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Jean-Pierre Le Goff, poète français né à Douarnenez en 1942, mort en 2012. "Fils de marin perdu en mer, a très jeune fréquenté surréalisme, banalyse, pansémiotique et 'pataphysique. Dans chacun de ses écrits, l'évidence reste la même : le fil secret du monde est aussi ténu qu'infini, et immense est la joie de le tirer."[1] Une exposition rétrospective de son oeuvre est en préparation pour l'inauguration de la future médiathèque des Capucins de Brest.

Œuvres

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  • Journal de Neige, Le Hasard d'être, 1983
  • Lettre Sépia, AKEJ, 1984
  • Les Remparts de Brouage, Orbe, 1984
  • La Rutilance du trésor, Lille, A. Buyse, 1987
  • Le Cachet de la Poste, Paris, Gallimard, 2000
  • Du crayon vert, Paris, Au crayon qui tue, 2001
  • L'Ecriture des fourmis, Paris, Au crayon qui tue, 2003
  • Les Abymes du Titanic, Paris, Au crayon qui tue, 2006
  • Coquillages, Paris, éditions des Grands Champs, 2014

Publications dans des revues

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  • Persistance du bleu, Paris, PAN c'est myotique, n°1, 1992, p.57-61
  • Préalable sur la perle, Paris, La Nouvelle Revue Française, n° 474-475, 1992, p 126-155
  • Hôtel de l'Image, Paris, Le Nouvelle Revue Française, n°474-475, 1992, p.158-196
  • L'Affaire des Plaques, Paris, Viridis Candela/Carnets trimestriels du Collège de 'Pataphysique, n°12, 2003, p.49-60
  • Lettre à Herman Melville, Paris, Le Nouvelle Revue Française, n°567, 2003, p.95-110
  • A la lisière de la forêt de L'Isle-Adam, Paris, Le Nouvelle Revue Française, n°557, 2001, p.154-171
  1. Coquillages, Paris, éditions des Grands Champs, 2014