1927 en dadaïsme et surréalisme
Cet article présente les faits marquants de l'année 1927 en dadaïsme et surréalisme.
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photo d'Henri Manuel
Éphémérides
modifierJanvier
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Adhésion au Parti communiste français de Louis Aragon, Jacques Baron, André Breton, Paul Eluard, Benjamin Péret et Pierre Unik[1].
Mars
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Antonin Artaud, Le Pèse-nerf, réédition aux Cahiers du sud à Marseille orné d'un frontispice d'André Masson, suivi des Fragments d'un journal d'enfer[2]
Léona Delcourt (Nadja) est internée à Sainte-Anne puis à l'asile de Perray-Vaucluse (près de Sainte-Geneviève-des-Bois, Essonnes)[3].
Avril
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À Paris, conférence de Jean Genbach, Satan à Paris, présentée par André Breton[4].
- Louis Aragon, André Breton et Paul Eluard publient une protestation Lautréamont envers et contre tout contre une édition des Œuvres complètes de Lautréamont préparée par Philippe Soupault[5].
- Benjamin Péret, Dormir, dormir dans les pierres, recueil de poèmes illustré de dessins d'Yves Tanguy[6].
- Robert Desnos, La Liberté ou l'amour[7]
Mai
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À l'instigation de Robert Desnos et d'André Masson, Roland Tual organise la première exposition Yves Tanguy à la Galerie Surréaliste. Le catalogue est préfacé par André Breton[8]. Il associe à cette exposition des poupées d'Indiens Pueblos et du Nouveau-Mexique qu'il a découvertes peu de temps avant avec Paul Eluard[9].
- Antonin Artaud rencontre le philosophe chrétien Jacques Maritain : « Je vous demande de ne pas vous hâter de désespérer de moi. Soyez persuadé que je recherche la vérité. Je suis très loin d'être indifférent à mon salut. Mais il se peut que j'entende ce dernier mot dans un sens peut-être très hétérodoxe. »[réf. nécessaire]
- Entretien Tristan Tzara, Benjamin Fondane et Ilarie Voronca qui paraît dans la revue roumaine Intégral[réf. nécessaire]
- Le poète Louis Scutenaire se joint au Groupe surréaliste de Belgique (à Bruxelles)[10].
- Louis Aragon, Jacques Baron, André Breton, Paul Eluard, Benjamin Péret et Pierre Unik justifient leur adhésion au parti communiste français dans le texte Au grand jour[11].
- Yves Tanguy, Extinction des lumières inutiles[12].
Juin
modifier- 1er et
Les Mystères de l'amour de Roger Vitrac, Ventre brûlé ou la Mère folle d'Antonin Artaud et Gigogne de Max Robur (pseudonyme de Robert Aron) sont les trois premiers spectacles donnés par le Théâtre Alfred Jarry[13].
André Breton, Introduction au discours sur le peu de réalité[5].
Juillet
modifier- Publication à Bucarest d'un numéro d'Intégral entièrement consacré au surréalisme français et roumain[réf. nécessaire]
Août
modifier- À Varengeville, au Manoir d'Ango, André Breton commence l'écriture de Nadja[5].
- Robert Desnos, The Night of loveless nights, première version[14]
- René Magritte quitte la Belgique pour s'installer au Perreux-sur-Marne, (act. Val-de-Marne) et participe aux activités des surréalistes parisiens[15].
Septembre
modifier- Publication en anglais de Hands off love, texte collectif de soutien à Charlie Chaplin, cible d'une violente campagne de la presse puritaine des États-Unis dénonçant son divorce d'avec Lita Grey et sa vie privée « dissolue »[17].
Octobre
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Parution du manifeste Permettez. écrit, entre autres, par Raymond Queneau et Louis Aragon (les citations sont de d'André Breton et Paul Eluard) en protestation contre l'inauguration d'une statue d'Arthur Rimbaud à Charleville (Ardennes) : « La statue subira peut-être le même sort que la précédente. Celle-ci, que les Allemands firent disparaître, dut servir à la fabrication d'obus et Rimbaud se fût attendu avec délices à ce que l'un d'eux bouleversât de fond en comble votre place de la Gare ou réduisît à néant le musée dans lequel on s'apprête à négocier ignoblement sa gloire. »[18]
- Antonin Artaud participe au tournage du film Verdun, visions d'Histoire de Léon Poirier. Il justifie sa participation au titre que ce « n'est pas un film patriotique, fait pour l'exaltation des plus ignobles vertus civiques, mais un film de gauche pour inspirer l'horreur de la guerre aux masses conscientes et organisées. Je ne compose plus avec l'existence. Je méprise plus encore le bien que le mal. L'héroïsme me fait chier, la moralité me fait chier. »[13]
Novembre
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Antonin Artaud et Germaine Dulac, La Coquille et le Clergyman, scénario (achevé en avril) publié dans la La Nouvelle Revue française (NRF)[19].
Première exposition parisienne de Hans Arp à la Galerie Surréaliste[20]
Robert Desnos et Henri Jeanson sont condamnés à une amende symbolique pour avoir lacéré des publications pieuses place Saint-Sulpice (à Paris), répondant ainsi à l'abbé Bethléem qui déchirait des publications qu'il jugeait licencieuses[21].
Apprenant la préparation du film La Chute de la maison Usher de Jean Epstein, Antonin Artaud écrit à Abel Gance : « Je n'ai pas beaucoup de prétentions au monde mais j'ai celle de comprendre Edgar Poe et d'être moi-même un type dans le genre de Maître Usher. Si je n'ai pas ce personnage dans la peau, personne ne l'a. Je le réalise physiquement et psychiquement. Ma vie est celle d'Usher et de sa sinistre masure. J'ai la pestilence dans l'âme de mes nerfs et j'en souffre. »[19]
- Accompagnée d'Emmanuel Berl dont elle est la maîtresse, Suzanne Muzard assiste à la lecture de Nadja qu'André Breton donne aux surréalistes. Le coup de foudre est réciproque[22].
- À Madrid, Louis Aragon brûle une grande partie du millier de pages de son roman Défense de l'infini[réf. nécessaire]
Décembre
modifier- René Crevel, L'Esprit contre la raison.[réf. nécessaire]
- Décision est prise de différer la parution du numéro 12 de La Révolution surréaliste, faute d'argent, et la Galerie Surréaliste ferme pour cause de faillite[23].
Cette année-là
modifier- Antonin Artaud, À la grande nuit, pamphlet-réponse à la proclamation collective Au grand jour : « Le surréalisme est mort du sectarisme imbécile de ses adeptes. Ce qu'il en reste est une sorte d'amas hybride sur lequel les surréalistes eux-mêmes sont incapables de mettre un nom […] Je sais que dans le débat actuel j'ai avec moi tous les hommes libres, tous les révolutionnaires véritables qui pensent que la liberté individuelle est un bien supérieur à celui de n'importe quelle conquête obtenue sur un plan relatif […] Tout le fond, toutes les exaspérations de notre querelle roulent autour du mot révolution. »[24]
- Première exposition commune des peintres tchécoslovaques Jindřich Štyrský et Toyen à la Galerie Vavin à Paris. Le catalogue est préfacé par Philippe Soupault[25].
- Salvador Dalí collabore avec Federico García Lorca pour la pièce de théâtre Marina Pineda[réf. nécessaire]
- Max Ernst et Joan Miró inventent le grattage[réf. nécessaire]
- Rencontre Max Ernst / Yves Tanguy[26].
- Les premiers dessins surréalistes de Wifredo Lam paraissent dans la revue madrilène La Ilustración castellana[27].
- Première exposition consacrée à René Magritte à la galerie Le Centaure à Bruxelles. Le catalogue est préfacé par Paul Nougé et Paul-Gustave van Hecke[28].
- À Bruxelles, E. L. T. Mesens dirige la galerie L'Époque et expose des œuvres de Max Ernst, René Magritte et Joan Miró[29].
- À Tokyo, le poète Shuzo Takiguchi publie une anthologie de poèmes surréalistes[réf. nécessaire]
- En Angleterre, publication du premier numéro de la revue Transition fondée par Maria McDonald et Eugene Jolas[30].
Œuvres
modifier- Maxime Alexandre
- Les Desseins de la liberté, poèmes[31]
- Louis Aragon
- Le Con d'Irène, roman publié clandestinement sous le pseudonyme de M. de Routisie et illustré de dessins d'André Masson[32]
- Antonin Artaud
- Fragments d'un journal d'enfer : « Simplement me poser sur une vérité claire, c'est-à-dire qui reste sur un seul tranchant. Ce problème de l'émaciation de mon moi ne se présente plus sous son angle uniquement douloureux. Je sens que des facteurs nouveaux interviennent dans la dénaturation de ma vie et que j'ai comme une conscience nouvelle de mon intime déperdition. »
- Antonin Artaud & Germaine Dulac
- Georges Bataille
- L'Anus solaire : « Ceux en qui s'accumule la force d'éruption sont nécessairement situés en bas ; les ouvriers communistes apparaissent aux bourgeois aussi laids et sales que les parties sexuelles et velues ou parties basses ; tôt ou tard, il en résultera une éruption scandaleuse au cours de laquelle les têtes asexuées et nobles des bourgeois seront tranchées. »[33]
- Jean de Bosschère
- L'Automate personnel, huile sur toile. Antonin Artaud : « En haut, en bas, la Pythonisse, la Sorcière, comme une sorte d'ange, de douce dragonne, avec sa figure contournée. Tous les colimaçons de l'esprit mangent sa face abstraite et se retournent comme une corde tressée. »[34]
- André Breton
- Introduction au discours sur le peu de réalité, essai, éditions Gallimard, achevé d'imprimer le 30 juin[35] : « Les créations poétiques sont-elles appelées à prendre bientôt ce caractère tangible, à déplacer si singulièrement les bornes du soi-disant réel ? »
- Jacques Brunius & Edmond T. Gréville
- Elle est Bicimidine, film[36]
- Salvador Dalí
- Milan Dedinac
- L'Oiseau public (Javna pica), recueil de poèmes[40]
- Robert Desnos
- Pierre Drieu la Rochelle
- Le Jeune Européen, essai[42]
- Marc Eemans
- Le Cadre de chair, huile sur toile[43]
- Max Ernst
- Le Baiser, huile sur toile[44]
- Forêt, huile sur toile[45]
- Le Monument aux oiseaux, huile sur toile[46]
- Vision provoquée par l'aspect nocturne de la Porte Saint-Denis[47]
- Alberto Giacometti
- Tête qui contemple, sculpture[réf. nécessaire]
- George Grosz
- Circé, aquarelle, plume et encre[48]
- Michel Leiris
- Le Point cardinal[49]
- René Magritte
- Georges Malkine
- Le Baiser, huile sur toile[58]
- André Masson
- E. L. T. Mesens
- Arrière-pensée, photographie[63]
- E. L. T. Mesens & Robert De Smet
- Comme ils l'entendent
- Comme nous l'entendons, photographies[64]
- Joan Miró
- Paul Nougé
- Benjamin Péret
- Dormir, dormir dans les pierres, recueil de poèmes illustré de dessins d'Yves Tanguy
- Francis Picabia
- Tête-paysage, huile sur toile[70]
- Pierre Roy
- L'Éclair, huile sur toile[71]
- Raymond Queneau
- Le Tour de l'ivoire
- Man Ray
- Paysage suédois, huile sur toile
- Kurt Schwitters
- 1. weisse Relief, assemblage de bois peint[72]
- Philippe Soupault
- Histoire d'un blanc : « Je ne sais pourquoi une phrase tourna dans ma tête. Elle faisait un bruit d'insecte. Elle insistait. Quelle sale mouche! Cela dura deux jours. Je pris un crayon et je l'écrivis. Alors quelque chose que je ne reconnus pas éclata. »
- Le Nègre
- Yves Tanguy
Notes et références
modifier- ↑ André Breton, Œuvres complètes tome 1, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, Paris, 1988 (ISBN 2-07-011138-5), p. LIII et André Breton : la beauté convulsive, éditions du Centre Pompidou, Paris 1991 (ISBN 2-85850-567-5), p. 184.
- ↑ Antonin Artaud, Œuvres, 2004, Gallimard, collection Quarto (ISBN 2-07-076507-5), p. 175.
- ↑ Breton, OC1, p. LIII.
- ↑ Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre/Presses universitaires de France, (ISBN 2-13-037280-5), p. 101.
- Breton, OC1, p. LIV.
- ↑ Paul Eluard, Poésies complètes, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1968, p. LXV.
- ↑ Eluard, p. LXV.
- ↑ Agnès Angliviel de la Beaumelle, Yves Tanguy, Centre Pompidou, Paris, 1982, p. 190.
- ↑ André Breton : la beauté convulsive, p. 184.
- ↑ Xavier Canonne, Le Surréalisme en Belgique. 1924-2000, éditions Actes Sud, Arles, 2007, p. 24.
- ↑ Breton, OC1, p. LIV et Biro & Passeron, p. 40.
- ↑ Reproduction dans Angliviel de la Beaumelle, p. 99.
- Artaud, p. 1724.
- ↑ Robert Desnos, Œuvres, Gallimard, collection Quarto, 1999 (ISBN 2-07-075427-8), p. 1360.
- ↑ Canonne 2007, p. 24.
- ↑ Marc Dachy, Archives Dada. Chroniques, éditions Hazan, Paris, 2005 (ISBN 2-7541-0009-1), p. 538.
- ↑ Texte publié en français dans La Révolution surréaliste d'octobre. Breton, OC1, p. LIV.
- ↑ Breton, OC1, p. LVI et José Pierre, Tracts surréalistes, tome I, 1982, Le Terrain Vague, p. 84 & p. 416.
- Artaud, p. 1725.
- ↑ =André Breton : la beauté convulsive, p. 185.
- Desnos, p. 1360.
- ↑ Quelques jours après, ils quittent Paris pour le Midi et sont à Avignon le 20 novembre. Breton, OC1, p. LIV.
- ↑ Breton, OC1, p. LV.
- ↑ Biro & Passeron, p. 14.
- ↑ Georgiana Colvile, Scandaleusement d'elles : trente-quatre femmes surréalistes, Jean-Michel Place, (ISBN 2-85893-496-7), p. 284.
- ↑ Angliviel de la Beaumelle, p. 192.
- ↑ Lam et les poètes, éditions Hazan, Paris, 2005, p. 136.
- ↑ Canonne 2007, p. 21.
- ↑ Biro & Passeron, p. 279.
- ↑ Revue qui perdurera jusqu'en 1938 et publiera des textes (traduits) d'André Breton, Robert Desnos et Paul Eluard. Franca Franchi (dir.), Les Portes du rêve : 1924-2024, le surréalisme à travers ses revues, 2024, éditions Skira (ISBN 978-2-37074-258-2), p. 185.
- ↑ Jean-Paul Clébert, Dictionnaire du Surréalisme, éditions du Seuil & A.T.P., Chamalières, 1996 (ISBN 978-2-020-24588-3), p. 20.
- ↑ Clébert, p. 52.
- ↑ Clébert, p. 11.
- ↑ Artaud, p. 203.
- ↑ Breton, OC1, p. LXI.
- ↑ « Curieux film empreint de l'esprit surréaliste mais dont le négatif semble avoir été détruit » : Ado Kyrou, Le Surréalisme au cinéma, 1963, Ramsay Poche Cinéma 1985 (ISBN 2-85956-452-7), p. 192.
- ↑ Reproduction dans Gaëtan Picon, Le Surréalisme 1919-1939, 1976, éditions Albert Skira (ISBN 2-605-00021-4), p. 135.
- ↑ Cité dans Artpress 2 no 13, mai 2009, p. 54.
- ↑ Angliviel de la Beaumelle, p. 53.
- ↑ Inspirés par Lautréamont selon Biro & Passeron, p. 122.
- ↑ Desnos, p. 1361.
- ↑ « L'auteur, sensible à la décadence et allergique aux nations, en appelle à la création des États-Unis d'Europe » : Georges Sebbag, André Breton, l'amour-folie, éditions Jean-Michel Place, 2004, p. 72.
- ↑ Reproduction dans Xavier Canonne (dir.), Histoire de ne pas rire : le surréalisme en Belgique, Fonds Mercator & Bozar books, Bruxelles 2024, p. 56.
- ↑ 161,2 × 129 cm. Reproduction dans Beaux arts magazine no 340, octobre 2012, p. 43.
- ↑ Reproduction dans Canonne 2024, p. 56.
- ↑ 162 × 130 cm. Musée Cantini, Marseille. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 469-470, juillet-août 2023, p. 184.
- ↑ André Breton, Le Surréalisme et la Peinture, Gallimard, 1928-1965, p. 29.
- ↑ 66 × 48,6 cm. Museum of Modern Art, New-York. Reproduction dans Dachy 2005, p. 123.
- ↑ Jean-Louis Bédouin, La Poésie surréaliste, éditions Seghers, Paris, 1964, p. 283.
- ↑ Reproduction dans Le Monde diplomatique no 690, septembre 2011, p. 28.
- ↑ 65 × 50 cm. Collection particulière. Jacques Meuris, René Magritte, Taschen, Cologne, 1997, p. 51.
- ↑ Reproduction dans Canonne 2024, p. 53.
- ↑ 50 × 65 cm. Collection particulière. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 104, septembre 1992, p. 56.
- ↑ Reproduction dans Gabriele Crepaldi, L'Art moderne 1900-1945, Gründ, 2006, p. 207.
- ↑ MRBAB, Bruxelles. Canonne 2007, p. 26.
- ↑ Reproduction dans Beaux Arts Magazine n° 426, décembre 2019, p. 130.
- ↑ 139 × 105 cm. The Mesnil Collection, Houston. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 104, septembre 1992, p. 58.
- ↑ Vincent Gille & Béatrice Riottot El-Habib (sous la direction de), Le Surréalisme et l'Amour, Gallimard, Paris, 1997, p. 90.
- ↑ Museum of Modern Art, New York. Reproduction dans Sarane Alexandrian, L'Art surréaliste, Hazan, Paris, 1969, p. 66.
- ↑ Werner Spies, La Révolution surréaliste, Paris, Centre Pompidou, 2002, p. 124.
- ↑ Fondation Rupf, Berne. Reproduction dans Alexandrian, p. 76.
- ↑ Reproduction dans Picon, p. 101.
- ↑ Canonne 2007, p. 25.
- ↑ Canonne 2007, p. 22.
- ↑ 65 × 81,1 cm. Collection Nahmad. Reproduction dans L'Œil no 777, juillet-août 2024, p. 9.
- ↑ 129,6 × 194,6 m. Reproduction dans Breton 1965, p. 40.
- ↑ Reproduction dans Picon, p. 107.
- ↑ Reproduction dans Canonne 2024, p. 44.
- ↑ Détournement de l'ouvrage de Clarence Juranville, La Conjugaison enseignée par la pratique, Paris, Éditions Larousse, 1906. Paul Aron & Jean-Pierre Bertrand, Les 100 mots du surréalisme, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », p. 6.
- ↑ Collection Simone Collinet. Reproduction dans La Quinzaine littéraire no 13, 1er octobre 1966, p. 6.
- ↑ 33 × 22 cm. Collection particulière. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 132, mars 1995, p. 89.
- ↑ Laurent Le Bon (sous la direction de), Dada, Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2005, p. 115.
- ↑ Reproduction dans Picon, p. 108.
- ↑ 80 × 65 cm. Collection particulière. Reproduction dans Breton 1965, p. 42.
- ↑ 92,1 × 73 cm. Reproduction dans Angliviel de la Beaumelle, p. 48.
- ↑ Reproduction dans Angliviel de la Beaumelle, p. 79.
- ↑ Reproduction dans Breton 1965, p. 43.
- ↑ Reproduction dans René Passeron, Surréalisme, 2005, éditions Terrail/Edigroup (ISBN 2-87939-297-7), p. 98.