Utilisateur:MariaLopez5050/Brouillon

Dayuse.com
logo de MariaLopez5050/Brouillon

Création 2010
Fondateurs David Lebée
Forme juridique SAS
Slogan Hotels for the day
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Activité Hôtellerie
Filiales New York City, São Paolo
Site web http://www.dayuse.com/

Dayuse.com est une start-up française qui propose la location de chambres d'hôtel en journée. Créé en 2010, Dayuse.com propose aujourd'hui plus de 2000 hôtels dans 14 pays.

En 2015, Dayuse.com a levé 15M € auprès des investisseurs. [1]


Histoire

modifier

Dayuse.com a été fondé en 2010 par David Lebée [2] qui avait dû faire face à une forte demande lorsqu’il était manager de l’hôtel Amour à Paris : demande de la part de couples, d’hommes d’affaires ou d’artistes souhaitant réserver une chambre d’hôtel pour quelques heures dans la journée.

Le siège social de l'entreprise est basé dans le 9e arrondissement de Paris.

Présence internationale

modifier
  • 2010 : Lancement du site avec une dizaine d’hôtels à Paris
  • 2011 : Ouverture de Dayuse.com en Belgique, Suisse et au Luxembourg
  • 2011 : Dayuse.com lance sa version discount : Dayuse-pascher.com
  • 2012 : Lancement en Angleterre
  • 2012 : Lancement d'une application mobile
  • 2013 : Lancement aux Etats-Unis
  • 2014 : Dayuse.com lève 1 million d’euros, obtenu auprès de Partech Ventures , Cédric Barbier et Christophe Chausson
  • 2015 : Ouverture d’un bureau à New York et à São Paolo [3]
  • 2015 : Dayuse.com lève 15 million d’euros, obtenu auprès d'Idinvest Partners, Partech Ventures avec la participation des business angels historiques : Paul Dubrule, Cédric Barbier, et Charles Petruccelli [4]
  1. Dayuse.com, le roi de la location de chambres d'hôtel en journée, séduit aussi les investisseurs, Mathilde Visseyrias, Le Figaro, 11 janvier 2016
  2. [http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/startup/lab/idees-de-business-10-tendances-pour-2016-206609.php, Yves Vilagines, Les Echos, 29 janvier 2016
  3. [1], Camille Prigent, Les Echos, 5 février 2016
  4. [2], Valérie Leboucq, Les Echos, 14 janvier 2016