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OLIVIER PETIT

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Olivier Petit








Enfance

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Les débuts de Super Zitoune

À 11 ans, il s’essaye au football et est rapidement remarqué par un recruteur, Francis Cornejo. Très adroit avec un ballon, il amuse le public avec ses jongleries à la mi-temps des matchs. L’année suivante, il rejoint une icône de l’époque du nom de Diego Armando Maradona. À Naples, le petit génie montpelliérain va être confronté à une concurrence très forte mais sort grandi des confrontations internationales lors de la coupe des clubs champions avec un total de 13 buts en 5 matchs. A 15 ans, il est le plus jeune joueur de l’histoire à disputer une coupe du monde. Lors de la finale au cours de laquelle il réussit un coup du chapeau, Diego Maradona dira de lui « J’ai eu la main de Dieu, Olivier a hérité de ses deux pieds… ».




La musique…


"Je lui dois ce que je suis, il m'a tout appris..."

La coupe du monde en poche, rassasié de ses performances sportives, Olivier Petit décide de reprendre une voie musicale qu’il n’a jamais vraiment quittée et retrouve son instrument fétiche, la trompette. Il enregistre notamment une série de disques pour le label Prestige et collabore avec des grands noms du jazz tels que Duke Ellington, Miles Davis, John Coltrane et Nat King Cole.

Fatigué des studios, il retrouve le live qu’il affectionne tant en faisant les beaux jours des boites de jazz parisiennes. C’est lors d’une de ces cessions qu’il découvre un jeune talent du nom de Chet Baker et qu’il décide de le prendre sous son aile. Il lui enseigne, outre sa technique légendaire, une sensibilité d’interprétation aujourd’hui encore inégalée. Après de nombreuses tournées qui le mènent au bout du monde, Olivier, se rendant compte que le jeune Chet peut à présent voler de ses propres ailes, décide de rejoindre l’anonymat et s’envole pour la Nouvelle Calédonie.


Les années Calédoniennes…


« Olivier ne lance pas ses boules, il les pilote… »

Exilé de l’autre côté de la planète, il prend le temps de se poser, de réfléchir. En grand défenseur de la langue Française, il laisse à la postérité des expressions telles que : « Et là, y’a personne là ? » ou encore « juste une chose…. ».

Mais sa passion pour les arts l’amène inexorablement à tester de nouvelles voies, et c’est ainsi que, à l’ombre des cocotiers, retraité de la scène publique, il s’adonne à son nouveau passe-temps, la pétanque. Très vite, ce loisir quotidien devient pour lui une seconde nature. Brillant lors de la finale de la coupe de Calédonie, il prend l’avion et retourne en Métropole pour participer à des compétitions internationales. Lors d’un concours de tir à Millau, il surclasse Dylan Rocher, alors meilleur tireur de la planète. Dès lors courtisé par l’équipe de France, il finit par céder aux nombreuses sollicitations et accepte de participer à un championnat du monde qu’il gagne avec la bagatelle de 97% au tir dont 67% de carreaux.


Les femmes…

Homme à femmes, Olivier est un défenseur absolu de la cause féminine. Il n’hésite pas à faire don de plusieurs millions afin d’améliorer leur image. Généreux dans ses diverses formes de donations, il lui arrive de s’investir jusqu’à la rupture.