact: Man Ray’s Shakespearean Equations », Interfaces. Image Texte Language, no 42, , p. 99–128 (ISSN1164-6225, DOI10.4000/interfaces.659, lire en ligne, consulté le )
(à voir : Carole Aurouet, L’Étoile de mer, poème de Robert Desnos tel que l’a vu Man Ray, Paris, Gremese, coll. « Les meilleurs films de notre vie », , 120 p. (ISBN978-2-36677-178-7) — Michel Marie, « Carole Aurouet, l’Étoile de mer, poème de Robert Desnos tel que l’a vu Man Ray: Paris, Gremese, collection « Les meilleurs films de notre vie », 2018, 120 p. », 1895, no 93, , p. 277–278 (DOI10.4000/1895.8557, lire en ligne))
Haas 2018, p. 604-606 : « il est possible de retrouver dans les textes de Desnos contemporains du film de nombreux rappels et similitudes, soit des scènes filmées, soit des intertitres […] »
Didier Blonde, « L'Étoile de Mer : puissance des fantômes », L'Étoile de Mer, Cahiers Robert Desnos, nouvelle série, no 5, (lire en ligne)
.
Notes de Bouhours et Haas 1997, p. 64 : « L’incarnation de cet amour impossible au travers de L’Étoile de mer », développé dans La Place de l’Étoile, à [citant Nouvelles Hébrides et autres textes, (SUDOC000219878)« l’image sans doute de la passion sans retour que Desnos a vouée à l’étoile Yvonne George ».
Pierre Migennes, « Les photographies de Man Ray », Art et Décoration, 1928 (Desnos 1992, p. 213, Desnos 1999, p. 426) « Je possède une étoile de mer (issue de quel océan ?) achetée chez un brocanteur juif de la rue des Rosiers et qui est l’incarnation même d’un amour perdu, bien perdu et dont, sans elle, je n’aurais peut-être pas gardé le souvenir émouvant. »
« Cinéma d’avant-garde », Documents, 7, 1929 (Virmaux et Virmaux 1988, p. 149, Desnos 1992, p. 188, « Qu’on m’entende. Lorsque René Clair et Picabia réalisèrent Entr’acte, Man Ray L’Étoile de mer* et Buñuel son admirable Chien andalou, il ne s’agissait pas de créer une œuvre d’art ou une esthétique nouvelle, mais d’obéir à des mouvements profonds, originaux et, par suite, nécessitant une forme nouvelle […] * Ici l’auteur de ces lignes prend un petit air modeste » (Bouhours et Haas 1997, p. 78, reconnaissant ainsi sa participation ; Martin 2023« Cette appréciation de Desnos n’est pourtant pas partagée par l’ensemble du groupe surréaliste, qui garde un silence déstabilisant »).
« on croyait la filmographie de Man Ray bien établie […]. Or, depuis 1985 divers films et fragments de films ont été retrouvés. […………] Relèvent de ce qu’on appellera plus tard les « home movie » […………] Certains […] ont été retrouvés dans son atelier rue Férou en 1985 […] « Man Ray cinéaste », Cinédoc ».
Haas 2018, p. 698 signale * précédent et « Les home movies de Man Ray » dans Le je filmé, Centre Pompidou, (ISBN2-85850-831-3).
Stephen C. Foster (dir.), Hans Richter : activism, modernism, and the avant-garde, MIT Press, (ISBN0-262-06196-1, lire en ligne)
Hans Richter: la traversée du siècle (exposition, Metz, Centre Pompidou-Metz, septembre 2013-février 2014), Centre Pompidou-Metz, (ISBN978-2-35983-027-9)
première version du texte de Séguéla (D’encre et de pierre, le Japon de Soulages), Gutai : L'espace et le temps (ISBN978-2-490432-00-4), extraits là
Dans son chapitre (« Rencontre avec le noir »), de Saint-Cheron propose « en guise d’épilogue » un // avec #Nicolas de Staël (« un je-ne-sais-quoi […] »…)
+p. 40-49, Léopold Sédar Senghor, « La puissance créatrice de Soulages », Éthiopiques, no 2, , discours 29 novembre 1974, expo Dakar
L’entretien de Soulages avec Christian Derouet 1997 (Fernand Léger, Centre Georges Pompidou, coll. « Classiques du XXe siècle », (ISBN2-85850-913-1)) est aussi dans compil 2009 p. 179-182
[Prat 1991] Jean-Louis Prat (dir.), Nicolas de Staël : rétrospective de l'oeuvre peint (exposition, Saint-Paul-de-Vence, Fondation Maeght, 2 juillet - 22 septembre 1991), Fondation Maeght, (SUDOC002517450, lire en ligne)
[Prat et Bellet 1995] Jean-Louis Prat et Harry Bellet, Nicolas de Staël (exposition, Martigny, Fondation Gianadda, 19 mai-5 novembre 1995), Fondation Gianadda, (ISBN2-88443-033-4)
[du Bouchet 2003] Marie du Bouchet, Nicolas de Staël: une illumination sans précédent, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard », (ISBN2-07-076797-3). — wd Marie du Bouchet, Nicolas de Staël : Une illumination sans précédent (œuvre écrite), Paris, .
[Andral 2005] Jean-Louis Andral (dir.), Nicolas de Staël : un automne, un hiver (exposition, Antibes, Musée Picasso, 2 juillet-16 octobre 2005), Hazan/Musée Picasso, (ISBN2-7541-0028-8, lire en ligne)
[Prat 2010] Jean-Louis Prat, Nicolas de Staël, 1945-1955 (exposition,), Fondation Pierre Gianadda, (ISBN978-2-88443-128-6, lire en ligne)
Nicolas de Staël: lumières du Nord, lumières du Sud (exposition, MuMa - musée d'art moderne André Malraux, Le Havre, 7 juin - 9 novembre 2014), Gallimard, (ISBN978-2-07-014507-2)
Marie du Bouchet (dir.) et Gustave de Staël (dir.), Nicolas de Staël en Provence (exposition, Aix-en-Provence, Hôtel de Caumont, du 27 avril au 23 septembre 2018), Hazan/Culturespaces, (ISBN978-2-7541-1445-5)
[Maldonado 2015] Guitemie Maldonado, Nicolas de Staël, Citadelles & Mazenod, (ISBN978-2-85088-602-7)
André Chastel : méthodes et combats d'un historien de l'art, (lire en ligne)
Dominique Hervier (dir.) et Eva Renzulli (dir.), André Chastel: portrait d'un historien de l'art, 1912-1990 de sources en témoignages, Comité d'histoire du ministère de la Culture, coll. « Travaux et documents », (ISBN978-2-11-157248-5, présentation en ligne)[n 36]
Henri Béhar, Tristan Tzara, Oxus, coll. « Les étrangers de Paris », (ISBN2-84898-048-6).
Tristan Tzara, l'homme approximatif (exposition, Strasbourg, Musée d'art moderne et contemporain, 24 septembre 2015-17 janvier 2016), Musées de la Ville de Strasbourg, (ISBN978-2-35125-136-2)
↑Écrits sur l'art, 1934-1969, Flammarion, (ISBN978-2-08-121897-0), p. 89.; hihihi, déjà sur wp:en celle-là, via snd (en:Mark_Rothko#Break_with_Surrealism (soit : Mark Rothko, 1903-1970 : pictures as drama (lire en ligne), p. 39 (vf : Mark Rothko, 1903-1970 : "des tableaux comme des drames" (ISBN978-3-8365-0425-6), p. 40 : « Mes disputes avec les surréalistes et avec l’art abstrait ne sont pas différentes des celles qu’on a avec son père et sa mère ; je reconnais l’inéluctabilité et le rôle de mes racines, mais je maintiens aussi ma divergence d’opinion; je suis à la fois un des leurs et quelqu’un d’autonome entièrement indépendant d’eux ».) )). Note: version brouillon p. 88.
Norberto Gimelfarb, « Du surréalisme en Amérique latine et de la trajectoire d'Aldo Pellegrini », Études de Lettres, (DOI10.5169/SEALS-870835, lire en ligne)
Kora Véron et Thomas A. Hale, Les écrits d'Aimé Césaire: biobibliographie commentée, 1913-2008, H. Champion, coll. « Poétiques et esthétiques XXe-XXIe siècles », (ISBN978-2-7453-2520-4)
Sur Klee et Picasso, voir aussi Bernhard Geiser, « La visite de Picasso chez Paul Klee à Berne en 1937 » p. 207-209, dans User:Malik2Mars/Brouillon/Klee#Lampe2016 p. 199sq (VI. Klee et Picasso
De Picasso (voir aussi (de et sur) Q:Picasso (+/Doc)
↑Attention, pour wp, bien contextualiser, étayer par des secondaires, ex (« A ne considérer que superficiellement leur résultats, bon nombre de poètes pourraient passer pour surréalistes » MS, OCI, p. 328) :
p. 329
« […]. Hugo est surréaliste quand il n’est pas bête. […] »
Sylvie Brodziak, « Les femmes et la guerre de Libération nationale/guerre d'Algérie : Entre mémoire ancienne et écritures récentes », Dalhousie French Studies, vol. 103, , p. 23–32 (ISSN0711-8813, JSTOR43487461, lire en ligne, consulté le )
« la fiction littéraire, en devançant les études historiques, incite à l’écriture de l'histoire », …
Natalya Vince, « Femmes algériennes dans la guerre de libération : mémoire et contre-mémoire dans la période postcoloniale », Raison présente, no 175, , p. 79–92 (DOI10.3406/raipr.2010.4248, lire en ligne, consulté le )
Feriel Lalami, « L’enjeu du statut des femmes durant la période coloniale en Algérie », Nouvelles Questions Féministes, vol. 27, no 3, , p. 16–27 (ISSN0248-4951, DOI10.3917/nqf.273.0016, lire en ligne, consulté le )
Danièle Djamila Arnrane-Minne, « Les femmes face à la violence dans la guerre de libération », Confluences Méditerranée, no 17, (lire en ligne)
Djamila Amrane, Des femmes dans la guerre d'Algérie : entretiens, Karthala, coll. « Les Afriques », (ISBN2-86537-510-2)
Djamila Amrane, « Les combattantes de la guerre d'Algérie », Matériaux pour l'histoire de notre temps, no 26, , p. 58–62 (DOI10.3406/mat.1992.404867, lire en ligne, consulté le )
Benjamin Stora, « Amrane Djamila, Les femmes algériennes dans la guerre », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no 32, , p. 115–116 (lire en ligne, consulté le )
+Claude Liauzu, « Djamila AMRANE, Les femmes algériennes dans la guerre, Plon, 1991 ; Des femmes dans la guerre d'Algérie, Karthala, 1996 », Clio. Femmes, Genre, Histoire, no 9, (ISSN1252-7017, DOI10.4000/clio.307, lire en ligne, consulté le )
↑Pierre Saint-Arnaud, In the land of the free: le paradoxe racial à travers le roman social africain-américain, Presses de l'Université Laval, (ISBN978-2-7637-9022-0, lire en ligne), p. 171
↑Voir Marie Sonnette, « La mise en scène des appartenances post-coloniales au sein d’œuvres de rappeurs contemporains en France », Nouveaux cahiers de Marge, no 1, (ISSN2607-4427, DOI10.35562/marge.177, lire en ligne, consulté le )
((passage par #Duchamp, Kandinsky) relct Michèle Gally, « Permanences échiquéennes ou le sens d’une métaphore trans-séculaire », dans Le Jeu d’échecs comme représentation : Univers clos ou reflet du monde ?, Éditions Rue d’Ulm, coll. « Actes de la recherche à l’ENS », (ISBN978-2-7288-0990-5, lire en ligne), p. 51–63,
Ken Kirkpatrick, « L’Échiquier du Khan : l’échec de l’ordre dans Les Villes invisibles de Calvino » dans Echiquiers d'encre: le jeu d'échecs et les lettres (XIXe-XXe s.), Droz, coll. « Histoire des idées et critique littéraire », (ISBN978-2-600-00289-9, lire en ligne)
Vera Gandelman-Terekhov, Jeu d'échecs : littérature et mondes possibles: Perec, Nabokov, Zweig, Lewis Caroll..., L’Harmattan, coll. « L'Ecarlate », (ISBN978-2-296-99496-6, lire en ligne)
Ivan Gros, L'imaginaire du jeu d'échecs et la poétique de l'ordre et du chaos: histoire d'une représentation de la cérébralité, L'Harmattan, coll. « Palinure », (ISBN978-2-296-56639-2, présentation en ligne)
(deja citée sur wp) Ivan Gros, « L’imaginaire du jeu d’échecs en France au XIXe siècle, ou la conversion intellectuelle du guerrier », Revue d'histoire du XIXe siècle. Société d'histoire de la révolution de 1848 et des révolutions du XIXe siècle, no 40, , p. 131–146 (ISSN1265-1354, DOI10.4000/rh19.3998, lire en ligne, consulté le ))
Ivan Gros, « « Écriture et Chaos ». Petites impostures métaphoriques, prémisses en vue d’une théorie sur les métaphores de la complexité dans le cadre d’une poétique de l’ordre et du chaos », TRANS-, no 6, (ISSN1778-3887, DOI10.4000/trans.259, lire en ligne, consulté le )
…
↑A savoir : sur 1923, 121, dans [Hopfengart et Baumgartner 2012] Christine Hopfengart et Michael Baumgartner, Paul Klee, vie et œuvre, Éditions Hazan et Centre Paul-Klee, (ISBN978-2-7541-0645-0), p. 160. « […] Dans Le Funambule, Klee aborde l'un des éléments centraux de sa théorie de l'art : l'équilibre. […] ».
↑sur cette lettre, voir note 10 de Sandrine Granat-Robert, « Calvino regarde l’enfance et l’enfance regarde Calvino », Italies, no 21, , p. 129–160 (ISSN1275-7519, DOI10.4000/italies.5745, lire en ligne, consulté le ).
p. 31 « Traduire Cortázar, c’est ainsi renoncer au confort de la note de bas de page au profit de l’économie de la phrase, de l’effet d’une montée en puissance : cette leçon, c’est Laure Guille-Bataillon qui la formule dans « Traduire Cortázar avec Cortázar », un texte fondamental ».
+Bataillon 1991, p. 57 : « [Il] avait, des notes, une horreur égale à la mienne (ce qui n’est pas peu dire, et je regrette celles, rarissimes, que je me suis laissée aller à mettre). Ce pourquoi nous avions adopté, d’un commun accord, le système des incises ajoutées à la phrase pour situer certains mots ou expressions. »
↑(10.23) Cette citation était absente de wq:fr, de la bio fr, mais déjà en page Portail:Échecs/Citations (Portail:Échecs/Citations/14) et sur q:en…. Partir de là, de cette découpe, feindre l’ignorance. Explorer, Remonter le fil, vérifier, au-delà du simple accès, évaluer la pertinence, identifier les notes, préciser, developer/commenter, contextualiser le propos, etc. (Partouche 2019, p. 157), Troche 2009, p. 82, Chateau 2008, p. 31, [maj Quote 27.10 Schwarz 1974, p. 90-91 ], …, etc.. La même, en anglais (« while all artists are not chess players, all chess players are artists ») : Girst 2014, p. 43 (note p. 206), List 2005, p. 145 (note 42 p. 201), etc.
↑« Le musée du troisième millénaire », p. 44. Partant d’une critique de Paul Valéry (Le problème des musées, 1923), Umberto Eco esquisse son utopie, son musée idéal, celui du troisième millénaire – millénaire qui a à peine débuté… :
« Mon musée du troisième millénaire serait toujours inédit, il pourrait toujours me surprendre. Valéry lui-même serait tenté d’y revenir. »
↑Marie-Sylvie Poli, « Un chef-d’œuvre, une exposition. El Greco, L’Immaculée Conception de la chapelle Oballe du Musée de Santa Cruz de Tolède », Culture & Musées. Muséologie et recherches sur la culture, no 31, , p. 228–231 (ISSN1766-2923, DOI10.4000/culturemusees.2188, lire en ligne, consulté le )
Isabelle Chave, « Dominique Hervier et Eva Renzulli (dir.), André Chastel, portrait d’un historien de l’art (1912-1990). De sources en témoignages », Livraisons de l'histoire de l'architecture, no 42, (ISSN1627-4970, DOI10.4000/lha.3408, lire en ligne)
François-René Martin, « Dominique Hervier, Eva Renzulli, André Chastel. Portrait d’un historien de l’art (1912- 1990). De sources en témoignages, Paris, Comité d’histoire du ministère de la culture, Travaux et documents n°42, La Documentation française, 2020 », Histoire urbaine, vol. 64, no 2, , p. X–XI (ISSN1628-0482, DOI10.3917/rhu.064.0199, lire en ligne, consulté le )
En contemplant une collection de peintures, J. Corti, coll. « Domaine romantique », (ISBN978-2-7143-1062-0).
Julia Drost, « "Caspar David Friedrich, peintre de l’angoisse romantique", le surréalisme et l’héritage romantique allemand », dans Drost et Reliquet 2014, p. 207-228
Note:partant de Madeleine Landsberg, « Caspar David Friedrich, peintre de l’angoisse romantique », Minotaure, nos 12-13, (lire en ligne)
« Clos ton œil physique, afin de voir d'abord ton tableau avec l'œil de l'esprit. Ensuite, fais monter au jour ce que tu as vu dans ta nuit, afin que son action s'exerce en retour sur d'autres êtres, de l'extérieur vers l'intérieur. »
« Ferme l'œil de ton corps afin de voir ton tableau d'abord par l'œil de l'esprit. Puis mets au jour ce que tu as vu dans l'obscurité afin que ta vision agisse sur d'autres, de l'extérieur vers l'intérieur. »
Neuf lettres sur la peinture de paysage, (1re éd. 1983) (ISBN2-252-02615-4), p. 168 (souvent titré : De la peinture de paysage dans l'Allemagne romantique)
« Ferme l’œil de ton corps pour d’abord voir ton tableau avec l’œil de l’esprit. Puis mets au jour ce que tu as vu dans cette nuit, afin que ta vision agisse en retour sur d’autres, de l’extérieur vers l’intérieur. »
Remonter le fil (trouver le plus solide) de la lettre de Breton (31 mars) « J'ai salué l'apparition de L'Âme allemande d'un cri de joie. Je ne sais rien de si important, de si exaltant depuis des années. »
↑Chantal de La Véronne, Yaghmurasan : premier souverain de la dynastie berbère des Abd-al-Wadides de Tlemcen 633 (1236)-681 (1283), Bouchene, coll. « Bibliothèque d'histoire du Maghreb », (ISBN2-912946-29-8).
Faire régulièrement une verif des accès/MàJ/nouveautés pour les # ci-dessous (IA, LBW &co)
(1ere ed. (ISBN 2-85850-091-6))
)
), donc // 
Bio), et autres brouillons wp, créations/contributions quote, Focus… fin avril 2023 : Portail et Projet (Portail:Dada et Surréalisme) à voir (DdA énigmatique…)
; discussion invit (Discussion utilisateur:Malik2Mars#Invitation projet Dada et Surréalisme) + modèle {{Invitation projet Dada et Surréalisme}}[n 2]; divagations ressources : Discussion Projet:Dada et Surréalisme#Le commencement 
À faire
) pour une Symphonie diagonale, sur un Ballet mécanique (film), Hans Richter (artiste), Viking Eggeling[n 4], Ré Soupault, Oskar Fischinger…;
/ =>#Hans Richter, #Viking Eggeling, …
…
Lu « Romantisme et surréalisme », sur calenda.org (consulté le )
).}
Bonne année 2023 !
.jpg)
.jpg)
. suivi perso : #moisdusourçage
Vu, nouvelle campagne : WP:1Lib1Ref
.
: /#À ranger.
.
…
…)
+Code « Affichage amélioré des différences entre versions (diff) » Gadget Utilisateur:Leag/wikEd#Installation 
(complet activé sur wp:fr/ seulement diff wp:en)
, en l’état…) bref, faudra (re)lire ses ouvrages +tard)
(+lu snd Klee&surr. ([…] « Paul Klee et René Crevel, deux expressions pour un même [k] »), histoire de ne pas (trop) « culpabiliser »…
m:Talk:Wiki Loves Women/SheSaid#SheSaid Campaign - Launch of the 4th Edition.
.jpg)
)
.jpg)
)
,_1923,_NGA_8106.jpg)
À faire
] »
_(Remini_enhanced).jpg)
.jpg)
(soit : Mark Rothko, 1903-1970 : pictures as drama (lire en ligne), p. 39 (vf : Mark Rothko, 1903-1970 : "des tableaux comme des drames" (ISBN 978-3-8365-0425-6), p. 40 : « Mes disputes avec les surréalistes et avec l’art abstrait ne sont pas différentes des celles qu’on a avec son père et sa mère ; je reconnais l’inéluctabilité et le rôle de mes racines, mais je maintiens aussi ma divergence d’opinion; je suis à la fois un des leurs et quelqu’un d’autonome entièrement indépendant d’eux ».) 
)). Note: version brouillon p. 88.
_by_Victor_Hugo,_1867.jpg){kind=link}